• Gros problème !

     

     

     

    Parasha Balak.

     

    Le problème avec des parasha comme ça, c’est qu’il y a tellement d’enseignements à comprendre qu’on pourrait passer à coté de celle dont Dieu veut nous instruire personnellement;

     

    *Je vous prie de m’excuser du contenu peu arrangé qu’il y a en deuxième parti du message que j’ai du intégrer en dernière minute faute que je ne voulais pas l’écrire. Puisse être en bénédiction pour ceux qui seront concernés.

     

    Première partie.

     

    La question qui se pose : Mais pourquoi le peuple fait une halte à Moab?

     

    Tout le mal commence par le mal.

    Mieux vaut ne pas aller à la rencontre du mal.

     

    Le mal sorti de satan par son orgueil démesuré depuis la séparation entre Dieu et lui qui s’est vu orchestrer des peuplades qui l’on suivi.

    Depuis le début de la création, s’est levé le mal de Caïn à Ismaël en passant par Esaü, Balak, Amalek…,Haman…………Hitler.

    Comme une entité cosmique qui s’élève toujours contre Israël. 

    L’archétype du mal qui veut détruire le peuple de Dieu. Chaque génération aura eu son persécuteur!

     Cette dualité en fait ne sera au final qu’une grande victoire! qui permettra à Dieu la réunification d’une réconciliation par le Messie Yeshoua.

    Mais comme le souligne la parasha par Bilaam qui entrevoit le Messie réunifier toutes les âmes vers Dieu d’Israel: Il dit aussi je vois mais ce n’est pas encore son temps.

    Dieu voulait nous avertir que nous serions toujours attaqués par les démons au service de satan, car notre mission terrestre étant de transformer le mal en bien, c’est pourquoi Dieu nous à donner le libre arbitre qui nous servira soit à bouleversé tout ce qui est maléfique, soit on ne fait rien et notre passage sur terre n’aura servi à rien.

     

    Chaque personne peut suivre le chemin qu’elle désire, l’intelligence et le discernement nous ont été donné pour faire le bon choix; a l’exemple de l’ânesse qui ne fut pas plus intelligente qu’un humain pour comprendre que ce n’était pas le chemin à prendre.

    Notre libre arbitre consiste simplement à avoir la foi en Dieu en poursuivant notre parcours en luttant contre les forces du mal par la révélation du Messie Yeshoua qui donne au monde l’épée de l’Esprit qui révèle la Torah. Car la Torah fut donnée à Israel pour annuler les forces du mal.

     

    Le dévoilement du Messie ne peut se faire qu’au travers de la Torah car la dualité contre le bien et le mal sera accru depuis la naissance du Messie qui dès sa naissance sera persécuté et persécutera les croyants  cette entité prendra la forme de plusieurs antechrists qui se présenteront comme le messie, et la seule façon de démasquer la supercherie sera de voir si ce messie enseignera à suivre la Torah, les shabbat, et les fêtes dites « les fêtes juives ».

    Alors ont reconnaitra les chercheurs de Dieu, les chercheurs de vérité avec humilité et amour.

     

    *

    Deuxième partie.

     

    La parasha cite Balak roi de Moab qui se paie le luxe des services d’un prophète des nations nommé Bilaam ( Balaam) pour maudire Israël.

     

    En y regardant de plus prés ce Balak fut un grand idolâtre du culte de Baal -Péor qui n’est autre qu’un démon ayant autorité sur la bassesse humaine.

    Baal -Péor divinité de la fécondité financière. Chez les moabites ses adeptes pratiquaient la débauche.

    Les services que vendaient ce démon quand il maudissait emmener l’appauvrissement des personnes citées, sinon ses services leur octroyaient la richesse.

     

    Sachant utiliser les formules créatrices il prononçait tout son oracle en utilisant une partie de sa connaissance hébraïque:

    HISHTATDLOUTH  pour l’élévation de la richesse et  HADALA pour l’appauvrissement.

     

    Ces paroles qui semblent n’atteindre qu’un simple intérêt matériel sont en fait des paroles pour atteindre ce qui est spirituel, la malédiction que profèrent ces adeptes étaient pour l’appauvrissement spirituel pour que les personnes ne puissent pas recevoir la vérité sur la Torah.

     

    Mais pour combattre ce gros problème il faut aller chercher à la source; qui est ce BAAL péor qui sévit depuis la nuit des temps et comment il maudit les peuples.

     

    Ces baals sont en fait des  démons de  la souche la plus horrible qui soit .

    Le nom que cache baal Péor c’est « crepinus »

    Ce dangereux crépinus c’est le dieu ( ne pas rire! ) « des flatulences ».

    Rachi nous a laissé un commentaire à son sujet disant que ses adeptes pour obtenir leur demande devaient : je reprends les termes de Rachi ( déféquer  et flatuler devant ce démon.

     

    L’histoire nous démontre que malheureusement ce crepinus n’est pas une absurdité qui porte à rire mais beaucoup d’illustrations surtout du Moyen Äge dessinent ses cultes à Baal Péor plus connu sous le nom de Belphégor en train de pratiquer leurs ordures.

     

    Mais que vient faire ce Baal Péor dans notre parasha Balak ?

    Si pour demander l’affaiblissement d’un peuple il fallait pratiquer ce genre de chose qui semble absurde, nous apprenons par ce biais que ce culte n’est autre que le culte des sadomasochistes.

     

    La preuve en fut quand le pouvoir hitlérien avec ses principaux dirigeants s’adonnaient à ces pratiques ont obtenu le pouvoir. 

    Un rapport public fut établi sur ses pratiques dans le reich.

     

    Le processus d’Hitler fut  qu’il engagea dès son arrivé au pouvoir le 1 avril 1933, le boycotte de tous les secteurs financiers des Juifs puis s’en suivit par la spoliation de tous leurs biens.

    On retrouve ici le culte de Baal péor.

    Prosternation devant le démon par la pratique de la déchéance humaine pour obtenir l’appauvrissement des Juifs.

     

    Aujourd’hui les personnages illustrant les sado -masochistes prennent leur source  dans les  tribunes nazies. 

     

    Les séances sado-maso portent toutes une connotation nazie, avec pour la plupart des  déguisements hitlériens.

     

    On reconnaît là que l’histoire continue dans la même démarche que les siècles depuis Moïse nous fait comprendre que les persécuteurs du peuple sont toujours associés à ce culte.

     

     

    Les pratiques sexuelles liées à la débauche sont transmises par les partenaires, ou par des liens parentaux;

    Ses liens qui entraînent l’appauvrissement spirituel et matériel dont on osent pas parler sont de très puissants liens antisémites qui empêchent l’avancement vers Dieu.

     

    Mais pour nous aujourd’hui à cette veille de 3 semaines de jugement divin à partir de vendredi soir dès l’entrée du shabbat  et durant 3 semaines selon le calendrier hébraïque jusqu’aux 9 av durant ces jours,  nous devons nous repentir de toutes nos mauvaises actions.

     

    Ce message difficile à écrire puisse être d’une grande bénédiction pour tous ceux qui ont hérité, attrapé ou pratiqué ces choses et être libéré par leurs repentances.

     

     

     

    Puissions-nous être des messagers de bénédictions des bouches qui annoncent le pardon et la repentance, et la Torah qui changent la malédiction en bénédiction.

     

     

     

    Lecture de la parasha ; Nombres; Chapitre 22 verset 2 à chapitre 25 verset 9.

    Lecture de la haftarah: Michée : Chapitre 5 verset 6 (7) à chapitre 6 verset 8.

    Lecture messianique ;  2 Pierre : Chapitre 2 verset 1 à 22. Apocalypse; 2 :14 à 16.

     

     

    Shabbat shalom

     

    L.B

     

     

     

     

     

     


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  •  

    La rousse !

     

    Dieu enseigne à Moïse les lois de la « Vache Rousse ».

    Après quarante ans d’errance dans le désert, le Peuple juif arrive dans le désert de Tsin. Myriam quitte ce monde et le peuple, privé du puits de Miryam, réclame de l’eau. C’est alors que Moïse va frapper le rocher pour qu’en jaillisse de l’eau (au lieu de lui parler). L’eau jaillit mais ni Moïse ni Aaron ne pourront entrer en Terre Sainte.

    Aaron meurt et lui succède son fils Eléazar. Le peuple parle encore une fois contre Dieu et Moïse et une épidémie le frappe, stoppé par un serpent d’airain brandi par Moïse.

    Moïse mène des batailles contre les rois Si’hon et Og, conquiert leurs terres, à l’est du Jourdain.

     

    La Parasha commence par les mots : « Parle au peuple juif et dis-leur d’apporter une Para Adouma Temima, une vache complètement rousse ».

     

    Maïmonide déclare que « 9 Para Adouma ont été faites depuis le moment où ils reçurent ce commandement jusqu’à la destruction du  second Temple de Jérusalem. La première a été apporté par Moïse… la dixième le sera par le Roi Machia’h. »

     

    Mais d’abord!

     

    Les quarante années d’errance touche à leur fin la nouvelle génération à remplacé celle sortie d’Egypte.

    La mort de Myriam signale la fin d’un cycle, cette nouvelle génération  sera confrontée à toutes les difficultés matérielles.

     

    La première génération s’est laissé porter, guidé par la colonne de nuée, leur subsistance tombée chaque jour du ciel  et l’eau sortait du puits de Myriam, leurs vêtements et chaussures ne s’usaient pas.

     

    Cette description vient nous dire, que le peuple vivait la transformation de leur chair par l’action qui descend de Dieu, Ils recevaient du ciel pour être rempli de Torah.

    Mais la nouvelle génération régénérée par la Torah ne devait plus seulement recevoir ce qui vient d’en haut la sainteté qui les avait transformé mais devait à présent instaurer un monde où règne la sainteté par l’intermédiaire de leurs actes qu’ils avaient assimilés en eux.

    C’est maintenant l’inverse,  avant c’était la sainteté de la Torah qui descendait sur la terre pour les changer de l’intérieur, maintenant cette génération est chargée d’élever la terre vers le ciel. Elever tout ce qui est de la terre vers la sainteté.

    La Torah est entré en eux et les a modifié, là c’est la Torah qui sort d’eux pour modifier la terre par les prescriptions des lois de Moïse.

     

    La Torah les a enraciné sur la terre, ils sont devenu Israël terre et homme; 

    Le symbole de l’eau qui est sorti du rocher le confirme;  d’un rocher quelconque sanctifié par Moïse ( Torah ) a jailli de l’eau, la nature s’est élever au rang spirituel la terre (le rocher) c’est élever vers le ciel.

     

    A présent tous ce que va faire Israël bien où mal aura un impact sur la terre et sur les hommes.

    S’ils suivent la Torah avec ses commandements tout ira bien mais s’ils s’en éloignent l’eau se transformera en eau de Meriba une eau qui produit des problèmes.

     

     

     

    Mais voyons maintenant  dans notre dictionnaire spirituel  ce que veut dire cette fameuse vache (Larousse).

     

    Le texte en résumé se présente comme cela;

     

    -Voici ce qui est ordonné par la loi que l'Eternel a prescrite, en disant: Parle aux enfants d'Israël, et qu'ils t'amènent une vache rousse, sans tache, sans défaut corporel, et qui n'ait point porté le joug. Vous la remettrez au sacrificateur….On brûlera la vache sous ses yeux;....Le sacrificateur lavera ses vêtements, et lavera son corps dans l'eau; puis il rentrera dans le camp, et sera impur jusqu'au soir. ....Un homme pur recueillera la cendre de la vache, et la déposera hors du camp, dans un lieu pur; on la conservera pour l'assemblée des enfants d'Israël, afin d'en faire l'eau de purification. C'est une eau expiatoire. Celui qui aura recueilli la cendre de la vache lavera ses vêtements, et sera impur jusqu'au soir. Ce sera une loi perpétuelle pour les enfants d'Israël et pour l'étranger en séjour au milieu d'eux.

     

    Celui qui touchera un mort, un corps humain quelconque, sera impur pendant sept jours. Il se purifiera avec cette eau le troisième jour et le septième jour, et il sera pur; mais, s'il ne se purifie pas le troisième jour et le septième jour, il ne sera pas pur. -

     

     

    Le but était de fabriquer avec les cendres de la vache rousse et de l’eau une sorte de boue qui serait comme une boue miraculeuse qui purifie et guéris tous les impurs et les malades.

     

    Mais ce mélange étant uniquement fabriqué par un sacrificateur; un homme pur qui devait se rendre impur pour purifier les autres qui étaient impures.

    Ce qui nous ramène automatiquement à Yeshoua!

     

    Yeshoua s’est rendu impur lorsqu’un jour de shabbat Il fit de la boue qu’il appliqua sur les yeux d’un aveugle afin qu’il ouvre les yeux et qu’il voit.

     

     

     

    C’est ici précisément que Dieu dévoile la condition du messie, pour confirmer nous retrouvons le principe de celui qui est pur dans sa condition spirituelle, celui qui vient des lieux célestes, qui vient de Dieu avec un corps d’homme pour purifier tous les hommes.

    L’être pur se rend impur pour nous purifier.

     

    Le Messie s’annonce homme car seule la nature humaine et impure. Yeshoua s’est rendu impur pour nous rendre pur.

     

    C’est pourquoi ce qui vient d’en haut nous remplit de Torah pour faire de nous une terre ensemençable qui reçois Yeshoua le Messie qui nous rend pur.

    Car si les textes bibliques nous parlent de terre qui doit être purifiée, sachons tout de même que c’est de notre terre intérieure que les textes font allusion, tous les exemples qui parlent de terre, ont un langage allusif; Car le lieu de conquête de Yeshoua est bien évidemment notre être entier.

    Car la terre que nous foulons de nos pieds doit être sanctifiée car nous devons dominer tout ce qui y vit.

     

    Le serpent d’airain fut élever par le bâton de Moïse.

    Dominer le mal en nous c’est élever notre être vers Dieu.

    Tout doit être élevé sur la terre car la terre doit se sanctifier pour préparer la venue de la rédemption finale du messie, le shabbat sanctifie la terre, 

     

    Le mal est dominé par la puissance de nos actes acquis par la Torah.

     

     

     

     

    On comprend alors l’histoire du peuple d’israël au travers de cette parasha Houkat  la vache rousse!

     

     La  première génération reçue ce qui était pur Yeshoua qui  est descendu en eux et les a rendus pur par la pratique de la Torah ils se sont élever,

     

     

    Puis arriver presque au but pour démontrer la puissance;

    La nouvelle génération fut confronter encore aux mauvaises paroles qu’ils dirent contre Moïse qui fit un serpent de fer le plaça sur une perche et l’éleva devant eux afin qu’ils puisent être guéris et sauvés.

    Cette symbolique confirme encore que la victoire du peuple sur les mauvaises paroles est de dominer le serpent et sa langue de vipère afin d’élever le mal en eux. 

     

    On comprend qu’ils ont élevé maintenant le mal qui s’est transformé en bien.

    La guematria confirme encore avec cette concordance extraordinaire;

    Mashiah porte le nombre 358

    Serpent porte le nombre 358

    C’est là  que toute notre histoire  prend son sens ! 

    Nous devons avec Yeshoua qui nous a élevé en nous purifiant avec la Torah, élever le mal qui est en nous en dominant tout nos traits de caractère par la puissance que nous Donne Yeshoua.

     

    Ainsi on prépare le cycle prévu de la rédemption finale;

    Comme se termine notre parasha sur un cycle de victoire des conquêtes dans tous les domaines de nos vies.

     

    Que cette parasha puisse nous atteindre à l’intérieur afin que nous puissions élever tous les serpents qui tentent de nous dominer prenons le bâton de l’autorité de la Torah et brandissons nos serpents afin qu’ils se soumettent à Dieu et que nous puissions avancer.

     

     

    Lecture de la parasha : Nombres: Chapitre 19 verset 1 à chapitre 22 verset 1.

    Lecture de la haftarah : Juges: Chapitre 11 verset 1 à 33.

    Lecture messianique : Jean : Chapitre 3 verset 9 à 21. Hebreux : Chapitre 9 verset 11 à 14.

     

     

    Shabbat shalom

     

     

    L.B

     


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  • Tout ça c’est pas logique?

     

    Notre parasha korah désigne un personnage nommé korah ayant la renommée d’un homme intelligent, de la lignée des lévites chargée de porter l’arche, cousin de Moïse et Aaron. On pourrait dire un chef religieux.

     

    Plusieurs enseignements nous sont formulés à travers le texte !

    Le nom korah veut dire « calvitie ». Celui qui a perdu ses cheveux, ou pilosité.

    Nous savons que lors de la purification des lévites Moïse a ordonné qu’ils soient rasés de la tête aux pieds. Ce qui leur valut une certaine humiliation, car la chevelure et la barbe donnée à ses hommes honneurs et dignités.  Symbolisant le renoncement à la possession de bien terrestre.

    « Poil » correspond à richesse, « rasé » correspond à pauvreté ».

     

     

    Tous furent rasés sauf Moïse et Aaron. Car le grand honneur revenait à Aaron sur lequel l’onction devait coulait sur sa tête et sur sa barbe.

     

     

    Ainsi korah dut redescendre d’un rang sur l’échelle sociale !

    Ce korah le vécu comme une certaine injustice!

    Ce qui l’amena à prendre par les sentiments tous ceux qui le vécurent aussi comme une injustice, il a su attirer les râleurs, tous ceux qui ne sont jamais contents! Il fera de certains petits problèmes banals des problèmes cruciaux.

     

    Korah est un contestataire il a entrainé avec lui Abirâm, Dathan et On avec lesquels ils ont formé un groupe de révolutionnaires de 250 personnes tous très remonté contre Moïse, qui s’ensuivit de la mort de 14 950  personnes.

    Ces personnes religieuses ont cherché une logique humaine, 

    pourquoi c’est Moïse et Aaron qui ont été choisi pour mener tout le peuple?

     

    Ils râlaient tellement qu’ils n’ont pu se contenir dans leur propos!

    La aussi on comprend que les membres du sanhédrin étant rémunéré pour leurs fonctions, ils avaient peur pour leurs portefeuilles. Ces fonctionnaires recevaient vêtement, nourriture, argent, animal de montures pour leurs déplacements, 

     

    Moïse reprendra en disant je n’ai pas même accepté quoi que ce soit du peuple nous voyons aussi dans notre haftarah que le prophète Samuel dit je n’ai même pas accepté un âne de votre part. 

    Comme pour dire, vous donner mais vous donner à contre coeur car vous doutez que je sois un élu de Dieu pour vous guider.

     

     

    Alors l’équipe pour arriver  à leurs  fins ils vont utiliser la logique humaine, remettant en cause la Torah, afin de déstabiliser le reste du peuple et faire venir à eux tous ceux qui trouvent toujours quelques choses à redire.

     

    Les arguments logiques qu’ils vont argumenter vont laisser perplexes les incrédules !

    Il dira à Moïse, la loi que tu nous as ordonnés de pratiquer au sujet de la mezouza  (le petit rouleau de texte de la Torah ) que tu nous as demandé d’accrocher devant notre porte ce n’est pas très logique car nous qui sommes saints faisant partie du sanhédrin nos maisons sont remplies de textes saints, nous n’avons pas besoin de la mezouza, ce n’est pas très logique ce que tu nous dis !

     

    Aussi il le reprendra en disant nous qui portons les vêtement bleu du sacerdoce nous n’avons pas besoin de mettre les franges bleu aux 4 coins de nos vêtements! 

     

    Il a toujours existé  des Korah des personnes qui acceptent les lois logiques de la Torah, par exemple les lois morales : ne pas assassiner, ne pas commettre d'adultère, respecter ses parents, aimer son prochain, donner aux pauvres, etc. Mais dès que des lois dépassant l'entendement humain, c'est la révolte!

     

    c’est là que Moïse fut attristé.

     

     

    On a envie de dire si on avait ce korah devant nous  et nous avons toujours des korah devant nous!

     

    C’est quoi ton problème monsieur korah ? Pourquoi tu contestes ce qui est écrit dans le livre saint.

     

    C’est que tu ne comprends pas la logique de Dieu. Tu es un homme religieux qui veut pas perdre son standing !

     

     

     

     

     

    Mais le vrai grand problème que vient dénoncer notre parasha à travers Korah c’est que ce qui lui dérange le plus c’est la messianité à venir.

    Reprendre Moïse sur la Torah n’est rien d’autre que de refuser que le messie puisse venir d’une autre famille que de sa lignée de lévy fils de Kehath.

    Ce que voulait ce Korah c’est prendre la première place pour être l’ancêtre du messie.

    Korah a méprisé l’autorité divine.

     

    Dieu dit à Moïse: « Que chaque chef de tribu prenne un bâton qui y inscrive son nom et demain matin  vous verrez bien qui est mon élu. »

     

    Le matin même le bâton d’Aaron avait fleuri, donné des bourgeons et poussé des amandes;

     Alors que les autres bâtons étaient resté des bois morts.

    Cet événement confirme avec la guematria 

    « l’homme que J’aurai élu, son bâton fleurira, ; cette expression a pour valeur 358, soit la Guématria de « Mashiah = 358 » !

     

    La contestation de l’ÉLU YESHOUA.

     

    On comptera aussi la valeur de « fleur + bourgeon + amande donne 932 qui correspondent  à la même valeur que «  L’arbre de la connaissance du bien et du mal ». Le livre de la loi .

     

    Ce rejet de Mashiah compte plus de partisans que d’adepte car Mashiah Yeshoua dans sa lignée de David suscite encore plus de jalousie parmi les peuples du monde.  

     

    C’est la jalousie qui domine Korah et ses acolytes; C’est cette jalousie qui conduira le monde à mépriser le choix de Dieu qui a Élu son Messie Yeshoua juif.

     Le monde cherche un messie à sa ressemblance,  un jésus messie  qui leur dirait; la loi on en a pas besoin puisque vous croyez en moi, des conducteurs religieux qui diraient nous on n’a pas besoin de mettre la mezouza puisqu’on a jésus, nous on n’a pas besoin de porter le vêtement de prière avec les fils aux coins car nous on a jésus. Un jésus sans loi.

     

     

     

    La mitsva de cette parasha est de se repentir de toutes formes de jalousie qui pourrait nous entrainer vers un désastre spirituel si on laisse vivre cet esprit jalousie en nous.

    Que nous puissions dominer ses jalousies et être rendus saints sans jamais passé par le feu (spirituel) c’est-à-dire par les épreuves. Afin que nous puissions reconnaitre la messianité du Messie Yeshoua qui met en pratique la loi de Moïse.

      

    Korah c’et la jalousie incarnée Korah sans cheveux ni barbe avait perdu son autorité spirituelle et son train de vie.

     

    Yeshoua le Messie nous met en garde contre ces personnes qui tentent de  mettre l’embrouille; nous ne devons jamais rentrer en conflit exposé avec ces personnes, car si nous tentons de nous justifier nous rentrons dans des discussions folles qui pourraient entrainer ceux qui écoutent où qui lisent,  car c’est pour tendre un piège que l’ennemi prendra un Korah pour attirer les personnes encore jeunes dans la foi ou bien ceux qui sont guidés par des conducteurs pas choisis par Dieu. 

    Ne participons pas à ces querelles publiques, afin de ne pas faire chuter aucun de ses petits.  

     

    Jude 1  :14,23

    Voici, le Seigneur est venu avec ses saintes myriades, pour exercer un jugement contre tous, et pour faire rendre compte à tous les impies parmi eux de tous les actes d'impiété qu'ils ont commis et de toutes les paroles injurieuses qu'ont proférées contre lui des pécheurs impies. Ce sont des gens qui murmurent, qui se plaignent de leur sort, qui marchent selon leurs convoitises, qui ont à la bouche des paroles hautaines, qui admirent les personnes par motif d'intérêt.

     

    Mais vous, bien-aimés, souvenez-vous des choses annoncées d'avance par les apôtres de notre Seigneur-le Messie Yeshoua. Ils vous disaient qu'au dernier temps il y aurait des moqueurs, marchant selon leurs convoitises impies; ce sont ceux qui provoquent des divisions, hommes sensuels, n'ayant pas l'esprit. Pour vous, bien-aimés, vous édifiant vous-mêmes sur votre très sainte foi, et priant par le Saint-Esprit, maintenez-vous dans l'amour de Dieu, en attendant la miséricorde de notre Seigneur Yeshoua le Messie pour la vie éternelle. Reprenez les uns, ceux qui contestent; sauvez-en d'autres en les arrachant du feu; et pour d'autres encore, ayez une pitié mêlée de crainte, haïssant jusqu'à la tunique souillée par la chair.

     

     

     

     

    Lecture de la parasha : Nombres : ChapItre 16 verset 1 à chapitre 18 verset 32.

    Lecture de la haftarah : 1 Samuel : Chapitre 11 verset 14 à chapitre 12 verset 22.

    Lecture messianique : 2 Timothée : chapitre 2 verset 8 à 21 et Jude 1 à 25.

     

    Shabbat shalom

    L.B

     

     


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  • Déclaration de guerre !

     

    La parasha Chela’h Leckha est une déclaration de guerre !

    Moïse envoie 12 explorateurs un homme de chaque tribu. Chacun ayant pour mission d’espionner les villes environnantes pour en évaluer les risques avant  que le peuple entame la traversée.

     

    Résultat des courses; 10 furent découragés pour aller à la conquête du pays et 2 Josué et Caleb qui semble au contraire super-content de ce qu’ils ont vu, ont ramené du raisin savoureux  et des figues succulentes.

     

    Premier constat l’influence de la majorité est très dangereuse. Selon des études scientifiques il suffit qu’à partir de trois personnes qui vont supposer un problème ces trois personnes  vont influencer la majorité des personnes présentes sachant même que ces personnes à la base n’étaient pas d’accord avec eux. 

    Ce principe est visible tous les jours de notre vie à grande ou petite échelle.

    Les religions ont toujours agi sur ce principe de la puissance selon la grandeur. La popularité a un grand pouvoir d’influence.

     Le monde attire le monde. Mais Dieu nous met à part de ce monde, caché dans ce monde, juste ce qu’il faut pour par être influencé par ce monde 6 jours durant.

     

     

     

    Le but de Dieu que nous explique cette parasha  étant d’aller en terre d’Israël pour y vivre heureux, cette terre où coule le lait et le miel.

    Mais qu’est-ce lait et ce miel ?

     

    Le miel et comparable à la guérison! Le miel et les figues sont comparables à la guérison (le miel de figues ).

    Proverbes 16:24.

    -Les paroles agréables sont un rayon de miel, douces pour l'âme et salutaires pour le corps.

     

    Le lait est comparé à la puissance pour la délivrance du mal!

     

    Juges 5:25,26.

    -Il demanda de l'eau, elle a donné du lait, Dans la coupe d'honneur elle a présenté du lait.

     

    D'une main elle a saisi le pieu, Et de sa droite le marteau des travailleurs; Elle a frappé Sisera, lui a fendu la tête, Fracassé et transpercé la tempe.

     

    Le lait fait aussi référence au chiffre 40 qui instruit sur la transformation de l’être 40 ans dans le désert de la passivité, 40 ans à l’état végétatif comme des enfants qui ne veulent pas prendre leurs responsabilités devant la vie, 40 ans à boire le lait qu’ont leur donnent. 40 ans pour apprendre les bases de la vie du croyant.

     

    Hébreux 5: 11,14.

    -Nous avons beaucoup à dire là-dessus, et des choses difficiles à expliquer, parce que vous êtes devenus lents à comprendre. Vous, en effet, qui depuis longtemps devriez être des maîtres, vous avez encore besoin qu'on vous enseigne les premiers rudiments des oracles de Dieu, vous en êtes venus à avoir besoin de lait et non d'une nourriture solide. Or, quiconque en est au lait n'a pas l'expérience de la parole de justice; car il est un enfant. Mais la nourriture solide est pour les hommes faits, pour ceux dont le jugement est exercé par l'usage à discerner ce qui est bien et ce qui est mal.

     

     

     

    Rentrer en terre d’Israël c’est Yeshoua qui vient nous donner la puissance de la délivrance par l’action à la soumission des lois des commandements.

    Rentrer en terre d’Israël c’est recevoir la guérison que donne le miel.

     

    Ce texte nous instruit que c’est le monde de l’action qui dirige notre être.

     

    Josué et caleb révelent  Ephraïm et Juda prophétisé en Esaïe la venue de Yeshoua qui viendra donner la délivrance et la guérison aux tribus égarées 

    Esaïe 7: 13,17 …22

    Esaïe dit alors: Ecoutez donc, maison de David! Est-ce trop peu pour vous de lasser la patience des hommes, Que vous lassiez encore celle de mon Dieu? C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, Et elle lui donnera le nom d'Emmanuel. Il mangera de la crème(lait) et du miel, Jusqu'à ce qu'il sache rejeter le mal et choisir le bien. Mais avant que l'enfant sache rejeter le mal et choisir le bien, Le pays dont tu crains les deux rois sera abandonné.

     

    L'Eternel fera venir sur toi, Sur ton peuple et sur la maison de ton père, Des jours tels qu'il n'y en a point eu Depuis le jour où Ephraïm s'est séparé de Juda Le roi d'Assyrie. ……. 

     

     

    En ce jour-là, Chacun entretiendra une jeune vache et deux brebis; Et il y aura une telle abondance de lait Qu'on mangera de la crème, Car c'est de lait et de miel que se nourriront Tous ceux qui seront restés dans le pays.

     

    Ces versets décrivent Yeshoua le messie fils de Dieu se nourrissant d’enseignements de Torah pour soumettre sa puissance au mal.

     

    Ces révélations sont donc majeures pour notre instruction.   

     

    Yeshoua nous a donné la puissance pour changer le mal en bien.

     

    Comme ces explorateurs Yeshoua nous envoient regarder le mal qui est en nous, regarder ce qui ne va pas, transformer son être mauvais en être sachant rejeter le mal et choisir le bien.

     

    Ne pas avoir peur de sa réalité ni s’en accommoder mais vaincre pour combattre le bon combat déclarer la guerre à ce qui est démoniaque.

     

    Accepter les conditions de Yeshoua pour ne pas rester à boire le lait qu’on nous donne mais aller chercher son propre lait pour lutter contre le mal.

     

    Le vrai grand problème des explorateurs de Moïse est encore le vrai grand problème d’aujourd'hui; C’est la guerre! 

     Pour lutter contre le mal il y a qu’une seule arme de destruction massive qui en un seul tir peut dégommer 3 légions d’un coup.

     

    Cette arme c’est la Torah!!!!

    Mais le grand drame de l’histoire c’est que beaucoup n’ont pas compris que ce qui les éloigne de la Torah ce n’est  pas leur volonté car l’âme est liée à notre volonté,  ce qui les empêche de saisir le pieu de la Torah c’est le mal qui est dans l’être humain. Ce mal qui tente sans cesse de nous influencer à accepter la grâce sans l’action de la Torah! 

     

    Car il faut comprendre que les mauvaises choses qui sont en nous ferons tous pour nous influencer à renier la Torah car ces choses mauvaises savent aussi qui si nous prenons l’arme de la Torah ce sont eux qui perdront la guerre.

    Ainsi on comprend pourquoi il est difficile d’adhérer aux commandements  et plus on tente par nous-même de se libérer de notre mal plus il tentera d’influencer d’autres choses mauvaises pour tenter la majorité. 

    Cette manipulation peut s’arrêter maintenant si on saisit ces paroles de puissances qui nous font comprendre que nous sommes influencés malgré nous.

    Car c’est en soumettant le mal qui est en nous que l’on parvient à la vraie délivrance.

    Ainsi avançons sans peur avec Yeshoua qui nous à donné le vin  de la délivrance et les fruits de la guérison.

     

     

     

    Le monde de l’action c’est la guerre  et la force se trouve dans nos actes réguliers d’honorer chaque shabbat avec beaucoup d’intérêt et de respect  le shabbat nous ordonne de rester dans le repos, sans acheter ni vendre, sans distractions mondaines, ainsi que pour les 7 fêtes de Dieu a garder comme un trésor pour le rythme de nos vies.

    Honorer les lois sociales et juridiques. C’est cela la grande guerre faire taire le mal et le ramener au bien.

     

     

    La terre où coule le lait et le miel c’est la terre ou  coule le pardon et  le miel qui donne la paix.

     

    Yeshoua nous donne le pardon et la paix mais ne restons pas sur cette grâce car l’action doit pénétrer notre être et comme Sisera a pris le pieu  « elle a pris le lait » qui s’enfonce dans la tête de l’ennemi.

     

    Chela’h Lekha ; va inspecter ta terre intérieure et décide que tu vas être comme Josué et Caleb une personne qui prend les fruits de la puissance que donne la Torah détourne le mal et avec cette arme va délivrer les captifs et  guérir les malades. Soit un bon influenceur qui ramène les égarés vers Israël.

     

    ESAIE: 61 .1,2

    -L’esprit du Seigneur, l'Eternel, est sur moi, Car l'Eternel m'a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, Pour proclamer aux captifs la liberté, Et aux prisonniers la délivrance;

     

     

     

    Luc: 4.18

    -L’Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu'il m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, Pour proclamer aux captifs la délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue, Pour renvoyer libres les opprimés,

     

     

     

     

    Nombres 15: 37,41.

    L'Eternel dit à Moïse: Parle aux enfants d'Israël, et dis-leur qu'ils se fassent, de génération en génération, une frange au bord de leurs vêtements, et qu'ils mettent un cordon bleu sur cette frange du bord de leurs vêtements. Quand vous aurez cette frange, vous la regarderez, et vous vous souviendrez de tous les commandements de l'Eternel pour les mettre en pratique, et vous ne suivrez pas les désirs de vos coeurs et de vos yeux pour vous laisser entraîner à l'infidélité. Vous vous souviendrez ainsi de mes commandements, vous les mettrez en pratique, et vous serez saints pour votre Dieu. Je suis l'Eternel, votre Dieu, qui vous ai fait sortir du pays d'Egypte, pour être votre Dieu. Je suis l'Eternel, votre Dieu.

     

     

     

     

    Lecture de la parasha ; Nombres : Chapitre13 verset 1 à chapitre 15 verset 41.

    Lecture de la haftarah Josué : Chapitre 2 verset 1 à 24.

    Lecture messianique; Luc : Chapitre 4 verset 1 à 44

     

     

    SHABBAT SHALOM

     

     

    L.B

     


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  • Grandir !

     

     

    A partir de la parasha bé’haalotekha s’inscrit un nouveau type de relation entre Dieu et son peuple.

    Lorsque les enfants d’Israël quittent le Mont Sinaï et qu’ils doivent déplacer l’arche, les problèmes commencent ; Le peuple ce plaint de la manne, Myriam critique son frère  Moïse.

     

    Ce phénomène nous fait comprendre qu’à partir de ce moment-là, ils ne seront plus sous la tutelle directe de Dieu, mais les hommes devront agir selon leur propre volonté. Devenir responsable de leur choix, grandir et évoluer pour s’élever.

    Le symbole de la menorah qui élève les flammes est pour notre âme l’ élévation de notre Arche intérieure. 

    Pour qu’ils puissent atteindre par leur volonté et leurs efforts le bien voulu par Dieu ce libre arbitre impose maintenant au peuple de choisir de suivre et de marcher par la Torah qu’il vienne de recevoir du Mont Sinaï.

    Dieu donne alors la possibilité de se parfaire par la Torah. Le but étant de transformer le mal en bien.

    Leur donnant de comprendre que le mal va s’opposer systématiquement au bien et en particulier à la Torah. Dieu dévoile que le monde aura du mal à accepter la Torah, le vrai grand problème du monde ne sera pas la foi en Dieu mais le refus de suivre les lois des shabbat, des fêtes, des commandements de la Torah.

     

    Ce constat jusqu’à nos jours qui s’intensifie sur le monde des croyants sera le dévoilement des vrais croyants la séparation de l’ivraie et du blé qui sera  inévitable.

    Dieu opérera alors sa justice par la bénédiction ou la malédiction, la rétribution en fonction des actes de chacun.

    L’homme humble adhérera à la Torah en ce présentant comme une évidence dans son coeur et qu’il soit juif  ou pas sa foi devra avoir pour concept la Torah.

    L’homme devenant l’auteur de sa vie par ses choix soit en acceptant le programme divin  soit c’est vers ses choix égoïste qui le mènera à s’opposer à la Torah.

    L’histoire du monde s’est manifestée en grande majorité par le mal par le choix de vivre sa liberté en acceptant toutes les dérives humaines.

     

    Dieu est le Dieu de ce monde, mais le monde n’est pas son lieu.

     

    Le choix de  garder la Torah comme le bien le plus précieux c’est ce que symbolise ici dans notre parasha par le texte qui décrit quand le peuple devait se déplacer quand la nuée se levait il y avait au centre du peuple l’arche de l’alliance garder par les Lévy, autour trois tribus au nord trois tribus à l’est trois tribus au sud et trois tribus à l’ouest ainsi placé pour protéger l’Arche.

    Quand le signal était sonné les trois premières tribu se levait Judah, Issachar, Zabulon se mettaient en marche. Alors les deux fils de Levy Gershon et Merarih  et leurs proches démontaient le tabernacle et enveloppaient l’Arche. Puis Ruben, Siméon, Gag se levaient  alors s’avançait les khéhatites fils de Levy  pour porter l’Arche ensuite se levait Ephraïm, Manassé, Benjamin; puis Dan, Aser, et Nephtali.

    Cette façon  d’encercler l’Arche assurait Sa protection.

     

    Moïse fut affligé du comportement du peuple qui cherchait toujours à se plaindre, cet état lui peser fort sur ses épaules et lors du rassemblement l’Eternel détourna une partie de son Esprit  et le rapporta sur les 70 des anciens d’Israël. 

    Yeshoua est venu apporté aux nations la connaissance, la sagesse et  la vérité par la puissance de l’Esprit de Dieu.

    Il est venu cherché ceux qui sont dehors, Il est venu pour rassembler tous ceux qui se sont perdu dans le monde.

    Car si notre âme est semblable à une menorah il faut quelle soit continuellement allumée et que nos actes fassent monter les lumières. 

    Chaque fête de l’Eternel, chaque shabbat, chaque commandements auquel on a été au rendez-vous fait élever nos âmes.

     

     

     

    Les rachetés de Yeshoua doivent faire UN avec la Torah, car la Torah est le lien qui unit a Dieu. Car la délivrance complète ne se fait pas sans la Torah.

     

    Il faut réparer les fautes !

    Yeshoua ayant payé avec son sang, afin de nous racheter du péché d’iniquité (sans Torah).

     

    Combien d’années  sans Torah, combien d’années sans shabbat, combien d’années sans les lois en vigueur, combien d’années dans un lieu sans Torah, combien d’années fêtant les fêtes de l’église chrétienne.

     

    Il faut décider et devenir maitre de ces décisions; devenir un homme ou une femme de Dieu qui fait le bon choix. 

    Il faut se repentir pour ses années passées à la garderie refusant de grandir pour ne pas être responsable.

    Il faut avancé seul pour faire les premiers pas,  puis Dieu pourvoira en plaçant des anciens qui témoigneront de la gloire de Yeshoua  et vous perfectionnera lui même, vous affermira ,vous fortifiera, vous rendra inébranlable.

     

    Ce message à tous ceux qui sont appelés de Dieu,  les consacrés,  a décider  en eux-même de faire ce choix,  résister avec une foi ferme.

     

    Mais ils sont devenus durs d'entendement. Car jusqu'à ce jour le même voile demeure quand, ils font la lecture de l'Ancien Testament, et il ne se lève pas, parce que c'est le messie qui disparaît. Jusqu'à ce jour, quand on lit Moïse, un voile est jeté sur leurs coeurs; mais lorsque les coeurs se convertissent au Seigneur, le voile est ôté. Or, le Seigneur c'est l'Esprit; et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté. Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l'Esprit.

     

    -Eternel que ta lumière brille devant moi afin que je vois le chemin droit qui mène a toi. 

    Car ta manne nourrit mon âme mon être désire ta loi.

    Que mes murmures ne soient que pour te demander plus de TOI.

    Ô mon Roi je n’envie pas ce qui mange à la table des incrédules, car ils veulent me détourner de toi.

    J’ai pour le Roi de la gratitude et mon coeur est rempli de joie.

    Mon regard tourné vers la menorah je n’oublis pas tes commandements pour  que chaque jour j’en mange ma part.

    Car ce que je veux c’est de la nourriture spirituelle celle qui me conduit à toi ô MON ROI.

     

    Shabbat shalom

     

     

    L.B

     


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  • Un bon élève.

     

    La parasha Nasso c’est la concrétisation du projet Divin en chacun.

    Moïse désigna trois familles des Lévites pour le service sacré du transport du tabernacle.

    Puis les tribus devront apporter les offrandes pour le service au tabernacle.

     

     

    Chaque tribu contribue au service Divin, elles étaient placées autour du tabernacle car CHAQUE-UN est utile pour servir Dieu.

    Oeuvrer pour le tabernacle c’est oeuvrer pour la maison de Dieu.

    Chaque personne ayant la conscience de Dieu doit porter la maison de Dieu.

     

    Cette section de lecture qui ce lit après Shavouot donne de comprendre ce que l’on a reçu à Shavouot pour le service que l’Eternel nous a gratifié pour l’année ou pour un moment précis.

    Comprendre les qualifications, les habiletés, les connaissances qui nous ont été données pour porter le tabernacle au monde qui ne connaît pas Dieu.

     

    Ce n’est pas par hasard si dans cette parasha sur la loi du nazir vient se glisser dans le texte .

    Le nazir c’est l’homme où la femme qui fait un voeu devant Dieu car il a le désir de se consacrer à Dieu.

    Il veut apprendre à écouter Dieu lui parler, il veut se séparer des ondes du monde pour essayer de se connecter à Dieu et saisir les instructions pour sa vie.

    Il veut apprendre le Language de Dieu .

    Etre un traducteur de la pensée divine.

    Car le langage de Dieu n’est pas un Language humain il faut être attentif et patient pour que l’information reçue se transforme en pensée concrète.

     

    Les sages décrivent un processus parfois très lent, une information de Dieu sur un texte de la Torah va se travailler pendant plusieurs jours pour que l’interprétation puisse se traduire à notre cerveau humain. Parfois l’info Divine peut prendre plusieurs mois voire des années si Dieu le veut ainsi.

    Les prophètes ne saisissent pas toujours ce qu’ils ont à dire ! Mais ils le disent.

     

    Mais si Dieu veut nous communiquer une chose c’est qu’il va utiliser plusieurs moyens pour confirmer sa parole.

     

    Le symbole du nazir c’est qu’il ne devait pas se couper les cheveux, ce symbole nous instruit que les cheveux sont des capteurs, des connexions avec l’invisible, d’ailleurs les sorciers qui en connaissent longs sur la technique de connexion avec les esprits savent utiliser leurs cheveux pour entrer en contact avec les forces mauvaises.(A ce propos il ne faut pas porter des perruques avec des vrai cheveux ).

     Aussi le nazir devait être vigilant à ne jamais être en contact avec les morts,  car les âmes de certains morts sont des âmes condamnées qui véhicules des esprits de toutes sortes.

    Aussi le nazir ne devait pas boire d’alcool  afin de ne jamais perdre la maitrise de lui-même.

    Ces trois conditions sont la loi du nazir.

    C’est aussi pourquoi à la fin de son voeu de nazir le nazaréen devait apporter une offrande d’expiation de péchés à la fin de son mandat car ayant été exposé à toutes sortes d’esprits il avait le devoir de se sanctifier à la fin.

    Le nazir se tient loin du monde mais prés de Dieu car il sait qu’il va souffrir le temps qu’il apprenne  bien comment reconnaitre la voix de Dieu et non celle des esprits pour être sûr de bien répondre à l’ordre de Dieu pour le service divin. Cet apprentissage nécessaire est un outil précieux pour porter la maison de Dieu.

    Porter la Torah en Esprit et en Vérité.

     

    Le nazir est un peu comme à l’école de Dieu il prend du recul et il se laisse enseigner par Dieu.

    Il apprend comment les pensées, les émotions, la foi influent ses décisions.

    A l’école du nazir on append à écouter, on repère les indices qui nous font faire la part des choses.

    Par exemple si on a une pensée qui ne donne pas du repos ou qui tourne en boucle ou qui perturbe le sommeil il est fort probable que la pensée n’est pas de Dieu. La pensée de Dieu se donne dans le repos elle se récent puis se délecte comme une conviction qui donne le shalom rien de négatif vient s’interposer.

    Le nazir évitera aussi de trop parler à ceux qui s’approche de lui de peur que leurs conseils s’opposent à la volonté de Dieu.

    Le nazir s’exerce à la patience, à l’écoute, afin de se transformer.

     

    La parasha se nomme Nasso et cela veut dire; "élever".

    Le secret du nazir c’est s’élever pour porter la Torah pour le meilleur service possible, s’élever pour la mission qu’il doit porter, s’élever pour être apte à traduire le message divin, traduire les pensées divines pour mieux servir. 

     

    Le nazir est un élève qui s’élève pour relever la maison de Dieu.

     

    La fin du mandat du nazir est approuvée par la bénédiction des Côhanims  comme pour avoir obtenu son diplôme de qualification de bon élève prêt à travailler pour la maison de Dieu.

     

    Apres son parcours scolaire mis à part pour apprendre, l’homme où la femme doit appliquer le principe fondamental des lois de la Torah c’est de la diffuser  car la Torah  doit s’ouvrir au monde.

     

     

    Dans les livres des prophètes comme Esaïe, Amos, Jérémie, Michée  l’on désigne les prophètes et les nazirs comme étant pareils et décrivent leurs combats contre les peuples qui ne veulent pas écouter leurs recommandations, en les empêchant de parler de (porter) la Torah.

     

     

     

    Yeshoua le Nazaréen Le Messie fils de Dieu celui qui sait écouter les instructions de Dieu et qui nous les transmet a formé en nous cet état de nazir comme à l’image de Paul de Tarse qui du jour au lendemain c’est vu transformer et mis a part et instruit par Dieu sous la gérance de Ananias cet homme pieux qui enseigne la Torah par la volonté de Yeshoua  Lui a transmis le savoir pour écouter ce que Dieu l’avait destiné à connaitre sa volonté,  à entendre les paroles de sa bouche car il lui servira de témoin auprès de tous les hommes, des choses qu’il a vues et entendues.

     

      

     

    Afin que nous soyons des Nazaréens pour porter la maison de Dieu. Pour que la bénédiction que L’Eternel donna par la bouche de Moïse retombe sur nous, acceptons le service que Dieu nous a demandé de faire en restant attentif  et patient pour  recevoir et bien interpréter  les paroles de Dieu.

     

    Que l'Eternel te bénisse, et qu'il te garde!

     

    Que l'Eternel fasse luire sa face sur toi, et qu'il t'accorde sa grâce!

     

    Que l'Eternel tourne sa face vers toi, et qu'il te donne la paix!

     

    C'est ainsi qu'ils mettront mon nom sur les enfants d'Israël, et je les bénirai.

     

     

     

    Lecture de la parasha : Nombres : Chapitre 4 verset 21 à chapitre 7 verset 89.

    Lecture de la haftarah : Juges : Chapitre 13 verset 2 à 25.

    Lecture messianique :  Actes : Chapitre 9  verset 1 à 22. Chapitre 22 verset 6 à 21.

     

     

    Shabbat shalom 

     

     

    L.B

     

     

     


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  • Shavouot et parasha Bamidbar.

     

    Le souffle de vie.

     

    Samedi soir 8 juin 2019 commence la fête de Shavouot, fête biblique dont l’importance capitale marque l’unification des nations du monde entier avec Israël.

    Shavouot célèbre le don de la Torah, son sens allusif décrit comme une Torah qui descend du ciel et vient recenser les croyants présents pour les transpercer de l’Esprit du Messie de L’Eternel.

     

    Cette allégorie prête à comprendre la puissance de cette fête!  

    La foi est une chose, l’amour est une chose toutes deux siège dans notre coeur, mais recevoir un esprit c’est dans l’âme.

    Shavouot c’est la réparation la puissance de l’Esprit du Messie Yeshoua qui vient retirer les esprits qui contestent la Torah, la puissance qui enlève l’orgueil et la vanité des hommes pour les imprégner de SON ESPRIT;

    Le Messie Yeshoua c’est la conscience universelle qui descend du ciel pour venir révéler Dieu sur la terre.

    Le souffle de shavouot représente l’unification de tous les hommes.

    Ce souffle si puissant convainc les hommes humbles que la Torah est la parole de Yeshoua.

    Sans ce souffle de L’Esprit du Messie Yeshoua nous ne pouvons accéder à la Torah. Car l’adhésion à la Torah ne dépend pas de nous mais du Souffle de Dieu qui vient en nous.

     

    Dieu a créé la Torah avant le monde, la Torah est plus vieille que le monde, elle est la signature du monde. Sans l’acceptation de la Torah le sacrifice du Messie Yeshoua n’a aucun sens.

    Le don de la Torah c’est la transfiguration de  l’être.

     

    Shavouot c’est la naissance du messianisme  la capacité de vivre la Torah messianique avec Yeshoua le Messie.

     A Shavouot  nous lisons le livre de Ruth pour nous instruire que les nations doivent venir s’unir à Israël.

     

    Mais pour vivre le miracle du souffle de shavouot la parasha Bamidbar vient nous préparer par son enseignement.

    Bamidbar c’est « dans le désert », dans le sens « Si un homme fait de lui-même un désert, afin qu’il soit ouvert à Dieu .

    « Ouvert » dans le sens il se met en condition pour explorer,  recevoir, se rendre disponible, se vider de ses connaissances, abandonner  ses bagages spirituels dans l’attente de recevoir.

     

    L’homme se fait désert pour aller vers ce qu’il ne connaît pas avec pour seul guide Dieu!

    Mais selon les grands maitres il y a une seule condition pour bien recevoir .

    C’est l’humilité 

    L’humilité de reconnaitre que l’on s’est trompé, que moi qui suis des nations je me suis trompé en cherchant Dieu a travers les religions.

    L’humilité c’est reconnaitre que le petit Israël est plus grand que toutes les religions dominantes qui ont essayé de lui enlever sa couronne de vérité, son droit d’ainesse.

    Cette humilité réveille l’amour pour Israël non pas d’une vue touristique mais comme la patrie à laquelle ont voudrait en défendre les droits. Ce regard naissant nous rend amoureux du peuple d’Israël sa culture son enseignement tous d’Israël devrait nous toucher.

     

    Bamidbar c’est le décompte de ceux  qui se sont humilié devant Dieu. C’est la moisson de chaque année.

    La préparation à la réparation de notre humiliation  à faire de nous un désert qui veut recevoir toute l’eau du ciel jusqu’a plus soif.

     

    La transition de Bamidbar à shavouot c’est une porte que nous avons ouverte  comme une étincelle qui ne demande qu’a s’enflammer.

     

    Depuis Pessa’h nous à été révélé l’identité du Messie Yeshoua, nous sommes morts avec Lui  et si nous sommes mort avec lui  nous vivrons aussi avec Lui  si nous persévérons, nous régnerons aussi avec lui.

    Depuis le lendemain de la Pâque nous avons compté chaque jour l’Omer qui nous a nettoyé de toutes sortes d’esprits religieux, de pieuseries, ou d’ excès  de zèle auxquels autrefois nous avions adhéré. 

    Bamidbar nous invite au désert pour faire de nous des vases,  des récipients vides dans l’attente de Shavouot pour recevoir l’Esprit du Messie Yeshoua, l’Esprit de Vie, le Souffle de Dieu qui va nous transformer greffé sur israël. 

    Ce souffle c’est l’Esprit de Yeshoua qui va se manifester véritablement en nous et va remplir nos vases d’honneur sanctifié.  

     

    Le secret de Shavouot c’est que lorsque le peuple au Sinaï a reçu la Torah le peuple a dit :

    « Naasé vénishma ». 

    Naasé vénishma ça veut dire : 

    « On fait et on comprendra plus tard »

     

    Cette merveilleuse phrase est la plus grande des révélations.

    Car c’est en cela que se révèle notre humilité devant Dieu  on ne comprend pas pourquoi on doit suivre la Torah faire ses fêtes, ses shabbat, ses commandements  mais on le fait quand même on comprendra plus tard.

     

    Ce miracle se vit quand on a plus cet esprit du monde l’esprit qui conteste toujours ou qui veut des explications.

     La Torah personne ne la comprend complètement mais on la vit,  on l’accomplit,  car cela présuppose que nous croyons en Dieu et au Messie Yeshoua et que Shavouot c’est son souffle que nous allons recevoir.

     

    Quiconque n’est pas humble na pas reçu la Torah et ne saurait prétende avoir été enseigné par l’Esprit Saint de Yeshoua.

     

     

    Bénis sois-tu l’Eternel notre Dieu. Qui nous a envoyé par Moïse la Torah puis nous a envoyé le Messie Yeshoua. Je viens devant toi te demander pardon pour avoir laissé vivre en moi l’esprit de contestation. Je viens m’humilier car je veux être trouvé humble devant toi. Je te demande de me  libérer de ses esprits d’orgueils et de contestations.  Que Ton feu du Mont  Sinaï  vienne bruler tous ses esprits, car  maintenant je veux te suivre en Esprit et en vérité.  Que cette fête de Shavouot soit pour moi une véritable révélation de ta parole et une nouvelle vie pour moi. Seigneur mon Dieu apprend moi à suivre ta Torah car je veux marcher comme Yeshoua à marcher.

     

     

     

    La fête commence samedi soir 8 juin après shabbat jusqu’à dimanche soir et peut se prolonger jusqu’à lundi soir.

    Pour fêter ce rendez-vous avec Dieu préparer deux pains de shabbat de préférence de forme plus arrondi, prévoir un repas  festif à base de lait  fromage et viande   et le désert cheese-cake qui est le symbole alimentaire spécifique à cette fête. 

    La soirée commence par allumer les bougies de shavouot puis partager le vin comme a shabbat puis présenter les deux  pains les mains levées  comme pour les présenter au Seigneur.

     

     Prières comme à shabbat.

    En général on fait les lectures la journée du dimanche et du lundi .

     

     

    Lecture de Bamidbar. 

     

    Parasha du samedi 8 juin 2019. Parasha Bamidbar 34.

    Lecture de la parasha : Nombres : Chapitre 1 verset 1 à chapitre 4 verset 22 (20).

    Lecture de la haftarah: Osée: Chapitre 2 verset 1 à  22 .

    Lecture messianique 1 Corinthiens: Chapitre 12 verset 12 à 31.  

     

     Lecture de Shavouot

    Le livre de Ruth entier .

    Psaumes 113 à 118.

    Exode: 19: 1 à 20 :22.

    Nombres;  28 : 26 à 31.

    Ezechiel :1: 1 à 3 à 12.

    Actes 2 .

     

     

    Le deuxième jour lundi:

    Deutéronome: 15 :19 à 16:17.

    Nombres: 28:26 à 31 

    Habacuc : 2 : 20 à  3 :19.

     

     

    Shabbat shalom et Bonne fête de Shavouot.

     

     

    L.B


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  • Un coeur nouveau.

     

     

    Notre parasha commence par la phrase «  Si vous marcherez dans mes statuts ».

    Rabbi Chéour Zalman explique que le mot statut vient suggérer que l’étude doit « GRAVER » les mots de la Torah dans l’âme.

    Comme faisant partie de nous, notre être entier doit être à la Torah.

    Etudier la Torah dans un engagement inconditionnel. Quand l’étude devient de cet ordre  elle devient gravée.

     

    Le sens de « Si vous marcherez » implique une forme de récompense. Vous marcherez, vous irez toujours plus haut, de progrès en progrès.

     

    Notre progression influencera nos récompenses.

    « Alors je donnerai vos pluies en leurs saisons ».

     

     

     

    Ces donnés dans cette parasha qui paraissent encore répétitives, sont pourtant les recommandations les plus élevées que Dieu nous adresse. Car elles sont l’image de notre foi qui reflète notre âme.

     

    Par la foi nous marchons par la Torah sans comprendre le vrai but.

    Car la foi commence là où la compréhension s’arrête.

     

    Les statuts que nous mettons en pratique sont perçus comme des actes matériels, qui deviennent au fur et à mesures des actions spirituels ayant tout à fait un autre sens. Car les actes que nous faisons sur terre ne sont que  le reflet de l’action céleste.

    Plus on étudie la Torah et plus on ne s’arrête plus sur l’acte rituel de la loi  mais d’une façon comme si çà ne pouvait pas être autrement car a travers notre âme nous percevons une certaine mémoire oubliée la vision de notre passé céleste qui nous relie à Dieu.

     

    Cette Torah cadeau de Dieu reste le plus insaisissable des livres, le plus contesté. Mais c’est aussi comme cela que Dieu distingue ceux qui l’aiment.

     

    La Torah nous dit; « Garde ton coeur plus que tout » car c’est là que siège la foi.

    Car c’est la foi qui donne l’amour et renouvelle ce lien qui nous unit à Dieu.

     

     

    Plus loin le texte nous met en garde de ne pas délaisser la Torah.

     _« Mais si vous n’écoutez pas et que vous cessiez d’exécuter tous mes commandements, si vous dédaignez mes lois et que votre esprit repousse mes statuts au point de ne plus les observés, de rompre l’alliance ».

     

    Le sens exprime que la Torah doit être aimé, apprécier, s’en délecter avoir un vrai plaisir à l’accomplir.

    L’entrain, l’ardeur, la passion, l’enthousiasme  sont indispensables pour vivre cette relation avec Dieu.

    Ainsi en ce modelant à l’image de la Torah  nous prenons  en aversion et dégoût nos mauvaises conduites d’iniquités.

     

    Notre haftarah consigne les paroles du prophète Jérémie:

    Le péché de Juda est gravé avec un burin de fer, une pointe de diamant, il est gravé sur la table de leur coeur.

     

     

     

    Cette parasha nous informe que si on rompt l’alliance  en ayant une attitude à mépriser la Torah les malédictions nous atteindrons alors que si nous faisons de la Torah notre raison d’être, une pluie de bénédictions nous serait envoyée.

    La liste de malédictions est  de 49 c’est aussi  pour cela qu’il est important de décompter le Omer afin de profiter chaque jour de demander pardon pour nos péchés d’iniquités (sans Torah).

    Mais aussi 49  c’est ; lors du don de la Torah à Shavouot  Israël a gravi les 49 degrés  qui ouvrent les portes de la connaissance et chaque année  en lisant cette parasha nous avançons pour faire  les réparations qui nous ont tant éloignés de Dieu.

    La lecture des textes terrifiants, nous amène à réfléchir et à méditer sur nos égarements.

    Les malédictions apparaissent une deuxième fois dans le livre du Deutéronome lors de la lecture de la parasha Ki tissa, mais là le nombre des malédictions a doublé car il est énoncé  98 malédictions comme le double reniement de l’alliance.

     

    Car la Torah fut donnée en un premier temps  afin de se préserver du mal,  cette alliance fut le lien de notre âme qui nous garantissait l’alliance avec le Messie. 

    49 c’est aussi la valeur en Hébreu qui veut dire  « un bon coeur »  dans le sens changé son coeur vers la connaissance.

     

    Les malédictions sont une façon de nous faire comprendre que nous somme sur une mauvaise voie.

    Changer notre coeur c’est renoncer à l’héritage que nous ont laissé nos ancêtres dont le péché s’est  gravé en nous, de sorte que l’ennemi a fait de nos coeurs son territoire qu’il s’est acquis pour une modique somme.

    Car depuis nos ancêtres n’ont reçu pour héritage que le mensonge, car ils se sont fait des dieux dont leurs lois sont l’iniquité.

     

    Renoncer dit l’Eternel à l’héritage de vos ancêtres afin que j’efface l’iniquité et que je grave mes lois.

    L’Eternel grave les lois; c’est-à-dire qu’Il grave le nom de Yeshoua sur notre coeur.

    Telle est le sens de cette parasha. 

     

    Cette alliance avec la reconnaissance de Yeshoua qui est la concrétisation de l’amour que nous avons avec la Torah  comme une Torah fiancé qui nous prépare à nous unir au Messie par un véritable Amour. 

    La Torah garde notre coeur et notre coeur garde la foi  et la foi c’est l’amour pur pour Yeshoua. Car tout ce que Dieu nous demande sur cette terre c’est de concrétiser notre amour pour Yeshoua par notre pratique des statuts de la Torah  afin que ce grave le nom de  Yeshoua sur notre coeur.

     

     

     

    Si notre parasha se termine par l’observance de la dîme c’est pour nous apprendre que la dîme ouvre la dimension de l’Amour. Car donner sa dîme c’est donner à Dieu, donner à Dieu c’est donner à nous-même  car Dieu réside en nous.  Cette dîme étant réservé au peuple de Dieu comme il convient de donner non à ceux du monde mais a ceux de Dieu. Car le mystère de la dîme qui est le chiffre 10  révèle que celui qui donne sa part de dîme  donne sa part d’amour qui  rend actives  toutes les bénédictions.

     

    Car les étincelles de lumière doivent être alimenté sans cesse par nos actes.

     

    Car en vérité celui qui aime la Torah et les 10 paroles gravées dans la pierre,  aime Yeshoua et les 10 paroles  sont pour son âme l’huile qui fait briller tous son être.    

     

    Cette parasha pour se défaire de l’héritage des ancêtres qui portent les péchés d’iniquité gravés et qui nous les ont transmis.

     

    Que l’Esprit de Dieu nous conduise vers la source d’eau vive.

    Guéris-moi Seigneur, et je serai guéri, sauve-moi et je serai sauvé car tu es l’objet de mes louanges.

     

    -Je leur donnerai un même coeur, Et je mettrai en vous un esprit nouveau; J'ôterai de leur corps le coeur de pierre, Et je leur donnerai un coeur de chair. Afin qu'ils suivent mes statuts. Et qu'ils observent et pratiquent mes lois; Et ils seront mon peuple, et je serai leur Dieu. Mais pour ceux dont le coeur se plaît à leurs idoles et à leurs abominations, Je ferai retomber leurs oeuvres sur leur tête, Dit le Seigneur, l’Eternel-.

     

     

    Que le Nom de Yeshoua soit gravé sur notre coeur, non avec de l’encre, mais avec l’esprit du Dieu vivant.

     

     

    Shabbat shalom

     

     

    Parasha du samedi 1 juin 2019. Parasha Behoukotaï : 33 

    Lecture de la parasha : Lévitique : Chapitre 26 verset 3  à chapitre 27 verset 34.

    Lecture de la haftarah : Jérémie : Chapitre  16 verset 19 à chapitre 17 verset 14.

    Lecture messianique : Jean : Chapitre 14 verset 15 à 21. 2 Corinthiens Chapitre 3 verset 3. 

     

     

    L.B


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  • Du début jusqu’à la fin.

     

    La parasha Béhar veut dire « MONTS ».

    Cette parasha décrit le quand et le comment de la rédemption.

    Dans le sens d’interprétation sur un niveau spirituel le texte fait référence au salut du peuple jusqu’à la fin des temps. Le cheminement du shabbat de la terre vient nous rappeler que tout l’univers appartient à Dieu car il a un droit sur tout à perpétuité.

     

    L’allusion aux différentes formes d’esclaves fait référence à l’esclavage spirituel que les  humains  ont subi, durant les exils du peuple de Dieu.

    L’exil des 4 empires jusqu’au retour à la terre d’Israël" spirituelle".

    Ces exils prophétisaient par les prophètes Zacharie, Jérémie, et Ezekiel annoncent l’exil messianique. L’apostasie qui viendra sur le monde détourner l’ensemble des croyants.

    Sur les fondations de l’empire romain  vers la fin du IV siècle le christianisme devint la religion officielle. Cette date marque le début de la chrétienté  et imprègne toute la société y compris les lois et les comportements sociaux.

    Ces dogmes chrétiens se divisèrent en plusieurs thèses en apportant en Orient les premiers dogmes de l’islam ancien, issu de l’imprégnation copte.

    Les siècles passés ont apporté leur lot de divergences avec les réveils des Etats-Unis qui a fait naitre toutes les dérives du protestantisme, mormons, témoins de Jéhovah  etc  et pour le continent Russe qui s’est élargie  par les chrétiens orthodoxes. Tout ce petit monde qui se nomme chrétien n’est qu’esclave de dieux étrangers.

     

    Ces 4 empires  sont les quatre cornes de la bête  qui s’est installé sur le monde. L’Europe, le Moyen-Orient, les Etats-Unis et la Russie sous le couvert de la chrétienté s’affiche en gardiens de la religion chrétienne.

     

    zacharie 1; 18 ,21

      

    -Je levai les yeux et je regardai, et voici, il y avait quatre cornes. Je dis à l'ange qui parlait avec moi: Qu'est-ce que ces cornes? Et il me dit: Ce sont les cornes qui ont dispersé Juda, Israël et Jérusalem. L'Eternel me fit voir quatre forgerons. Je dis: Que viennent-ils faire? Et il dit: Ce sont les cornes qui ont dispersé Juda, tellement que nul ne lève la tête; et ces forgerons sont venus pour les effrayer, et pour abattre les cornes des nations qui ont levé la corne contre le pays de Juda, afin d'en disperser les habitants.

     

     

    Ces 4 cornes où 4 empires font référence aux 4 monts qui dominent le monde.

     

     

     

    L’expression biblique: « Moïse a reçu la Torah DU Mont Sinaï » comme si CE LIEU avait remplacé le nom de Dieu.

     

    La valeur du nom Sinaï est « 130 ».

     

    La valeur du Nom de Dieu est « 26 ».

    La Torah porte « 5 » livres.

    Si on associe  la valeur du nom de Dieu 26 à la valeur de la Torah 5, la guematria donne la valeur du chiffre 130 "le Sinaï".

    Le Mont Sinaï porte le Nom de Dieu.

    Moïse a reçu la Torah du Nom de Dieu.

    Et ce Nom est le seul Nom Que Dieu nous est donné c’est YESHOUA.

    Car il est toute la Torah et porte le Nom de Dieu.

     

     

    Le mont Sinaï est là plus basse de toutes les montagnes, symbolisant l’humilité. Lieu où Dieu a choisi de manifester Sa Présence et de donner Ses enseignements, contrairement aux grandes religions qui se sont élevé avec prestige et orgueil pour dominer.

     Ce Sinaï c’est Yeshoua qui s’est élevé comme une simple plante.

    Esaïe 53:2,3,4.

    Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire.

     

    Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.

     

    Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé; 

     

    Le nom même de Sinaï dérive du mot « ronce » qui est la plus humble des plantes.

    Notre simplicité de foi  d’aimer et de servir Dieu  dans l’humilité  sans jamais se sentir supérieur mais servir comme Moïse  qui fut l’homme le plus humble.

    Nombres 12;3 (version hébraïque)

    -Or Moïse était le plus humble de tous les hommes de la terre.

     

    Cette parasha qui nous parle de l’esclave, c’est l’apostasie qui a séduit tous les incrédules. Ceux qui n’ont pas encore été affranchi par Yeshoua.

    Jean 8:36.

    -Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres.   

     

    Il en sera un jour ou tous se tournerons vers le fils de Dieu, alors soyons de ceux qui sont déjà sur la montagne de la Torah glorifiant le Nom de Yeshoua.

     

     

    La reconnaissance du Nom du fils de Dieu dans la Torah Roi sur toute la terre finalisera comme le jubilé la rédemption finale.

     

    Esaïe : 11 ; 9, 12.

    -Il ne se fera ni tort ni dommage Sur toute ma montagne sainte; Car la terre sera remplie de la connaissance de l'Eternel, Comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent.

     

    En ce jour, le rejeton d'Isaï Sera là comme une bannière pour les peuples; Les nations se tourneront vers lui, Et la gloire sera sa demeure.

     

    Dans ce même temps, le Seigneur étendra une seconde fois sa main, Pour racheter le reste de son peuple, Dispersé en Assyrie et en Egypte, A Pathros et en Ethiopie, A Elam, à Schinear et à Hamath, Et dans les îles de la mer.

     

    Il élèvera une bannière pour les nations, Il rassemblera les exilés d'Israël, Et il recueillera les dispersés de Juda, Des quatre extrémités de la terre.

     

    Que cette parasha nous aide a revoir nos basses et nos fondements, qu’elle nous reproche des fondations solide de la Torah. Qu’on se libère complètement de toutes les chaines d’esclaves de ses religions auxquelles nous étions autrefois attaché  et que la vérité de Yeshoua nous affranchise.

     

    Shabbat shalom

     

     

     

    L.B


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  •  

    Mort ou vivant.

     

    La magnifique parasha EMOR  cache entre ses lignes  des merveilleux versets.

    Emor veut dire : « Parle » où « Dis ».

     

     

    Le texte commence par la consécration des Cohanims (sacrificateur). Ceux qui sont chargés pour les hautes fonctions du temple.

    Ceux-ci sont tenus à des règles  de sainteté assez stricts puisqu’ils doivent servir dans le lieu Saint et être toujours disponible en état de sainteté, pour cela ils leur est interdit de se souiller par l’approche d’un mort.

     

    La notion générale des lois de cette parasha  reste assez trouble dans le sens terrestre, car elle vise l’élévation spirituelle de l’homme. 

     

    Le vrai sens du terme sacrificateur représente justement l’élévation spirituel de l’homme, la force spirituelle pour se surpasser.

     

    En général on serait enclin à penser que l’élévation de l’homme se ferait  uniquement en se séparant des futilités, des plaisirs et joie de la vie   comme pour avoir cet état de religieux  mais en fait c’est par la Torah que nous  atteignons cet état de sainteté.

    Car les lois sont toujours associées à des actes matériels elles permettent d’élever un simple élément de la terre en un instrument au service de la Torah.

     

    Le rôle du sacrificateur est de se surpasser pour exercer son service avec toutes les lumières qu’il possède.

    Les Cohanims de la tribu de Lévi ont été désigné par Dieu gardien des secrets de la Torah comme étant les seuls à pouvoir atteindre cette sainteté, cette différenciation entre les autres tribus à pour but le rassemblement autour de la Torah.

    C’est ce qui forme le fondement de la responsabilité d’Israël  et de tous ce qui font parti du peuple qui viennent si greffer.

     

    Il faut comprendre au sens le plus large du terme  le dépassement que Dieu exige du sacrificateur. C’est un acte de plus grande responsabilité envers ses frères. C’est celui qui fait descendre les bénédictions sur le peuple;

    Ce dépassement pour se dévouer au service du peuple c’est ce qui s’appelle « messirout nefesh » ou « le don de soi pour les autres ». 

     

    Pour toute la durée où il y a eu un temple  la descendance d’Aaron ont servi dans le temple leurs rôles de sacrificateurs pour la sanctification de NOM DE DIEU. 

     

     

    Si notre parasha vient nous montrer que la TORAH qui est  le principe vital du croyant, nous savons que Yeshoua a aboli la loi du sacerdoce lévitique.

     

    « C’est là tout le conflit avec les chrétiens qui amalgament l’abolition de la loi par toutes les lois, NON ! Yeshoua a juste aboli la loi du sacerdoce  car lui-même c’est offert en sacrifice. Toute la confusion nait de cette idée, mais si on considère que la Torah est la parole de Yeshoua on considère que les autres lois sont bonnes ». 

     

    Cette parasha vient nous dire l’abolition de la loi lévitique, mais la continuité des shabbat et des sept fêtes de Dieu selon les prescriptions de MoÏse. Tout le mystère de la vie se tient là.

    Celui qui veut vivre il vivra en suivant ce code de vie que nous enseigne la Torah  et alors la mort n’aura plus de pouvoirs sur lui.

     

    Hébreux 7:18,28.

    Il y a ainsi abolition d'une ordonnance antérieure, à cause de son impuissance et de son inutilité, - car  cette loi n'a rien amené à la perfection, -et introduction d'une meilleure espérance, par laquelle nous nous approchons de Dieu. Et, comme cela n'a pas eu lieu sans serment,

     

    car, tandis que les Lévites sont devenus sacrificateurs sans serment, Yeshoua l'est devenu avec serment par celui qui lui a dit: Le Seigneur a juré, et il ne se repentira pas: Tu es sacrificateur pour toujours, Selon l'ordre de Melchisédek. -

     

    Yeshoua est par cela même le garant d'une alliance plus excellente.

     

    De plus, il y a eu des sacrificateurs en grand nombre, parce que la mort les empêchait d'être permanents. Mais lui, parce qu'il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui n'est pas transmissible. C'est aussi pour cela qu'il peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur.

     

    Il nous convenait, en effet, d'avoir un souverain sacrificateur comme lui, saint, innocent, sans tache, séparé des pécheurs, et plus élevé que les cieux, qui n'a pas besoin, comme les souverains sacrificateurs, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, -car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. En effet, la loi établit souverains sacrificateurs des hommes sujets à la faiblesse; mais la parole du serment qui a été fait après la loi établit le Fils, qui est parfait pour l'éternité.

     

     

    Par cette alliance nouvelle Yeshoua a fait de nous des sacrificateurs

     

    Apocalypse 1:5,6. 

     

    _De la part de Yeshoua, le témoin fidèle, le premier-né des morts, et le prince des rois de la terre! A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles! Amen! _

     

     

    Ainsi il en devient pour nous d’endosser le service de sacrificateur.

    Comme les cohanims nous apportons devant Yeshoua les personnes qui ne connaissent pas Dieu.

    Ainsi comme il convient à de bons sacrificateurs de se sacrifier pour son prochain en se tenant en sainteté pour porter les âmes qui sont mortes non mortes de chair mais mortes de l’âme.

     

    La responsabilité des croyants c’est d’abord d’être utilisé par Dieu comme des sacrificateurs saints qui pouvons nous approcher de Yeshoua et prier pour ces morts-vivants.

     

    Mais il est un principe d’une dimension plus haute dans la prière qui se fait s’il y a au moins dix personnes  car notre sainteté n’étant pas acquise sur tous les fondements de 10 attributs de sainteté de Dieu comme le grand sacrificateur pouvait avoir , il nous ait révélé que la meilleure condition pour faire élever les prières serait l’union de 10 personnes cela s’appel un »MINIAN ».

    Un minian peut favoriser des miracles et de grandes bénédictions. C’est pourquoi il est préférable de ne pas rester seul mais de se rapprocher des  communautés.

    Ces 10 personnes font référence aux dix jours de repentance entre Roch Hachana et Kippour ou le pardon des péchés est accepté immédiatement. Un groupe est porteur d’une dimension élever comme une âme collective. 

    Ainsi comme le dit le Rav Avraham Kook « Les âmes des individus du peuple d’Israël tirent leurs sources du Dieu vivant dans le trésor commun ».

    Le groupe (LE KLAL) donne son âme à chacun des individus d’Israël.

    Si le peuple de Dieu peut atteindre le niveau Knesset d’Israël épouse de Dieu ce n’est de toute façon qu’au niveau collectif. Lorsque toutes les âmes s’unissent pour se rapprocher de leur créateur et tenter l’union avec Dieu.

    La proximité avec Dieu c’est par Yeshoua  qui nous fait entrer  dans le KLAL d’Israël par cette adhésion nous réunissons une puissance dans les prières.

     

    Cette parasha est avant tout l’élévation du Nom De Dieu qui ne doit jamais être profané.

     

    _Pour glorifier le NOM DE DIEU  un seul moyen nous est accordé par la reconnaissance du NOM DU MESSIE YESHOUA, respecter les shabbat et les fêtes.

     

    -Pour blasphémer le NOM DE DIEU un seul moyen, ne pas reconnaitre le VRAI NOM DU MESSIE YESHOUA,  ne pas  faire le shabbat et fêtes, mais fêter  les fêtes païennes.

     

    Car si la souillure des sacrificateurs venait sur eux lorsqu’ils approchaient d’un cadavre il en convient de penser  que nous ne devons pas nous souiller avec les morts, ces morts qui sont toujours vivants de corps mais en une sorte de mort de l’âme.

    S’éloigner des  morts pour se regrouper parmi les vivants pour élever des prières qui vont réveiller tous ces morts-vivants qui sont autour de nous.

     

    Ainsi on aura accompli comme Yeshoua l’a fait le « messirout nefesh » le don de soi pour les autres. 

    Comme de bons sacrificateurs faisons monter les prières vers Dieu en honorant sa Torah qui nous sanctifie pour sanctifier le NOM DE DIEU afin que nos prières viennent ressusciter ces  morts.

    Car si nous, nous avons reçu la révélation DU GRAND NOM DE YESHOUA nous savons que les fêtes et les shabbat c’est cela qui glorifie LE NOM DE DIEU n’oublions d’être des sacrificateurs qui prient pour les perdu.

     

     

    Parasha du samedi 18 mai 2019. Parasha EMOR : 31.

    Lecture de la parasha : Lévitique : Chapitre 21 verset 1 à chapitre 24  verset 23.

    Lecture de la haftarah : Ezechiel : Chapitre : 44 verset 15 à 31.

    Lecture messianique : hébreux :Chapitre 10 verset 1 à 39.

     

     

    Shabbat shalom

     

    L.B


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  •  

    Saint, Saint, Saint.

     

    La parasha Qedochim exprime Soyez-saints car moi je suis saint.

    Qedochim veut dire; des hommes de sainteté.

     

     

    « Lorsque nous utilisons le mot saint, pour dire une personne sainte, nous associons généralement cela avec l'idée d'une personne pieuse ou juste. Si nous utilisons ce concept dans l'interprétation dans la Bible hébraïque, nous faisons une erreur de lecture du texte car ce n'est pas le sens du mot hébreu qadosh. 

     

    Qadosh signifie littéralement « être mis à part pour un but particulier »

     Israël a été qadosh parce qu'il a été séparé des autres nations en tant que serviteur de Dieu. Le mobilier dans le tabernacle était qadosh car il ne devait pas être utilisé pour autre chose que pour les travaux dans le tabernacle. Et bien que nous ne nous considérions pas comme saints, nous sommes en fait mis à part du monde pour être les serviteurs de Dieu et ses représentants. »

     

    La sainteté consiste donc à être séparé pour un objectif particulier, un service particulier.

     

    La véritable question est de savoir pourquoi ou pour qui nous sommes faits.

    Nous sommes faits pour être saints, autrement dit séparés ! La seule réalité à laquelle nous puissions nous attacher avec vérité, certitude, détermination, est assurément celle pour laquelle nous sommes faits : nous sommes faits pour Dieu. Par voie de conséquences toutes les autres réalités auxquelles nous seront attachées doivent disparaitre.

     

     Devenir saint c'est consentir à toutes les séparations qui nous conduiront à l'unique attachement pour lequel nous avons été créés «  Dieu ».

     

     La sainteté est d'autant plus une occasion de souffrances, que nous refusons les séparations auxquelles Dieu nous invite à consentir. Une séparation est toujours douloureuse, mais si nous avons le regard fixé sur le but, alors nous comprenons que chaque séparation est en fait une occasion d'être davantage attachés à Dieu. Il nous faut donc aller de détachement terrestre en détachement terrestre, afin d'entrer dans un attachement de plus en plus amoureux pour Celui qui nous a faits pour Lui, et sans Qui notre cœur ne peut connaître véritablement de repos.

     

    Ce qui est certain, c'est que progressivement naît en l'âme le besoin de consentir à cette séparation, à cette sainteté, parce qu'il n'y a pas d'autre alternative qui puisse laisser au cœur la paix, la vraie paix. On commence alors à goûter les choses d'en haut. 

     

    Les choses de la terre semblent tout simplement trop passagères pour que nous puissions nous y attacher avec sérieux. 

    Ce qui nous détruit, c'est d'avoir engagé notre puissance d'amour dans des passe-temps enfantin, et désordonné.

     Nos attachements ne sont pas forcément tous mauvais : ils sont souvent disproportionnés : 

     

    Il nous faut apprendre à voir l’invisible.

     

     Etre saints c’est déjà  être séparés,  deviner l'invisible :

     

     En somme cette séparation, cette sainteté, est une affaire de cœur : plus notre cœur s'est laissé séduire, c’est-à-dire: séparer  par le seul Être qui puisse combler ses créatures, plus nous avons perçu les murmures divins dans les événements de nos vies – heureux ou douloureux –, plus aussi nous percevons qu'Il ne nous forcera pas à choisir de Lui faire une confiance éperdue. Son joug est doux et son fardeau léger : Yeshoua ne demande rien d'autre que la confiance. « chaque âme est libre de répondre aux avances de Notre-Seigneur, de faire peu ou beaucoup pour Lui, en un mot de choisir entre les sacrifices qu'Il demande. » Dès lors, rien d'autre ne peut avoir de sens que de lui faire une confiance justement éperdue, éternellement éperdue, une confiance qui ira bien au-delà de la mort. Telle est sans doute la liberté des saints, le vrai bonheur.

     

    Yeshoua nous veut pour Lui seul. La séparation d’avec le monde  c’est la  séparation d’avec les forces mauvaises qui tentent toujours ne nous éloigner de Lui.

     

     

    Soyez Saints car Moi je suis Saint. On peut dire que tout le corps de la Torah se tient dans cette phrase.

     On retrouve dans Lévitique 11:45 ;

     

    -Car je suis l'Eternel, qui vous ai fait monter du pays d'Egypte, pour être votre Dieu, et pour que vous soyez saints; car je suis saint.

     

    Dans l’idée de dire je ne vous ai fait sortir du pays d’Egypte que pour être votre Dieu, mais si vous ne devenez pas saints , je ne serai pas votre Dieu. Ainsi si vous désirez que je sois votre Dieu sanctifiez-vous.

     

     Cette sortie d’Egypte ne se trouverait donc justifiée que si on respecte les lois. Notre destin serait d’atteindre  la sainteté.

    Cette parasha est donc la base fondamentale qui nous enseigne sur la sainteté.

    La sainteté est une séparation, 

    L’homme est décrit comme un sanctuaire ou Dieu vient habiter. Mais Dieu ne peut venir que dans un sanctuaire propre.

     

    Le vrai secret de la sainteté c’est que nous devons être une parfaite épouse pour le Seigneur.

     

    Ainsi Il prendra une épouse sanctifiée.

    -Comme le Messie  a aimé son assemblée, et s'est livré lui-même pour elle, afin de la sanctifier par la Torah, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, afin de faire paraître devant lui cette assemblée glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible.

    Les points essentiels décrits dans qedochim c’est la vertu de la sainteté dans la sexualité.

     

    Le principe de la sainteté  est lié à trois choses: la sexualité, la nourriture et l’idolâtrie. La séparation avec ses trois choses non faites dans la conformité de la loi  nous conduit à la sainteté.

     

    S’imposer des limites ! Faire la différence entre ce qui est bien et ce qui est mal.

     

     Si la sexualité est bien mais il y a des limites à ne pas dépasser, comme pour la nourriture elle est bonne mais il y a des nourritures qui ne faut pas consommer, l’Esprit de Dieu est bon mais il y a des esprits avec lesquels il ne faut pas entrer en contact. 

     

    Séparer nos pensées pour ne pas être contrôlé, pour ne pas se souiller par la débauche sexuelle,  qui serait la base de toutes les débauches.

    Selon les plus grands maitres de la Torah, le secret de la sainteté se tient dans la sexualité. Et c’est l’acte le plus souillé, détourné,  sali, des actes de l’être humain. C’est par cela qu’on est entrainé vers l’idolâtrie et la consommation de nourriture interdite.

    On comprend mieux pourquoi le monde revoie l’image d’une sexualité libérale  car cette libéralité n’a que pour  but des engendrements du mal pour une propagation générale et une banalisation des moeurs pour forcer nos pensées à accepter cette immoralité.

     

    Se  séparer des pensées du monde pour être libre de pensée comme Dieu veut qu’on pense.

     

    Par trois fois la parasha mentionne ce molokh qui serait comme un dévoreur d’enfants, qui dans une certaine réalité est un dévoreur d’enfants mais le texte de façon plus caché nous livre que c’est par les actes sexuels interdit qu’on livre nos enfants à molokh. Chaque acte sexuelle  interdit selon la Torah c’est l’engendrement d’esprits mauvais pour molokh. 

     

    -« Car si l’homme s’adonne a donner de sa postérité a molokh je le retrancherai du peuple  car ces engendrements remplissent le sanctuaire ».

     C’est-à-dire si on a une sexualité interdite on engendre des esprits impurs qui vont engendrer toutes sortes d’esprits qui voudront consommer tout ce que Dieu interdit.

     

      Alors que le but de l’être humain est tout à fait le contraire il faut faire sortir tout ce que l’on a fait entrer et tout ce que l’on a donner par ces actes impurs qui n’ont fait que se multiplier dans la race humaine 

    Proverbes 5:18,19

    Que ta source soit bénie, Et fais ta joie de la femme de ta jeunesse,

     

     

    La séparation c’est un stop à la vie du monde c’est se séparer de tous ce qui est contre la Torah de Dieu, pour s’unir à Yeshoua.

     

    Car l’épouse doit se préparer pour le jour des noces. La Torah pour huile pour être éclairé et l’amour pour notre Seigneur pour être cette épouse ayant repoussé tous ses prétendants.

     

    Car que nous soyons homme ou femme dans le corps notre âme est comme une épouse qui cherche son mari qui viendra la chercher pour l’union éternelle.

    C’est pourquoi la loi nous enseigne que ce que nous faisons avec nos corps nous lies aussi avec les esprits et nous condamne éternellement.

     Alors ne succombons pas à la séduction et à la libéralité qui veut nous faire accepter l’immoralité. Car si même la séparation paraît difficile il en sera encore plus difficile pour notre âme de ne pas être uni à Dieu pour toujours.

     

    La débauche nous conduits à l’idolâtrie qui nous conduit aux religions impudiques qui laisse entrer toutes sortes de démons souillant nos corps et notre âme.

    Atteignons le but que Dieu nous demande d’atteindre en devenant Saint par la séparation de toutes choses qui pourraient sembler devenir une souffrance mais qui en fait sera le vrai bonheur.

     

     

     

     

    Parasha du samedi 11 mai 2019. Parasha Qedochim : 30.

    Lecture de la parasha : Lévitique : Chapitre 19 verset 1 à chapitre 20 verset 27.

    Lecture de la haftarah : Ezechiel : Chapitre 20 verset 2 à 20.

    Lecture messianique : Ephésiens : Chapitre 5.  1 Pierre : Chapitre 3  verset 8 à 17.

     

    Shabbat shalom

     

     

    L.B

     


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  •  

    Après !

     

    La parasha A’haré mot, veut dire après la mort.

     

    Ce genre de texte reste difficilement accessible à notre raisonnement.

    Dans le cantique des cantiques Chapitre1verset 2.

    -Qu’Il me couvre de baisers sur la bouche, car ton amour est meilleur que le vin.

    Selon Rachi l’explication est la suivante.

    — « Au temps ou Machia’h sera là, Il enseignera de sa bouche tout le sens profond et caché de la Torah, nous comprendrons les lois et les commandements. Ainsi que la raison des commandements.

    Alors notre espérance c’est d’abord d’obéir en s’exécutant à pratiquer les lois, car notre assurance est que nous comprendrons pourquoi il nous faut pratiquer la Torah avec la foi ». 

     

    Le texte de notre parasha commente que les sacrificateurs qui seront chargés lors de la fête de Yom Kippour d’apporter les sacrifices de sang au temple devront respecter à la lettre les prescriptions.

    Par un tirage au sort sur deux boucs l’un sera réservé pour Dieu et l’autre est envoyé à  Azazel.

    Celui qui par le sort sera désigné pour Dieu sera sacrifié dans le temple et expirera les fautes et l’autre portera tous les péchés pour aller à Azazel.

    Notre espérance d’être mort à nous-même et né en Yeshoua résulte de comprendre ce texte.

     

    -Azazel dans le sens géographique désigne  un lieu dans le désert où il y a  une grande falaise coupante.

     

    -azazel dans le sens spirituel désigne un chef de démons de haute autorité qui est maitre dans l’art botanique et métallurgique. Mais comme il est un démon il donne son enseignement pour faire le mal.

    Il apprend aux hommes qui se détournent de Dieu toute la science occulte pour la divination, il enseigne comment fabriquer des enchantements, de la sorcellerie, les travaux de charmes et de séduction, la magie sous toutes ses formes, les amulettes et portes bonheur, c’est aussi lui qui donne les formules pour la fabrication des drogues, et aussi à signaler tout ce qui est produit naturel mais qui est manipulé par différentes divagations de croyances qui prennent leurs source dans le shivaïsme, le jinisme, le bouddhisme. Mais qui au final fait aboutir au tantrisme ( exposition de la sexualité recherche sensuelle).

    Et il apprend aux hommes à faire des épées, flèches mortelles, et armes.

     

    La parasha A’haré mot nous révèle qu’il faut mourir pour renaitre.

    Il faut faire mourir le mal qui est en nous pour renaitre en une âme pure.

    Notre foi et notre engagement en Yeshoua est notre résurrection.

    On ne peut atteindre la sainteté que si au préalable on a tué le mal qui est en nous.

     

    Mais ni notre foi et notre engagement nous libèrent totalement des mauvaises choses qui sont en nous, la délivrance fait partie de la vie du croyant, la repentance et la pratique de la Torah sont un grand avantage pour être délivré de certains esprits mauvais, mais il est des esprits qui sortent que par le jeûne et la prière c’est ce que nous enseigne Yeshoua, mais le jeûne dont il est question est le jeûne de Yom Kippour tel est la révélation de cette parasha.  Il est aussi des délivrances qui se pratique par des personnes appelées à ce service.

     

    Mathieu 17:21.

    -Mais cette sorte de démon ne sort que par la prière et par le jeûne.

     

     

     

    Nous avons vu durant les dernières parasha que notre Tikoun (réparation de notre être) s’opère par la soumission des mauvais esprits à Dieu. Mais cette parasha nous révèle que certains démons ne se soumettent pas, c’est alors qu’il faut les faire sortir. C’est surtout les démons qui influent sur la puissance que donne la sorcellerie, magie, art divinatoire, car ce sont des démons qui se transmettent par le sang, par l’héritage des parents, grand-parents et plus. L’on peut constater que là où il y a des dérives sexuelles c’est qu’il y a eu d’une manière ou d’une autre des pratiques sorcières.

    C’est pourquoi nous apportons nos offrandes de prières à Yeshoua pour que tous les liens qui nous relient à Azazel et ses démons soient coupées et envoyés dans le désert.

     

    Yeshoua nous enseigne dans LUC 8:27 à 33.

     

     

    Lorsque Yeshoua fut descendu à terre, il vint au-devant de lui un homme de la ville, qui était possédé de plusieurs démons. Depuis longtemps il ne portait point de vêtement, et avait sa demeure non dans une maison, mais dans les cimetières. Ayant vu Yeshoua, il poussa un cri, se jeta à ses pieds, et dit d'une voix forte: Qu'y a-t-il entre moi et toi, Yeshoua, Fils du Dieu Très-Haut? Je t'en supplie, ne me tourmente pas. sCar Yeshoua commandait à l'esprit impur de sortir de cet homme, dont il s'était emparé depuis longtemps; on le gardait lié de chaînes et les fers aux pieds, mais il rompait les liens, et il était entraîné par le démon dans les déserts.Yeshoua lui demanda: Quel est ton nom? Légion, répondit-il. Car plusieurs démons étaient entrés en lui. Et ils priaient instamment Yeshoua de ne pas leur ordonner d'aller dans l'abîme.

     

    Il y avait là, dans la montagne, un grand troupeau de cochons qui passaient. Et les démons supplièrent Yeshoua de leur permettre d'entrer dans ces cochons. Il le leur permit. Les démons sortirent de cet homme, entrèrent dans les cochons, et le troupeau se précipita dans la falaise(Azazel) et ils se noyèrent.

     

     

    Il faut aussi se débarrasser de tous ce qui a un lien avec l’occultisme et la perversité sexuelle, tous absolument tous, photo, écritures, objets même si on tient a certaine choses il faut s’en séparer car la moindre chose encore existence chez nous viendra nous surprendre dans un moment de faiblesse.

    Si cette parasha nous apprend que le Jour de Yom Kippour est un grand jour de délivrance, nous savons aussi que la parasha de la semaine influe aussi beaucoup. Donc c’est le moment de lâcher prise sur des pulsions mauvaises ou des habitudes pas très correct de se repentir et de demander la délivrance  car en ce jour de shabbat l’onction de délivrance sera très influente et beaucoup de délivrance auront lieu. 

     

     

    Faire mourir les mauvais esprits c’est reconnaitre qu’on a suivi, ou pratiquer de près ou de loin les voies qui souillent notre âme, se repentir pour toutes ces choses.

     

    La parasha nous enseigne que le sacrifice du bouc pour Dieu devait se faire dans le temple, c’est pour nous la reconnaissance de reconnaitre que Yeshoua est mort pour nous pour notre temple intérieur c’est notre Kippour qui chaque année nous rappelle que Yeshoua nous a donné le pouvoir sur la délivrance. C’est pourquoi il est d’ordre le plus honorifique de fêter ce jeûne de Yom Kippour selon l’enseignement d’Israël, car si le monde tourne à la façon contraire seul le peuple d’Israël marche selon les vérités de Dieu seul le peuple a gardé les fêtes que Dieu a ordonné ; Cette parasha nous dit qu’il est un jour différent des autres  c’est le jour de Yom Kippour ou les délivrances sont manifestent dans le corps de ceux qui sont au rendez-vous. Car en ce  jour la bataille dans la ciel est des plus extraordinaires.

     

    Faire mourir le mal qui est en nous, pour que le bien naisse en nous.

     

    Livre de Jude.

    Je veux vous rappeler, à vous qui savez fort bien toutes ces choses, que le Seigneur, après avoir sauvé le peuple et l'avoir tiré du pays d'Egypte, fit ensuite périr les incrédules; qu'il a réservé pour le jugement du grand jour, enchaînés éternellement par les ténèbres, les anges qui n'ont pas gardé leur dignité, mais qui ont abandonné leur propre demeure; que Sodome et Gomorrhe et les villes voisines, qui se livrèrent comme eux à l'impudicité et à des vices contre nature, sont données en exemple, subissant la peine d'un feu éternel.

     

    Malgré cela, ces hommes aussi, entraînés par leurs rêveries, souillent pareillement leur chair, méprisent l'autorité et injurient les gloires. Or, l'archange Michel, lorsqu'il contestait avec le diable et lui disputait le corps de Moïse, n'osa pas porter contre lui un jugement injurieux, mais il dit: Que le Seigneur te réprime! Eux, au contraire, ils parlent d'une manière injurieuse de ce qu'ils ignorent, et ils se corrompent dans ce qu'ils savent naturellement comme les brutes. Malheur à eux! car ils ont suivi la voie de Caïn, ils se sont jetés pour un salaire dans l'égarement de Balaam, ils se sont perdus par la révolte de Coré. Ce sont des écueils dans vos agapes, faisant impudemment bonne chère, se repaissant eux-mêmes. Ce sont des nuées sans eau, poussées par les vents; des arbres d'automne sans fruits, deux fois morts, déracinés; des vagues furieuses de la mer, rejetant l'écume de leurs impuretés; des astres errants, auxquels l'obscurité des ténèbres est réservée pour l'éternité.

     

    C'est aussi pour eux qu'Enoch, le septième depuis Adam, a prophétisé en ces termes: Voici, le Seigneur est venu avec ses saintes myriades, pour exercer un jugement contre tous, et pour faire rendre compte à tous les impies parmi eux de tous les actes d'impiété qu'ils ont commis et de toutes les paroles injurieuses qu'ont proférées contre lui des pécheurs impies. Ce sont des gens qui murmurent, qui se plaignent de leur sort, qui marchent selon leurs convoitises, qui ont à la bouche des paroles hautaines, qui admirent les personnes par motif d'intérêt.

     

    Mais vous, bien-aimés, souvenez-vous des choses annoncées d'avance par les apôtres de notre Seigneur-Yeshoua le Messie. Ils vous disaient qu'au dernier temps il y aurait des moqueurs, marchant selon leurs convoitises impies; ce sont ceux qui provoquent des divisions, hommes sensuels, n'ayant pas l'esprit. Pour vous, bien-aimés, vous édifiant vous-mêmes sur votre très sainte foi, et priant par le Saint-Esprit, maintenez-vous dans l'amour de Dieu, en attendant la miséricorde de notre Seigneur Yeshoua le Messie pour la vie éternelle. 

     

    Après la mort viendra la sainteté.

     

     

    Lecture de la parasha : Lévitique : Chapitre 16 verset 1 à chapitre 18 verset 30.

    Lecture de la haftarah: Ezechiel : Chapitre 22 verset 1 à 16.

    Lecture messianique : Romains : Chapitre 6 verset 1 à 23. Luc: Chapitre 8 verset 27 à 33.

     

    Shabbat shalom 

     

    L.B 

     

     

           

     


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  • Dernier jour de Pessa’h.

     

    Cette semaine de shabbat il ni à pas de parasha, mais il est un commandement de respecter le dernier jour de Pessa’h jusqu’a samedi soir.

    Ce dernier jour de fête est symbolisé par l’ouverture de la Mer Rouge qui permit aux hébreux de sortir de l’emprise des égyptiens. 

    L’ouverture de la Mer Rouge où mer des joncs littéralement fait allusion à « L’abandon du  moi ». Ce qui confirme donc que c’est en traversant la Mer Rouge que seront englouties les forces de l’égo.

     

    Durant les jours de Pessa’h nous avons par obéissance supprimé le levain et consommé les pains azymes, ce qui a permis certaines délivrances qui nous emprisonnaient dans notre vie au quotidien. Vivre le miracle de pessa’h c’est la délivrance sous tous ces aspects.

    Chaque année nous est donnée de commémorer les fêtes, mais Pessa’h permet chaque année d’être délivrée de mauvaises choses en nous. Si nous cherchons toute l’année à s’améliorer c’est quand même à Pessa’h que plus de délivrances se passe.

    Car Dieu connaît nos faiblesses  et notre volonté si fragile devant les tentations si puissantes.

     

    Les sages nous disent que durant les jours de pessa’h et surtout ce dernier jour de fête  est un temps que Dieu nous accorde pour rattraper tout ce que l’on a négligé de faire surtout au sujet de l’étude de la Torah. Car l’homme est rempli de mal et se laisse entrainer à ses préoccupations favorites en laissant passer le temps à l’étude de la Torah ou de la prière ou à l’aide qu'il aurait pu faire.

    Car il faut savoir que c’est parce qu’il y a des gens partout dans le monde qui étudient la Torah constamment que le monde tient bon et n’est pas dans le chaos car Dieu retient les forces du mal a cause de ses justes qui vivent pour la Torah.

     

    Alors ce jour de clôture de Pessa’h est un cadeau de victoire, une liberté que nous a accordée Dieu, en ce dernier jour il nous est donné la possibilité de réaliser nos faiblesses et de les soumettre à Yeshoua en avouant que notre volonté à soumettre nos pulsions mauvaises est difficiles à maitriser,  afin qu’Il fasse encore des miracles de délivrances en nous. Car si notre volonté est faible   notre force de résistance est en Yeshoua.

     

    Si la clôture de Pessa’h préfigure le monde futur décrit dans Esaïe ….les loups habiterons avec l’agneau…..le nourrisson s’élèvera avec la vipère etc…….;

    Ces versets qui lèvent le voile sur le monde futur nous enseignent une chose fondamentale sur la connaissance des secrets spirituels les plus élevés et peu enseigné.

    Car on pourrait ne considérer que ces visions prophétiques d’une vision future et non dans ce monde, c’est alors qu’il faut comprendre que la prophétie d’Esaïe est aussi pour ce monde pour nous dans nos vies actuelles.

    Car la prophétie est certaine le mystère de la délivrance c’est que toutes choses nous sont soumises par la parole de Yeshoua.

     

    La prophétie révèle son sens à Pessa’h, car Yeshoua le Messie qui est mort et ressuscité est revenu le huitième jour,  donner a tous ce qui ont cru en lui  le pouvoir et l’autorité sur tous les démons, les esprits impures, les autorités spirituelles, les mauvais esprits afin de les soumettre à Dieu.

     

    Car les esprits doivent se soumettre à l’autorité divine ce sont des esprits qui nous tourmentes,  rebellent à la Torah  des esprits qui nous épuisent et nous contraignent à faire ce que l’on ne veut pas faire.

    C’est pourquoi la puissance et la force que nous avons en Yeshoua ont la puise dans la Torah. 

    Yeshoua sur le bois nous a donné la victoire et l’autorité pour soumettre le mal qui vit en nous.  Ce dernier jour est le symbole de l’autorité sur les démons.

    C’est pour nous que Yeshoua a subi l’humiliation d’une mort public pour nous donner la puissance. 

     

     

    -Par sa mort il a rendu impuissant celui qui avait la puissance sur la mort, c’est-à-dire le diable ainsi Il délivre  tous ceux qui par crainte de la mort, étaient toute leur vie dans l’esclavage; car assurément ce n’est pas à des anges que Yeshoua vient en aide, mais c’est à la postérité d’Abraham.

     

    En conséquence Il a du être rendu semblable en toutes choses à ses frères,  afin qu’Il soit  un souverain sacrificateur miséricordieux et fidèle dans le service de Dieu pour faire l’expiation des péchés du peuple.

     

    Par cet acte il a ramené l’autorité divine sur la terre  il a rétabli l’ordre originel de la création .

    Non pas que les forces du mal ne sont plus agissantes mais elles sont maintenant soumises sous l’autorité de Dieu.

     

    Yeshoua le verbe qui parle ordonne et soumet toutes choses à sa volonté. C’est aussi par La Torah le verbe écrit que cette autorité est transmise, donnant à ceux qui sont ressuscités en Yeshoua l’autorité et la puissance pour soumettre les démons  à leurs paroles  les obligeants a quitté des corps ou des lieux ou a se soumettre.

     

    Pessa’h c’est la force de la délivrance, c’est la force de la vérité qui se dévoile. Cette vérité c’est par le sang de Yeshoua  qui agit dans le monde, par la permutation de l’autorité divine qui anéantit l’autorité de satan.

     

    Pessa’h ou Matsa (pain sans levain) on l’a même valeur numérique hébraïque qui veut dire: « Couper les forces sataniques »  de même que le nom satan  décline le verbe hébreu  qui veut dire: « Dévier, celui qui dévie ou détourne l’humain du programme de Dieu ».

     Les forces de pessa’h c’est les forces libératrices qui rétablissent la vérité  dans le coeur de l’homme ressuscité.

     

    La clôture de Pessa’h est un commandement de Dieu une  sainte convocation importante qui souvent est négligée, mais pourtant c’est  à ce moment précis que tout se joue, que s’opère le plus grand miracle de la vie. 

      

    Jean: 20 :26 à 29.

    Huit jours après, les disciples de Yeshoua étaient de nouveau dans la maison, et Thomas se trouvait avec eux.Yeshoua vint, les portes étant fermées, se présenta au milieu d'eux, et dit: La paix soit avec vous! Puis il dit à Thomas: Avance ici ton doigt, et regarde mes mains; avance aussi ta main, et mets-là dans mon côté; et ne sois pas incrédule, mais crois. Thomas lui répondit: Mon Seigneur et mon Dieu! Yeshoua lui dit: Parce que tu m'as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu, et qui ont cru!

     

     

    Ce dernier jour de Pessa’h c’est la gloire messianique qui se révèle au monde Yeshoua à vaincu les ténèbres.  

     

     

     

    —L’Eternel est mon rocher, ma forteresse, mon libérateur.

     

    Dieu est mon rocher, où je trouve un abri, Mon bouclier et la force qui me sauve, Ma haute retraite et mon refuge. O mon Sauveur! tu me garantis de la violence.

     

    Je m'écrie: Loué soit l'Eternel! Et je suis délivré de mes ennemis.

     

    Car les flots de la mort m'avaient environné, Les torrents de la destruction m'avaient épouvanté;

     

    Les liens du sépulcre m'avaient entouré, Les filets de la mort m'avaient surpris.

     

    Dans ma détresse, j'ai invoqué l'Eternel, J'ai invoqué mon Dieu; De son palais, il a entendu ma voix, Et mon cri est parvenu à ses oreilles.

    ===================================================

     

    L'Eternel tonna des cieux, Le Très-Haut fit retentir sa voix;

     

    Il lança des flèches et dispersa mes ennemis, La foudre, et les mit en déroute.

     

    Le lit de la mer apparut, Les fondements du monde furent découverts, Par la menace de l'Eternel, Par le bruit du souffle de ses narines.

     

    Il étendit sa main d'en haut, il me saisit, Il me retira des grandes eaux;

     

    Il me délivra de mon adversaire puissant, De mes ennemis qui étaient plus forts que moi.

     

    Ils m'avaient surpris au jour de ma détresse, Mais l'Eternel fut mon appui.

     

    Il m'a mis au large, Il m'a sauvé, parce qu'il m'aime.

     

    L'Eternel m'a traité selon ma droiture, Il m'a rendu selon la pureté de mes mains;

     

    Car j'ai observé les lois de l'Eternel, Et je n'ai point été coupable envers mon Dieu.

     

    Toutes ses ordonnances ont été devant moi, Et je ne me suis point écarté de sa Torah.

     

    ===================================================

     

     

    Il exerce mes mains au combat, Et mes bras tendent l'arc d'airain.

     

    Tu me donnes le bouclier de ton salut, Et je deviens grand par ta bonté.

     

    Tu élargis le chemin sous mes pas, Et mes pieds ne chancellent point.

     

    Je poursuis mes ennemis, et je les détruis; Je ne reviens pas avant de les avoir anéantis.

     

    Je les anéantis, je les brise, et ils ne se relèvent plus; Ils tombent sous mes pieds.

     

    Tu me ceins de force pour le combat, Tu fais plier sous moi mes adversaires.

     

    Tu fais tourner le dos à mes ennemis devant moi, Et j'extermine ceux qui me haïssent.

     

     

     

    Ce soir c’est le shabbat fin de Pessa’h on allume les bougies, le vin du kiddouch et le pain azyme.

    Fin de la fête de Pessa’h samedi soir.

     

     

     

    Shabbat shalom Soyez Bénis.

     

    Lecture de la Torah : Exode Chapitre 14.

    Esaïe : Chapitre 11 verset 1 à 18 (16).

    2 Samuel : Chapitre 22 verset 1 à 51.

    Jean : Chapitre 20 verset 26 à 31.

     

     

     

    Shabbat shalom.

     

     

     

    L.B


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  • La Pâque ou Pessa’h.

     

     

    Le plus grand miracle que Dieu est donné aux hommes c’est le miracle de Pessa’h. C’est son amour Yeshoua offert en sacrifice pour qu’on puisse vivre le miracle de la résurrection.

     

    Dieu ayant choisi une famille juive éduquer selon la loi de Moïse pour donner vie à Yeshoua.

    Quand son temps fut arrivé pour accomplir sa mission divine ! s’offrir en sacrifice Pessa’h Il se laissa clouer sur le poteau pour porté tous les péchés des hommes de la terre afin qu’ils aient la délivrance. Mais avant de donner Sa vie Yeshoua nous a laisser SES recommandations afin de ne pas se laisser séduire par satan et ses légions.

     

    Il nous a demandé de ne jamais oublier Sa Torah et ses rendez-vous afin de commémorer sa mort et sa résurrection en mémoire de Lui. 

    De commémorer Pessa’h selon les instructions donnés.

    De ne plus avoir aucune trace de levain dans nos maisons et de célébrer cette fête en mangeant des pains sans levain et des herbes amères.

    Nos actions sont à l’image de ce qui ce passe dans l’invisible spirituel. Donc on aura pris soin de nettoyer sa maison de toutes nourritures ayant de la levure et à la place on doit manger des matsots.

     

    Les sages d’Israël définissent le secret des pains azymes en disant que si on consomme la matsa chemoura ( le pain de la foi)  on manifeste la confiance  que l’on a envers Dieu pour les délivrances qu’il va faire en nous.

    L’action de la délivrance de tout ce qui s’oppose  en nous contre Dieu.

    Yeshoua nous a laissé plusieurs messages à travers les écrits bibliques.

     

     

     

    La Pâque en hébreu se dit Pessa’h qui veut dire passer au- dessus ou sauter par-dessus. Car  le soir de Pessa’h l’ange de la mort vient détruire tous les premiers nés d’Egypte.

     

     Pessa’h veut dire aussi de façon littéraire la bouche, le verbe -créateur;  Pharaon de même exprime la mauvaise bouche qui s’oppose sans cesse à Dieu.

     

    Ce qui nous enseigne sur les recommandations de Yeshoua sur le levain.

    Quest ce donc le levain ?

     

    Mathieu :16;6 et ….11;12.

     

    Yeshoua leur dit: Gardez-vous avec soin du levain des pharisiens et des sadducéens.

     

    Comment ne comprenez-vous pas que ce n'est pas au sujet de pains que je vous ai parlé? Gardez-vous du levain des pharisiens et des sadducéens. Alors ils comprirent que ce n'était pas du levain du pain qu'il avait dit de se garder, mais de l'enseignement des pharisiens et des sadducéens.

     

     

    Ce que Yeshoua dénonce prophétiquement comme étant le levain  c’est les doctrines que vont apporter les pharisiens et les sadducéens.

    Les pharisiens et les sadducéens c’est les représentations des systèmes religieux associés à la politique, c’est les religions qui veulent gouverner sans se soucier de la parole de Dieu.

    Les pharisiens et les sadducéens c’est l’image de la bouche mauvaise de Pharaon qui veut dominer tout le monde,

    Ceux qui s’organisent à créer une identité religieuse qui s’oppose à la Torah, qui s’oppose à l’identité juive.

    C’est tous les partis religieux qui crée la division envers le peuple.

     

    Actes 23;6,7.

    Paul, sachant qu'une partie de l'assemblée était composée de sadducéens et l'autre de pharisiens,…………………………….. c'est à cause de l'espérance et de la résurrection des morts que je suis mis en jugement. Quand il eut dit cela, il s'éleva une discussion entre les pharisiens et les sadducéen, et l'assemblée se divisa.

     

    Yeshoua annonçait la division du peuple; ceux qui suivent la doctrine selon la loi gardée par Israël contre ceux qui trouveront toujours a redire contre Israël.

     

     

    Les pharisiens et les sadducéens ce son multipliez répandu comme de la lèpre contaminant tout sous leurs passages car la masse a une grande influence. 

    Il y a des petits groupes de pharisiens et de sadducéens capables de détourner le peuple de Dieu les attrayants par la jovialité de la communauté, toutes sortes de moyens sont utiles  pour diviser même les plus fidèles croyants.

     

    Mais Pessa’h c’est ce levain qui doit bruler. 

    Le ciel en est témoin le feu brule les hauts lieux qui ont diviser le peuple de Dieu.

    Ces pharisiens et sadducéens qui tiennent depuis des siècles le peuple en esclavage liés depuis des générations mais Dieu brule les bâtiments, rempli d’impureté, d’idolâtrie, d’outrageux, de ravisseurs.

    Il ôte tous les méchants qui veulent pas libérer les captifs de la religion.

     

    Mais Yeshoua donne cette réponse.

     

    Actes 15:12 à 15.

     

    Alors ses disciples s'approchèrent, et lui dirent: Sais-tu que les pharisiens ont été scandalisés des paroles qu'ils ont entendues? Il répondit: Toute plante que n'a pas plantée mon Père céleste sera déracinée. Laissez-les: ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles; si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse.

     

     

     

    Car tous ces pharisiens et ces sadducéens empêchent les hommes et les femmes d’aller vers YESHOUA.

     

     

    Pessa’h c’est la liberté des hommes de suivre Yeshoua;

    La révélation de Pessa’h c’est le rassemblement du peuple de Dieu.

    C’est pourquoi la nuit de Pessa’h est unique, Dieu voit le coeur de tous les (accoudé) devant la table du seder immortalisant le miracle de Yeshoua  le peuple attendant les délivrances qu’il a besoin.

     

    La nuit de Pessa’h c’est la nuit du changement c’est le moment le plus élevé sur la terre, l’influence de la lumière de Yeshoua agit sur le monde de Jérusalem jusqu’au bout du monde.

    Le rendez-vous de l’année à ne pas manquer c’est la nuit de la Pâque tous les liens sont coupés, tous ceux auxquels on a renoncé seront brulé.

    La nuit de pessa’h notre Qorban Yeshoua a eu la victoire sur satan et la délivrance est accordée à tous ceux qui veulent suivre Yeshoua et la Torah.

     

    C’est pourquoi a quelques heures de Pessa’h on va bruler les dernières miettes de pain symbolisant notre volonté à être libérés des levains qui nous ont éloignés de Dieu. Demander pardon pour avoir si bien adhéré à ces religions rempli de levain de fausses doctrines et demander pardon pour les conséquences de notre éloignement de Dieu qui nous a fait  devenir idolâtre de ces religions.

     

     

     

    La fête de Pessa’h se déroule en plusieurs temps. 

     

    Vendredi soir 19 avril 2019 début de la fête de la Pâque. Le deuxième jour samedi soir 20 avril débute  la fête des pains sans levain. Ces deux fêtes sont comme des shabbat puis le troisième jour on agite une gerbe (une branche) pour commémorer la résurrection du messie YESHOUA  puis le dernier jour  c’est la fête du dernier jour qui terminera  le samedi 27 avril au soir. 

     

     

     

    La fête commence Vendredi soir 19 avril  et ce termine samedi 27 avril  en soirée. Pendant sept jours il nous est interdit de consommer toutes nourritures contenant de la levure ni d’en avoir dans notre maison.

     

     

    1 Corinthiens 5 : 7à 8.

     

    Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car le Messie, notre Pâque, a été immolé. Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, non avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la pureté et de la vérité.

     

    La fête de Pessa’h se déroule comme suit: 

     

    Sur le plateau arrondi du seder il y a :

    3 galettes de pain sans levain.

    Un os d’agneau grillé.

    Des herbes amères (endive ou équivalent).

    Un oeuf.

    Feuille de salade. 

    Branche de celeri ou equivalent.

    Le mélange écrasé à base de pomme, fruit sec et vin. 

    De l’eau salée.

     

    (4 coupes de vin).

     

    Rituel du seder messianique.

     

    1 La première coupe de vin: (Prière).

    —  Béni sois- tu Eternel notre Dieu roi de l’univers qui a fait pousser le fruit de la vigne. 

     

    Barou ata Adonaï éloénou méler  aholam boré péri agéfen.

     

     

    Et, ayant pris une coupe et rendue grâce, Yeshoua dit: Prenez cette coupe, et distribuez-la entre vous.

     

    (Partager la coupe ou distribuer en individuel en étant accoudé du coté droit).

     

     

     

    2 Se laver les mains.(sans la prière).

     

      

    3 Prendre la galette du milieu, la casser en deux, reposer la petite moitié entre      les deux autres galettes puis prendre la grande moitié et dire :

     

    — Béni sois- tu Eternel notre Dieu roi de l’univers qui a fait sortir le pain de la terre.

     

    —Barou ata Adonaï éloénou méler aholam amotsi lé rém min aarets.

     

    Puis  dire:

    Yeshoua dit: Ceci est mon corps, qui est donné pour vous; faites ceci en mémoire de moi.  

     

     

     4 Prendre cette galette l’envelopper dans un tissu blanc le porter sur l’épaule et aller la cacher.(En générale sous la nappe).

    Puis dire:

    —Ils prirent le corps de Yeshoua et l’enveloppèrent de bandes avec des aromates comme c’était la coutume d’ensevelir chez les Juifs .

     

     

    5Un enfant demandera : Pourquoi on doit faire tout ça ? 

    Le responsable dira :

    — Car l’Eternel nous a délivrés  de notre esclavage en Egypte .

    L’Eternel notre Dieu nous a fait sortir de ce pays par sa main puissante et son bras étendu.

    Soyons-nous tous des croyants obéissants, tous instruits dans la Loi,

    Béni soit Dieu,Lui qui a donné la Torah à son peuple! Et qui a envoyé le messie Yeshoua pour nous délivrer de la mort.

     

     

    6 Deuxièmes coupes de vin, partagés accoudés.(sans la prière).

     

     

    7 Relaver les mains.

    (Prière).

    Bénis sois-tu l’Eternel notre Dieu Roi de l’univers qui nous a sanctifiés par Tes commandements et nous a ordonné de nous laver les mains.

     

    —Barou ata Adonaï éloénou méler aholam acher kidétchanou  bémitsvotav vétisvanou al nétilat yada-im

     

    8  Chacun prendra l’herbe amère (endive)  le trempera dans l’eau salée et en mangera. 

     

    9 Chacun prendra la salade, le céleri la pâte mélangée avec la galette et le mangera. 

     

     

    10

     Puis sur l’os on dit:(ne pas manger).

    -Maintenant c’est par Yeshoua qui s’est fait offrande de sacrifice que nous n’apportons plus nos offrandes au temple pour  le pardon de nos péchés

     

    Puis sur l’œuf on dit:(ne pas manger).

    - Maintenant c’est par  Yeshoua notre temple que nous lui apportons l’offrande de nos prières .

     

     

     

    11 Consommer le repas, l’agneau rôti en prenant les premières bouchées rapidement et  un bâton à la main et une ceinture à la taille.(Si possible). 

     

    12 Prendre la troisième coupe de vin, partager accoudé.(sans la     prière).

     

    13  Aller chercher le pain caché. (Ne pas le manger  tout de suite ).

      Puis dire:

           — Yeshoua  a été enseveli et il est ressuscité le troisième jour.

     

    14 Boire la dernière coupe de vin accoudé.(Sans la prière). 

    15 Partager et manger la galette  accoudée.

     

    Les lectures bibliques du premier jour de la Fête de la Pâque  sont:

    Exode: Chapitre 12 en entier.

    Josué: Chapitre 5 verset 2 à chapitre 6 verset 1.

    Luc: Chapitre 23 verset 33 à chapitre 24 verset 12.

     

     

    Ecouter  ou chanter des chants  de louanges. 

     

     

     

    Le deuxième jour qui est le premier jour de la Fête des pains sans levain les lectures sont. 

     

     

    Les lectures bibliques sont:

    Lévitique : Chapitre 22 verset 26 à chapitre 23 verset 44.

    1 Rois : Chapitre 23 verset 1 à 9 puis 21,25.

    Lecture : Mathieu chapitre 28 verset 1 à 10.

     

    Durant ces jours on ne consomme pas d’aliment contenant de la levure.

     

    Bonne fête de Pessa’h a tous.

     

     

     

    L.B

     

     

     

     


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  • C’est la vérité qui guérit.

     

    La parasha Metsora traite dù sujet sur l’impureté du à la lèpre ou autres lésions de peau pouvant atteindre les vêtements et les murs des maisons.

     

    Metsora veut dire : Personne atteinte de Tsaraat.

    Tsaraat veut dire : Lèpre.

    C’est donc une personne atteinte de lèpre.

    Les grands commentateurs de la Torah nous enseignent que cette lèpre ou plutôt cet tsaraat n’existe pas  en termes biologiques car c’est une maladie spirituelle qui se manifeste sur le corps, la méthode de guérison est vraiment bizarre car ce n’est pas en allant consulter un médecin mais en allant devant un Cohen qui ordonnera d’apporter 2 oiseaux, du bois de cèdre, de l’écarlate et de l’hysope. Il égorgera 1 oiseau pour faire couler le sang au dessus d’un récipient avec de l’eau, il prendra l’oiseau vivant il le trempera dans ce mélange d’eau de sang, du bois de cèdre, d’hysope de l’écarlate,  de ce mélange le lépreux en sera aspergé 7 fois  et il lâchera l’oiseau s’envoler.  La personne impure sera placée hors du camps, ce metsora est donc qualifié d’impur durant les 7 jours. Ces références nous rappellent le sacrifice de mort et de résurrection de Yeshoua le Messie.

     

    Le degré d’impureté le plus élevé est celui d’un mort, la peau d’un cadavre contamine tout ce qui l’approche, peau, vêtement, mur.

    Le metsora à la peau qui devient blanche comme la peau d’un mort.

     

    Nous apprenons aussi par référence au texte biblique que Myriam la soeur de Moïse fut atteinte de lèpre(tsaraat) lorsqu’elle critiqua  son frère Moïse elle fut metsora blanche comme un cadavre.

    Cet enseignement nous donne de comprendre que dire du mal d’un homme de Dieu  comme Moïse est très grave. Deux choses sont répertoriées au sujet de cette lèpre ceux propagent des critiques et ceux qui sont arrogants.

     

    Cet Tsaraat fait référence aux propos de Yeshoua par le terme sépulcre blanchis.

     

    Nous retrouvons dans le texte de Mathieu :23: 27, 33

    Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites! parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au-dehors, et qui, au-dedans, sont pleins d'ossements de morts et de toute espèce d'impuretés. Vous de même, au-dehors, vous paraissez justes aux hommes, mais, au-dedans, vous êtes pleins d'hypocrisie et d'iniquité.

     

    Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites! parce que vous bâtissez les tombeaux des prophètes et ornez les sépulcres des justes, et que vous dites: Si nous avions vécu du temps de nos pères, nous ne nous serions pas joints à eux pour répandre le sang des prophètes. Vous témoignez ainsi contre vous-mêmes que vous êtes les fils de ceux qui ont tué les prophètes. Comblez donc la mesure de vos pères. Serpents, race de vipères! comment échapperez-vous au châtiment de la géhenne?

     

     

    -Par ses injonctions Yeshoua dénonçait l’attitude de ceux qui se prennent pour des arrogants qui pensent être propre mais qui en fait se sont souillés. Tous ceux qui se mettent en avant pour avoir des privilèges.

    Tous ceux qui disent comprendre la bible et n’enseignent pas à la pratiquer tous ceux qui lisent la loi de Moïse et disent que la loi n’est plus valable.

    Tous ceux-là sont des metsora remplis de tsaraat la maladie qui vient de l’esprit qui s’oppose à La vérité de Dieu.

    Tous ceux qui médisent contre la loi de Moïse; l’arrogance de leurs discours ont provoqué la colère de Dieu car c’est Dieu qui envoie la tsaraat comme le verset le confirme.

    Le lévitique14:33

       Lorsque vous serez entrés dans le pays de Canaan, dont je vous donne la possession; si je mets une plaie de lèpre(tsaraat) sur une maison du pays que vous posséderez,

     

    -La parasha mentionne aussi tous les écoulements de sang d’origines maladives qui font référence à l’agonie de l’âme.

    L’âme mal traitée agonisse dans son environnement sali par les mensonges.

    Le metsora c’est celui qui annonce les mensonges de sa lèpre il va contaminer tout le monde de cette contamination il va causé des lésions de sang à tous ceux qui le fréquentent. Nous retrouvons cela quand Yeshoua a guéri la femme atteinte d’une perte de sang.

    Luc: 8: 33,34.

    Or, il y avait une femme atteinte d'une perte de sang depuis douze ans, et qui avait dépensé tout son bien pour les médecins, sans qu'aucun ait pu la guérir. Elle s'approcha par derrière, et toucha le bord du vêtement de Yeshoua. Au même instant la perte de sang s'arrêta. 

     

     

    -Cette femme allait de lieux en lieux chercher la guérison et donner  tout son argent pour être guéris.

    Cette femme avait été contaminé par des prédicateurs affamés de reconnaissance, et de prospérité.

     

    C’est pourquoi nous pouvons tous être concerné par cette parasha. Nous avons pu être ces metsora qui avons propagé un sauveur qui n’est pas le fils de Dieu, un sauveur sans Torah.

    Nous pouvons aussi avoir été contaminé et avoir des lésions qui coulent c’est la conséquence de nos errements dans les lieux sans Yeshoua.

     

    Cette parasha puissante vient guérir nos plaies et nos âmes en souffrances.

    L’occasion nous est encore donnée de se purifier de toutes nos impuretés de doctrines mensongères, toutes sortes d’adorations et d’avoir donné notre argent qui a fait fructifier les paroles du mensonge. Cette lèpre est très contagieuse elle se diffuse ou l’esprit religieux règne pasteur, prêtres, prédicateurs et toutes sortes de gourous qui trompent les foules par les belles paroles.

     

     

    C’est pourquoi le lépreux doit sortir d’où il est  pour se purifier et arrêter de contaminer les autres. Il doit s’isoler, s’éloigner afin de trouver la guérison  pour qu’il prenne conscience qu’il est lui-même la source de sa lèpre.

     

    Le Seigneur dit  regarder le pur pour devenir pur !  Le contact avec le pur rend pur. L’idée de toucher et de voir ce qui est pur pour devenir pur n’est réalisable que d’une seule manière sachant que nous ne pouvons ni voir ni toucher Yeshoua ! mais nous avons la Torah.

     

    La Torah c’est la guérison, la purification  toucher la Torah c’est comme si  on touché Yeshoua. C’est la notre liberté  toucher la Torah ça veut dire la mettre en pratique de notre plein gré notre action nous guéris de la lèpre.

    Le lépreux c’est quelqu’un qui croit en  Dieu mais pas en la Torah car il a été dans des lieux ou il y a des lépreux qui contaminent tout ce qu’ils touchent.

     

     

     

    Yeshoua est proche de tous les lépreux, Il a dénoncé les religieux hypocrites qui cherchent a faire taire ceux qui annoncent la Torah. 

     

    Yeshoua  attend que l’on vienne et qu’on lui demande pardon pour s’être joint parmi les impures dans des lieux impurs et avoir propagés nos impuretés.

     

     

    Cette parasha avant Pessa’h (Pâques) qui commencera Vendredi 19 avril à la tombée de la nuit nous invite à nous préparer  pour la nuit de Pessa’h à être trouvé propre devant le sacrifice de Yeshoua.

     

    Commençons par reconnaitre nos errements dans les lieux sans Torah et demandons à Yeshoua qu’Il nous guérisse.

         

     

    Ce temps pour la guérison de toutes lèpres qui nous ont atteints afin que cette guérison agisse au plus profond de notre âme.

     

    Je te demande pardon Seigneur Yeshoua pour t’avoir méprisé et avoir méprisé les enseignants que tu as utilisés pour le service Divin.

    Je reconnais t’avoir méprisé dans ton identité juive mais chercher dans une identité païenne. Je veut te suivre et être guéri je veux marcher comme toi tu as marché. Merci pour ta Torah qui me guide chaque semaine dans les lectures de tes parasha. 

    Je te demande pardon pour avoir eu du mépris envers tes serviteurs auxquels j’ai dits des mauvaises choses et je les ai propagé autour de moi  et j’ai aussi écouté les mauvais propos que disaient les autres, car je reconnais avoir pris plaisir à écouter et à rapporter ces mauvais propos alors que ses serviteurs sont Tes serviteurs. 

    Yeshoua purifie-moi et je serai guéri afin que je n’arrête pas tes serviteurs par mes mauvaises paroles.

     

    Shabbat shalom 

     

     

    Lecture de la parasha : Le Lévitique : Chapitre 14 verset 1 à chapitre 15 verset 33.

    Lecture de la haftarah : 2 Rois Chapitre 7 verset 3 à 20.

    Lecture messianique : Mathieu : Chapitre 23 verset 1 à 33. Marc : Chapitre 1 : 40 à 44.

     

     

    L.B

     


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  •  

    Rempli de Dieu !

     

    La parasha  Tazria décrit les détails de certaines lois qui sont particulièrement difficiles à saisir. Elles font partie de ces lois appelées « houkim où décrets dont le sens nous échappe complètement.

     

    Tazria traduit littéralement par « lorsqu’elle ensemencera ». 

    Le premier niveau d’interprétation traite sur l’impureté après un accouchement donc la loi prescrit de respecter le temps de purification.

    Puis la parasha décrit toutes sortes de maladies de peaux contagieuses jusque sur les murs et les tissus.

    Mais comme la parasha Tazria se combine avec la parasha Mestora que nous liront la semaine prochaine qui traite justement de ses conséquences relatives aux lois d’impureté nous lirons les commentaires sur les conséquences que nos bonnes ou mauvaises actions qu'ont fait apparaitre sur le corps toutes sortes de lésions internes ou externes.

     

    Donc pour cette parasha  le deuxième niveau d’interprétation métaphorique sur la manière d’exposer les choses dont les Sages ont reçus et nous ont transmis de génération en génération nous éclaire sur les secrets les plus cachés de la Torah.

    La femme fait référence à la dimension féminine de la création. C’est-à-dire a l’aspect récepteur du monde.

     

    Le monde est ensemencé « Tazria » par Dieu.

    Dieu déverse en permanence son Esprit sur le monde.

    Dieu c’est le principe masculin, Dieu donne, libère de Sa présence dans l’être humain.

    L’ être humain est un principe féminin qui reçoit, c’est un contenant qui est ensemencé et fait grandir ce qui est ensemencé en lui !!!! 

    L’être humain à l’image d’une matrice féconde  et donne au monde ce qu’il fait naitre de lui.

     

    L’idée c’est de comprendre que l’on a le choix d’être ensemencé soit à partir de la Torah en mettant en pratique ses principes soit d’être ensemencé selon les principes du monde opposer à la Torah en se rabaissant à un niveau qui laisse aller ses pulsions corporelles.

     

    Le but étant d’élever le corps vers la spiritualité car le corps est le vecteur nécessaire et indispensable pour atteindre une totale adhésion avec Dieu.

    On comprend alors que se nourrir avec les aliments purs selon les prescriptions de la Torah ou de ne pas faire avec son corps des choses impures n’est pas simplement un mode de vie, mais c’est prioritairement  d’élever le corps vers la sainteté  il s’agit donc de la vraie sanctification.

    Là  est la fonction de cette âme que Dieu a déposée « ensemencer » en nous.

     

    Tous les commandements doivent être vus comme des moyens d’élever le corps pour reconnaitre  que tout n’a qu’une seule source le Dieu qui donne la vie.

    Ainsi toutes les actions de l’homme dans ce monde n’auraient pour but que d’élever en permanence la matérialité vers la spiritualité.

    Toutes nos actions dans chaque domaine de nos vies  doivent continuellement s’inspirer  de la Torah.

     

    Ce qui vaut aussi sur le plan collectif. Lorsque le peuple de Dieu a le désir d’atteindre cette dimension de la vraie sanctification alors le peuple est appelé « Knesset » « l’assemblée d’Israël ».

    La vrai Keïla d’ Adonaï. L’assemblée des enfants de Dieu est un terme également féminin.

     Cette dimension de la Keïla  est la plus haute dimension du corps  un corps féminin ensemencer par le divin semblable à la dimension d’unité entre les deux.

     

    Le cantique des cantiques entièrement fondé sur l’Amour réciproque entre Dieu et son peuple.

    Le Grand Maître Rambam  le prend comme référence à l’enseignement  comment  doit être l’amour de Dieu et notre amour pour Lui. Un Amour si puissant que l’âme de l’homme est lié à Dieu comme des amoureux qui pensent sans cesse l’un à l’autre. Le cantique des cantiques est le texte qui parle le mieux et le plus poétique de cet Amour entre Dieu et son assemblée.

    D’un point de vue métaphysique  c’est l’amour qui porte le peuple de Dieu qui doit être fécondé « Ensemencer » c’est-à-dire que si le peuple de Dieu aime et désir si fort la présence de Dieu il sera ensemencé  et donnera naissance  par cette union  à Son esprit qui grandit en nous.

     

    Les enseignants traduisent ses textes par le désir si fort du peuple  que l’enfantent sera la naissance du messie. En désirant de tout son coeur de toute son âme et de toute sa force  que la rédemption finale se réalisera.

     

    C’est cette réalité qui a du mal a se concrétiser car la vraie différence entre quelqu’un qui aime prie ou croit en Dieu pour que sa vie soit bien harmonisée et celui qui Adore en Esprit et en vérité pour seulement l’amour de Dieu et c’est cela que veulent dire les enseignants Dieu se révèle dans sa Torah a ceux qui crient leur amour pour Dieu pour avoir cette union qui les liera pour toujours.

     

     

    Un parallèle avec la lecture de notre haftarah qui nous donne les réponses !.

     

     

    2 Rois 4 ; 42,44;

     

    Son serviteur répondit: Comment pourrais-je en donner à cent personnes? Mais Elisée dit: Donne à ces gens, et qu'ils mangent; car ainsi parle l'Eternel: On mangera, et on en aura de reste. Il mit alors les pains devant eux; et ils mangèrent et en eurent de reste, selon la parole de l'Eternel. 

     

    Mathieu :14;17 à 20.

       

    Mais ils lui dirent: Nous n'avons ici que cinq pains et deux poissons. Et il dit: Apportez-les-moi. Il fit asseoir la foule sur l'herbe, prit les cinq pains et les deux poissons, et, levant les yeux vers le ciel, il rendit grâces. Puis, il rompit les pains et les donna aux disciples, qui les distribuèrent à la foule. Tous mangèrent et furent rassasiés, et l'on emporta douze paniers pleins des morceaux qui restaient. 

     

    Ces versets sont interprétés comme étant la réponse que Yeshoua donne aux vrais Adorateurs de Dieu.


    Yeshoua prit les 5 pains ! Ces 5 pains font référence à la Torah car la Torah est formée par 5 livres.

    Yeshoua pris les 2 poissons ! Ces 2 poissons font référence aux 2 tables des commandements.

     

    La révélation de ce texte prouve que Yeshoua donnait les instructions au peuple de suivre la Torah et les commandements Il voulait que tous comprennent que c’est seulement cela qui ensemence le corps de l’homme pour l’élever vers Dieu.

     

    Yeshoua nourrissait des foules par l’enseignement de la Torah  et tous étaient guéris de leur maladie.

     

    Ce que Dieu attend de nous c’est un amour si fort que nous soyons prêts à poursuivre notre vie en se conformant à la Torah pour que notre union soit indestructible face à toutes les tentations que l’ennemi va placer devant nous pour nous tenter de suivre une autre voie;

    La Torah est notre garantie c’est notre certificat d’amour c’est le scellement de notre union.

     

    Notre cri d’amour pour ce shabbat Tazria c’est l’ensemencement de l’amour de Dieu en nous.

     

     

    Ô MON DIEU JE CRI VERS TOI CAR JE VEUX QUE TU VIENNES EN MOI JE TE DONNE MON AMOUR ET MA VIE JE T’AIME DE TOUT MON COEUR, DE TOUTE MON ÂME ET DE TOUTE MA FORCE NOURRIT MOI DE TA TORAH,REMPLI MOI DE TOI JUSQU’A QUE JE SOIS RASSASIÉ ET QUE JE PUISSE AUSSI DONNER AUX AUTRES DE TES DELICES ET JE SERAI GUERIS AU NOM DE YESHOUA.

     

    Shabbat shalom.

     

    Lecture de la parasha : Le Lévitique : Chapitre 12 verset 1 à chapitre 13 verset 59.

    Lecture de la haftarah; 2 rois : Chapitre 4 verset 42 à chapitre 5 verset 19.

    Lecture messianique :  Luc : Chapitre 2 verset verset 21 à 23 et chapitre 5 verset 12 à 16.

     

     

    L.B

     

     


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  • Vers l’infini et au delà !

     

    La parasha Chemini s’ouvre sur l’inauguration du tabernacle qui eut lieu le 1 Nissan de la seconde année. Pendant sept jours durant lesquels Aaron et ses fils durent rester dans la tente d’assignation jour et nuit, ce que l’on appelle les sept jours de « milouim ».

    Le huitième jour eut donc lieu l’inauguration.

    Le sept correspond à ce qui est naturel sur la terre, comme la semaine…..

    Le chiffre huit correspond à ce qui a une dimension spirituelle, comme la Torah, la présence Divine.

     

    Le huitième jour n’existe pas en tant que jour existant, c’est le jour vers l’infini, chemini nous enseigne qu’après le septième jour shabbat on s’élève, on transcende la réalité du monde pour atteindre le niveau de chemini. comme un jour parallèle à notre réalité.

    La parasha ne s’appelle pas Yom ha chemini (le huitième jour) mais s’appelle Chemini (huitième), pour nous enseigner qu’on na pas besoin d’un jour particulier pour atteindre ce niveau.

    C’est donc une dimension à atteindre pour sortir de nos limites.

    L’inauguration du Saint Lieu c’est accueillir le Seigneur !

    C’est l’ultime étape qui va changer les choses.

    Le surnaturel qui va agir pour changer le mal en bien.

     

    Chemini c’est la 26 éme parasha ; Ce 26 comme le Nom qui nous unit à Dieu c’est le lien invisible qui se crée le huitième jour par les parfums apportés au temple.

    Les parfums ou encens se dit en hébreu « Qetoret » qui veut dire « lien ». L’inauguration c’est la concrétisation de notre union avec Dieu.

     

    Souvent les croyants désirs de tout leur coeur que les choses changent, qu’ils soient délivrés de leurs mauvaises choses encore agissantes, tel que des pulsions que les désirs corporels réclament.

    le problème qui persiste c’est que les croyants ont fait de Yeshoua leur Sauveur mais ils ne l’ont pas comme leur Seigneur. 

    Faire de Yeshoua son Seigneur c’est l’inauguration de notre temple, l’inviter à demeurer en nous afin qu’Il puisse venir bruler comme un feu à l’intérieur tous les mauvais désirs que nous n’avons pas pu maitriser.

    C’est cette parasha Chemini qui nous invite à réaliser cette inauguration en laissant le Maître Yeshoua être le Seigneur en nous.

     

    On pourrait penser qu’en tant que croyant la chose est faite mais la condition c’est de faire de Yeshoua  notre Sauveur et Seigneur en marchant par la Torah.

     

    Dans cette parasha chapitre: 10: 20; Moïse se met en colère contre Aaron et le reprend en lui disant « Pourquoi vous n’avez pas mangé la victime expiatoire dans le Lieu Saint  selon les prescriptions de la loi ».

    Aaron lui explique que selon la loi quand on est en deuil on ne peut pas la manger comme cela.

    Moïse acquiesça; 

    Selon  le maitre Rachi; Moïse reconnus son erreur , il n’eut pas honte de l’avouer et de plus il insista de faire cette annonce devant tout le peuple car à travers cette situation il voulait donner un enseignement;

    -Car tout homme suivant son importance qu’il soit un dirigeant, un conseiller ou bien un simple croyant devrait de reconnaitre ses erreurs et se plier aux exigences de la vérité. 

     

    Le maitre Rabba Ba Houna:  expliquait qu’une personne ne peut réussir dans l’étude de la Torah sans trébucher de nombreuses fois le long de son chemin de vie. car une personne n’arrive à comprendre réellement qu’après s’être trompé et avoir reconnu son erreur ce qui lui permet de Ré_analiser la chose jusqu’à  ce que ça devienne tout à fait clair à ses yeux.

     C’est souvent comme ça que la conviction de la faute se manifeste  pour en prendre conscience et en finir avec les fausses idées.

     

    Selon la loi il est interdit de consommer de la nourriture impure, une classification des animaux mentionne ceux que Dieu a crée pour l’alimentation et ceux que Dieu a crée pour le cycle de la nature.

     

    Il est très important de respecter l’ordre des choses établi par Dieu pour avoir un corps nourrit d’aliment pur car notre corps est pour le Seigneur.

     

    Cette inauguration en ce shabbat nous rappel que si nous désirons que Yeshoua le Sauveur soit notre Seigneur nous puissions par cette parasha reconnaître nos erreurs pour ce qui concerne l’alimentation selon la Torah et décider de changer nos mauvaises habitudes afin que pour cette inauguration le Seigneur  ne trouve rien d'impurs en nous. Cette parasha est comme une guérison pour le corps et pour l’ âme.

    Les recommandations sur la nourriture sont des liens qui nous rattachent à Dieu qui comble les vides en nous.

    Le mot VIDE en hébreu se dit HALAL qui se traduit par « La maladie, le corps malade ».

    la nourriture dite PURE en hébreu se traduit par « convenable, propre ».

    La nourriture est notre capital santé, faire la distinction entre le pur et l’impur nous assure une bonne santé .

    Le corps accueille la nourriture et l’âme la reçois, car la nourriture va dans le sang et l’âme est dans le sang et notre âme c’est le lien avec Dieu.

     

    Si cette parasha nous parle d’inauguration c’est pour nous dire que si on inaugure notre temple intérieur pour y accueillir Yeshoua Sauveur et Seigneur c’est aussi le moment pour s’engager à suivre les lois sur la nourriture que l’âme peut  recevoir car L’Esprit de Dieu ne peut se contenir là où il y a de l’impureté.

     Il nous est donné  de se  repentir de nos erreurs passées si on a consommé de la nourriture impure  durant notre vie et  de se libérer de ses mauvais désirs qui nous poussaient à consommer ce qui est interdit.

     

    Cette parasha pour se réjouir de Sa vie que Dieu a mise en nous et décider de ne plus consommer de nourriture interdite ainsi on aura réalisé ce Chemini en nous lien éternel qui nous unit à Dieu. Et  ce sera aussi la bonne santé pour notre corps.

     

     

    Shabbat shalom.

     

    Lecture de la parasha : Le Lévitique : Chapitre 9 verset 1 à chapitre 11 verset 47.

    Lecture de la haftarah : 2 Samuel : Chapitre 6 verset 1 à 19.

    Lecture messianique: 2 Corinthiens: Chapitre 6 verset 14 à chapitre 7 verset 1. 1Pierre :1; 14 à 16.

     

    L.B  

     

     

        

     


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  • La reconnaissance c’est la Re-naissance.

     

    La parasha Tsav donne les prescriptions sur les sacrifices de sang!

    L’allusion donner sur le texte décrit que le seul sacrifice qui restera même sans le temple sera le sacrifice complet c’est le sacrifice du sang  car IL sera comme un feu qui ne s’éteindra jamais! 

    Ce sacrifice de sang sera celui du messie qui sera le grand sacrifice pour la rédemption du monde entier.

     

    Ce sacrifice sera rejeté car les peuples ne voudront toujours pas se soumettre à Dieu.

    Extrait de notre haftarah:

    -« Mais voici, vous vous livrez à des espérances trompeuses, Qui ne servent à rien. Quoi! dérober, tuer, commettre des adultères, Jurer faussement, offrir de l'encens à Baal, Aller après d'autres dieux que vous ne connaissez pas!... Puis vous venez vous présenter devant moi, Dans cette maison sur laquelle mon nom est invoqué, Et vous dites: Nous sommes délivrés!... Et c'est afin de commettre toutes ces abominations! Est-elle à vos yeux une caverne de voleurs, Cette maison sur laquelle mon nom est invoqué? Je le vois moi-même, dit l’Eternel.

     

    Mais voici l'ordre que je leur ai donné: Ecoutez ma voix, Et je serai votre Dieu, Et vous serez mon peuple; Marchez dans toutes les voies que je vous prescris, Afin que vous soyez heureux. Et ils n'ont point écouté, ils n'ont point prêté l'oreille; Ils ont suivi les conseils, les penchants de leur mauvais coeur, Ils ont été en arrière et non en avant ». 

     

    Personne n’aime entendre la vérité. Il n’ y a d’ailleurs que des guerres à cause de la Vérité. Car le monde n’est pas près à la recevoir, ni au niveau individuel, ni au niveau collectif. L’homme non réparé veut un monde où tout semble refléter la Paix. Mais quelle paix, une paix qui joue à l’autruche. Nous n’avons pas été créés déjà parfaits, mais pour nous nettoyer, afin de le devenir.

    Un jour, l’Eternel dévoilera tout de nos vies, alors nettoyons-nous et transformons-nous, et nous pourrons supporter, avec humilité, la vérité qui sera révélée sur nous-mêmes.

     

    Pourtant Dieu avait tout planifié; Il nous demandait un peu d’obéissance, et de reconnaissance.

     

    Tsav représente l’archétype de la libération à venir après la sortie d’Egypte. C’est dans le sens que chaque fête de Pessah a le pouvoir de transformer le monde.Tout le rituel de Pessah transforme l’acte en réalité messianique.

    Cette réalité méta-historique sert de modele à la réalité qui révèle Yeshoua le messie.

    Cette sortie d’Egypte, de l’esclavage c’est aussi être capable de passer au-dessus de la force collective qui conduit le monde a la perdition. Résister avec force à l’emprise du système manipulateur qui voudrait que l’on soit comme des non-penseurs; Car le but de cet antéchrist qui sévit dans le monde est que les individus soient comme des sans âmes sans état âmes sans émotions sans différences sans religions, sans valeurs morales, sans distinction de sexes, tout est programmé pour qu’on s’habitue à ce que l’on accepte de vivre sous le contrôle de la bête. Peut-être encore maintenant ce n’est pas d’une grande évidence mais doucement on y arrive, de plus en plus de débauches jusqu’à nous faire accepter la pédophilie, qui sera d’usage courant, la violence un apanage journalier, et toujours les élites et ceux qui si accrocheront.

     

    Vivre cette liberté de penser et d’agir avec Dieu c’est la volonté de suivre les règles que Dieu nous a imposé.

     

    Vivre cette  liberté pour faire vivre notre âme  l’élevé pour vivre une vie qui a du sens et des valeurs.

    Cette liberté acquise à Pessah est de même ordre que shabbat.

     

    La reconnaissance du Messie à Pessah se vie chaque shabbat, c’est la seule vérité qui puisse changer l’homme, c’est cette seule reconnaissance qui va engendrer  la transformation à venir! La projection finale c’est que le monde se transforme en BIEN  la souveraineté de Yeshoua soit reconnu sur toute la terre par le plus grand nombre.

    Shabbat vient signifier en premier lieu: témoignage.

    Témoignage que Dieu a créé le monde et  s’est arrêté le septième jour c’est la raison pour laquelle a shabbat lorsque nous tenons la coupe de vin nous nous tenons debout comme un homme au tribunal qui témoigne doit être debout.

     

    Le shabbat porte la dimension de la fin, mais en même temps il signifie c’est là que tout commence et c’est le monde à venir le monde que l’homme doit faire venir dans la réalité par ses actes et sa foi.

     

    Le shabbat c’est la dimension de l’éternité un certain paradis.

    La notion de paradis à été faussée par les religions selon  leurs interprétation chacun y est allé décrire une conception presque romanesque  alors que la Torah enseigne que le paradis ou le Gan Eden c’est notre monde qu’on aura réussi à transformer; par la reconnaissance de la royauté de Dieu en Yeshoua proclamé Roi.

    Mais ce fait ne se réalisera que par cette reconnaissance qui s’applique a suivre les ordonnances de la Torah  qui prescrit les fêtes bibliques et le shabbat.

    C’est le sens le plus secret des mystères de Dieu nos actions à shabbat nous détachent de la matérialité pour faire venir la spiritualité, les actes du shabbat sont de la plus hautes transformation pour l’homme et pour le monde.

     C’est cela le secret de TSAV  «  les prescription de la Torah seront la rédemption du monde ! 

    Le fait d’élever le verre du kiddouch ( vin à shabbat )nous élevons le sang de Yeshoua Roi de la terre.

    Et  le fait de le boire transforme l’âme de l’homme, le fait d’élever le pain apporte à la terre le monde à venir, le fait de manger ce pain transforme  le corps de l’homme.

     

     

    Dieu ne nous a pas demandé de faire des choses compliqués ou pénibles à faire  juste de mettre en pratique les prescriptions de la Torah. Yeshoua a dit lors du kiddouch faite ceci en mémoire de moi!

     

    La parasha tsav dévoile le shabbat en la personne de Yeshoua le Messie qui a la Pâque à donner son corps et son sang pour sanctifier le monde.

    Ainsi le vin et le pain du kiddouch deviennent par les actes matériels les instruments de la sanctification du monde vers son élévation de sainteté.

    Aussi il nous est révélé qu’a chaque shabbat dans le monde entier ou les foyers où lieux est honoré le shabbat l’espace s’élève vers son créateur  et ouvre l’espérance de l’éternité.

     

     

    Ainsi, voila ce que nous dit Tsav : Observons les prescriptions et nous seront changés, nos corps seront transformé revêtu du vêtement Saint le vêtement d’Aaron ; La reconnaissance de Yeshoua le ROI DES JUIFS c’est notre re-naissance si nous croyons qu’il a donné sa vie pour nous a Pessah nous croyons que nous devons obéir a ce qu’Il nous a demandé de respecter le shabbat, celui qui fait shabbat est en Yeshoua il est le monde à venir il construit le paradis. Tsav nous dit: c’est par nos actes de reconnaissance envers la Torah que nous reconnaissons que le sang de Yeshoua est le sang de la rédemption.

    Toutes autres théologies qui détournent cette vérité en élevant une coupe de vin sans la reconnaissance du shabbat élève une coupe pour les démons.

     

    Jérémie7: 23.

    -Mais voici l'ordre que je leur ai donné: Ecoutez ma voix, Et je serai votre Dieu, Et vous serez mon peuple; Marchez dans toutes les voies que je vous prescris, Afin que vous soyez heureux.

     

    Que celui qui veut se glorifier se glorifie D'avoir de l'intelligence et de me connaître, De savoir que je suis l'Eternel, Qui exerce la bonté, le droit et la justice sur la terre; Car c'est à cela que je prends plaisir, dit l'Eternel. 

     

     

    Shabbat shalom.

     

     

    Lecture de la parasha : Le Lévitique: Chapitre 6 verset 1 à  chapitre 8 verset 36.

    Lecture de la haftarah ; Jérémie : Chapitre 7 verset 21 à 8: 3 et chapitre 9 verset 22,23 (24).

    Lecture messianique:1 corinthiens: Chapitre 11 verset 23 à 34.

    Mathieu Chapitre 26 verset 26 à 29. 

     

     

    L.B

     


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    La fête de pourim.

     

    La fête de pourim commence mercredi ce soir est dure toute la journée du jeudi.

    Cette fête qui n'est pas associé au sept fêtes bibliques et quand même une magnifique fête qui rend honneur à notre Seigneur  en commémorant les grand miracles qu'Il nous accorde. C'est pour nous une offrande de gratitude que d’honorer ce jour en essayant de comprendre ce qui se cache derrière cette magnifique fête.

    Sachant que cette fête ne  nous a pas encore dévoilé son mystère.

     

     

    Fait historique.

     

    Il y a environ 2370 ans, le peuple juif commençait à perdre espoir affaibli dans leur foi. Le Temple de Jérusalem avait été détruit, depuis presque 70 ans, les Juifs étaient dispersés sur des terres étrangères. C’est à ce moment que l’ennemi se leva pour mettre en œuvre ses plans. Cette fois, c’était Hamman. Descendant de la tribu d’Amalek férocement anti-juive, il avait conçu le projet de résoudre la “question juive” pour toujours en exterminant tous les Juifs, hommes, femmes et enfants, dans le monde entier, en un seul jour.

     

     

    Résumé de l’histoire.

     

    Le roi Assuérus avait organisé une énorme fête d’une durée de six mois et la reine Vashti avait refusé d'obéir aux ordres. Après une vaste recherche, Esther devint la nouvelle reine sans toutefois révéler quelle était juive, Morde’haï, le dirigeant des Juifs, découvre un complot visant à assassiner le roi, ce qui eut pour effet de le placer lui aussi dans une position favorable avec le roi. Tout cela s’avère très utile lorsque Hamman, haut conseiller du roi, obtient de celui-ci un décret selon lequel tous les Juifs devaient être tués.

    En fin de compte Esther obtient que le décret soit inversé. Hamman est pendu , et Morde’haï devient Premier ministre.

     

     

    La fête de pourim se base sur la lecture du livre d’Esther.

    Esther avant de devenir reine s’appelait Hadassa qui veut dire Myrte.La myrte c’est une plante que l’on retrouve sur le loulav pour la fête de souccot.

    Esther correspond a la valeur du prénom Chochana qui veut dire; La Rose.

    Mais le plus surprenant dans cette fête est que la lecture que nous devons faire en plus que de lire le livre d’Esther est le psaume 22 en s’arrêtant plus particulièrement sur le verset 2.

     

    Je le cite écrit sur l’exemple des bibles juives car dans les bibles chrétienne c’est moins explicite.

     

    Psaume 22 verset 2

     

    Eli, Eli, lama sabachthani. C'est-à-dire: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné.

     

    Et ce verset nous le retrouvons exactement avec les même mots.

     

    Mathieu 27 verset 46.

     

    Eli, Eli, lama sabachthani. C'est-à-dire: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné.

     

    Qui d’écrit la scène des dernières paroles  prononcés par Yeshoua avant de mourir.

     

    Cet extraordinaire parallèle nous montre le dévoilement du messie qui apportera la délivrance a tous les enfants de Dieu. 

    Si le diable a pour plan  de nous faire mourir, Yeshoua a pour plan de nous sauver.

    Ce fabuleux destin D’Esther sans père ni mère qui par amour pour son peuple est prête a mourir pour les sauver  elle fit un jeûne de trois jours et trois nuits.

     

    Comme Yeshoua par AMOUR pour nous c’est offert a la mort pour nous sauvé. Il passa trois jour et trois nuits dans le séjour des morts  car il a pris sur LUI tous nos péchés.

     

     

    Tous ces parallèles ne font que nous inciter à prendre conscience que la fête de pourim est une commémoration dont la grandeur est sans limite.

     

     

    Lamentations Chapitre 1verset 3 à 6……20 à 22.

     

    Juda est en exil, victime de l'oppression et d'une grande servitude; Il habite au milieu des nations, Et il n'y trouve point de repos; Tous ses persécuteurs l'ont surpris dans l'angoisse.

     

    4Les chemins de Sion sont dans le deuil, car on ne va plus aux fêtes; Toutes ses portes sont désertes, Ses sacrificateurs gémissent, Ses vierges sont affligées, et elle est remplie d'amertume.

     

    5Ses oppresseurs triomphent, ses ennemis sont en paix; Car l'Eternel l'a humiliée, A cause de la multitude de ses péchés; Ses enfants ont marché captifs devant l'oppresseur.

     

    6La fille de Sion a perdu toute sa gloire; Ses chefs sont comme des cerfs Qui ne trouvent point de pâture, Et qui fuient sans force devant celui qui les chasse.

     

     

     

    20Eternel, regarde ma détresse! Mes entrailles bouillonnent, Mon coeur est bouleversé au dedans de moi, Car j'ai été rebelle. Au dehors l'épée a fait ses ravages, au dedans la mort.

     

    21On a entendu mes soupirs, et personne ne m'a consolée; Tous mes ennemis ont appris mon malheur, Ils se sont réjouis de ce que tu l'as causé; Tu amèneras, tu publieras le jour où ils seront comme moi.

     

    22Que toute leur méchanceté vienne devant toi, Et traite-les comme tu m'as traitée, A cause de toutes mes transgressions! Car mes soupirs sont nombreux, et mon coeur est souffrant.

     

    Comme une repentance devant le Seigneur que le temps que nous vivons est semblable aux temps d’Esther.Un peuple qui ne reconnait pas son Dieu un peuple dans la désolation.Un peuple qui ne connait son sauveur qui se tourne vers un dieu sans Torah. La commémoration de cette fête est pour nous une façon de prophétiser qu’un jour tous serons sauvé. 

     

    Pour fêter Pourim ont prend le temps d’organiser cette fête comme un repas e shabbat ;Et surtout pour marquer le coup et d’être en harmonie avec tous les juifs et les non juifs qui honorent cette fête ont confectionnent les traditionnels gâteaux en forme de triangles qui honorent cette fête par cette pâtisserie qu’on appelle « Les oreilles d’Amman ».(Pâte sablée étalé, avec un verre faire des ronds remplir d’une cuillère de confiture ou chocolat refermer un peu la pâte en formant trois petites pinces  cuire doucement au four). 

     

    On lie le livre d’Esther en entier et lorsque l’on tombe durant la lecture sur « Hamman » on doit faire du bruit taper des pieds ou bien avec un objet qui fait du bruit.

    Puis on lie le psaume 22 en m’éditant sur le verset 2.

    Puis on lie Exode Chapitre 17 verset 8 à 16.

     

     

    Bonne fête a tous soyez bénis !

     

    Lydia.B 

     

     

     

     

     


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  • Les sacrifices !

     

    Le livre de Vayikra de notre parasha tourne autour de l’activité dans le tabernacle avec les sacrifices d’animaux, et de nourriture.

    Le mot sacrifice en hébreu se dit korban et korbanot au pluriel, ce terme hébraïque exprime mieux le sens du sacrifice apporté pour Dieu.

    Korban veut dire s’approcher. Offrir un sacrifice afin de s’approcher de Dieu.

     

    Les korbanot jouent un rôle surnaturel qui transforment la matière en spirituel.

    Le temple ne peut fonctionner que s’ il y a les sacrifices.

     

    Ces korbanot nous offrent la possibilité  de trier le bien et le mal qu’il y a en nous.

     

    En effet dans le tabernacle pour l’offrande de sacrifice animal ils devaient d’abord bruler les graisses et le sang;

    Ces deux constituants font référence pour les graisses à nos mauvais désirs et le sang à l’orgueil.

    On peut comprendre qu’une vraie repentance commence par le désir de se débarrasser de ses mauvais désirs et de son orgueil.

    Apporter sur l’autel et sacrifier symboliquement  ses penchants négatifs pour nous rapprocher de Dieu.

    Ce rapprochement vers Dieu si du temps du temple était valide il en est maintenant que les sacrifices d’offrandes  ont été remplacé par la prière.

     

    Osée 14; 3 ou 2

     

    Apportez avec vous des paroles, Et revenez à l'Eternel. Dites-lui: Pardonne toutes les iniquités, Et reçois-nous favorablement! Nous t'offrirons, au lieu de taureaux, l'hommage de nos lèvres.

     

     

    Atteindre le rapprochement entre Dieu et l’homme est le but essentiel  et la véritable perfection à atteindre.

    L’homme s’élève en sacrifiant l’animal sur l’autel pour montrer qu’il désire maitriser toutes ses pulsions physiques et son orgueil. 

     

     

    Notre approche de Dieu c’est aussi nous approcher des autres. Ceux qui sont alignés sur le même Esprit la même vision de vie.

     

    Il y a trois sortes de personnes: Les croyants, les athées, les blasphémateurs.

    Ces derniers ont décidé de poursuivre leur orgueil et s’adonnent à poursuivre leurs rêves de richesses en faisant souvent des pactes diaboliques des pactes de feu, les seconds poursuivent leur vie  dans la tiédeur que Dieu vomit et les croyants poursuivent leur vie en tentant de se rapprocher de Dieu.

     

    Notre approche envers les croyants doit avoir une valeur de respect, car les croyants  vivent avec la lumière de Dieu, chaque croyant a une part de Dieu qui lui manque et doit  considérer les autres comme des parties de Dieu qui nous rapproche du Seigneur,  nous devons réaliser que nous parlons à une âme qui est une partie vivante de Dieu qui nous entend, nous parle et ne pas se concentrer sur les traits de caractère négatifs de la personne, mais bien au contraire voir ses aspects positifs, être patient envers les autres qui évoluent à leur rythme, car la Torah n’approuve pas cette approche de critique envers les autres:

    On retrouve cet exemple avec le prophète Jérémie qui prononça des paroles dures contre le peuple : Dieu le lui reprocha sévèrement bien que ces paroles furent justifiées.

     

    Notre approche avec Dieu c’est aussi des offrandes d’abandon avec les personnes qui nous influencent vers les mauvais désirs.

     

    Dans ce sanctuaire la notion de ces sacrifices apportent d’autres éléments repris dans notre parasha qui donne une explication dans la lecture de la haftarah;

     

     

     

     

    Dieu appelle Moïse depuis la Tente d’Assignation et lui communique les lois des Korbanot, offrandes animales et alimentaires apportées dans le Sanctuaire.

    Elles incluent :

    - « L’holocauste » (Olah), Entièrement consacré à Dieu, par un feu, en haut de l’autel.

    - Cinq variétés « d’ offrandes alimentaires » (Min’ha), Préparées avec de la farine fine, de l’huile d’olive et des encens.

    - « L’offrande de paix » (Chelamim) dont la viande est consommée par celui qui apporte l’offrande, une fois que certaines parties en ont été brûlées sur l’autel et d’autres données aux Cohanim (Prêtres).

    - Les différents types de « sacrifices expiatoires » (‘Hatat), Apportés pour expier les transgressions commises de façon accidentelle par le sacrificateur, toute la communauté, le roi ou un  croyant ordinaire.

    •  « L’offrande de culpabilité » (Acham). Apportée par celui qui s’est approprié, de façon indue, d’un bien du Sanctuaire, qui a un doute d’avoir transgressé une interdiction divine ou qui a commis une « trahison contre Dieu » par un faux serment pour escroquer un autre homme.

     

    Notre haftarah dans Esaïe 44 : 9,13 nous rappelle que l’éloignement de Dieu c’est lorsque le peuple se fabrique des idoles, c’est pourquoi cette parasha nous renvoie à l’idée de renoncement de toutes idoles afin de  se rapprocher de Dieu. 

     

     

     

    —Ainsi parle l'Eternel, roi d'Israël et son rédempteur, L'Eternel des armées: Je suis le premier et je suis le dernier, Et hors moi il n'y a point de Dieu.

     

     

    Ceux qui fabriquent des idoles ne sont tous que vanité, Et leurs plus belles oeuvres ne servent à rien; Elles le témoignent elles-mêmes: Elles n'ont ni la vue, ni l'intelligence, Afin qu'ils soient dans la confusion. Qui est-ce qui fabrique un dieu, ou fonde une idole, Pour n'en retirer aucune utilité? Voici, tous ceux qui y travaillent seront confondus, et les ouvriers ne sont que des hommes; Qu'ils se réunissent tous, qu'ils se présentent, et tous ensemble ils seront tremblants et couverts de honte.

     

    Le forgeron fait une hache, Il travaille avec le charbon, et il la façonne à coups de marteau; Il la forge d'un bras vigoureux; Mais a-t-il faim, le voilà sans force; Ne boit-il pas d'eau, le voilà épuisé. Le charpentier étend le cordeau, Fait un tracé au crayon, Façonne le bois avec un couteau, Et marque ses dimensions avec le compas; Et il produit une figure d'homme, Une belle forme humaine, Pour qu'elle habite dans une maison. 

     

     

     

     

    Cette parasha est un appel à apporter nos offrandes de prières  devant le Seigneur car il a fait l’expiation pour que nos fautes soient pardonnées. Venons offrir nos offrandes de culpabilités Yeshoua notre sacrificateur est celui qui expie les fautes. 

     

     

    Offrons par la prière nos offrandes d’expiations!

    Car les péchés ont dominé et certains se sont adonné à adorer des statues d’homme mort cloué sur une croix ! C’est un péché  car ce fut une transgression involontaire. 

     

    Offrons  nos offrandes de paix  et de culpabilité pour tous nos mauvais désirs et notre orgueil et nos mauvais sentiments envers les autres.

     

    Yeshoua a dit :

    Tu n'as voulu et tu n'as agréé ni sacrifices ni offrandes, ni holocaustes ni sacrifices pour le péché ce qu'on offre selon la loi, il dit ensuite: Voici, je viens pour faire ta volonté. Il abolit ainsi la première chose pour établir la seconde. C'est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l'offrande du corps de Yeshoua le messie, une fois pour toutes.

     

     

    Car vous avez besoin de persévérance, afin qu'après avoir accompli la volonté de Dieu, vous obteniez ce qui vous est promis.

     

     

     

     Prière.

    C’est devant le Roi des Roi le Seigneur Yeshoua que je viens apporter mes fautes et toutes les transgressions que j’ai commises contre  Dieu.

     

     

    Je renonce à tous ce que j’ai écouté et reçu dans mon coeur dans les lieux ou j’ai été qui étaient impurs ou l’ Esprit de Yeshoua n’y était pas.

     

    Je renonce à tous ce que j’ai pu sortir de ma bouche  par la prière ou bien par la louange qui ont honoré d’autres dieux que toi.

     

    Je renonce à tous les engagements oraux ou écrits que j’ai contractés avec ses dominations.

    Je renonce à toutes les alliances volontaires et involontaires  que j’ai contractées avec ces faux dieux.

     

    Je renonce à mes émotions, mes larmes, mes extases, mes joies, et l’amour que j’ai offert à ses démons.

     

    Je te demande pardon pour avoir suivi le chemin de mes désirs égoïstes.

    Je te demande pardon de m’être moqué d’un frère ou d’une soeur en Toi d’avoir causé du tort à un plus faible que moi.

     

    Reçois Seigneur l’offrande  de  mes lèvres et de mon coeur car maintenant je me suis rapproché de toi en te reconnaissant le maitre Le Roi des Rois le Sacrifice qui a expié mes péchés je te reconnais comme le sauveur qui me sanctifie. Merci pour le chemin que tu traces devant moi et pour ta présence qui me guide pas à pas vers la vérité et pour la compréhension des mystères de la Torah.

    Guide moi, ne me laisse pas  seul, met sur mon chemin ce dont j’ai besoin pour poursuivre ma route de vie.

     

    Annule mes fautes ainsi que les conséquences de mes fautes de mes transgressions involontaires et volontaires,

    afin que l’ennemi cesse de m’accabler, donne- moi du repos  de la force, de la sagesse et l’intelligence pour faire ta volonté  car je veux rabaisser ma volonté l’amoindrir et m’humilié devant toi  afin que tout le mauvais en moi tu le fasses disparaitre et que je devienne meilleur pour toi et pour toutes les personnes qui traversent la route de ma vie. Pardon pour tout le mal que j’ai fait.

     

     

    Shabbat shalom

     

     

    Parasha du samedi 16 mars 2019 Parasha Vayikra 23: 

    Lecture de la parasha: Le Lévitique: Chapitre 1 verset 1 à chapitre 5 verset 26.

    Lecture de la haftarah: EsaÏe Chapitre 43 verset 21 à chapitre 44 verset 23.

    Lecture messianique: Hébreux: Chapitre 10 entier.

     

     

     

     

     

    L.B

     


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  • Le tabernacle.

     

    La parasha Pékoudé continue avec les instructions pour le tabernacle.

    Le mot Pékoudé veut dire décompte.

    Chaque homme et femme venaient apporter leur contribution; d’or d’argent de cuivre…..

    Chaque personne apportait ce qu’il était en mesure d’apporter  la valeur des matériaux correspondent à la valeur de nos actes. L’estimation de ce décompte nous fait comprendre que chaque personne qui apporte soit de l’or, ou de l’argent ou du cuivre apporte la même valeur car chaque élément  apportent à l’autre ce qui lui manque, afin qu’aucun élément ne soit de moindre importance. Ainsi rassemblé le tout forme l’excellence pour la maison pour Dieu. 

     

    Le coeur de l’homme est décrit comme un sanctuaire en miniature.

     

    Les bonnes actions se dit en hébreu « les midots » ce qui donne un sens plus complet, des bonnes actions envers les autres, des bonnes actions à suivre les commandements de la Torah et les bonnes actions à tenir notre corps dans la sainteté.

     

    Le peuple qui apportait pour le tabernacle son or, son argent, son cuivre ses talents de tisseur ou brodeurs, ses talents de fondeur et ceux qui avaient l’art de teindre les tissus avec les pigments, ceux qui avaient l’art de l’orfèvrerie, et tout autres arts pour la fabrication de ce sanctuaire.

    Chacun donnait de son mieux.

     

    C’est pourquoi la parasha Pékoudé nous instruit  dans le sens individuel. 

    Chaque personne a une réelle partie de Dieu en elle. Un habitacle que Dieu veut pour Lui.

     

    Si Dieu a désirait par l’intermédiaire de Moïse la construction d’un tabernacle puis par l’intermédiaire du Roi Salomon un temple à Jérusalem  c’est parce que Dieu voulait avoir une résidence dans le monde, pour illustrer sa vision céleste.

     

    La mission des êtres humains c’est de finaliser le projet en construisant le temple final.

     

    Le tabernacle c’est le temple mobile pour nous dire: c’est la direction divine pour le monde, l’Esprit de Dieu qui est le guide par l’arche. Le temple de Salomon c‘est pour nous dire que la présence de Dieu s’est installé sur terre Il s’est acquis une terre,  Israël lui appartient. Dieu s’est installé dans le monde un endroit réservé.

     

    Mais le troisième temple c’est la grande ambition de Dieu nous associer à son projet d’investisseurs pour acquérir les autres terres.

     

    Cette tâche est la mission de Yeshoua qui est venu conclure en rachetant la terre entière.

    Il est venu pour le monde et faire de ce monde une grande maison pour Dieu.

     

    Ce troisième temple c’est le rachat de toutes les âmes des nations  chaque personne est une pierre vivante qui doit  bâtir ce temple,  car la résidence de Dieu doit s’étendre sur toute la terre.

     

    Yeshoua en a payé le prix fort  et chaque âme rachetée  c’est un endroit que possède Dieu.  Chaque âme   qui pratique les midots sanctifie son corps et satan est déposséder de ses biens. Yeshoua le fait expulser, et plus il y aura des croyants  qui feront des midots plus la résidence pour Dieu s’agrandira.

     

    Nous formons des partis de temples  et nous sommes partout dans le monde des tabernacles qui transportons la Torah et là où il y a la Torah la matérialisation de la sanctification se réalise.

    Partout sur la terre des arches qui porte la Torah  et partout ou il y a une arche avec la Torah c’est un endroit ou Dieu est installé.

     

    C’est pourquoi il est dit remplissez la terre et multipliez-vous !

     

    Le tabernacle est l’incarnation future sous la forme d’un temple il représente les efforts humains pour bâtir l’édifice avec des matériaux  de la vie concrète, au niveau individuel nous construisons un lieu pour Dieu à chaque fois  que nous accomplissons des midots d’or, d’argent, de cuivre …..  car ce sont des actes d’amour et c’est l’action physique qui concrétise l’action  spirituelle.

     

     Dieu a voulu crée son monde dans notre monde  c’est pourquoi Il nous demande  de vivre par la Torah pour créer  son monde dans notre monde  et c’est nos midots qui sanctifient la terre pour rendre réelle la mission spirituelle du temple céleste notre corps.  Yeshoua est venu nous donner les matériaux  nécessaires Il nous a racheté, Il nous a donné la foi  pour que nous construisons la demeure éternelle pour nous tous dans la gloire de Dieu.

     

    Cette dernière parasha  finalise le projet de Dieu faire de nous la Jerusalem céleste.

    Ce dernier temple  pour réparer le chaos du monde  et pour mettre à terre le satan.

     

    Chacun de nous possédons un bien pour la construction à nous de nous comporter comme Dieu nous le demande.

    Esaïe 26.15

    Multiplie le peuple, ô Eternel! Multiplie le peuple, manifeste ta gloire; Recule toutes les limites du pays.

     

     

    Car nous sommes des pierres vivantes.

    Rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu; et nous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifions-nous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d'offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Yeshoua.

     

     

    Toutes nos midots sont pour le Seigneur nos corps sont pour le Seigneur. Faisons donc de nos corps un lieu saint. 

    1 Corinthiens 6: 19,20.

    Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes? Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu. 

     

    Notre corps reflète l’âme qui vit en nous si notre âme est pure la résidence sera d’or et Dieu y régnera pour toujours.

     

    Notre parasha Pékoudé nous exhorte à donner notre corps pour Dieu afin que sa résidence terrestre soit un accomplissement du projet de la Jérusalem céleste.

     

    Romains: 12;1

    Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable.

     

    Béni sois-tu l’Eternel notre Dieu Roi de l’univers qui nous a sanctifié par SES commandements et nous a ordonné d’offrir nos corps  comme un sacrifice vivant. je te donne mon corps afin que tu viennes y faire ta demeure.

    Au nom de Yeshoua.

     

     

    Lecture de la parasha : Exode : Chapitre  38 verset 21 à chapitre 40 verset 38.

    Lecture de la haftarah : 1 rois : Chapitre 7 verset 40 à 50.

    Lecture messianique : Romains :12: 1 à 21. 1 corinthiens : 6: 19,20. 1 Pierre: 2:  4 à 6. shalom 

     

    L.B

     

     

     

     

     

     

      


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  • LES COLONNES.

     

    La parasha Vayaqhel qui est la 22ème  parasha donne déjà un sens pour nous dire que dans cette parasha numéro 22 comme les lettres qui forment le Nom de Dieu qui a le pouvoir de transformer l’être humain en être saint.

     

    La parasha en association avec la prochaine parasha est consacrée au tabernacle. Cette répétition apporte une sorte de réparation pour nos fautes. Et dresse le lien entre le tabernacle et le shabbat.

    Les premiers versets insistent sur le shabbat :

    -Voici les choses que l’Eternel a ordonné d’accomplir. Pendant six jours on se livrera au travail; mais au septième jour vous aurez une solennité sainte, un repos complet en l’honneur de l’Eternel: quiconque y accomplira un travail mourra. Vous n’allumerez pas de feu dans aucune de vos demeure le jour du shabbat.

     

    Sanctifier le septième jour pour le mettre à part !

    Ici deux principaux commandements nous sont demandés pour sanctifier le jour du shabbat. Ne pas travailler et ne pas allumé de feu. 

    Il est donc sûr que ces deux commandements doivent être respectés réellement mais ce qui compte le plus en réalité c’est le sens caché de ces deux commandements. En fait ils sont liés un à l’autre !

     

    Le travail que nous devons faire dans le sens spirituel c’est de construire un temple Saint pour y faire résider  l’Esprit Saint pour  devenir l’être complet uni a Dieu.

    L’édification du temple c’est tous les jours l’entretien des fondations et de la structure c’est tous les jours par les lectures bibliques; la pratique des lois dans la vie courante, nos bonnes actions quotidiennes et nos repentances journalières.

     

    Ce travail assidu qui durant les 6 jours change notre personnalité humaine bestiale en personnalité spirituelle sainte.

    Car ceux que nous laissons vivre en nous pour servir l’Eternel doivent être à l’image de Yeshoua.

    -Car le Messie est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir;

     

     

     

     

    Dans notre parasha sur l’édification du temple  ainsi que sur notre haftarah les instructions précises donnent le ton sur les pièges qui peuvent tenter les personnes en recherche de spiritualité.

     

    Les personnes en recherche spirituelle sont associés à des critères différents.

    Où la personne recherche Dieu avec humilité c’est donc avec l’amour. Le feu de l’amour, le feu de Dieu ou bien la personne en recherche de Dieu pour l’orgueil et les avantages que cela peut lui procurer, le feu de l’égoïsme  le feu étranger. C’est donc ce feu étranger qui est interdit à Shabbat.

     

    Dans notre lecture de la haftarah nous trouvons  la construction des colonnes du temple: l’une à droite qui se nomme Jakin et l’autre à gauche qui se nomme Boaz.

     

    Le symbole  de ces deux colonnes c’est le symbole de la connaissance.

    Comme des gardiens de la porte de la connaissance.

    Ce sont les limites à ne pas dépasser, la recherche spirituelle à des limites que Dieu nous à imposer  car derrière les colonnes se trouve  l’intelligence qui ouvre la connaissance.

     

    Désirer passer au-delà de ses portes si notre désir n’est pas l’amour de trouver Dieu est un vrai danger, c’est le danger de tous les dangers.

     

    Ceux qui passent par la porte entre les deux colonnes avec pour ambition leur réussite s’assurent qu’ils auront allumé le feu de la colère de Dieu.

    Tous ceux qui par orgueil se sont instruit dans la dimension interdite par Dieu ont bâtit leur construction spirituelle avec des entités sorties du feu de la mort.

    Nous voyons que ceux qui adhèrent à ces formes spirituelles pour le pouvoir et l’argent ou simplement pour être au-dessus des autres  enferment l’intelligence de la connaissance dans leur personnalité.

    L’intelligence de la connaissance c’est une façon de penser, de parler, de communiquer son savoir, elle est le reflet de notre personnalité  elle est inspirée  de celle que nous édifions, se construire selon une idéologie où l’on s’identifie  à chaque instant, chaque jour on y travaille comme les 6 jours du travail que l’entité spirituelle façonne en nous.

    Ce savoir acquis se développe par une projection qui donne le sens de notre vie  cette intelligence enferme la libre-pensée.  

    Les systèmes religieux développent le sens de notre personnalité. On devient comme ceux qui nous dominent.

     

    Les colonnes c‘est pour dire attention ou on met les pieds.

    Notre personnalité se forge selon ce qui domine en nous.

    Il faut penser avec son coeur afin de ne pas être dominé par les pensées centrées sur soi. La recherche de Dieu doit se faire avec un coeur simple juste l’envie de plaire à Dieu et d’être dans ce monde une personne utile pour les autres.

     

    Ainsi L’Esprit Saint peut s’investir dans notre être et nous donné l’intelligence et la grâce pour recevoir tout l’amour de Yeshoua.

    L’intelligence du coeur et de la pensée c’est la liberté. 

     

    La différence fondamentale de suivre l’intelligence du coeur c’est laisser entrer la lumière de Dieu et ne plus subir l’intelligence humaine qui veut nous dominer qu’elle soit en nous ou bien extérieure à nous.

    Avec Dieu nous portons son identité. Nous modifions notre personnalité pour devenir Saint, c'est cela notre travail durant les six jours de la semaine suivant que nous travaillons à s’édifier en suivant la Torah par  Yeshoua.

     

    Quand on bâtit notre temple et suivant notre travail spirituel avec les parasha de chaque semaine c’est à shabbat que nous recevons la sanctification. 

    Mais le problème si on a agencé notre intérieur avec des feux étrangers  c’est donc ces  feux qui seront nos dominateurs.

     

    Si nous constatons que dans la f.ranc-m.açonnerie leurs symboles c’est entre autres les deux colonnes jakin et boaz selon leurs initiations nous comprenons à titre d’exemple que la spiritualité m.açonnique est basée sur le pouvoir et l’orgueil si d’autres temples de s.cientologies où divers autres lieux spirituels ont eux aussi les colonnes jakin et boaz, des étoiles de David et tout autres symboles que portent la Torah cela ne veut pas dire qu’ils sont dans l’amour de Dieu ils sont dans leur vérité,  on peut dire qu’ils ont ouvert l’intelligence à la connaissance vers leur intérêt qui est le coté obscur de la spiritualité.

     

    Alors  ne nous privons pas de nos symboles religieux d’Israël au contraire revendiquons leurs authenticités et redonnons leur leurs valeurs, il faut juste réaliser que pour faire la différence entre tout cela c’est les uns viennent de l’amour et les autres viennent de l’orgueil à nous de faire la différence sans ce priver ou critiquer les beaux symboles que porte le judaïsme.

     

    « -Alors Yeshoua leur dit : Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. »

     

    L’Eternel nous demande donc à shabbat de ne pas amener de feu dans nos demeures afin que l’ont parviennent à la sanctification que Yeshoua apporte  à Shabbat

     

     

    Car l'Eternel, ton Dieu, est un feu dévorant, un Dieu jaloux.

     

    -Il apparaîtra au milieu d’une flamme de feu, pour punir ceux qui ne connaissent pas Dieu et ceux qui n'obéissent pas à la Torah de notre Seigneur Yeshoua.

     

    Shabbat Shalom dans l’amour de Yeshoua pour servir Dieu et s’aimer les un  les autres.

     

    Lecture de la parasha : Exode : Chapitre 35 verset 1 à chapitre 38 verset 20. 

    Lecture de la haftarah : 1 Rois : Chapitre 7 verset 13 à 26.

    Lecture messianique : Hébreux : Chapitre  9 verset 1 à 14.

     

     

    L.B

     

     

     

     

     

     


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    Parasha du samedi 23 février 2019. Parasha Ki Tissa : 21.

     

    Un guide pour notre vie.

     

    La parasha Ki Tissa commence par l’ordonnance du dénombrement des enfants d’Israël par leur don d’un demi-shekel chacun. Puis le thème central c’est la faute du veau d’or, les tables de la loi que Moïse cassa  puis les nouvelles tables de la loi, et se termine par le rappel sur le shabbat  et les fêtes puis par le visage de Moïse qui était devenu rayonnant mais devait se revêtir d’un voile.

     

    La contribution d’un demi-shekel ( monnaie d’Israël ) pour construire les bases du sanctuaire, est en sorte la représentation de nous même qui ne somme qu’une moitié, et qu’il nous manque l’autre moitié.

    Cette autre moitié d’âme se complète avec l’âme du Messie Yeshoua.

    Shekel  se traduit aussi par conscience, pour nous dire que notre âme a besoin d’être complètement ouverte avec l’autre partie pour accéder à Dieu.

    Shekel c’est la conscience, l’âme  et parce que l’âme est dans la sang on retrouve également le rapport avec la guematria du mot shekel avec le mot  sang.

     

    Mais on va s’intéresser à la faute du veau d’or pour faire coïncider notre contribution d’un demi-shekel.

     

    Le veau d’or que le peuple a désiré se fabriquer semble difficile à comprendre dans le sens où le peuple ayant vu et vécu tant de miracles pouvait maintenant  nier l’existence de Dieu.

    Le verset dit;

    Le peuple vit que Moïse tardait à descendre de la montagne, et le peuple s’attroupa auprès d’Aaron et lui dit: allons fabrique nous des dieux qui marcheront devant nous, car voici Moïse l’homme qui nous a fait monter d’Egypte, nous ne savons ce qu’il est devenu.

     

    Le verset dit clairement qu’ils cherchaient à remplacer Moïse, ils cherchaient un intermédiaire  entre eux et Dieu, un guide  pour les aider à  suivre les voies de Dieu.

     

    Ce que les grands commentateurs des écritures commentent c’est : que dès leur sorti d’Egypte il y avait tout un tas de gens qui les avaient suivis, les égyptiens et d’autres étrangers,  alors ce fut le grand mélange oecuménique, une grande confusion s’était emparé du peuple.

     

    Le problème c’est que le peuple ne comprend pas comment Dieu dirige le monde et c’est le même problème aujourd’hui encore . On retrouve cette explication juste après le veau d’or. Moïse demande à Dieu : Maintenant  fait moi connaitre tes voies ; dans le sens  fait moi comprendre tes voies  comment tu récompenses ceux qui te suivent.

     Ce que le peuple demandait c’était de comprendre les choses divines  par des choses physiques,  des choses bien réelles  qu’ils pouvaient mieux comprendre. C’est en fait cela le symbole du veau d’or. 

     

    L’explication on la comprend par la représentation du taureau  qui représente Joseph

    ( tribu de Joseph),  car par lui viendra la première phase de la rédemption le messie fils de Joseph  matérialisé dans le monde par le messie Yeshoua  comme un veau qui va à la boucherie.

     

    Ils cherchaient à travers l’image de Joseph qui avait déjà montré comment on pouvait sanctifier le terrestre comment le peuple avait été conduit et nourri.

    Ils invoquèrent donc l’emblème de Joseph le taureau, le fils de Joseph (Le veau).

     

     Dieu ordonna alors  2 commandements  pour traduire les actes matériels en actes spirituels.

    Premièrement par l’ordre de construire le tabernacle qui est l’image de notre temple intérieur et deuxièmement le demi-shekel  qui se donnait de façon matériel se donnait en même temps de façon spirituelle dans les sphères célestes.

     

    Nos actions  doivent être dirigées dans l’obéissance à suivre les voies de Dieu pour qu’elles s’accomplissent en nous.

     

    C’est ce que révèle cette parasha pourquoi ont doit suivre les voies de Dieu afin de comprendre que ce que l’on fait sur terre s’inscrit dans le ciel chaque shabbat, chaque fête, chaque commandement  ici sur terre s’accomplit dans le ciel.

     

    Ce que nous ne comprenons pas forcément on le fait suivant nos enseignants de la Torah le reste c’est Dieu qui fait.

     

    Ce demi-shekel vient nous confirmer cela notre part terrestre et notre part avec pour guide Yeshoua s’inscrit comme l’autre demi-part qui est comme l’offrande entière de notre âme qui sera la seconde venue du Messie par la reconstitution de toutes les âmes entières qui formeront ce corps pour le temple céleste.

    On comprend alors le sens du mot shekel avec la concordance de L’âme et du sang. 

    Notre alliance avec Yeshoua sera la part entière pour Dieu.

    On comprend qu’avec le shekel entier on construit notre temple et avec tous les shekels réunis on construit le royaume.

    Notre édifice sur terre  non de pierre mais d’âme sanctifier par les voies de Dieu qui est transmis à travers les lois de la Torah nous aide à comprendre notre récompense future.

    Comme des atomes qui se réunissent pour former la matière nous sommes ces millions d’atomes qui par la réunification de nos âmes nous formons une matière spirituelle pour notre futur éternel.

     

    Par l’obéissance à marcher dans les voies de Dieu nous recevons la lumière afin que notre conscience s’ouvre,  car la lumière cachée  est le secret de L’âme,  l’oubli de l’âme quand il vient sur terre par sa naissance et c’est en poursuivant les voies de Dieu qu’on parvient à retrouver la vérité perdue et comprendre comment Dieu dirige le monde en nous donnant des signes visibles et ainsi s’accomplit l’invisible c’est le grand miracle de la vie qui nous change de notre état d’être incomplet en état d’être complet, entier prêt pour la vie éternelle. 

     

     Si la parasha termine sur Moïse qui avait le visage rayonnant et qu’il devait se voiler  le visage quand il était  entouré du peuple, c’est une vérité pour nous aussi car notre guide qui brille à  l’intérieur de nous est recouvert comme d’un voile car comme Moïse quand il a vu la gloire de Dieu sa conscience fut ouverte et son rayonnement s’ouvrir comme les fontanelles ou le souvenir les avaient enfermés, son âme fut totalement sanctifié son demi-shekel uni à la part de Dieu donne tout son éclat.

     

    Cette parasha nous invite à faire de façon physique ce qu’elle nous ordonne  shabbat, fêtes, commandements, afin de rendre réel nos actions physiques en actions spirituelles par le miracle de Dieu;

    C’est ce que veut nous enseigner cette parasha  si nous faisons les choses de façon physique en respectant les ordonnances de la Torah, nous les accomplissons aussi dans le ciel. 

    Car Dieu est un Dieu qui pardonne nos fautes si nous marchons dans ses voies de la Torah.

    Car l’autre moitié du shekel c’est Yeshoua qui l’a donné en versant son sang sur la terre; à nous de décider si nous voulons maintenant obéir et suivre ses shabbat et fêtes pour que notre lumière illumine le royaume de Dieu qui n’est pas visible par nos yeux mais visible de façon spirituelle.

    Obéissons  à ses commandements ainsi nous lui offrons notre part.

     

    Car l’Eternel a dit : celui -ci est mon fils bien-aimée : écoutez- le !

    Celui qui dit que Yeshoua demeure en lui doit marcher aussi comme Yeshoua, en gardants les commandements.

    Yeshoua fut transfiguré devant eux ses vêtements devinrent resplendissants, et d’une telle blancheur qu’il n’est pas de foulon sur terre qui puisse blanchir ainsi.

     

    Shabbat shalom 

     

    L.B


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  • Un vêtement stylé !

     

    La parasha  Tétsavé  commence par: Pour toi tu ordonneras aux enfants d’Israël de Te choisir une huile pure d’olives concassées, pour le luminaire afin d’alimenter les lampes en permanence.

    Ces paroles de l’Eternel s’adressent semble t’il à Moïse mais cette parasha à la particularité que le nom de Moïse n’est pas mentionné. Ce fait nous enseigne que l’anonymat de Moïse fait place à l’annonce du Machia’h.

     

    La description pour la réalisation du vêtement des sacrificateurs (grand-prêtre), confectionné premièrement pour Aaron et ses fils et leurs descendants.

     

    Le vêtement que devait porter Aaron pour entrer dans le Saint lieu était composé de 8 vêtements,  d’un turban avec une plaque en or gravée,  et les pierres précieuses assemblées sur le devant du vêtement.

     

     

    Le vêtement désigne la sanctification de l’homme, mais le secret des vêtements c’est de restaurer le vêtement blanc originel.

     

    Adam et Eve ayant de par leur faute perdu leur vêtement blanc, l’Eternel les a recouvert de vêtement de peau d’animal.

     

    En guematria.

    « Vêtement de peau » veut dire à l’inverse  « vêtement de lumière ».

     

    Si on additionne Adam, Eve, vêtement de lumière,  on obtient, 1179 ce qui nous fait correspondre à « Pour la gloire et la beauté » c’est les mots que l’on retrouve dans notre parasha  au chapitre 28 verset 2 dans Exode. C’est ce que l’on va retenir « Pour la gloire et la beauté ».

     

     

    La gloire de l’homme est sur Sa tête    comme un turban avec sa plaque gravée du Nom de L’Eternel.

    La gloire de l’homme c’est le Messie Yeshoua. Le turban avec la plaque gravée sur le front exprime la même guematria 888 que « Le salut de notre Dieu ». Le salut revient à Yeshoua. La Gloire de Yeshoua.

     

    Les trois vêtements tunique, manteau, tablier correspondent  à la beauté.  En regroupant les deux analyses nous retrouvons notre verset: « Pour la gloire et la beauté ». Les vêtements sont la gloire et la beauté de Yeshoua.

     

     

    Yeshoua est donc le vêtement blanc le vêtement de la sanctification  Il est pour nous La Gloire et La Beauté.

     

    Cette parasha vient nous éclairer sur la perfection du niveau d’âme que le MESSIE YESHOUA peut nous donner par SON vêtement de gloire  Il est l’intermédiaire infinie de Dieu, qui fait de nous l’homme fini celui qui peut porter le vêtement blanc.

     

    Si le nom de Moïse n’apparait pas dans cette parasha c’est aussi pour nous signifier que la Torah n’est pas le salut que la Torah ne confectionne pas le vêtement de gloire dont nous devons être revêtus, Moïse le représentant de la Torah est ici le moyen d’identifier le Messie Yeshoua. Il est le médiateur l’unique l’absolu qui nous élève vers Dieu il est le Yechidah (niveau d’âme le plus élever) car son vêtement nous habille, nous couvre pour pouvoir nous présenter devant Dieu.

    Car sans ce vêtement nous ne pourrons par voir la face de Dieu quand nous serons dans sa cité céleste.

     

    Nous devons devenir comme des sacrificateurs ayant durant notre temps de vie terrestre cherchée à confectionner notre vêtement en trouvant le vrai fournisseur qui donne les matières premières pour la confection.

    C’est par la connaissance de ce qui se cache (Moise=Torah) que le Messie caché se découvre nous donnant accès au vêtement de noce ce vêtement blanc.

    Cette préparation comme une fiancée qui se prépare à son mariage en assemblant tout pour se parer pour le jour de l’union.

     

    Mais la parasha à commencé par nous dire qu’il faut continuellement approvisionner d’huile les 7 lampes matin et soir afin que ne s’éteigne jamais la lumière en nous.

     

    L’huile (d’olive) « Shémen » nous amène à la menorah et son allumage  dont la lumière symbolise l’enseignement de la Torah qui doit être diffusé aux nations ( Esaïe 42;6) afin que soit révélée la lumière du monde ‘Or Ha ’Olam qui confirme une fois de plus  la même guematria 358 Mashia’h Messie.

     

    L’ordre que Dieu donne c’est la méditation de la Torah en permanence.

     

    Le sacrificateur faisait le service du vin et du pain: encore quelques correspondances.

    Le raisin de la vigne ; « Guéfen » represente le secret de la torah.

    Les pains aux froments, en gâteau, ou en pure farine comme décrit dans notre texte représentent les degrés d’enseignements de la Torah plus nous nous élevons en Yeshoua et plus nous atteignons la réparation de notre corps habillé du vêtement de beauté et de gloire que Yeshoua veut nous offrir pour être présentable pour la rencontre avec Dieu.

     

     

     

     

    Le message de cette parasha c’est de  comprendre le texte dans Mathieu 25: 1,13…..34 à 46

     

    Car Yeshoua c’est le vêtement qui nous recouvre c’est son âme qui nous couvre de Gloire et de Beauté.

     

    Quand le texte dit: J’ai eu faim et soif j’étais nu il faut comprendre que si l’on a nourri notre âme de Torah nous avons été revêtu du vêtement  du sacerdoce  puis si nous avons propagé l’enseignement de la Torah par la diffusion de notre huile on a donné notre Torah nourrit et habiller tous ceux qui ont traversé notre chemin de vie.

     

    Le texte biblique donne une allusion terrestre de la générosité si on donne à manger et à boire aux autres, d’accord ça veut dire ça mais la grandeur de ces écritures c’est que Yeshoua s’Il habite en nous ne se nourrit que de Torah et de ce quelle produit en nous, ainsi le niveau d’âme s’élève et nous somme revêtus du vêtement « de Beauté et de Gloire ».

     

    Maintenant il faut relire le texte de Matthieu en gardant à l’Esprit que la nourriture dont il est question ne concerne que de Torah qui alimente le Ruach Ha kodesh (l’Esprit saint) qui doit s’alimenter de nourriture sainte.

    -L’huile c’est l’enseignement de la Torah, le vin c’est la Torah vivante et le pain c’est la révélation des textes cachés.

     

    La lecture deviendra une vraie nourriture qui nous habille dans un style très spirituel.

     

    Mathieu 25 :1 à 13 ….34 à 46.

    Alors le royaume des cieux sera semblable à dix vierges qui, ayant pris leurs lampes, allèrent à la rencontre de l'époux. Cinq d'entre elles étaient folles, et cinq sages. Les folles, en prenant leurs lampes, ne prirent point d'huile avec elles; mais les sages prirent, avec leurs lampes, de l'huile dans des vases. Comme l'époux tardait, toutes s'assoupirent et s'endormirent. Au milieu de la nuit, on cria: Voici l'époux, allez à sa rencontre! Alors toutes ces vierges se réveillèrent, et préparèrent leurs lampes. Les folles dirent aux sages: Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s'éteignent. Les sages répondirent: Non; il n'y en aurait pas assez pour nous et pour vous; allez plutôt chez ceux qui en vendent, et achetez-en pour vous. Pendant qu'elles allaient en acheter, l'époux arriva; celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée. Plus tard, les autres vierges vinrent, et dirent: Seigneur, Seigneur, ouvre-nous. Mais il répondit: Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas. Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l’heure.

     

     

    Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite: Venez, vous qui êtes bénis de mon Père; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli; j'étais nu, et vous m'avez vêtu; j'étais malade, et vous m'avez visité; j'étais en prison, et vous êtes venus vers moi. Les justes lui répondront: Seigneur, quand t'avons-nous vu avoir faim, et t'avons-nous donné à manger; ou avoir soif, et t'avons-nous donné à boire? Quand t'avons-nous vu étranger, et t'avons-nous recueilli; ou nu, et t'avons-nous vêtu? Quand t'avons-nous vu malade, ou en prison, et sommes-nous allés vers toi? Et le roi leur répondra: Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous les avez faites.

     

    Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche: Retirez-vous de moi, maudits; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. Car j'ai eu faim, et vous ne m'avez pas donné à manger; j'ai eu soif, et vous ne m'avez pas donné à boire; j'étais étranger, et vous ne m'avez pas recueilli; j'étais nu, et vous ne m'avez pas vêtu; j'étais malade et en prison, et vous ne m'avez pas visité. Ils répondront aussi: Seigneur, quand t'avons-nous vu ayant faim, ou ayant soif, ou étranger, ou nu, ou malade, ou en prison, et ne t'avons-nous pas assisté? Et il leur répondra: Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous n'avez pas fait ces choses à l'un de ces plus petits, c'est à moi que vous ne les avez pas faites. Et ceux-ci iront au châtiment éternel, mais les justes à la vie éternelle.

     

     

    Que Dieu nous aide à comprendre les écritures afin que nous puissions lui demander pardon pour toutes les fois où on a mal nourri le Ruach AH  Kodesh qui vit en nous.

    Soyons comme les cinq vierges sages qui avaient l’huile pour les lampes.

    Que nous ayons de l’huile dans nos vases pour que le jour  venue nous puissions être revêtus du vêtement blanc et rentré à la maison.  « Car notre maison n’est pas de ce monde notre maison est auprès de notre Père et notre âme soupire de cruelles souffrances pour rentrer à la maison  pardonné  et accueilli dans son royaume ».

     

    Lecture de la parasha : Exode : Chapitre : 27 verset 20 à chapitre 30 verset 10.

    Lecture de la haftarah : Ezechiel : Chapitre 43 verset 10 à 27.

     

    Lecture messianique : Mathieu : Chapitre 25 verset 1 à 46. 

     

     

    Shabbat shalom 

     

    L.B 

     

     

     

     

     

     


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  • Un don pour Dieu!

     

    La parasha Terouma expose le principe de la construction du tabernacle et le travail des chefs religieux. Toute cette préparation sera décomposée entre les trois autres parasha suivantes.

    Terouma veut dire :  « Son don qu’on donne ».

     

    Moïse monte dans les cieux et Dieu lui montre la façon dans laquelle il veut que le peuple d’Israël crée le tabernacle qui doit être la maison de Sa présence, alors que la présence  Divine est omniprésente sur toute la terre! Mais Dieu demande une présence spécifique.

    L’idée de construire un tabernacle, puis un temple revêt l’idée de construire un espace similaire dans l’homme.

    Le tabernacle c’est l’image de l’être entier. Terouma c’est élever l’être, élever l’être physique de chair par l’élévation de son être spirituel l’âme.

     

    Terouma forme une guematria particulière décomposée en deux partie. Qui veut dire élever les deux hommes le physique et le spirituel, l’élever par la vérité. Si on va encore plus loin dans la guematria de Terouma on décompose et on peut lire: L’homme terre et l’homme le fils.

     

    Ce qui nous donne une révélation exemplaire en définissant qu’on doit élever l’homme terre pour élever le fils de Dieu Yeshoua en nous!!!!! C’est par des découvertes comme celle-là qu’on comprend toute la science de Dieu caché dans les écritures qu’Il nous aide à décrypter.

     

    Terouma n’a pas fini de nous donner ses secrets car terouma c’est aussi l’acrostiche en deux parties qui veut dire : « Terouma = Torah et 40 ».

     

    Si on voudrait rassembler tous ces codes ça donnerait la révélation suivante:

    Faire un temple pour Dieu à l’intérieur de nous, c’est élever l’homme terre que nous somme en modelant notre espace avec la Torah pour accueillir le fils de Dieu Yeshoua.

     

    Mais terouma c’est aussi le don De soi, donner à Dieu sa part qui lui revient. 

    Pour construire notre tabernacle on doit se donner pour s’investir, s’élever c’est se donner, donner son coeur à Dieu c’est la démarche de cette parasha ensuite la construction c’est l’architecte qui organisera les espaces réservés pour sa présence divine en nous.

    Hébreux 11:10.

    Car il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l’architecte et le constructeur.

     

     

    Mais avant tout la parasha Terouma doit nous apprendre comment s’élever par la Torah pour élever le divin qui doit vivre en nous.

     

    Selon les grands Maîtres qui scrutent chaque lettre hébraïques de la Torah; pour s’élever selon le principe de la Torah  il faut sanctifier trois choses.

    L’espace, le temps et l’être.

     

    Pour élever l’espace: c’est par les actions de nos pratiques des lois de la Torah:

    -Les prières, schéma d’Israël matin et soir, lectures des psaumes, lectures journalières bibliques, (tefilines  et châle de prière pour les hommes), offrandes tsédaka, poser une mezouza sur sa porte et toutes nos actions d’amour, de changement de comportement, de bonnes actions quotidiennes en fait les prescriptions écrites dans la bible.

     

    Pour élever le temps: c’est par le shabbat et toutes les fêtes.

    Le shabbat amène la plus grande élévation du temps qui puisse nous être donnée de faire car le shabbat a le pouvoir d’élever la foi.

    Un bon shabbat doit s‘accompagner du rituel vin et pain suivi d’un bon repas, d’enseignement, et de chant de Torah Chant Davidique.

    Les fêtes aussi  portent en elles le même potentiel d’élévation  car chaque fête allume une lumière de la menorah. Peut - être on ne se rend pas bien compte de l’effet extraordinaire que l’on provoque sur la terre à chaque fois qu’on honore une fête de Dieu mais on irradie  de façon miraculeuse la menorah intérieure qui s’allume au rythme du temps.

    Les fêtes que l’on respecte selon le calendrier de Dieu correspondent aux dates  de la création de Dieu.

     

    Pour élever l’être:  c’est là que tous prend le sens de la révélation de Terouma.

    Elever l’être c’est vivre en harmonie avec nous-même en alignant l’homme spirituel à l’homme physique en d’autres termes c’est s’aligner sur l’Esprit Saint pour être en adéquation avec Dieu.

    Dans notre partie invisible nous avons ; Nefesh, Rouakh, Neshama. 

     

    Nefesh c’est l’âme inanimée de la sainteté.

    Rouakh c’est l’Esprit de Dieu.

    Neshama c’est le niveau d’Ame qui s’élève à l’Esprit saint.

     

    Ce niveau d’élévation de Neshama  nous est accessible par l’élévation de l’espace et du temps c’est l’harmonie de la pensée, avec nos paroles qui font l’action. 

     

     

    Cette harmonie de la pensée se vit par la foi. L’harmonie des paroles se vit par le coeur et l’harmonie de nos actions se finalise par le contrôle de nos actions.

     

    C’est-à-dire on fait ce que l’on pense et dit.

     

    Cet accord aligné en nous, nous permet d’être conduit par l’Esprit de Dieu et plus sous le contrôle de nos mauvais penchants.

     

    Romains 7:14 à 16.

    Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais: je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. 

     

    Vivre cette harmonie c’est vivre réellement en Yeshoua.

    Car tout cela est la finalité de notre sanctification.

    La sanctification du temps et de l’espace doit se faire pour que  notre être se sanctifie, car il faut une dimension humaine pour imprégner le temps et l’espace  de la présence Divine.

     

    Notre santé, notre bien-être et  notre bonheur tient dans ces trois choses.

    Ainsi notre  Maître Yeshoua  le grand régisseur de tout l’organisme veille à ce que nous vivions au rythme de ce temps dans l’espace et dans notre être, c’est comme cela que la Torah se rend vivante en nous et nous donne le souffle de vie de Yeshoua.

     

    Elever Yeshoua en nous en construisant ce tabernacle qui est un transfert de l’homme, car la structure du temple est la structure de l’homme.

     

     

     

    Le tabernacle était composé de 48 planches, 96 socles, 10 tentures latérales, 100 agrafes pour ces tentures, 50 crochets pour ces agrafes, 11 tentures en peau de chèvre pour le toit du Tabernacle, 100 agrafes pour ces tentures, 50 crochets pour les dites agrafes, 15 poutres, 96 anneaux, 1 rideau intérieur, 4 piliers supportant ce rideau, 4 socles pour ces piliers, 4 crochets, 1 panneau masquant l’entrée du Tabernacle, 5 piliers pour suspendre ce panneau, 5 socles, 5 crochets, 1 Arche sainte, 1 couvercle pour cette arche, 1 paire de chérubins, 1 table, 1 lampadaire, 1 autel pour l’encens, 1 autel pour les sacrifices, 1 vasque pour les ablutions » ; soit un total de 613 éléments, correspondant aux « 613 lois de la Torah. Cela ne peut que confirmer le lien  étroit entre la Torah et la construction du Tabernacle et la correspondance avec l’homme qui a été crée par Dieu avec 613 organes.

     

    Pour arriver à ce fondement c’est de vivre sa Torah en pensée, en paroles, et en actions. 

     

    Apportons en ce shabbat notre Terouma notre coeur afin que Dieu en dispose comme Il veut afin que Son Esprit vienne habiter en nous.

    Conduisons-nous en harmonie avec la Torah, en agissant avec foi et amour pour la Torah car si nous avons la foi et l’amour pour la Torah c’est que nous avons la foi et l’amour pour Yeshoua.

    Pour commencer à accorder notre pensée notre parole et notre action ce vendredi lorsque nous préparons nos pains de shabbat il faut prélever un tout petit peu de pâte encore crue (de préférence) qui se nomme Terouma et dire la prière du prélèvement de la Terouma.

     

    Beni sois-Tu l‘Eternel notre Dieu Roi de l’univers qui nous a sanctifiés par Ses commandements et nous à ordonné de prélever la Terouma.

     

    Et en plus pour cette parasha:  

      

     

    Beni sois-Tu l‘Eternel notre Dieu Roi de l’univers qui nous a sanctifiés par Ses commandements et nous a ordonné d’être saint  comme lui est Saint.

    Eternel Dieu je te donne mon être entier afin que tu vienne vivre en moi et que tout mon être te sois soumis afin que je vive en harmonie avec ma pensée, mes paroles et mes actions pour être sanctifié!

     

     

    Lecture de la parasha : Exode : Chapitre 25 verset 1 à chapitre 27 verset 19.

    Lecture de la haftarah : 1 Rois : Chapitre 5 verset 26 à chapitre 6 verset 13.

    Lecture messianique : 1 Corinthiens : Chapitre 3  verset 10 à 23.

     

     

     

    Shabbat shalom.

     

    L.B

     

     


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