• Pessah 2024.

     

     Pessah 2024. 

    Le grand rendez-vous!

     

    Ce lundi 22 avril 2024 au soir commence la fête de Pessah, suivi aussitôt le mardi soir de la fête des Pains sans levain, qui démarre en même temps le décompte du Omer qui durera 50 jours. Les pains sans levain se termine le mardi 30 avril en soirée.

     

    Pessah c’est le rendez-vous annuel à ne manquer sous aucun prétexte.

    Nous avons rendez-vous avec Dieu.

    Ces deux jours qui s’organisent comme un grand shabbat chômé.

     

    Pessah commence obligatoirement le 14 du mois de Nissan ce qui correspond à ce lundi soir 22 avril  à la tombée de la nuit.

     

    Dans le judaïsme Pessah commémore la libération des esclaves de l’Egypte.

    Sous la direction de Moïse, de terribles négociations se débattent avec pharaon.

    Dieu déploie sa gloire au travers de phénomènes surnaturels qui dévaste l’Egypte par les 10 fléaux.  

     

    Quand le pouvoir du Pharaon fut anéanti, le peuple fut libéré de son contrôle. Ils furent libres d’aller fêter Pessah. Enfin libre de vivre et adorer le Dieu de leur Père, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob.

     

     

    Ce premier soir le 14 Nissan sous les ordres de Moïse chacune des familles du peuple de Dieu devait abattre un agneau en récupérer le sang et d’en badigeonner   les linteaux de leur  porte, afin d’être protéger de la mort. Ce même soir, ils mangèrent l’agneau grillé avec des herbes amères.

     

    Le deuxième soir ils partirent précipitamment en emportant les pains qui n’avaient pas encore levé, ils mangèrent les pains sans levain.

     

    A ce niveau là de compréhension biblique on reste sur notre faim.

    Mais Pessah pour les messianiques prend une dimension universelle.

    Le soir de La Pâque le monde à été délivré de la domination diabolique.

    Yeshoua a accompli l’oeuvre finale qui sauve le monde.

    Il s’est déclaré au monde entier comme le Messie d’Israël. Il est Dieu et s’est fait homme pour se faire sacrifice, afin que son sang soit répandu sur la terre pour le pardon de nos péchés, car sans effusion de sang il n’y a pas de pardon.

    Il fut déclaré le Roi des Juifs.

     

    Il y a plus de 2000 ans, quelques heures avant La Pâque une foule nombreuse de gens était venu à Jérusalem célébrer Pessah, mais ayant entendu dire que Yeshoua si rendait ils prirent des branches de palmiers et allèrent au devant de lui en criant Hosanna!  Bénit soit celui qui vient au Nom du Seigneur le Roi d’Israël.

     

    Yeshoua trouva un ânon et s’assit dessus selon que la prophétie l’avait annoncé: Ne craint rien fille de Sion, voici ton roi , il vient aussi sur le petit d’une ânesse.

     

     Yeshoua leur dit:

    L’heure est venue ou le fils de l’homme doit être glorifié. Car c’est pour cela que je suis venu jusqu’à cette heure. 

    Maintenant à lieu le jugement de ce monde.

    Le maître de ce monde sera jeté dehors et moi quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi.

     

    Il leur dit encore: celui qui croit en moi, croit en celui qui m’a envoyé.

    Je suis venu dans ce monde pour sauver ceux qui croient en moi.

     Celui qui me rejette, rejette le Père qui m’a envoyé.

    Croyez en Dieu et croyez en moi je suis le chemin, la vérité, la vie. Personne ne peut venir au Père si il ne croit pas en moi.

     

    Je suis dans le Père et le Père est en moi. 

     

    Mon heure arrive pour que vous viviez.

    Voici la dernière recommandation que je vous donne!

     Aimez-vous les uns les autres. C’est à ceci que tous se reconnaîtront, que vous êtes mes disciples si vous avez de l’amour les uns pour les autres.

     

     

    Je vais passer de ce monde, au Père parce que je vous aime.

     

    En ce jours là vous connaîtrez que je suis en mon père, que vous êtes en moi et que je suis en vous.

     

     Celui qui garde mes commandement sans les changer, c’est celui qui m’aime et celui qui m’aime sera aimé de mon père.

     

    Mon heure est venue je vous laisse la paix, je vous donne ma paix, je m’en vais, je reviendrai vers vous avec le consolateur, l’Esprit Saint qui est l’Esprit de Vérité que le père enverra en mon Nom,  et qui vous enseignera toutes choses, il est avantageux  que je m’en aille, je vais vous préparer une place afin que là où je suis vous y soyez aussi.

     

    Le temps est arrivé ou je dois accomplir le sacrifice afin que le monde sache que j’aime le Père, et que j’agis selon l’ordre que le Père m’a donné.

    Je suis sorti du père et je suis venu dans ce monde maintenant je quitte le monde et je vais au Père.

     

     

    Le prince du monde va être jugé. 

     

    Après avoir ainsi parlé, Yeshoua leva les yeux au ciel et dit: Père, l’heure est venue! Glorifie ton fils afin que ton fils te glorifie. J’ai achevé l’oeuvre que tu m’a donnée. J’ai fait connaître ton Nom aux hommes. Je leur ai donné les paroles que tu m’a donné, et ils les ont reçues, et ils ont vraiment connu que je suis de toi, et ils ont cru que tu m’a envoyé. C’est pour eux  que je prie Père Saint, garde en ton Nom ceux que tu m’as donné afin qu’ils soient comme nous.

     

     

    Après cela Pilate, fit battre Yeshoua, et ils lui tressèrent une couronne d’épines qu’ils enfoncèrent avec violence sur sa tête. Pilate ceda à la pression de la foule et ordonna qu’on le fasse mourir sur le bois à Golgotha. C’était Pessah. Ils inscrivirent sur le linteau du bois où ils avaient percé ses mains et ses pieds  « Yeshoua le Roi des juifs. »

    A ce dernier instant Le voile du temple s’est déchiré du haut jusqu’en bas, la terre trembla les rochers se fendirent.

     

    A ce moment là beaucoup dirent assurément que cet homme était le fils de Dieu.

     

     

    Ils le mirent dans la tombe car c’était le grand shabbat de Pessah. 

    Le troisième jour ils se rendirent sur la tombe qui était vide et comprirent ce qui avait été annoncé 

     Après 3 jours je ressusciterai !

     

     

     

    Yeshoua à tout accompli sur le bois, Il est mort pour nous sauver de l’enfer éternel.

     

     

     

    Ce soir c’est le Rendez-vous mondial tous les rachetés d’Israël seront réunis pour rendre hommage à Dieu.

    Nous fêtons la Pâque selon les écritures et non selon la folie de ce monde. Il est écrit: Le soir de La Pâque vous mangerez l’agneau rôti avec des herbes amères vous les mangerez avec du pain sans levain.

    En ces jours de fêtes c’est un grand rendez-vous avec Dieu, le corps du Messie devient Un avec  le tout Israël. Tous ensemble nous honorerons Dieu. Même si la plupart des juifs n’ont pas encore reçu le dévoilement du Messie Yeshoua nous serons uni vers le même chemin, le même destin celui qui conduit à Dieu.

    Soumis à l’obéissance, nous messianique reconnaissons que seul les juifs ont gardé intact le calendrier des fêtes qui fixe les rendez-vous solennels.

    Car selon qu’il est écrit Dieu leur à confié les oracles les secrets des écritures. 

     

    C’est pourquoi nous célébrons cette fête selon la tradition judaïque.

     

    La fête se prépare en commençant par nettoyer toute la maison de tout ce qui peut contenir de la levure, pain, gâteaux etc. 

     

    C’est en quelque sorte une allégorie qui met en scène notre propre nature à se débarrasser de nos péchés, nos mauvaises tendances, nos erreurs, nos errances spirituelles. Un nouveau départ sur le chemin de la liberté, et de la vérité.

    La Pâque de façon imagée afin que nos actions se matérialisent dans ce monde. C’est une commémoration qui permet de ne jamais oublier ce qui s’est passé l’ors de ces fêtes. 

    Ces rituels traditionnels ont pour but la transmission qui perpétuent l’événement de génération en génération.

     

     

     

     

     

     

    L’organisation du plateau de Pessah. 

     

     

    Sur le plateau  du seder il y a :

    3 galettes de pain sans levain empilées.

    Un os d’agneau grillé.

    Des herbes amères (endives, ou autres).

    Un oeuf.

    Feuilles de salade, céleris, ou autres.

    La pâte  à base de fruit frais et sec et vin  mélangé. 

    L’eau salée.

     

     

     

    Programme du Seder

     

    1: La prière du vin comme à Shabbat, en élevant la coupe de vin.

    La première coupe de vin:

    Barou ata Adonaï élo énou mélér aholam boré péri agéfen,

    Béni sois-tu l’Eternel notre Dieu Roi de l’univers qui a créé le fruit de la vigne.

     

    Ceci représente le sang de la nouvelle alliance en Yeshoua  qui est répandu pour le pardon de nos péchés.

    AMEN

     

    2: Se laver les mains.

     

      

    3: Prendre la galette du milieu, la casser en deux, reposer la petite moitié entre les deux autres galettes puis prendre la grande moitié et dire :

     

    Barou ata Adonaï élo énou mélér aholam amotsi lérém mine aarets.

    Béni sois-tu l’Eternel notre Dieu Roi de l’univers qui a fait sortir le pain de la terre. 

     

    Ceci représente le  corps de Yeshoua, donné pour nous; que nous élevons en Sa mémoire.

     

     

    AMEN

     

    4:  Prendre cette galette l’envelopper dans un tissu blanc la porter sur l’épaule et allé la cacher.

     

    Puis dire:

    —Ils prirent le corps de Yeshoua et l’enveloppèrent de bandes avec des aromates comme c’était la coutume d’ensevelir chez les juifs .

     

     

    5: La deuxième coupe de vin, partagés accoudé.

    AMEN

     

    6: Se relaver les mains.

    7: Puis chacun prendra l’herbe amère,  le trempera dans l’eau salée et en mangera. 

     

    8: Un enfant demandera : Pourquoi on doit faire tout ça ? 

    Le responsable dira :

    — Car l’Eternel nous a délivré  de notre esclavage en Egypte .

    — Car Yeshoua est mort sur le poteau pour  le pardon de nos péchés et nous a délivré de nos ennemis.

     

    -Tous les autres soirs nous pouvons manger du pain levé ou du pain non levé ce soir seulement du pain non levé.

    Tous les autres soirs nous pouvons manger toutes sortes d’herbes ce soir seulement des herbes amères.

    Tous les autres soirs nous n’avons pas besoin de le tremper pas même une fois.

    Tous les autres soirs nous mangeons assis droits ou accoudés

    ce soir accoudés seulement.

    L’Eternel notre Dieu nous a fait sortir de ce pays par sa main puissante et son bras étendu.

    Si le Saint-béni  n’avait pas fait sortir nos ancêtres d’Egypte, nous et nos enfants nous serions

    assujettis au Pharaon d’Egypte.

    Soyons-nous tous des sages des sujets intelligents, tous instruits dans la Loi,

    Ce serait encore pour nous un devoir de perpétuer  la sortie d’Egypte.

    Béni soit Dieu, Lui qui a donné la Torah à son peuple d’Israël oui, Béni soit-Il !

    La Loi parle de quatre types d’enfants:

    L’un sage, l’autre méchant, l’autre simple, et l’autre qui ne sait pas questionner: Béni soit Dieu, Bénis soit-Il

    Lui qui a donné la Torah à son peuple d’Israël

    oui, Béni soit-Il !

     

     

    9: Chacun prendra un morceau de la  galette restante coupée,  prendra aussi les herbes amères ( salade amère, endives ) la pâte de fruit, (mélange de pommes de vin fruit sec le tout écrasé) en mangera le tout  ensemble dans un morceau de galette. 

     

    10: Puis sur l’œuf on dira «  Par Yeshoua je suis passer de la vie à la mort ». 

     

    11: Consommer le repas, l’agneau rôti en prenant les premières bouchées rapidement, un bâton à la main. 

    12: Prendre la troisième coupe de vin, la partagé accoudé.

     13: Aller chercher le pain caché (ne pas le manger tout de suite ).

    Puis dire:

    —Yeshoua  a été enseveli et Il est ressuscité le troisième jour.

     

    14: Boire la dernière coupe de vin accoudé. 

    15: Partager la galette  accoudé.

     

     

    Ecouter  ou chanter des chants  de louanges. 

     

     

    Les lectures bibliques du premier jour de la fête de la Pâque sont:

    Exode: Chapitre 12: 21,51.

    Josué: 5: 2 à 6 : 1.

    Esaïe: 52: 13 à 53: 12.

    Luc:  23 verset 33 à chapitre 24 verset 12.

     

     

     

     

     

    Le deuxième jour qui est le premier jour de la fête des pains sans levain. 

     

    On refait le seder en entier, si on veut, mais sinon on fait que le vin et le pain sans levain. 

     

     

    Durant ces jours on ne consomme pas d’aliments contenant de la levure.

     

    On commence le décompte du Omer, qui durera 50 jours.

     

    Les lectures bibliques sont:

    Lévitique : Chapitre 22 verset 26 à chapitre 23 verset 44.

    2 Rois : Chapitre 23 verset 1 à 9 puis 21,25.

    Lecture : Mathieu chapitre 28 verset 1 à 10.

     

     

     

    Hag Pessah Sameah !!

     

    Bonne fête de la liberté qui nous est donnée de vivre à Pessa’h, par le sacrifice de Yeshoua.

     

     

     

    L . B

     

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Le lépreux.

     

    Cette semaine un peu spéciale où nous abordons pour ce  Shabbat la parasha Metsora et dès lundi soir nous entrons dans la Pâque, le Pessah du Messie Yeshoua.

     

    Metsora désigne la personne atteinte de lèpre.

    Le lépreux qualifie l’état d’âme de la personne.

    Le thème de la parasha est la purification contre la lèpre et contre l’impureté séminale.

    Ici est abordé  deux  autres aspects liés à la lèpre et à l’impureté qui sont la colère et la peine.

     

    La peine engendre toujours la colère, quelle soit refoulé ou exprimé.

     

    La colère est un sentiment de base, se manifestant par un mécontentement, une irritation, une réaction à une situation jugée comme mauvaise d’une façon ou d’une autre. D’ailleurs la lèpre manifeste une irritation de la peau, une réaction de colère qui irrite la peau.

    La colère exprime un besoin de respect et de considération. La colère affecte les maladies du foie, et ressort en maladie cutanée,  donnant eczéma, psoriasis, gale, herpès, mycose, teigne, urticaire, zona.

     

     

    La colère dissimule une douleur, ou une frustration, une forme d’impossibilité à se faire comprendre. Une injustice qui remet en cause notre intégrité.

     

     

     

    On peut se mettre en colère contre toutes les injustices de la vie, il y a tellement de choses qui sont inadmissibles dans ce monde, mais la colère du monde n’atteint pas les organes aussi brutalement. C’est la colère liée aux émotions personnelles qui irritent le corps.

     

    Les croyants sont souvent sujet à une grande sensibilité, ce qui fragilise leurs émotions et peut provoquer une frustration vis à vis de l’incompréhension de leur  l’entourage, qui inconsciemment va  produire  des problèmes d’anxiétés.

     

    On ne peut pas rejeter toutes ces émotions, il faut faire confiance à Dieu, dans chaque situation déstabilisante, car Lui nous rendra justice.

     

    Nous voudrions vivre notre foi en Dieu dans la liberté, le partage, et le respect, mais ce n’est pas toujours possible.

     

    Nous souffrons du rejet, des moqueries, et des insultes des autres.

     

    Cette lèpre c’est la lèpre du rejet. 

     

    Le syndrome du croyant qui veut aimer mais qui est rejeté. 

     

     

     

    Petite histoire.

    Il y avait très très longtemps dans un cours de Torah un élève qui interroge un des grands sages qui présidait le cours: 

    Le jeune demanda; Je voudrait savoir quel est le nom du Messie, car je voudrais le reconnaître si je devais le voir un jour; le sage lui répond; 

     Il est appelé Le lépreux de la maison du Rabbi. Le jeune intriguait demande mais comment le Messie serait-il lépreux, car le Messie ne peut-être que pur.
    Le sage répond; Il est lépreux car le Messie est un homme de chair il a un corps et qu’il faut  qu’il souffre dans son corps.

     Il est Rabbi parmi les lépreux;

     Le sage argumentait son raisonnement en disant que chaque âme qui croit que le Messie est là, souffre dans son corps, il souffre du rejet du monde.

     

    Le peuple juif est le souffre douleur du monde et tous ceux qui se rattachent à Israël, souffrent aussi le rejet, le manque d’amour, la haine, c’est cela la lèpre de l’âme, la souffrance du croyant. 

     

    En vérité, notre texte ne punit pas le lépreux, au contraire il traite de la guérison.

     

    Nous qui sommes croyant Messianique, nous souffrons du rejet de nos proches, des juifs, des chrétiens, nous sommes incompris,  méprisés, rejetés, parfois brutalisés, mis à part. Et cela peut produire une lèpre ou une impureté,  car cela nous irritent le coeur alors la peau s’irrite aussi, c’est pourquoi la peine et la colère que nous gardons en nous sont la cause de la lèpre de l’âme qui souffre.

     

     

     

    Le prophète Esaïe dit en prophétisant sur le Messie;  53; 4. 

     Il a souffert nos maladies et enduré la souffrance, atteint de lèpre frappé par Dieu  et affligé.

     

     

     

    Yeshoua le Messie le Rabbi qui est avec nous dans la souffrance et le rejet.

     Le Lépreux est  avec les lépreux.

      

     

    Le peuple de Dieu dans son ensemble est comparé à un être humain qui se  transforme pour former le Messie. Nous souffrons à cause de Lui, car lui a souffert à cause de nous.

     

     

     

    Nous souffrons parfois à cause de la méchanceté des gens, mais nous avons un consolateur qui prend soin de nous, il ne nous laisse pas tombé, Il est présent à chaque instant, Il nous dit: heureux serez-vous lorsque les hommes vous haïrons lorsqu’on  vous outragera, qu’on vous persécutera, et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal. Heureux serez vous si vous persévérez jusqu’à la fin car vous serez sauvé.

     

    Dans le texte de Mathieu 10; 22.

    Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom; mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé.

     

    Yeshoua dit: Si le monde vous hait, sachez qu'il m'a haï avant vous.

     

    Jean; 15; 19.

    Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui; mais parce que vous n'êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait.

     

     

     

    Nous sommes donc à l’image de Yeshoua le Messie. Souffrant pour Lui comme Lui. Alors on se dit qu’il vaut mieux souffrir maintenant de quelques mésaventures et être choisis par Dieu et être un véritable croyant qui a reconnu le vrai Messie Yeshoua, que de ne jamais souffrir du rejet spirituel que les autres nous font endurer, et être sauvé, avec l’espérance de vivre avec Dieu pour toujours.

     

    Le Nom du Messie exprime sa nature, Yeshoua est son nom le sauveur. Il est venu pour porter nos souffrances et nous rendre pur. Yeshoua est son Nom et nous le portons avec fierté et force pour supporter nos douleurs et nos colères face à tous ceux qui disent du mal de nous, ceux qui nous traitent de tous les noms. Peu importe car nous portons son Nom.  Il a souffert et nous souffrons aussi.

     

    Rappelons nous que nos souffrances sont passagères, mais que notre espérance de paradis est éternel  dans son royaume céleste il n’y aura plus de souffrance ni de douleurs 

     

    Apocalypse 7; 17.

     

    Car l'agneau qui est au milieu du trône les paîtra et les conduira aux sources des eaux de la vie, et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux.

     

    Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu.

     

     Esaïe 51; 11.

    Ainsi les rachetés de l'Eternel retourneront, Ils iront à Sion avec chants de triomphe, Et une joie éternelle couronnera leur tête; L'allégresse et la joie s'approcheront, La douleur et les gémissements s’enfuiront.

     

    Mathieu 8; 17

    Afin que s'accomplît ce qui avait été annoncé par Esaïe, le prophète: Il a pris nos infirmités, et il s'est chargé de nos maladies.

     

     

     

    Yeshoua a souffert dans son corps pour nous guérir de nos peines et nos colères. Il a porté nos péchés en son corps c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé.

     

     

    Cette parasha nous accorde un temps pour jeter toutes nos peines et nos colères car elles ont produit du levain. En hébreux cela se dit   du ‘hamets,  comme une levure qui nous a gonflé et blessé. 

     

    Ce temps avant la vrai Pâque nous est accordé pour pardonner tous ceux qui nous ont offensés, tous ceux qui nous persécutent car en fait ce qui compte vraiment c’est que Dieu vive en nous et le reste n’a que l’importance qu’on lui accorde. Avant Pessah il nous est demandé de sortir de nos habitations tout le levain qu’il peut y avoir dans nos placards, frigidaires et poches de vêtements etc… toutes sortes de pains de gâteaux, de panures, toutes les levures.

    Cette action verbalise nos colères et nos peines que nous jetons définitivement.

     

    Ce que Dieu nous demande c’est d’aimer notre prochain, et notre prochain c’est ceux qui partagent le pain et le vin du shabbat avec nous ou loin de nous mais en accord avec nous. 

    Les autres qui nous persécutent il faut apprendre à les ignorer. Ils sont à l’extérieur du camp, ils ne doivent plus nous atteindre.

     

     Mais nous qui avons été guéris et purifiés par Yeshoua nous sommes déjà à l’intérieur du temple.

    Ne regardons plus ceux qui sont à l’extérieur, mais regardons vers ceux qui sont avec nous, ceux qui vont avec nous dans la même direction. Ceux qui préparent Pessah qui commence dès Lundi soir 22 avril 2024 suivi de la fête des pains sans Levain dès mardi soir car en ces deux jours ce sera comme un grand shabbat de 48 heures. 

     

    Éloignons-nous de toutes ces personnes qui nous souillent et nous contaminent avec leur propos médisants sur nous, ne cohabitons plus avec ces gens du dehors car nous n’avons rien de commun avec eux.

     

    Shabbat shalom

     

    L . B

     

     

    Lecture de la parasha : Le Lévitique : Chapitre 14 verset 1 à chapitre 15 verset 33.

     

    Lecture de la haftarah : 2 Rois Chapitre 7 verset 3 à 20.

     

    Lecture messianique : Mathieu : Chapitre 9 verset 20 à 26. 

    Marc : Chapitre 5 : 24 à 34.

    Luc; chapitre; 8 verset; 42. 48. 

    Hébreux; chapitre 14 verset 4.

     

     


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  • H. P. S. Haut potentiel spirituel.

     

    La parasha Tazria propose une étude sur nos capacités spirituelles. 

    Nous sommes dotés d’un haut potentiel spirituel, une promesse possible d’un changement de vie à viser plus haut.

     

    Notre texte commence par le commandement de la circoncision qui doit être faîte à tout garçon âgé de 8 jours. Une femme ayant donné naissance à un enfant doit suivre un processus de pureté qui se conclut par une immersion dans un bassin, et l’apport de sacrifices au Temple.  Puis le sujet s’oriente sur La "Tsaraat" (lèpre) qui est une infection surnaturelle qui peut toucher les êtres humains au niveau de la peau, des vêtements ou des maisons. 

    La haftarah se complète pour nous amener à comprendre notre potentiel spirituel.

     

    Plusieurs niveaux d’études de cette parasha nous amène à des réflexions sur les étapes de notre vie et celle actuelle. 

     

    La femme qui enfante s’interprète a un niveaux collectif et à un niveau personnel; au niveau personnel il s’agit de l’âme de chaque être humain qui reçois la vie au moment de sa nouvelle naissance, dès l’acceptation que Dieu existe. Ainsi enfermé l’étincelle spirituelle divine s’illumine. 

    L’homme est créé à partir de la terre et ensemencé par Dieu. Comme une graine qui a besoin  d’eau et de lumière pour se développer.

     

    Le niveau collectif c’est la dimension encore plus élevée qui rassemble toute la terre d’Israël.

     

    La foi en Yeshoua le Messie est l’engendrement du fils.

    C’est l’image de l’être humain terrestre représenté par la femme qui est ensemencé par Dieu pour donner vie à Yeshoua.

     

    Aussi c’est aussi la mère de Yeshoua qui est ensemencé par Dieu pour donner naissance à Yeshoua.

    C’est pour ainsi dire par le nombre immense de croyants qui croient que le Messie est Yeshoua qui donne la dimension collective dans ce monde.

     Le monde et  chacun de nous est impur et nous donnons naissance à ce qu’il y a de plus pur Yeshoua le fils de Dieu. 

     Nous sommes lépreux et l’ensemble du monde est atteint de cette lèpre.

    La lèpre se développe sur le corps, le vêtement, la maison. C’est 3 endroits où se développe la lèpre font référence à ce que nous sommes.

     

    Le corps c’est la conscience individuelle, c’est la marque des téfilines qui le protège. 

     

    Le vêtement c’est la communauté dans laquelle on évolue, notre entourage proche,  c’est la marque du talith qui le protège.

     

    Et la maison c’est le tout Israël qui  porte la marque de la mézouza qui la protège.

    Ces 3 marques établissent le signe que nous sommes protégés par Dieu. C’est la marque des commandements que nous portons. Ils nous protègent de la mort spirituelle. Les commandements sont la source de guérison, la protection contre tout ce qui est impur dans ce monde.

     

     

    Ce mois-ci nous sommes entrés dans le mois de Nissan, c’est le mois du changement.

    C’est un temps pour s’examiner de près. Y a t-il encore quelques traces d’impureté, quelques traces de lèpres? 

    Ou en somme nous? 

    Avons-nous évolué ou bien régressé cette année?

    C’est la question que nous pose Tazria.

    Notre semence a-t-elle grandi? Avons nous annoncé que le Messie est Yeshoua?  Avons nous évolué personnellement et collectivement?

     

     

    Dieu dit. Je vous ai donné ce mois de Nissan. Les sages interprètent ce verset comme si  c’était à nous de changer les choses.  Comme si nous avions tout le potentiel entre nos mains pour changer notre vie et celle des autres.

     

    Ce mois de Nissan nous prépare au grand bouleversement. Bientôt la fête de Pessah  et le renouvellement de nos capacités à élever le Fils de Dieu en commémorant cette fête. Car Yeshoua dans cette nuit où Il s’est livré pour mourir d’une affreuse mort, cloué sur le bois pour pardonner nos péchés et pour nous sauver. 

     

     

     

    Yeshoua n’est pas encore proclamé Roi des juifs sur toute la terre. Il est piétiné, Il est moqué, Il est dénigré, Il est insulté.

    Toutes ces paroles de mépris contre Yeshoua ne sont que des paroles de lèpres.

    Que se soient des religions chrétiennes qui l’on rendu ridicule en l’associant aux oeufs de paque, lapin, cloches, et autres débilités festives. N’ont fait que souiller son Nom, et Son Sacrifice.
     

    Yeshoua est juif, Il doit être honoré à l’unique fête juive de Pessah selon le calendrier hébraïque.

    Car cette nuit-là, Il fut livré et donné en spectacle, humilié, roué de coup, rendant son visage meurtri, méconnaissable, ils lui ont arraché la barbe, craché  et battu. 

     

     Mais le monde s’en fout, je suppose qu’il pense que le chocolat c’est plus honorable que notre Sauveur. Mais heureusement qu’il arrive d’imaginer qu’il y a encore des gens qui veulent changer les choses et s’en donnent les moyens.

    Le mois de Nissan nous est offert pour exploiter notre potentiel à changer de vie, abandonner notre passé pour engendrer la vie nouvelle et faire naître la lumière. 

     

    Notre conscience nous rappelle que Dieu existe, que le Messie est Yeshoua, alors souvent on doit vivre des choses difficiles pour pouvoir se découvrir vraiment et connaître notre haut potentiel spirituel qui ne demande qu’à jaillir.

    Notre passé à influencé ce que nous sommes. Mais on ne se définit pas par notre passé on se définit par la personne que l’on est devenu actuellement.

     

    Notre potentiel spirituel nous donne à réaliser que nous avons le pouvoir de décider qui l’on veut être, pour notre propre vie, pour notre entourage et pour le monde.

    Nous avons en nous la possibilité de tout changer.

     

    Le désir de se rapprocher des gens qui résonnent comme nous, qui cherchent Dieu dans la même vérité.

    Le désir de s’éloigner des gens qui ne nous comprennent pas. 

    Le désir d’oublier ceux qui nous éloignent de notre but spirituel. Ceux qui nous influencent à nous éloigner de Dieu, nous égarent dans nos convictions.

     

    Notre désir de créer notre avenir avec Dieu.

    Nous avons le choix de lever la tête et rechercher notre origine.

    Les commandements c’est ce qui élève notre haut potentiel spirituel de la sainteté.

     

    Si on fait un petit tour vers la haftarah on aura une autre vision pour comprendre notre potentiel spirituel.

    Il y avait un homme lépreux qui par l’intermédiaire de sa  servante une jeune femme juive lui dit d’aller consulter le prophète Elisée pour être guéri de sa lèpre. Quoi qu’il rechignât à écouter le prophète, puis accepte d’aller se purifier 7 fois dans le Jourdain, il fut guéri. 

     

    7 fois comme les 7 fêtes des commandements. 

    Puis aussi il y avait un homme qui apporta un peu de pain pour nourrir au moins 100 hommes; Elisée lui dit:  Donne au peuple  ce pain et il en restera encore plein les paniers.

     

    Cette histoire nous rappelle aussi dans Luc: 9.

     

     

    Yeshoua leur dit: Donnez-leur vous-mêmes à manger. Mais ils répondirent: Nous n'avons que cinq pains et deux poissons…pour tout ce peuple. Yeshoua prit les cinq pains et les deux poissons, et, levant les yeux vers le ciel, il les bénit…afin qu'ils les distribuent à la foule. Tous mangèrent et furent rassasiés, et l'on emporta douze paniers pleins des morceaux qui restaient.

     

    Ce texte souligne que les pains sont les 5 livres de la Torah. 

    Yeshoua dans ce passage des écritures: leur donne force et pouvoir sur tous les démons, avec la puissance de guérir les maladies. Il les envoya prêcher le royaume de Dieu, et guérir les malades. La Torah leur ouvre le potentiel de guérir des fausses religions qui ont été propagées  comme la lèpre.

     

    Yeshoua nous donne tous le potentiel de changer les choses, de partager la connaissance de la vérité des commandements. 

    Car Il dit: il est un poison dans ce monde c’est de diffuser la mauvaise parole qui est une lèpre qui conduit à la mort.

    La lèpre est assimilée à la mauvaise parole. Nous avons déjà lu que lorsque Myriam a contredit Moïse elle fut atteinte d’une lèpre, il faut comprendre que le sens de ce texte. Myriam a contredit la Torah, Moïse est  en effet  identifié à la Torah.

     On voit que la lèpre c’est bien l’objection à la Torah, dire que Yeshoua à aboli la Torah, c’est propager la lèpre. Interpréter les textes sans l’ordre des vraies Fêtes c’est une Tsaraat qui exclut les membres de l’assemblée de Dieu.

     

    Yeshoua nous a tout donné, nous n’avons pas à chercher ailleurs, mais en  nous Sa Vie qui ne demande qu’à vivre.

    La vie est un voyage durant lequel tous les défis nous sont confrontés, mais nous avons des décisions à prendre, choisir d’élever notre potentiel en allant vers Yeshoua ou  choisir de vivre le chaos en prenant le chemin sans Dieu.

    Se préparer à vivre Pessah pour tuer chaque fois un peu plus notre nature impure, afin qu’un jour nous soyons guéris de toutes nos maladies spirituelles.

    Accepter que Yeshoua est mort à la Pâque Juive en son temps prévu. Afin que nous ne propagions plus la lèpre mais nous apportions la guérison en nous et autour. 

     

    Shabbat shalom

     L B.   

     

     

    Lecture de la parasha:

    Tazria:

    Lévitique: Chapitre: 12 verset 1 à chapitre 13 verset 59.

    Haftarah: 2 Rois: Chapitre 4 verset 42 à 5. 19.

     

    Lecture messianique:

    Mathieu: 8:1à 4.  11: 2 à 6. Marc: 1: 40; 45.

    Luc; 2; 22, 24. 5; 12 à 16.  7; 18 à 23.


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  • Le livre de vie.

     

    La parasha  Chemini qui est la vingt sixième parasha, commence par dire: Quand on fut au huitième jour.

    Moïse s’adresse à Aaron et ses fils ainsi qu’aux anciens d’Israël, pour leur indiquer la marche à suivre pour les offrandes, les holocaustes et les oblations qu’ils devaient présenter devant Dieu.

    Ainsi que les offrandes du peuple. Car il est écrit aujourd’hui que l’Eternel doit apparaître devant vous.

     

    Le sens de la parasha Chemini donne le ton sur ce qui est naturel et surnaturel. Faire de la terre un reflet, un miroir de ce qui se passe dans le ciel.

     

     

    Aussi nous qui avons l’espérance de voir le temple céleste se réaliser et se finaliser, nous savons que sur la terre, il ne nous reste que le Livre Saint qui nous indique la marche à suivre pour construire le palais céleste.

    La bible est  composée de l’ancien et du nouveau testament, mais les deux ne font qu’un seul livre, qui ne doit jamais être dissocié. Le premier livre annonce le Messie à travers les commandements, le second livre fait vivre le Messie Yeshoua.

     

    Le livre s’est la parole de vie, l’acquérir  c’est le commencement de la sagesse, il nous donne l’intelligence et nous conduit dans les sentiers de la droiture.

     

     

     

     

     

     

     

     

    La bible est un livre dont les droits d’auteur ne devraient être accordés qu’à Israël.

    Les droits d’auteur confèrent à leur titulaire le droit exclusif d'utiliser l’œuvre.

    Les utilisateurs de l’oeuvre ne peuvent pas modifier, ni  

    ré-interpréter, ni copier le texte pour leur convenance.

    Le fait d’avoir acheté le livre sacré, ne donne pas  de droits d’exploitation sur le livre. Ni même si le livre revêt d’une gratuité ne permet pas d’en défaire le caractère initial. 

     

     

     

     

    Les manuscrits bibliques ont tous été écrits par des juifs, que ce soit la première alliance ou la deuxième alliance tous les auteurs sont des juifs. 

     

    La bible c'est la volonté de Dieu énoncée par les prophètes, qui ont parlé par oracles en transmettant les pensées de Dieu.

     

     

     

     

     

    Le Livre Saint a été écrit sous l’inspiration de Dieu, il en détient les droits unique, et reste inimitable.

    Mathieu; 5; 18.

    Car je vous dis en vérité, que jusqu'à ce que le ciel et la terre soient passés, un seul iota, ou un seul trait de lettre ne passera point, que toutes choses ne soient faites.

     

     

     

     

     

    Le livre de vie  ne doit jamais différer de versions; la légitimité rabbinique de la Torah est établie par Dieu. Et personne ne doit en modifier les lettres.

     

    Celui donc qui supprimera l'un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux.

     

     

    C’est pourquoi les premiers maîtres du peuple juif sont appelés des ‘Sofrim’ des hommes qui comptent, parce qu’ils comptaient toutes les lettres de la Torah.

     

    En effet, l’amour considérable que ces hommes avaient pour la Torah les portaient à estimer non seulement ses enseignements, mais aussi chacune de ses lettres, au point de les compter comme des pierres précieuses !

     

    En vérité, ces maîtres ne se contentaient pas de recenser les lettres de la Torah, ils s’efforçaient de pénétrer la signification de chacune d’elles. 

     

    Ils s’évertuaient à découvrir toutes les dimensions que recèle chaque syllabe de la Torah.

    Ils s’obstinaient à la découvrir et à l’interpréter toujours plus profondément. Car ils savaient que, ce faisant, la Torah les renforceraient, car il est écrit que Dieu n’abandonnera pas ceux qui cherchent à comprendre le sens des mots.

     

     

    La Torah possède une signification et renferme des dimensions incommensurables. La Torah étant la Science divine par excellence, elle est donc infinie et jamais un homme en tant qu’être humain ne parviendra  à l’appréhender dans sa totalité.

     

     

     

     

    Les hommes qui savent que la Torah est composée de tous les Noms de Dieu et qui comprennent donc que jamais on n’arrivera à le connaître dans son intégralité. C’est pourquoi Chemini la 26ème parasha qui se définit entre ce qui est d’ordre surnaturel nous enseigne que le Nom de Dieu contient 26 lettres, caché dans l’infinie science de la Torah. 

    Car ce n’est pas dans ce monde que le Nom de Dieu nous sera révélé mais bien dans l’autre.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Chercher et s’interroger sur les mots c’est ce qui nous amène  dans cette parasha à rechercher le sens de la nourriture animalière  à consommer ou pas consommer.

     

     

     Cette liste amène toujours beaucoup de discussions, elle interroge sur le sujet primaire de la nourriture.

    Car selon où est situé notre lieu de vie, les habitudes et coutumes  alimentaires diffèrent.

     

    Il en est que chacun de nous doit s’interroger consciencieusement sur ce qui est interdit de manger. Car si pour nous cela ne semble pas logique, il en est que la logique de Dieu nous dépasse. Car il y a des animaux que Dieu à créé non pas pour la consommation humaine mais pour l’ordre naturel biologique, des animaux créés pour la biodiversité qui jouent un rôle fondamental pour notre planète. 

    La Torah est notre manière de vivre, elle nous instruit et nous donne l’intelligence et la sagesse de vivre en harmonie avec les humains, les animaux et la nature, c’est une idéologie de respect entre nous tous, un avant goût de la vie ou l’Eden y sera  parfait. 

     

    Là où Le Livre de Vie sera Vivant en notre présence.

     

     

    Le huitième jour représente ce qui est surnaturel. Une dimension ou la Torah se transforme en présence divine. Les 7 jours de la semaine correspondent à ce qui est naturel.

    Si nous voulons vraiment comprendre le but de la vie humaine, il faut admettre que le monde n’est pas dirigé par les lois de la nature existantes, mais dirigé par Dieu. C’est à nous de s’adapter à la logique et à la volonté de Dieu pour vivre sur cette planète.

     

    La révélation de cette parasha réside dans le fait que le huitième jour est la sanctification. Le huitième jour n’existe que si on a vécu les 7 jours et dans ces 7 jours il y a obligatoirement un Shabbat, comme dans la circoncision il y a eu au moins un shabbat,  de passé. Et nous retrouvons cette confirmation quand les animaux qui devaient être offerts en holocaustes, devaient impérativement avoir passé au moins 8 jours avec leur mère, c’est qu’au moins un shabbat, était passé pour qu’ils soient Sanctifiés.

     

    Lévitique 22;27

     

     

    L'Eternel dit à Moïse: Un boeuf, un agneau ou une chèvre, quand il naîtra, restera sept jours avec sa mère; dès le huitième jour et les suivants, il sera agréé pour être offert à l'Eternel en sacrifice consumé par le feu. 

     

     

     C’est pourquoi les saintes écritures doivent être gardées et respectées, et ça commence par le respect du shabbat, de la nourriture et des commandements.  

     Celui qui en modifie le sens n’est pas sanctifié.

    Celui qui aboli les shabbat n’est pas sanctifié. Celui qui mange n’importe quoi n’est pas sanctifié. Il fait parler sa bible comme ça l’arrange. Il fait vivre le Grand  Livre de vie en modifiant les textes selon la religion crée  des hommes impures.

     

    Si on commence par dire ceci ou cela n’a pas d’importance; ou ce n’est plus d’actualité; ou bien cela ne concerne que les juifs, alors la commence l’iniquité.

     

     

    Les deux fils d’Arron sont morts car ils ont voulu changer l’ordre des choses dans le temple.

    La haftarah nous conduit vers la même idée.

    Durant le transport de l’Arche, l’Eternel avait dit de ne pas toucher l’arche. Mais Uzza à toucher à l’arche, il en est mort il a voulu faire bien mais Dieu avait dit de ne pas toucher. Car elle est Sainte et pas lui. 

     C’est pareil on ne touche pas à ce qui est saint comme La Bible, il est interdit d’en modifier les textes ou le sens.

     

    Ainsi que Saül ne fut plus établi Roi car il n’a pas obéi aux  paroles que Dieu avait ordonné.  Il avait voulu faire à sa manière. Il fut destitué de sa fonction de Roi. 

     

     

    Ce qui est profane et terrestre,  appartient à l’humain, ce qui est saint appartient à Dieu.

     

    Chemini c’est la sanctification qui nous permet de passer du naturel au surnaturel, en ne retranchant aucune des paroles de L’Eternel.

    Le shabbat c’est la porte de Chemini. Afin que l’Eternel nous apparaisse. 

    A shabbat on passe du naturel au surnaturel.

     

     

    Shabbat shalom

     

    L. B.

     

     

     

    Lecture de la parasha: 

    Lévitique: Chapitre 9 verset 1 à chapitre 11 verset 47. 

     

    Lecture de la haftarah: 

    2 Samuel: Chapitre  6 verset 1 à 7: 17.

    Ou 6: 1 à 19.  

     

    Lecture messianique: 

     

    Marc; 7; 1 à 13.

     Actes: 5: 1 à 11.

     2 Corinthiens: 6: 14,à 7: 1.

    1 Pierre: 1: 14 à 16.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Anticonstitutionnellement.

     

    Le mot le plus long de la langue française est:  « Anticonstitutionnellement ». 

    Ce mot le plus long  invoque la parasha Tsav. 

    La parasha Tsav décrit la constitution selon les ordres de Dieu.

     

     La constitution des lois de la Torah. Torah qui à fondé le Judaïsme.

     Le texte de notre parasha décrit la constitution sur les offrandes brûlées sur l’autel du tabernacle.

    Dieu parla à Moïse en ces termes; Ordonne à Aaron et ses fils la réglementation des holocaustes qui se consument sur l’autel, le feu doit se consumer toute la nuit jusqu’au matin.

     

    Toute la Torah et tout ce qui a fait que le judaïsme ne soit pas une religion mais un principe de vie de foi, s’explique dans cette parasha.

     

    Les lois de la Torah sont une représentation  de ce qui est extérieur à l’homme, que ce soit sur  les rituels d’offrandes, la nourriture, les actions, les vêtements qui ne sont que des représentations extérieures.

     

    Dieu a donné des lois qui sont la constitution divine qui sont donc irrévocables.

     

    Les 5 livres de la Torah décrivent aussi  les 5 dimensions de l’Homme.

     

    1 La Genèse:  La dimension physique, le corps.

    2 L’exode: La dimension affective, le coeur.

    3 Lévitique: La dimension intellectuel, l’esprit.

    4 Nombres: La dimension sociale, la conscience.

    5 Deutéronome: La dimension spirituelle, l’âme.

     

    Ce qui permet aux Hommes d’avoir la faculté de faire des choix, d’avoir du raisonnement, d’avoir de la volonté, le sens des responsabilités, des questionnements, des collaborations et de la communication envers les autres, tout cela donne à l’être humain un équilibre, comme les 5 livres de la Torah.

    Si il y a un déséquilibre le corps tombe malade, c’est parce que la dimension affective est déprimée et si la maladie fatigue, les facultés intellectuelles altèrent la vie sociale. Le corps cherche à exprimer par l’extériorité la dimension de l’être intérieur.

     

    La Torah ne forme qu’un livre  comme nous, nous formons qu’un seul corps.

    Ce que nous voyons c’est l’extériorité qui se dessine par notre corps.

     

    La vie humaine ne se réduit pas à une dimension biologique, mais par la vertu de l’âme sa vraie vie.

     

    L’homme à la capacité de produire des effets positifs,  cette force le pousse à entreprendre ce qui est utile pour lui et pour les autres, le désir de construire, ou alors de détruire, lui-même ou les autres.

     

    La constitution de Dieu a pour but de faire évoluer l’être humain vers son âme pour éveiller sa conscience de l’existence de Dieu.

    De l’extérieur vers l’intérieur.

     

     

    La mise en pratique des rituels d’offrandes qui devaient être consumés en permanence n’est que l’aspect extérieur qui brûle,  pour ne laisser que sa dimension interne se détacher de ce qui est terrestre pour devenir Saint.

    Chaque offrande de notre texte se termine toujours par ces mêmes mots:  « afin de devenir saint ».

    Comme une odeur agréable à Dieu, les corps consumés et les cendres jetés.

     

    Nous n’avons plus de temple,  mais nous avons le Livre.

    Le livre, de la Torah,  de la constitution divine.

    Mais malheureusement il y a beaucoup d’hommes qui sont  anticonstitutionnels. Ils cherchent à créer leur propre constitution.

    Ils cherchent leur propre gloire.

    Ils inventent  leur religion, ils se détruisent et détruisent les autres, tout ce qu'ils cherchent n’est que vaine gloire.

     

    Celui qui perd sa dimension affective, intellectuelle et sociale se met à rechercher  ses propres intérêts.

     

     

     

    Le judaïsme est comme une boussole, elle ne retient personne, elle dirige et nous remet sur le droit chemin. Celui qui rejette cette boussole, va tôt ou tard se retrouver perdu dans les chemins qui mènent à la perdition, et trouvera les tourments de son âme.

     

     

     La Parasha s’adresse à  Aaron et ses fils, ce qui incarne l’idée des dirigeants  qui instruisent sur la constitution que Dieu  a donné. Aaron celui qui est la tête, celui qui donne la dimension de l’Esprit.

     

    La Torah est ces 5 livres ont été confié à Israël et ses dirigeants fondé sur le Judaïsme, c’est donc à eux qu’incombait de diriger les constitutions des fêtes de l‘année. 

    Les croyants sont donc soumis à cette autorité décisionnaire sur les  directives à pratiquer les institutions de Dieu.

     

    Mais voilà que beaucoup d’hommes ne se conforment pas à la loi divine. 

     Il y a toujours eu des hommes qui ont décidé de changer les choses depuis l’Empereur Constantin. 

     

    Constantin qui, malgré sa pseudo conversion en 312, continue d’être un adepte de Sol Invictus (le soleil invaincu) fait du dimanche un jour de repos en hommage au dieu Sol Invictus par une loi de 321. Le dimanche devient la journée la plus importante au sein de l’Empire romain.

     

    De ce fait, lorsque Constantin préside le Concile de Nicée qu’il a convoqué lui-même, avec comme seule préoccupation de maintenir l’unité de l’Empire, il va favoriser le rejet du 14 Nissan date biblique, déclarant qu’il est indigne de suivre la coutume des Juifs et que tous les chrétiens doivent célébrer à l’avenir le même jour que les Romains.

    Scandales pour les juifs, mais qui est bien passé pour les Romains.

     

     

     

     L’affaire ne sait jamais arrêter, il y a eu beaucoup d’autres contestataires qui sont venu avec des idées qui ne sont pas des idées de génies, ils sont venu et ils sont reparti seul.

     

    Voilà encore un mal qui frappe les croyants, les anticonstitutionnels.

    Qui par un déséquilibre de leurs sens,  inventent à leur tour des ordonnances différentes des fêtes.

     

    Parmi le peuple l’on constate aujourd’hui une hérésie de la constitution.

    Certain que l’on voit maintenant émergé sur les réseaux sociaux avec des théories imaginaires. On aura vu cette semaine des groupes qui vont fêter Rosh Hashana 5784, on aura vu aussi certains qui ont déjà fêté Pessah, et d’autres le commencer cette semaine. On aura vu certain aborder des parasha qui ne sont pas dans le cycle avec Israël. Enfin un grand n’importe quoi, pourvu qu’on les voient. Ils s’attaquent à ceux qui cherchent du réconfort, à ceux qui se sentent seuls, ils rapatrient sous leurs divertissements des centaines de personnes solitaires.

     

    Peut-être que certains le font de bonne volonté, mais dans un esprit en déséquilibre avec Israël, ce qui a endommagé la dimension sociale qui  faute de tomber tout seul,  fait tomber les autres.

     

     

    Cette parasha nous dit: ce qui plaît à Dieu c’est la bonne odeur de nos sacrifices, des offrandes, qui produisent la sainteté.

    Ce qui plaît à Dieu c’est d’offrir nos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu,  des corps greffés sur Israël.

     

     Afin d’être transformés par le renouvellement de l'intelligence, pour que nous discernions quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait.

     

    Car si nos corps sont la dimension de la genèse, et c’est là que la lumière à commencer à éclairer le monde pour nous guider tout au long des siècles. C’est par ce livre qu’un peuple naquit  pour être les gardiens  des institutions à travers tous les siècles. 

    Ainsi si la dimension du  corps est équilibré, l’affectif, l’intellectuel, et le social le sera aussi, alors l’âme ne se manifestera plus extérieurement par des maux très long, mais restera dans le silence de la plénitude de la sainteté dans lequel elle se restaure.

     

    L’apôtre Paul dans 1 Corinthiens dira:

    C'est pourquoi, fuyez l'idolâtrie. jugez vous-mêmes comme des hommes intelligents. 

    N’imitez pas les choses que les nations sacrifient, elles les sacrifient à des démons et non pas à Dieu: or je ne veux pas que vous ayez communion avec les démons.

     

    Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur et la coupe des démons; vous ne pouvez participer à la table du Seigneur et à la table des démons.

     

     

     

    Ainsi il n’y a qu’une seule Pâque celle que la Torah impose le 14 Nissan selon la pratique Judaïque, il en convient que chacun est libre mais ne faisons pas de cette liberté une occasion de chute pour les autres, car ce qui plaît à Dieu c’est que nous vivions dans la dimension sociale nous aimons les uns les autres, nous apportant mutuellement le secours dont nos âmes ont besoin.

     

     

    Car ce que nous faisons des choix de notre vie durant ces siècles, nous amèneront à vivre le huitième et dernier rendez-vous, mais celui-là sera dans  l’incarnation du Messie éternellement. Alors ne nous trompons pas de Pâque restons unis à Israël pour ne former qu’un seul corps bien équilibré. Nous  célébrerons bientôt la mort et la résurrection de Yeshoua Ha Machia’h.

     

     

    Shabbat Shalom 

     

     

    L . B  

     

     

     

     

     

     

     

    Parasha Tsav / 25.

    Lecture de la parasha : Lévitique: Chapitre 6 verset 1 à  chapitre 8 verset 36.

    Lecture de la haftarah : Jérémie : Chapitre 7 verset 21 à 8: 3 et chapitre 9 verset 22,23 (24).

    Lecture messianique : 1 Corinthiens: 10: 14 à 23. Marc: 12: 28,34. Romains: 12: 1,2.

     

     

     

     


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    Pourim 2024.

     

     

    La fête de Pourim est célébrée chaque année le 14ème jour du mois hébraïque de Adar. 

     

    Elle commémore le salut miraculeux du peuple juif dans l’ancien Empire perse du complot qu’avait organisé Haman pour détruire, exterminer et anéantir tous les juifs jeunes et vieux, enfants et femmes, en un seul jour. 

    Mais c’était sans compter le courage d’une femme juive qui devient reine et use de ce rang pour sauver son peuple.

     

    Une  très belle histoire qui montre le courage d'une femme nommer Esther et de la fidélité de Dieu.

    En ce temps sévissait un antisémitisme latent qui ne demandait qu’à émerger des entrailles de la terre. Cet Haman descendant Esaü depuis  10 générations ennemis de Dieu, serviteur du diable n’avait qu’une idée en tête détruire le peuple de Dieu, afin que le règne messianique ne puisse jamais survivre sur la terre et au ciel.

     

     

     

    Le courage est au cœur de l’histoire de Pourim. La reine Esther a fait preuve d’un immense courage en défendant ses convictions. Elle a d’abord caché son identité juive, mais lorsqu’elle a découvert que la survie de sa communauté, le peuple juif, était en jeu, elle a choisi de prendre la parole et de révéler son identité à son mari, le roi Assurérus. La reine Esther a puisé dans la force de son cœur pour accomplir cet acte héroïque. 

     

    À certains moments de l’histoire, dans différents endroits du monde, il a été difficile d’être ouvertement juif. 

    Depuis Haman il y a eu d’autres dictateurs tel que Hitler qui ont toujours essayé d’exterminer  complètement les juifs mais jamais il n’ont réussi .

    Et cette année pourim nous ramène à ce qui s’est passé le 7 octobre.

    L’horreur absolue dans la manière de tuer, violer, décapiter, brûler a été sans précédent, comme si le diable voulait montrer que son pouvoir sur les hommes mauvais était sans limites.

    Ces terroristes palestiniens sont devenu des bêtes monstrueuses n’ayant plus rien d’humain.

    Mais, ils ont raté leur plan, même s’il y a eu beaucoup de morts.

    Il y a eu aussi un grand bouleversement mondial en faveur d’Israël et des juifs. La fin de ces terroristes est proche car tout est déjà écrit d’avance. Nous espérons seulement que les otages soient libérés au plus vite. Et c‘est pour cela que nous célébrons pourim avec pour seul souhait que les otages soient libéré et qu’Israël vive.

     

    La force et le courage c’est nous, nous sommes tous Esther si nous invoquons l’Eternel d’agir en faveur d’Israël.

    Pourim est synonyme de réunion familial autour de la figure maternelle.

    Pourim nous rappelle aussi que c’est la mère qui est le noyau central, c’est elle qui fait vivre la religion à travers les shabbat, ses plats, sa bonne humeur, elle assure la transmission.

     

     Les femmes éduquent les enfants à la Torah, elles leur apprennent à vivre dans la sainteté et la pureté. 

     

    Les femmes ont la capacité de pouvoir se mettre en avant quand il le faut, et s’effacer quand c’est le moment. Cette perspective glorifie Dieu dans ce comportement fort et humble à la fois. 

     C’est pourquoi pourim nous ramene à cette reine Esther qui organisa une grande fête, juste pour en finir avec des Haman. La sagesse et la force d‘ Esther nous rappellent que  toutes nos actions pour être au service des autres est toujours une victoire contre le mal.

     

     

     

     

     

    Si Pourim est une fête amusante, la morale importante demeure : lorsqu’un moment de vérité se présente, nous devons parfois faire appel à notre force de cœur et agir de la bonne manière : humainement.

     

    Bonne fête de Pourim en dégustant les gâteaux  d’oreilles d’Amman,  lire le livre d’Esther, sans oublier de remercier Dieu pour nous garder et nous sauver.

     

     

    L . B 

     

     


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  •  

    Un temps précieux.

     

    La parasha Vayikra traite des sacrifices des animaux, et des  offrandes qui étaient faites dans le Sanctuaire, et le rituel qui les accompagnait. Quelle est la signification de tout cela pour nous aujourd’hui, qui n’avons pas de Temple ?

    Ce sont les Temples que les croyants possèdent à l’intérieur d’eux-mêmes, le saint lieu de l’âme, où s’effectue son service divin. La foi est invulnérable parce qu’il y a autant de Sanctuaires qu’il y a des croyants. Mais quel est le service de ce sanctuaire intérieur ? 

     

    Quand Dieu commande au peuple hébreu, de Lui construire un Sanctuaire, Il dit : « Ils Me feront un Sanctuaire et Je demeurerai en eux. » Ce n’était pas seulement dans le Sanctuaire qu’Il demeurerait, mais à l’intérieur de chacun. Chaque croyant a pour ainsi dire, un Sanctuaire au de-dans de lui. Et chaque acte, chaque facette du sanctuaire physique, ont leur contrepartie dans le sanctuaire de l’âme.

     

    Il y a donc un acte de sacrifice intérieur dans la vie du croyant, qui reflète avec précision l’acte extérieur qui avait lieu dans le Sanctuaire.

    Quel est donc le sacrifice que nous devons faire?

    Le prophète Osée déclare:

    Apportez avec vous des paroles, et revenez à l'Eternel. Dites-lui: Pardonne toutes les iniquités, et reçois-nous favorablement! Nous t'offrirons, au lieu de taureaux, l'hommage de nos lèvres.

     

    Et dans Hébreux Chapitre 13: verset 15.

    Par lui, offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c'est-à-dire le fruit de nos lèvres qui confessent son nom.

     

     

    Esaïe dira:

    Le peuple que je me suis formé publiera mes louanges.

     

    Et nous, ton peuple, nous te célébrerons éternellement; De génération en génération nous publierons tes louanges.

     

    Nous nous glorifions en Dieu chaque jour, Et nous célébrerons à jamais ton nom.

     

    Les sacrifices de sang se nomment en hébreu korbanot; un korban est un sacrifice  signifiant « proche », se rapprocher de Dieu en est le terme exact.

     

    Un Korban est par essence un acte visant la proximité avec Dieu. Apporter un Korban c’est faire un geste pour se rapprocher de Dieu,  que ce soit pour se faire pardonner une faute involontaire ou dans un élan de reconnaissance après un événement.

     

    Mais nous savons que les korbanot que Dieu agrée sont les prières  de notre bouche. La prière qui vient du coeur.

     

     

    La prière nous rapproche de Dieu, elle agit comme un lien qui nous attache à Lui.

    Prendre le temps de s’adresser à Dieu pour qu’il agisse.

    Prier s’est donner vie à Dieu, ces proclamer son existence.

    Ainsi les obligations du temple régulaient plusieurs services par jour.

    Qui sont pour nous au minimum deux fois par jour ou l’on prend un temps pour Dieu, un temps concis et le reste de la journée on parle à Dieu comme si Il était présent.

     

     

    Les prières nous relient au ciel en permanence.

    Heureux l’homme qui met sa confiance en Dieu, dans tout ce qu’il entreprend, il place Dieu dans sa vie de tous les jours, son travail, sa famille, ses amies, ses travaux, ses occupations. Dieu est présent à chaque instant.

    Mais il y a des moments ou il faut se couper du monde et prier   Dieu.

    C’est une lutte quotidienne que de prendre ce temps précieux. 

     

    Très souvent quand nous faisons la prière, nous avons un mal invraisemblable à nous concentrer. 

    Lorsque l’on commence à prononcer les mots de la prière nous sommes assiégés par des pensées les plus incongrues et diverses. 

     

    Rabbi de Piaseczno, dit: que si l’on écrivait les pensées qui nous viennent durant la prière on nous mettrait directement dans un hôpital psychiatrique.

     

    Nous sommes entièrement pris par notre réalité physique, dans le monde. Lorsque nous sommes debout pour faire la prière, toutes nos activités nous viennent en pensée, tel rendez-vous, telle chose à faire. Tout ce que nous avons à faire dans le vaste monde nous vient en pensée. 

     

    Et il est reconnu que nous prions mieux quand nous avons des problèmes, voire même avec une intensité incroyable si nos soucis sont graves. 

     

    C’est pourquoi il ne faudrait pas que Dieu nous éprouve quand nous avons tendance à le négliger.

     

     

    La prière est à la place du sacrifice.

    C’est pourquoi Dieu dit: quand vous m’apportez vos sacrifices, qu’ils soient sans défaut, qu’ils ne soient pas aveugles, estropiés, mutilées, malades, faibles. 

     

    Nos prières ne doivent pas être faibles, chétives, maladroites, aveugles.

    Elles doivent avoir un sens précis, avec un enthousiasme brûlant. Pour qu’elles soient agréées par Dieu.

     

     

     Il faut s’imaginer qu’on est devant l’autel et que nos prières montent vers Dieu qu’il nous voit et nous entend. 

     

    On se rapproche de Dieu. C’est ce que veut dire korban, nous sommes le sacrifice par nos prières.

    Il y a  un acte de sacrifice intérieur dans la vie du croyant. 

     

     

    La prière identifie le Dieu que l’on prie.

    Dans le monde des millions de gens prient, mais qui prient-ils?

    C’est cela le sens de notre parasha qui le confirme avec la haftarah qui dénoncent les sacrifices de prières apporter aux autres dieux.

     

    Ainsi parle l'Eternel, Roi d'Israël et son rédempteur, L'Eternel des armées: Je suis le premier et je suis le dernier, et hors moi il n'y a point de Dieu.

     

    Ceux qui fabriquent des idoles ne sont tous que vanité, Et leurs plus belles oeuvres ne servent à rien; Elles le témoignent elles-mêmes: Elles n'ont ni la vue, ni l'intelligence, afin qu'ils soient dans la confusion. Ils façonnent le bois avec un couteau, Et marque ses dimensions avec le compas; Et ils produisent une figure d'homme, Une belle forme humaine, Pour qu'elle habite dans leurs maisons. 

    Ils se prosternent devant elle, ils l'adorent, ils l’invoquent. 

     

     

     

    Devant leurs idoles ils prient, ils les adorent, ils en font des fétiches, des portes bonheurs, des dieux qui ne servent à rien.

     

    C’est pourquoi nous prions chaque jour le Shéma Israël, c’est notre affirmation que nous prions le Dieu D’Israël la seule prière qui identifie le Dieu d’Israël.

     

     

    Nous prions aussi la prière du Notre Père pour affirmer que nous sommes ses enfants, c’est en ces mots que nous confirmons notre confession de foi.

     

    Notre Père qui es aux cieux ! 

    Que ton nom soit sanctifié; que ton règne vienne; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.

    Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour;

    Pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés;

    Ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du mal. Car c’est à toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen !

     

    En 9 phrases nous rendons Grâce à Dieu.

     

    1 Notre père qui est au cieux.

     Nous nous adressons à Dieu comme n’étant pas seul, mais faisons partie d’une même famille, nous formons le corps de Yeshoua. Nous sommes une maison de prière, n'est-il pas écrit: Ma maison sera appelée une maison de prière pour toutes les nations.

     

    2 Que ton nom soit sanctifié
    Nous affirmons qu’il y a qu’un seul Nom. 

    Le seul Nom qui nous ait été donné c’est Yeshoua.

    Actes 4: 10.
    Sachez-le tous, et que tout le peuple d'Israël le sache! C'est par le Nom de Yeshoua le Messie de Nazareth par lequel nous devions être sauvés.

     

    3 Que ton règne vienne.

    C’est une demande que l’on fait à Dieu que son règne s’étende sur toute la terre que tous le reconnaissent comme leur Seigneur.

     Que le règne de Yeshoua qui est au-dessus de toutes dominations, de toutes autorités, de toutes puissances de toutes dignités qu’Il soit reconnu le Roi dans le ciel et sur la terre.

     

    4 Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.

    C’est une demande d’abandon de soi; nous lui confions notre vie.  Nous vivons le sacrifice de Yeshoua afin qu’il soit fait comme Dieu le veut. 

    Non pas ce que je veux, mais ce qu’Il veux.

     

    5 Donne nous aujourd’hui notre pain de ce jour.

     

    Nous affirmons  notre faim du pain de vie qui est Yeshoua.

    Nous affirmons que Yeshoua a donné son corps, Il est le pain de vie.

     

    Yeshoua prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le donna aux disciples, en disant: Prenez, mangez, ceci est mon corps. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.

     

    Ils lui dirent: Seigneur, donne-nous toujours ce pain.

     

    6 Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.

    C’est affirmer que Yeshoua a tout accompli par sa mort et sa résurrection; il a le pouvoir de pardonner nos péchés et Il nous le donne pour que nous pardonnons aussi.  

    Le temps est accompli, et le royaume de Dieu est proche. Repentez-vous, et croyez à la bonne nouvelle.

     

     

    7 Ne nous induis pas en tentation.

    Cette demande implique que nous ne soyons pas éprouver, mis à l’épreuve par notre manque de ferveur. Que nous ne soyons pas  dans les épreuves pour nous rapprocher de Dieu.

    Yeshoua leur dit: Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas dans la tentation; l'esprit est bien disposé, mais la chair est faible.

     

    8 Délivre-nous du mal.

     Cette demande est une supplication à la délivrance de ce monde;   même si on est trouvé léger devant Dieu quand nos prières sont fébriles, qu’Il nous délivre de nos faiblesses. Et nous donne la force de résister. Nous sommes charnel, vendu au péché.

      Romains; 7 verset 14: Car je ne sais pas ce que je fais: je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais.

     

     

     

     

    9 Car c’est à toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. 

    Nous finissons cette prière par notre confession de foi.  Yeshoua est lui seul notre Sauveur.

    Yeshoua s'est donné lui-même pour nos péchés, afin de nous arracher du présent siècle mauvais, selon la volonté de notre Dieu et Père, qui soit la gloire aux siècles des siècles

     

     

     

     

    Le temps de la prière est comme un cadeau, un privilège que nous avons ici bas, que seuls les vrais croyants possèdent.

    Cette parasha nous  invite à réaliser que le temps que nous devons consacrer à Dieu est un temps précieux que nous ne devons pas négliger, mais surtout le vivre avec intensité et humilité à chaque fois que nous nous trouvons devant Dieu, réaliser qu’il nous voit et nous écoute.

    La prière est notre seul secours sur la terre, notre seule manière de communiquer avec Dieu. Alors faisons-le de manière simple mais avec un coeur et un zèle  qui prouve notre amour envers Dieu. Car Dieu nous aime d’un amour éternel. 

     

    Mais avec un amour éternel j'aurai compassion de toi, dit ton rédempteur, l’Eternel.…

     

    Shabbat shalom.

     

     

    Bonne fête de POURIM  ce dimanche.

     

    L . B

     

     

    Lecture de la parasha : Lévitique: Chapitre 1 verset 1 à chapitre 5 verset 26.

    Lecture de la haftarah: Esaïe: Chapitre: 43 verset 21 à chapitre 44 verset 23.

    Lecture messianique: Romains: 8: 1 à 13. Hébreux: 10: 1 à 14. et 13: 10 à16.

       

      


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  • Parasha Pékoudé du samedi 16 mars 2024.

    Entre ciel et terre.

     

    La parasha Pékoudé décrit la finition du tabernacle. Pékoudé veut dire inventaire.

    Moïse fait les comptes de l’or, de l’argent, et du cuivre qu’il a fallu, soit un total de 4905 sicles.

    Puis il détaille tous les autres matériaux utilisés pour cette construction.

    Un tabernacle fut, en effet, construit. Dans la partie antérieure, appelée le lieu saint, étaient la Menorah, la table, et les pains de proposition. Derrière le second voile se trouvait la partie du tabernacle appelée le saint des saints, renfermant l'autel d'or pour les parfums, et l'arche de l'alliance, entièrement recouverte d'or. Il y avait dans l'arche un vase d'or contenant la manne, le bâton d'Aaron, qui avait fleuri, et les tables de l'alliance. Au-dessus de l'arche étaient les anges de la gloire, couvrant de leur ombre le propitiatoire.

     

    Moïse examine tout le travail qu’ils avaient exécuté conformément aux indications qu’il avait donné. Il fut très satisfait de la réalisation avec précision du sanctuaire.

     Moïse  bénit tous ceux qui avaient travaillé au tabernacle.

     

     

    Ce fut le premier jour du premier mois de la deuxième année.

     

    Une année s’est écoulée et tous sont restés fidèles aux prescriptions de Moïse, à l’établissement de son calendrier de la mitsva de sanctifier le nouveau mois. « Ce mois sera pour vous la tête des mois, le premier des mois de l’année.

    Commence alors le calendrier lunaire que les Juifs suivent depuis toujours.

     Ce fut la première mitsva « commandement » donnée à la nation d’Israël nouvellement née.

     

    La maison de Dieu s’est construite durant toute l’année avec les rendez-vous des fêtes selon les prescriptions de Dieu.

     

    Le premier mois c’est Nissan, du premier jour c’est 14 jours avant Pessah, et le premier jour du premier mois, c’est le jour de l’expiation du temple.

      C’est en quelque sorte l’expiation de notre corps, qui sous entend l’esprit, le renouveau de l’esprit.

     Le 14 Nissan à Pessah c’est l’expiation pour nos âmes.

     

    Le premier du mois c’est là que tout commence.

    Il y a trois choses qui ont coûté aux enfants d’Israël, l’or, l’argent et le cuivre. Ces trois choses sont assimilés au don de soi, à la foi et à l’obéissance.

    Un changement volontaire de notre part, un engagement salutaire.

     

     

     

     Mais nous savons en effet que le temple c’est nous, car nous savons que si nos corps habitent sur terre,  ils seront  détruits, mais nous avons dans le ciel un édifice qui est l’oeuvre de Dieu une maison éternelle. 

    Même si nous souffrons dans nos corps, languissant d’être revêtu d’un nouveau corps. Nous l’attendons avec une certaine impatience.

     

    Le corps de la résurrection, le corps du Messie parce qu’Il a ressuscité et si nous croyons cela nous ressuscitons aussi. 

     

    Car si le Messie n'est pas ressuscité, notre foi n’a pas de sens, nous sommes encore dans nos péchés, et par conséquent aussi ceux qui sont morts dans le Messie sont perdus. Si c'est dans cette vie seulement que nous espérons dans le Messie, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes.   

     

    Mais maintenant, le Messie est ressuscité des morts, il est le premier de ceux qui sont morts. Car, puisque la mort est venue par un homme, c'est aussi par un homme qu'est venue la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront par le Messie, mais chacun en son rang. Le Messie comme prémice, puis ceux qui appartiennent au Messie, lors de son avènement. 

     

    Mais quelqu'un dira: Comment les morts ressuscitent-ils, et avec quel corps reviennent-ils? 

     

    Dieu lui donne un corps comme il lui plaît, et à chaque semence il donne un corps qui lui est propre. 

    Ainsi en est-il de la résurrection des morts. Le corps est semé corruptible; il ressuscite incorruptible; il est semé méprisable, il ressuscite glorieux; il est semé infirme, il ressuscite plein de force; il est semé corps animal, il ressuscite corps spirituel.

     

     S'il y a un corps animal, il y a aussi un corps spirituel. C'est pourquoi il est écrit: Le premier homme, Adam, devint une âme vivante. Le dernier Adam est devenu un esprit vivifiant. Et de même que nous avons porté l'image du terrestre, nous porterons aussi l'image du céleste.

     

    Le don de soi, la foi et l’obéissance sont le prix à payer pour s’acheter un nouveau corps, un corps qui  sera céleste.

    Ce corps céleste se compose de plusieurs membres.

     Comme le corps est un et a plusieurs membres et ne forment qu’un seul corps. 

     

    Ainsi, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps dans le Messie, et nous sommes tous membres les uns des autres.

     

    Nous efforçant de conserver l'unité de l'esprit par le lien de la paix. 

     

    Il y a un seul corps et un seul Esprit, comme il y a un seul Seigneur, une seule foi, une seule immersion, un seul Dieu et Père.

     

    Cette description nous rappelle l’homme nouveau quand il s’engage dans les eaux, il revêt alors un vêtement neuf c’est le vêtement de l’esprit qui revit en lui.

    Nous n’ignorons pas que nous  qui avons été immergés en Yeshoua le Messie, c'est en sa mort que nous avons été immergé dans les eaux. Nous avons donc été ensevelis avec lui par l’immersion en sa mort, afin que, comme le Messie est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchons en nouveauté de vie. En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection.

     

    Et si le Messie est en nous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l'esprit est vie à cause de la justice. Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Yeshoua d'entre les morts habite en nous, celui qui a ressuscité le Messie d'entre les morts rendra aussi la vie à nos corps mortels par son Esprit qui habite en nous.

     

     

    Tout comme une personne abandonne ses vêtements usées pour porter des vêtements neufs. Notre espérance c’est d’abandonner notre corps de chair pour être revêtu d’un corps céleste.

     

     

     

    Nous sommes ressuscités avec le Messie, cherchons donc les choses qui plaisent à Dieu. Nous affectionnant aux choses d'en haut, et non à celles qui sont sur la terre. Car nous sommes morts, et notre vie est cachée avec le Messie en Dieu. Quand le Messie, notre vie, paraîtra, alors nous paraîtrons aussi avec lui dans la gloire ayant revêtu l'homme nouveau, qui se renouvelle, dans la connaissance, selon l'image de celui qui l'a créé.

     

    C’est pas quand nous serons mort qu’on pourra se payer la maison de Dieu c’est de notre vivant en ayant conscience de ses choses c’est maintenant qu’on les vit c’est maintenant qu’on peut encore changer le cours de notre vie. Décider de vivre pour Dieu, lui faire don de notre vie, en obéissant par la foi.

     

    Nous aspirons durant notre vie, à honorer Yeshoua par notre corps ne lui faisant subir aucune honte, aucune souffrance.

     

    L’or, l’argent et le cuivre sont aussi le symbole de la sagesse, l’intelligence, et la connaissance.

    C’est trois choses viennent de la bonne conscience, avoir le désir de marcher droit. C’est la bonne conscience qui nous fait choisir de suivre Dieu, et de faire l’immersion afin de faire mourir notre nature humaine et espérer revivre en Yeshoua, afin d’être purifié par son Esprit.  

     

     

    La parasha pékoudé nous exhorte à donner nos vies pour Dieu, afin de finaliser le projet du temple en Yeshoua pour faire corps avec lui en participant au grand projet de cet édifice.

     

     

    Car la chair et le sang ne peuvent hériter le royaume de Dieu, et que la corruption n'hérite pas l'incorruptibilité.  

     

       

    Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l'incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l'immortalité, alors s'accomplira toute la parole.

    Ainsi, travaillons de mieux en mieux à l'oeuvre du Seigneur, sachant que notre travail ne sera pas vain, dans le Seigneur.

    Mais que Dieu soit satisfait en voyant l’oeuvre que nous faisons chaque jour de notre vie. Afin qu’IL nous bénisse.

     

    Soyons trouvé utile pour le jour de la finissions du temple céleste, ainsi nous serons revêtu nous aussi d’un corps céleste pour l’éternité.

    Est réservé la vie éternelle à ceux qui, par la persévérance à bien faire, cherchent l'honneur, la gloire et l’immortalité, afin de briller dans le lieu qui nous a été préparé.

     

    Shabbat shalom.

     

    L . B

     

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre  38 verset 21 à chapitre 40 verset 38.

    Lecture de la haftarah: 1 rois: Chapitre 7 verset 40 à 50.

    Lecture messianique: Apocalypse:  15: 5, 8.


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  • Parasha Vayakel du samedi 9 mars 2023.

    La maison du bonheur.

     

    La parasha Vayakel désigne le rassemblement du peuple de Dieu. Un seul corps représentation du corps du Messie.

    Moïse rassemble tout le monde pour leur demander de commencer les travaux du tabernacle. 

    Mais le premier avertissement que Moïse donne au peuple c’est le shabbat.

     

    Il explique que durant 6 jours, ils devront tous participer aux travaux du tabernacle, mais que le septième jour tous travaux étaient interdits.

     

    Donc l’idée est précise le tabernacle se prépare durant les 6 jours de la semaine et arrêt obligatoire le shabbat.

     

    Chacun y est participant selon ce qu’il sait faire.

     

    Moïse n’est plus dans la description du temple comme dans la parasha Terouma, il est maintenant dans l’action de la construction.

     

    Mais nous, nous ne devons pas construire un tabernacle fait de matériaux  terrestres, mais construire un temple avec des particules du souffle de Dieu.

     

     

     

     

    L’âme c’est le souffle, c’est le principe vital.

    Nous avons un corps qui sert à couvrir notre âme.

     L’âme se voile durant 6 jours et le septième jour elle se dévoile à shabbat car nous somme devant Dieu.

     

     

    Adam fut conçu avec un corps et Dieu fit pénétrer dans ses deux narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant.

    Adam reçoit l’Âme Divine. Nous sommes tous sortis d’Adam revêtu d’un corps.

     

    L’âme est habillée d’un corps pour habiter sur terre, ce corps est appelé: voile.

     Le corps est une couverture car la vraie dimension de l’homme c’est son âme.

     Car c’est nos âmes qui bâtissent la maison de Dieu.

     

     

    Nous sommes comme des diamants bruts recouverts d’une pellicule terne, grisâtre  et impures.

     

    Le mot diamant est dérivé de: Adámas ; Adam. 

     

    L’âme est comme un diamant que l’on doit raffiner.

    Le diamant brut constitué de carbone, a été formé dans les entrailles de la terre, comme l’homme. 

     

     

    La vie d’un diamant naturel est chaotique avant qu’il ne se métamorphose en cet étincelant joyau de perfection.

     

    Tout le processus du brillantage réside dans la façon dont il est nettoyé.

     

     

     

    Le diamant existe depuis des millénaires enfoui sous terre, caché au regard de tous, à ce stade son apparence est plutôt déplaisante  de la roche brute qui l’emprisonne,  il ne brille pas il n’a rien pour plaire.

     Ce n’est qu’après l’avoir taillé et poli que le diamant se transforme  d’une beauté stupéfiante par la multitude de facette qui réfléchit la lumière.

    Nous somme né dans ce monde comme des diamants bruts, façonné de la terre comme Adam.

     

     

     Le but de notre passage sur terre c’est transformer ce diamant brut en une source de lumière si éblouissante qu’il fait percevoir l’Âme Divine.

     

     Jeté dans ce monde avec sa vulnérabilité naturelle nous vivons les uns avec les autres pour nous construire, chercher le vrai, le but de l’existence, et l’après vie.

    Nos âmes sont venues sur la terre avec le sentiment d’un manque qu’il faut combler, ce manque c’est Dieu qui nous le fait ressentir afin qu’on en ressente le besoin de le chercher.

     

    Les expériences de la vie nous façonnent facettes par facettes.  Nous vivons un dépouillement des fausses valeurs, tout ce qui est futiles, frivoles, sans importance.

    Pour chercher ce qui est essentiel, fondamental, et vital.

     L’âme cherche à retrouver son état primordial, son état de sainteté.

     Et c’est là que Dieu se fait connaître par son Nom.

     

    L’âme est impure, elle s’est souillée comme aux jours d’Adam en suivant le mal. 

     

     

     

     C’est cela Vayakel se rassembler dans ce monde pour construire la maison de Dieu.

    Cette demeure fait de toutes les âmes façonnées et brillantes, comme les diamants pour former une couronne qui sera posée sur la tête du Messie Yeshoua.

     

     

    Le texte nous dit: vous travaillerez 6 jours pour construire le sanctuaire. 

    La maison du bonheur se construit tous les jours.

     

     

      

     

     

    Nous travaillons la semaine pour façonner notre vie selon les qualités que nous enseignent la bible, et le 7ème jour, il n’est pas besoin de se perfectionner, nous somme à shabbat.

     

    Durant 6 jours nous somme habillé, notre âme est voilée car nous sommes dans le monde. A shabbat nous somme devant Dieu et Il voit notre âme c’est en cela que Moïse voulait nous enseigner quand il se dévoilait devant Dieu, il n’avait pas besoin du corps car Dieu voyait son âme, mais quand il a du redescendre, il a dû accepter de se voiler, c’est-à-dire réintégrer son corps pour aller sur terre.

     

    Dans ce monde hostile à la sainteté nous devons lutter contre toutes les tentations qui souillent l’âme.

    Tous les mauvais esprits sont là pour nous faire chuter, c’est cela notre travail,  leurs résister.

    Car pour entrer dans la maison de Dieu il n’y aura que des âmes propres, car les âmes sales tomberont dans le feu de la géhenne. C’est pourquoi il est écrit:

     

     

    Si ta main est pour toi une occasion de chute, coupe-la; mieux vaut pour toi entrer manchot dans la vie, que d'avoir les deux mains et d'aller dans la géhenne, dans le feu qui ne s'éteint point. Si ton pied est pour toi une occasion de chute, coupe-le; mieux vaut pour toi entrer boiteux dans la vie, que d'avoir les deux pieds et d'être jeté dans la géhenne, dans le feu qui ne s'éteint point. Et si ton oeil est pour toi une occasion de chute, arrache-le; mieux vaut pour toi entrer dans le royaume de Dieu n'ayant qu'un oeil, que d'avoir deux yeux et d'être jeté dans la géhenne, où leur vers ne meurt point, et où le feu ne s'éteint point.

     

    Nous n’allons pas nous couper les membres mais nous allons renoncer à ce qui nous tient lié par les mauvais désirs.

     

    Nous ne sommes pas redevables à la chair, pour vivre selon la chair. Si nous vivons selon la chair, nous mourrons; mais si par l'Esprit nous faisons mourir les actions du corps, nous vivrons. 

     

     

     

    Faites donc mourir les membres qui sont sur la terre, l'impudicité, l'impureté, les passions, les mauvais désirs, et la cupidité, qui est une idolâtrie. Mais maintenant, renoncez à toutes ces choses, vous étant dépouillés du vieil homme et de ses oeuvres, et ayant revêtu l'homme nouveau. 

     

    Yeshoua nous a revêtu de son vêtement, il nous a couvert pour paraître devant Dieu comme étant lui.

     

     

     

     

     

     

    Notre parasha symbolise le temps de l’action, le temps du dépouillement charnel. 

     

    Quelque autre péché qu'un homme commette, ce péché est hors du corps; mais celui qui se livre à l'impudicité pèche contre son propre corps. Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes? 

     

    Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront point le royaume de Dieu? Ne vous y trompez pas: ni les impudiques, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes, ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n'hériteront le royaume de Dieu.

     

     

     

    Les 6 jours sont aussi les 6000 ans de ce monde que nous préparons pour le grand shabbat, le septième et éternel jour du grand repos éternel avec Dieu pour l’éternité.

     

     

    On pourrait être le plus grand des religieux à shabbat on est rien, si durant le reste de notre semaine on se souillent par des désirs de bassesse, d’immoralité.

    Car, sachez-le bien, aucun impudique, ou impur, ou cupide, c'est-à-dire, idolâtre, n'a d'héritage dans le royaume du Messie et de Dieu.

     

    Alors Nous crions Abba père afin qu’il nous aide à renoncer aux mauvaises choses que notre abandon soit définitif et durable. Que notre vie soit honorable, cherchant à acquérir les valeurs de Dieu saintes et irréprochables,  qu’afin qu’au jour où nous nous présenterons devant Dieu nous soyons trouvé pur, pour être serti sur la couronne qui orne la tête du Messie.

     

     

     

    Heureux l'homme qui supporte patiemment la tentation; car, après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie que le Seigneur a promise à ceux qui l'aiment.

     

     

     

     

     

     

    Shabbat Shalom

     

    L . B

     

     

    Lecture de la parasha 

    Exode : Chapitre: 35 verset 1 à chapitre 38 verset 20.

    Lecture de la haftarah: 1 rois: Chapitre 7 verset 13 à 26.

    Lecture messianique: Hébreux: chapitre: 9 verset 1 à 14. 2 Corinthiens: 9: 1, 15. 

    Apocalypse: Chapitre 11 verset 1 à 13.


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  • Aller de l’avant.

     

    La parasha ki tissa commence par ces termes.

    Lorsque tu prendras !  

     

    S’adressant à Moïse, Dieu ordonne que chacun vienne payer un demi shékel pour être sauvé, ce prix et le rachat de leur vie.

     

    Alors que Moïse est encore dans la présence de Dieu, recevant les instructions finales pour toutes les générations à venir. Il est alors donné à Moïse le secret du Shabbat.

    Il fut instruit sur cette institution perpétuelle. Il reçut le plan caché que Dieu lui accorda de voir à travers le Shabbat,  qui  est un pacte entre Dieu et son peuple. Cette révélation qui sera  reconnue  seulement par les vrais croyants, car le shabbat est le signe visible que portent les enfants de Dieu. Ce signe visible qui cache le secret invisible du Messie en eux.

    Car si Yeshoua ne se voit pas en nous de façon visible, Yeshoua se voit de façon cachée dans le shabbat. 

     

     

     

     

    Tandis que Dieu prépare Moïse à recevoir les tables de pierres. 

     Ce manigance en bas une étrange clameur pour la fabrication d’un veau d’or.

     

    Moïse à la fin des 40 jours et 40 nuits commençait à descendre quand il entendit les voix du peuple qui célébrait une fête en l’honneur de ce veau d’or.

    Moïse dans une vive colère  brisa les tables des commandements que Dieu avait lui-même écrit de son doigt.

     

    Puis il prit le veau d’or, le fit fondre, le réduisit en poussière pour le jeter dans de l’eau que le peuple du boire.

     

     

    Moïse remonta vers Dieu négocier pour qu’il leur pardonne, qu’il envoie un ange  pour que le peuple soit délivré des mauvais esprits qu’ils possédaient encore et qu’il est un guide permanent qui veille sur eux.

     

     Et Dieu lui donna les nouvelles tables des commandements  et lui fit connaître son Nom par les quatre lettres du tétragramme Y-H-V-H. Puis quand Moïse descendit de la montagne, il avait  la peau de son  visage qui rayonnait.

     

    Il y eut un avant Moïse, et un après Moïse.

     

    Dans ce texte visionnaire ou l’interprétation doit convertir la pensée de Dieu en langage humain, grâce à l’Esprit de Dieu, qui nous fait entendre le sens caché du texte qui  se fait comprendre de la façon la plus audible pour nous.

     

    Moïse voit Dieu prendre une pièce de monnaie de feu, de dessous son trône de gloire et la lui donne en disant: Telle que celle-ci, ils te donneront.

     Ce qui donne en valeur biblique un demi shékel.

     

    Cette pièce de monnaie devait effectuer le pardon, pour qu’il soit sauvé.

     

     

    Cette pièce de feu sortant du trône de Dieu, est la représentation de la lettre hébraïque Shin, la 21ème lettre. Dont la valeur est égale à 300 comme le feu.

     

    La lettre Shin c’est le feu de l’Esprit du messie qui révèle  sa présence.

    Le Shin se dessine avec 3 branches qui s’élèvent.

     Elle révèle le projet de Dieu, elle produit le pardon pour le monde. Elle annonce Yeshoua dans le Kippour. 

     

    Cette vingt et unième  lettre est la force qui se cache dans le nom complet de Dieu.

     

    Quand Dieu donna les tables de la loi à Moïse, il est écrit dans le texte biblique qu’elle pouvait se lire dans les deux côtés avant et arrière. Ce qui voulait dire de façon visible et de façon caché  comme la lettre Shin, de la pièce de feu, qui avait une face avec un Shin à 3 branches qui se voyait  comme les commandements et de l’autre sens il y avait un SHIN, à 4 branches c’est le symbole du Messie qui est caché. 

    D’ailleurs ce qui est encore plus extraordinaire c’est que dans les téfilines que les hommes mettent autour de la tête pour prier, il y a d‘un côté le SHIN à trois branches et de l’autre côté le SHIN à 4 branches. C’est cela qui a été révélé à Moïse, le SHIN à 4 branches. 

    En effet, le Shin à 4 branches est le Messie Yeshoua.

     

    A partir de cette compréhension Moïse brisa les tables de pierres, pour que Dieu envoie déjà celui qui serait le sauveur qui pardonnerait toutes les fautes, même celle du  veau d’or. 

     

     

     

    Dieu  promit d’envoyer un libérateur afin que les hommes ne soient plus soumis à leur mauvais penchant.

     

    C’est en cela que l’on peut comprendre maintenant le demi shekel pour le rachat de nos vies. Cette pièce avec le seau marqué du shin à 4 branches qui est la 23ème lettre cachée de l’alphabet hébraïque,  qui représente le pardon qui sera accordé à l’homme. Yeshoua a le pouvoir de pardonner nos péchés, comme il est écrits:

     

     Mathieu; 9. 6.

    Or, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés: Lève-toi, dit-il au paralytique, prends ton lit, et va dans ta maison.

     

     

    Durant ses 40 jours et nuits MoÏse s’est vu confronter avec les démons. 

    Cette réalité si impressionnante, lui valut de supplier Dieu qui leur envoie au plus vite du secours car les hommes sont faibles.

     

    La nature humaine est faible, et les démons le savent.

     

    Voilà ce qui est révélé, sur les choses cachées.

    Il y a toutes sortes de démons, des hiérarchies imposantes, et méchantes, un monde qui vit autour de nous sans qu’on les voient, sans même qu’on en ait  conscience. Mais les démons nous entourent, ils sont là pour servir le diable et nous faire chuter.

     

     

    Alors ils s’attaquent au peuple de Dieu premièrement, leurs but nous faire du mal pour qu’on doute de Dieu.

    Ils sont porteurs de maladies, physiques  ou psychologiques.

     

    Ici dans ce commentaire on va s’intéresser qu’à une seule sorte de démons qui sont en rapport avec notre parasha.

    Le peuple a fait le veau d’or avec toutes sortes de bijoux qui venaient de l‘Egypte.

     Symbolisant le passé, ce qu’ils ont ramené aux temps de leurs souffrances.

    Ils ont bâti un dieu avec les bijoux de leurs passé. Sachant aussi que ces bijoux étaient pour la plupart des amulettes.

     

    Le maitre démon qui gère ses phénomènes se nomme Otis, mais il n’est pas conseillé de le nommer, il est juste nommer ici pour être démasqué.
     Cette espèce de démons a sous son contrôle 60  espèces de légions.

     

    Leurs missions faire remonter le passé douloureux, des individus pour faire revivre les souffrances.

    Ils descendent et remontent le passé comme un ascenseur pour ranimer les souvenirs.

     

    Des souvenirs qui sont parfois même oubliés, on sait pas pourquoi ils reviennent nous hanter, pour nous faire réagir et revivre l’émotion qui cause de la tristesse, ce qui cause des situations de blocage dans la vie, comme si on faisait un arrêt sur le passé et qu’on ne pourrait plus remonté la pente, dans lequel nos  pensées nous ont fait descendre.

     

    Le passé nous revient et nous hante et nous accuse ou alors nous victimise, mais le résultat sera le même, resté bloqué dans le passé et ne plus avancer.

     

    C’est alors que le Shin à 4 branches prend vie et se dévoile en  Yeshoua, notre feu qui nous sauve, car il nous a racheté à un grand prix par son sang, il nous a couvert de nous fautes et ce qui est passé doit rester dans le passé, quoi que nous ayons fait, ou subit doit rester dans le passé, car lorsque nous avons crue par la foi   que  Yeshoua est notre sauveur, c’est comme si nous avions donné notre demi shekel et par cette loi, nous sommes né de nouveau, nous somme en lui une nouvelle création, ce qui est ancien a été pardonné et guéri et les souffrances que nous avons vécus avant sont oubliés, car Yeshoua a pris sur lui toutes nos souffrances. 

     

    Mais voilà la faiblesse de l’Homme quand il se fait avoir par les démons, qui rôdent quand il y a des moments de fragilités,  ces légions viennent raviver les douleurs, et comme ça on reste affligé dans des situations inconfortables pour un certain temps. Alors cette parasha nous instruit et nous rappelle que nous devons absolument nous rappeler que les souvenirs d’enfances ou du passé qui nous ont causés quelques traumatismes ou quelques séquelles ne doivent plus nous atteindre, car nous avons une nouvelle vie en Yeshoua, une nouvelle vie pleine de promesse de réussite, de guérison, de bénédictions qui nous sont préparé d’avance. 

     

    Il est temps de fermer toute les portes du passé, tout les tiroirs enfouis dans notre inconscient, et fermer toutes nos meurtrissures, car nous avons été racheté afin de ne plus subir les pensées qui ravivent les blessures, nous rejetons tout ce qui est de nos anciennes vie; pour aller de l’avant et ouvrir maintenant les portes de la joie qui sont les accès à la vie en Yeshoua vie de paix de joie, et d’allégresse.

     

    Il est temps de lever la tête et donner gloire à Yeshoua, car il nous a tout pardonné et les démons doivent maintenant se taire, car ils sont démasqués et nous somme forts, car Yeshoua vit en nous et notre passé est derrière nous, car notre futur s’annonce merveilleux, si nous n’écoutons pas ces esprits qui nous font croire que nos accidents de vie nous poursuivent. Car nous n’avons plus à lui rendre sa monnaie de sa pièce car Yeshoua a réglé l’addition le soir de Pessah.

    Nous sommes sauvé, et protégé, toute notre vie si nous suivons Yeshoua en pratiquant avec foi les shabbat qui sont le signe que nous appartenons à Dieu et ce signe nous pouvons nous le rappeler quand les pensées négatives essayent de revenir, nous repensons aussi que le shabbat nous garde, si nous gardons le shabbat. Comme un signe sur le front avec le Shin du téfilines.   Nous portons le signe que Yeshoua nous a pardonné et aucun démons ne peut plus nous accuser. Comme nous le dit le secret de cette parasha. 

     

     Psaume; 30; 11.

    Et tu as changé mes lamentations en allégresse, Tu as délié mon sac, et tu m'as ceint de joie.

     

     

    Shabbat shalom

    L . B

     

     

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre 30 verset 11 à chapitre 34 verset 35.

    Lecture de la haftarah: 1 Rois: Chapitre 18 verset 1 à chapitre 20 verset 39.

    Lecture messianique: Luc; 11:14 à 20. Actes: 7: 35 à 8:1.  1Corinthiens: 10:1 à 13.  2 Corinthiens : 3:1 à 18.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • La roue tourne.

     

    La parasha Tétsavé ce prolonge avec le spectacle de la vision de Moïse durant ces 40 jours et ces 40 nuits.

    Vision de l’espace temps, des heures, des jours, des mois, des années et des siècles à venir.

    Tout le programme de ce monde est déjà écrit par Dieu. Plusieurs prophètes  ont vu ce panorama d’instructions sur les heures, les jours, les mois, les années, et les siècles, c’est par ces visions que nous pouvons avoir quelques compréhensions, qui peuvent nous aider à comprendre le sens  de la vie.

     

    Le monde c’est comme les rouages d’une machine, ou d’une horloge, chaque roue si elle est huilé tourne bien mais si il manque l’huile les roues se coincent. 

     

    Dieu a créé l’univers et les planètes qui tournent sans arrêt, sans jamais se tromper, car toute l’étendue de l’univers lui est soumis.

    Mais un jour, l’homme Adam en qui nous étions comme des parcelles de son âme,  s’est détourné de la face de Dieu, il s’est tourné vers satan.

    Et à partir de là l’homme a souillé son âme, son vêtement, il a perdu sa lumière. Il a dû porter un vêtement pour cacher sa honte.

     

     

    Notre vie devrait être toute tracée, mais il y a le péché qui nous met les bâtons dans les roues et nous empêche d’avancer, nous bloque dans certains domaines de notre vie.

     

    La parasha Tétsavé tourne autour de l’aménagement du tabernacle,  tout commence avec l’ordre de se procurer de l’huile  pour les lampes. Puis le texte décrit le vêtement de sainteté que doit porter le sacrificateur.

    Dans cette parasha il est à noter aussi que le Nom de Moïse n’est pas mentionné quoi qu’il fut subjectif, alors que le Nom d’Aaron fut  élevé.

     

    La fonction d’Aaron, dans le service du sanctuaire, impliquait obligatoirement de porter la tenue complète pour le sacerdoce, fonction de dignité et dévouement total envers Dieu.

     

    Ainsi revêtu de la robe bleu azur, de la tunique, avec l’ephod, la ceinture et le turban sur lequel  était fixée une plaque d’or,  gravé  du sceau  Consacré à l’Eternel.

     

    Aaron a reçu le vêtement d’onction qui lui permet de servir dans le sanctuaire.

     

     

    Mais la vision de Moïse qui fut pour son temps, annonçait déjà un autre temps. Un temps ou le royaume de Dieu serait une nation sanctifiée de serviteurs et sacrificateurs.   Comme une roue qui tourne, la transmission d’Aaron n’a jamais cessé de tourner jusqu’à notre siècle.

     

     

     

     

    Ainsi Esaïe dira:

    Mais vous, on vous appellera sacrificateurs de l'Eternel, on vous nommera serviteurs de notre Dieu. 

    Car ils porteront un diadème au lieu de la cendre, une huile de joie au lieu du deuil, un vêtement de louange au lieu d'un esprit abattu.

     

    Ce temps prophétisait le temps ou le Messie nous revêtirai 

    lui-même de son vêtement du salut.

     

     

    Car nous étions appelés a devenir nous aussi des sacrificateurs pour Dieu. Afin d’apporter des victimes spirituelles, comme il est dit dans l’Ecriture:

    Vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous, pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d'offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Yeshoua le Messie.

     

    Je vous exhorte donc, mes frères, par les compassions de Dieu, que vous offriez vos corps en sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu.

     

     

     

    Vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière,

     

    Afin d’offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable.

     

     

    Car il fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles! 

     

     

    Ce qui est agréable à Dieu, c’est d’apporter nos corps en sacrifice comme victimes spirituelles.

     

     

    Avant de connaître Dieu nous étions sale, par notre corps qui est notre vêtement, souillé par la pensée humaine.

     

    La pensée humaine est celle qui est appelé la pensée de satan.

     

    Moïse fut là avec l’Eternel pendant quarante jours et quarante nuits. Il ne mangea point de pain, et il ne but point d’eau. Ce verset a en commun la même scène que le Seigneur.

     

     

    Yeshoua fut emmené par l'Esprit dans le désert, pour être tenté par le diable. Après avoir jeûné quarante jours et quarante nuits, il eut faim. 

     

    Ce que fait Yeshoua c’est la démonstration des valeurs de l’homme du monde celui qui a la pensée tourné vers les tentations du monde ; la pensée de l’homme se tourne toujours vers les valeurs égoïstes et orgueilleuses.

     

    La pensée de Dieu c’est de résister au mal pour être transformé de la pensée de satan qui nous domine.

     Yeshoua s’est mesuré à notre place devant satan. Il a renversé notre façon de pensée, il nous a donné un esprit nouveau capable de choisir le bien. Il a changé de sens nos vies et nous a remis sur le droit chemin. Il nous a fait faire demi tour envers nos engagements de vie souillée, en réglant le bon sens des valeurs de Dieu.

     

    La pensée de satan c’est en nous qu’elle vit, elle tourne en boucle pour nous mettre les bâtons dans les roues.

     

    Le vêtement que nous donne Yeshoua c’est le vêtement portant l’onction  comme une huile d’onction qui coule sur nous  comme sur la barbe d’Aaron.

     

    Cette onction qui est réservée au consacré de l’Eternel, à tous ses serviteurs,  tous ceux qui seront participant à la construction de son Royaume.

    Cette huile qui est comme une lumière qui nous guide chaque jour de notre vie pour la rendre plus sainte.

     

    Cette huile qui fait tourner l’engrenage dans le sens de l’unité vers Dieu.

     

    Car ayant fait un virage dans le choix de nos  vies en suivant le chemin qui nous ouvre la gloire de Dieu, nous réparons par nos choix le retour vers Dieu.

     

    Ce qui est agréable à Dieu c’est des corps purifiés c’est-à-dire un vêtement qui est ce qui couvre notre âme, non plus avec un esprit tourné vers le mal mais un esprit tourné vers le bien. Avec un dévouement total envers Dieu.

     

     

     

    Ne vous conformez pas aux convoitises que vous aviez autrefois, quand vous étiez dans l'ignorance. Mais, puisque celui qui vous a appelés est saint, vous aussi soyez saints dans toute votre conduite, selon qu'il est écrit: Vous serez saints, car je suis saint.

     

     

    Ayant purifié vos âmes en obéissant à la vérité pour avoir un amour fraternel sincère, aimez-vous ardemment les uns les autres, de tout votre coeur, puisque vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu.

     

    Rejetant donc toute malice et toute ruse, la dissimulation, l'envie, et toute médisance. 

    Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière.

    Afin de vivre, non plus selon les convoitises des hommes, mais selon la volonté de Dieu, pendant le temps qui lui reste à vivre dans la chair. 

     

    Par lui, offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c'est-à-dire le fruit de lèvres qui confessent son nom. Et n'oubliez pas la bienfaisance et la libéralité, car c'est à de tels sacrifices que Dieu prend plaisir.

     

     

    Chaque siècle a préparé le temps qui vient. Le corps du Messie s’est préparé pour entrer dans le royaume. 

    Ainsi les cycles de la vie tournent sous les yeux de Dieu, nous guidant continuellement vers Lui. Avec des âmes purs qui se sont offertes à Dieu pour lui appartenir pour toujours. 

    Le monde tourne autour des planètes et tout le cosmos est soumis à Dieu comme un rouage éternel, qui est parfaitement huilé, en harmonie les uns avec les autres, c’est pourquoi le peuple de Dieu doit être soumis les uns aux autres, car si nous méprisons les autres, la rotation qui dirige nos vie s’enraye et nous prive de la paix. 

    Comme l’univers le peuple de Dieu, doit fonctionner avec le même mécanisme d’unité, même date de fêtes, même shabbat et même cycle de parasha.  

     La nature et toute la création de Dieu suit le même engrenage huilé qui honore Dieu.

     

    Ce qui se traduit dans notre parasha de suivre le mouvement parfait unifié par la vision de Moïse, sans orgueil, ni hypocrisie,  car c’est cela le grand danger, chercher à se mettre en avant pour instruire non selon l’esprit de Dieu mais avec un mauvais esprit cherchant à changer l’ordre du cycle des ordonnances que Dieu à montré à Moïse. N’est pas oint qui veut, c’est Dieu qui choisit.

     

     Nous devrions être tous en harmonie réglé sur la même horloge du temps,  voila ce qui serait un sacrifice agréable à Dieu.  La roue tourne en notre faveur, saisissons le mouvement et allons de l’avant vers notre destin éternel.

     

     

    Shabbat shalom

     

    L . B

     

     

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre 27 verset 20 à chapitre 30 verset 10.

    Lecture de la haftarah: Ezéchiel: Chapitre 43 verset 10 à 27.

    Lecture messianique: Philippiens; Chapitre 4 verset 10 à 20. 

     

     

     

     

     


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  • Donnez, donnez et Dieu vous le rendra.

     

     

     

    La parasha Terouma entame un cycle de parasha visionnaire. Le décryptage de ses lectures n’est pas scripturaire mais visionnaire.

     

    Moïse est au ciel avec la présence de Dieu durant 40 jours et 40 nuits, c’est dans ce temps qu’il reçoit la vision du tabernacle, il reçoit les instructions détaillées pour la construction de la maison de Dieu. 

     

    Ce sanctuaire qui préfigure une première étape pour le futur temple que Le Roi Salomon édifiera  et qui sera remplacé par le temple Messianique.

     

    Notre Texte commence par ces mots: L’Eternel dit à Moïse, invite les enfants d’Israël à me préparer une offrande qu’il me feront de bon coeur.

    Car c’est par ses offrandes que ma résidence pourra se construire.

     

    Terouma veut dire prélever une part. Donnez notre part pour la maison de Dieu et de bon coeur.

     

    La maison de Dieu se construit par les prélèvements du coeur.

     Moïse reçoit cette vision, de construire un sanctuaire ayant plusieurs parties, faites avec la contribution de chacun,  d’or, d’argent, de cuivre, de bois, de tissus, de peaux, de pierres, d’aromates, d’huiles.

     

    Ces contributions selon ce que chacun possède.

     Moïse a vu un lieu  préparé pour recevoir la présence divine.

     Un sanctuaire avec, l’Arche, le Couvercle, la Table des pains, la Menorah, l’Autel des sacrifices, l’Autel des parfums, le Bassin.

     

    Nous voyons que dans ce tabernacle il y a 7 éléments qui vont meubler ce lieu.

    Ce qui renvoie au shabbat et aux 7 fêtes.

     Chaque objet représente la célébration d’une Fête de Dieu et le shabbat c’est le tabernacle.

     

     

    Dans les écrits apocryphes sur la vision de Moïse durant les 40 jours et les 40 nuits il est rapporté que Moïse reçu les partitions des années à compter du temps de la genèse,  des 7 jours de la création de l’oeuvre de Dieu.

    Il reçu les jours, les mois, les années, qui décomptent les fêtes à des temps fixés; jusqu’à ce que le sanctuaire Messianique se réalise.

     

    Moïse écrivit l’histoire complète de la genèse des 6 jours de la création et du repos du shabbat le septième jour.

     

     

    Dans le silence voilé de la vision de Moïse, il  reçoit la création                                                                                                                                                                                           qui est à l’origine des 7 fêtes et du shabbat  de Dieu.

    Moïse à vu la structure de la maison de Dieu qui se construit avec les fêtes  et les shabbat.

    Dans cette vision Moïse reçoit la création avec tous ses détails qui seront pour la réparation de l’homme.

    Moïse sait que ce sanctuaire doit se transporter jusqu’à la fin des temps.

     Il voit que  les fêtes de l’Eternel et les shabbat serviront de structure solide pour l’homme, qui doit  renoncer à  la domination de Bélial, celui qui contrôle le monde.

     

     

    Moïse de la tribu de Lévi reçoit l’ordre à perpétuité de garder les enseignements des fêtes. Il reçoit le livre des partitions pour conserver les dates, des shabbat, des fêtes, des rendez-vous solennels et moins solennels, il reçoit la vision de cet agenda éternel. Car la prêtrise n’est réservée qu’au Lévi.

    Nul autres peuples ne peut prétendre à avoir vu le livre des partitions, autrement que celui que Moïse a vu.

     

    Chaque fête honore la création de Dieu. Car Dieu créa ce monde pour que nous puissions revenir vers  Lui, car c’est par le péché que nous somme tombé et détourné de Lui.

     

     

    Mais Moïse voit la fin du sanctuaire terrestre qui sera reconstruit par Yeshoua car ce temps déjà prévu est le temps ou les hommes n’auront plus besoin d’aller au temple pour célébrer les fêtes de La Pâque, les Pains sans levain, Shavouot, Rosh Hashana, Yom Kippour, souccot, Chemini Atseret.

     

    C’est 7 fêtes très précises qui sont pour la réparation de l’homme.

     

    Le prophète Ezéchiel reçut aussi la vision du temple avec toutes les parties distinctement détaillées.

    Il reçoit la révélation des partitions des fêtes car il est lui-même de la tribu de Lévi. 

     

    Les Levi sont une part q’israël, offre à Dieu. Leur semences fut choisie pour le service du temple. Ils sont les organisateurs des convocations de Dieu selon un calendrier  qui leur a été confié.

     

    Parole d’Ezéchiel. 

     

     

    Tu diras aux rebelles, à la maison d'Israël: Ainsi parle le Seigneur, l'Eternel: Assez de toutes vos abominations, maison d'Israël! Vous avez introduit dans mon sanctuaire des étrangers incirconcis de coeur et incirconcis de chair, pour profaner ma maison; vous avez offert mon pain, la graisse et le sang à toutes vos abominations, vous avez rompu mon alliance. Vous n'avez pas fait le service de mon sanctuaire, mais vous les avez mis à votre place pour faire le service dans mon sanctuaire.

     

     

    Les Lévites  enseigneront à mon peuple à distinguer ce qui est saint de ce qui est profane, ils lui feront connaître la différence entre ce qui est impur et ce qui est pur. Ils seront juges dans les contestations, et ils jugeront d'après mes lois. Ils observeront aussi mes lois et mes ordonnances dans toutes mes fêtes, et ils sanctifieront mes shabbat. 

     

    Là aussi comme Moïse, Ezéchiel a eu la vision du temple qui sert à inaugurer les fêtes et les shabbat.

     

    Les fêtes et les shabbat sont des prélèvements sur notre vie, comme terouma, un don une part sur notre vie pour les donner à Dieu.

     

    Les fêtes et les shabbat n’ont plus besoin de temple car les offrandes de sacrifices n’ont plus leur part avec le Messie Yeshoua, car c’est lui qui a prélevé sa vie pour nous la donner.

     

     

     

    Donner notre âme à Dieu pour créer un temple.

     

    La notion de prélèvement veut dire alors « séparer », lorsque nous prélevons quelque chose nous le séparons. A shabbat, lorsque nous préparons les pains, de shabbat avant la cuisson des pains nous prélevons une petite part de pâte à pain, et nous la mettons à part sur la plaque de cuisson avec les deux pains. Ce prélèvement de pâte s’appelle terouma nous prélevons la terouma.

     

    Quand nous prélevons la dîme nous prélevons qu’une toute petite part de nos revenus que nous mettons à la disposition de Dieu.

     

    Le shabbat est un prélèvement de la semaine que nous mettons à part.

     

    Tout ce que nous donnons pour Dieu est un placement qui ne perdra jamais sa valeur car au contraire c’est de l’investissement pour notre futur.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le tabernacle et le temple ne sont plus de ce monde car ils ont été remplacés par Yeshoua le Messie.

     

     

    Hébreux: 9: 2 à 3.

     

     

     

    Un tabernacle fut, en effet, construit. Dans la partie antérieure, appelée le lieu saint, étaient la menorah, la table, et les pains de proposition. Derrière le second voile se trouvait la partie du tabernacle appelée le saint des saints, renfermant l'autel d'or pour les parfums, et l'arche de l'alliance, entièrement recouverte d'or. Il y avait dans l'arche un vase d'or contenant la manne, le bâton d'Aaron, qui avait fleuri, et les tables de l'alliance. Au-dessus de l'arche étaient les chérubins de la gloire, couvrant de leur ombre le propitiatoire.

     

     

    Mais le Messie est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n'est pas construit de main d'homme, c'est-à-dire, qui n'est pas de cette création; et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint,

     

     

    Yeshoua fait de nous un temple si nous prélevons un temps sur notre vie pour honorer les fêtes et les shabbat.

     Il ne peut pas y avoir de temple qui ce construit sans les ordonnances de Moïse, car Dieu nous a donné un corps pour agir et faire ces choses. C'est pourquoi Le Messie, entrant dans le monde, dit: Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, mais tu m'as formé un corps.

     

     

    Terouma c’est notre contribution pour l’oeuvre de Dieu, nous donnons à Dieu notre vie, notre âme, notre temps, notre argent, notre joie.

     A chaque fois que nous faisons shabbat, et les fêtes nous contribuons à l’édification du temple céleste, celui qui durera éternellement.

     

    Donnons ce que nous avons pour faire grandir la maison de Dieu, travaillons à nous cimenter les uns avec les autres car nous sommes des pierres vivantes.

     

    Des pierres vivantes, rejetées par les hommes, mais choisie et précieuses devant Dieu; et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d'offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Yeshoua Le Messie.

     

    Formons des maisons et apportons nos contributions pour honorer les shabbat et les fêtes, sans qu’il ne manque rien pour honorer ses jours. 

     

    Donnez et Dieu vous le rendra.

     

    Shabbat shalom

     

    L . B

     

     

    Lecture de la parasha : Exode: Chapitre 25 verset 1 à chapitre 27 verset 19.

    Lecture de la haftarah : 1 Rois: Chapitre 5 verset 26 (ou 12 bible ch) à chapitre 6 verset 13.

    Lecture messianique : Hébreux: Chapitre 8 verset 1 à 6. Chapitre 9 : 23,24.et 10 :1.

     

     


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  •  

    Maître ou esclave ?

     

    La parasha Michpatim commence par nous donner des lois régissants entre les maîtres et les esclaves. Puis s’alignent des lois de justice sur notre responsabilité de nos décisions et de nos actes.

    Moïse avertit le peuple de ne pas manquer les  3 fêtes en l’honneur de L’Eternel.

    Puis cette annonce de ne pas outrager ni maudire le chef du peuple, rapportant plus loin que Dieu enverra son mandataire chargé de veiller sur notre instruction et qu’il ne fallait jamais être irrespectueux envers  lui, ni rebelle, ce sera la condition de la bénédiction.

     

    Et notre texte se finit en beauté.

    Moïse et les anciens  montèrent et contemplèrent le  Dieu d’Israël. Sous ses pieds comme une mer de saphir limpide et pur.

    Puis Moïse monta seul sur le sommet pénétra au milieu du nuage, s’éleva et il resta 40 jours et 40 nuits. C’est ainsi que Moïse reçut l’enseignement, qu’il devait transmettre au peuple.

     

     

    Notre parasha  s’oriente vers l’enseignement.

     

    Selon le grand Maître Maïmonide au sujet de l’esclave.

    Celui qui achète un esclave, achète un maître. 

    Un esclave n’est esclave que s’il est perçu comme n’ayant aucune valeur, et n’a pas besoin d’être ni considéré, ni rémunéré.

    Il devient esclave ou devient maître selon comme on le considère.

     

    « Voici, j'envoie un mandataire devant toi, afin qu'il te garde dans le chemin, et qu'il t'introduise au lieu que je t'ai préparé. Ne sois pas irrespectueux envers lui car c’est lui qui est chargé de te guider. Ce serviteur te guidera et t’enseignera. Et tu sera béni ».

     

    Ces versets relatants des guides spirituels transposent des niveaux différents.

     

    Le monde est disloqué, cette humanité n’est pas celle que Dieu à créé. L’homme est devenu esclave de sa liberté, n’ayant pas trouvé la vérité.

    Israël est la vérité, il est esclave des nations.

     

    Les racines du judaïsme sont appelées les servantes, les esclaves. Elles alimentent les branches supérieures de l’arbre.

     C’est l’exil d’Israël. 

    Israël est en exil à cause des nations. Ces branches supérieures lui ont été coupées pour que les nations viennent s’y greffer.

    A cause de ce retranchement qui permet aux nations d’être sauvé, Israël souffre du mépris et du rejet.

    Il est esclave des nations, il n’est pas encore reconnu comme maître, il est encore esclave.

    Le peuple d’Israël se distingue en supériorité et en connaissance de la Torah,  il est esclave, car peu considéré,  comme un esclave n’ayant pas de valeur au milieu du monde.

     

    C’est un arbre planté au milieu. Au regard de tous, mais gémissant des douleurs de l’ingratitude.

     

    Esclave pour servir Dieu. Nous avons tous une dette envers Israël, qui dans les chaînes de la servitude, soupir d’être éloigné du Messie.

     

    Mais si quelques-unes des branches ont été retranchées, et si toi, qui étais un olivier sauvage, tu as été greffé à leur place, et rendu participant de la racine et de la graisse de l'olivier, ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que c'est la racine qui te porte. Tu diras donc: Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse greffé.  

     

    Israël est comme un olivier auquel Dieu a coupé quelques branches; mais toi, non-Juif, il t'a greffé parmi les autres branches, comme une branche d'olivier sauvage: tu profites maintenant aussi de la sève montant de la racine de l’olivier.

     

    En effet, je ne veux pas, frères et sœurs, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne vous preniez pas pour des maîtres : une partie d'Israël est tombée dans l'endurcissement jusqu'à ce que l'ensemble des non-Juifs soit entré.

     

     

    Et ainsi tout Israël sera sauvé, comme le dit l’Ecriture : Le libérateur viendra de Sion et il écartera de Jacob les impiétés.

     

    En ce qui concerne le message de Yeshoua, ils sont ennemis à cause de vous; mais en ce qui concerne l'élection, ils sont aimés à cause de leurs ancêtres.

     

     

    Ainsi celui qui reconnaît Israël et en fait son Maître spirituel ne le rend pas esclave mais l’affranchi de sa servitude.

    Car Israël est choisi par Dieu pour être serviteur, comme Yeshoua

    est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs.

     

    Israël est notre Maître car Dieu lui a confié les oracles, c’est-à-dire les secrets de la Torah.

    Israël au-dessus de notre tête, comme un roi qui nous gouverne.

    Les fils d’Israël ont été libérés de l’Egypte afin de devenir serviteurs de Dieu et devenir nos enseignants. 

     

    Dieu dit  à Moïse de bien enseigner le peuple à honorer  les 3  fêtes  particulières  de la fête des pains sans levain, de la fête de shavouot, de la fête de souccot et préviens-les, qu’il n ‘adopte pas les comportements des païens qui au cours des siècles vont tenter de s’approprier l’enseignement de Dieu en se donnant le titre de maître, avec leur tromperie ils feront tombés  des masses entières de croyant désireux même de plaire à Dieu, en semant le doute par   leurs opinions et leurs pratiques.

     

    Israël est le seul peuple mandaté par Dieu pour être décisionnaire des fêtes de Dieu.

     

     

     La haftarah exprime par le prophète Jérémie, l’inconstance des nations qui ayant connu la vérité son revenu en arrière, ils sont retourné à leur vomis.

     La masse des nations s’est détournée d’Israël au profit des décisionnaires papal du vatican qui ont détourné les fêtes en faveurs de leur dieux de statues, de bois qui ne sert à rien.

    Ils sont donc devenus eux maintenant  esclaves de leurs maîtres.

     

    A ce titre également quand Dieu mandate quelqu’un pour être serviteur, enseignant, il est esclave de Dieu, pour servir la communauté, et si son ministère atteint le but et qu’il soit reconnu par son assemblé, il n’est plus esclave, car il est reconnu.

     

     

     Qui peut donc enseigner? Une femme peut-elle enseigner?

    Ephésiens 5; 23

    Parce que le mari est le chef de la femme, comme aussi le Messie est le chef de l'assemblée, lui, le sauveur du corps. 

     

    C’est ici que les véritables mots prennent tout leur sens.

    Le Messie Yeshoua, il est  Israël, représentant l’homme, le mari qui enseigne la femme, son assemblée.

     

    Le Messie représente l’homme et l’assemblée représente la femme.

    La femme représente le corps du Messie qui est son assemblée, qui doit être enseigné par l’homme le Maitre Rabbi Yeshoua. 

     

    Et donc la le principe s’accomplit logiquement, l’assemblé est enseigné sur le fondement de la Torah qui est Rabbi Yeshoua qui est le chef de la femme « l’assemblée », et donc tous les serviteurs de l’assemblées peuvent  apporter le message de la bonne nouvelle du royaume de Yeshoua, s’ils sont fondé sur la Torah, l’homme, Israël.  Les fondements de la Torah c’est l’homme Rabbi Yeshoua la Tête. Mais le message  de Yeshoua est donc la réponse ; tout le monde peut apporter le message de Yeshoua car dans le Messie il n’y a plus ni homme ni femme ; mais que dit l’écriture: la femme donc l’assemblée  peut apporter le  message de Yeshoua, communément dit: « l’évangile » à la seule condition que s’est son mari Rabbi Yeshoua qui l’enseigne.

    Yeshoua est la tête et l’assemblé c’est le corps, et le corps est tenu par la tête. Car si on retranche la tête, le corps ne tient pas.

     

    Ainsi que l’on soit homme ou femme, juif ou non juif, si notre fondement est calqué sur Israël nous devenons serviteur mandaté pour diffusé le message de Yeshoua. 

     

     

    Car la moisson est grande, mais il y a peu d'ouvriers. Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers dans sa moisson.

    Qu’ils soient hommes ou femmes.

     

     

    Monte sur une haute montagne, Sion, pour publier la bonne nouvelle; Elève avec force ta voix, Jérusalem, pour publier la bonne nouvelle; Elève ta voix, ne crains point, Dis aux villes de Juda: Voici votre Dieu!

     

     

     

     

    Puis Moïse  et les anciens remontèrent et ils virent le Dieu d’Israël. Sous ses pieds quelque chose de semblable au brillant du saphir et de limpide comme la substance du ciel.

    Ils virent Dieu alors même qu’ils  vivaient.

     

    Adonaï dit à Moïse, je vais te donner les tables en pierres,  afin que tu les enseignes, et qu’ils gardent tes enseignements de générations en générations.

     

     

    Puis Yeshoua  leur dit: Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création.

     

     

    Shabbat shalom 

    L . B

     

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre 21 Verset 1 à chapitre 24 verset 18.

    Lecture de la haftarah: Jérémie: Chapitre 34 verset 8 à 22 et 

    33: 25,26.

    Lecture messianique: Mathieu 5: 38, 42. 15,1-20, Marc 7: 1-23, Actes 23: 1-11, Hébreux 9: 15-22 ; 10: 28-39 

     

     

     

     

     

     


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  • Tu n’auras qu’un seul Dieu.

     

     

    La parasha Yitro est l’une des plus importantes parasha du livre sacrée. Car le fondement de tout l’univers y est enseigné, par les 10 paroles que Dieu donna à Moïse.

    La parasha se nomme Yitro, ou Jétro en Français. Il est le beau père de Moïse. 

     Si ce nom figure un titre de parasha c’est qu’il doit absolument nous enseigné.

    La première mention du beau père de Moïse, il est appelé Réou-el  qui veut dire: Ce qui est mauvais envers Dieu.

    Puis Moïse le nommera Yitro qui veut dire: les bonnes actions envers Dieu.

    Parce qu’il a voulu changer, il devient serviteur de Dieu. 

    Dans notre texte on voit l’utilité de Yitro qui va conseiller à Moïse de ne pas rester seul pour gérer tout ce monde.

     Il lui dira: entoure toi des personnes qui te seconderont pour gérer les problèmes du peuple. 

    Ce conseil précieux soulage Moïse, en nommant des chefs de services.

     

    Ce conseil de Yitro est là, pour nous dire à chacun personnellement: Tu n’es pas seul ! 

    Chaque croyant est soutenu par Dieu et l’ensemble des autres croyants. C’est un principe, une loi de Dieu.

     

     

    La parasha dernière se terminait par:  N’oublie pas qu’Amalek va te poursuivre dans ton chemin de vie.

    Chaque génération a son Amalek qui a comme unique fonction de nous faire douter de Dieu,  déstabiliser notre foi,  et sa tactique c’est de nous affaiblir par les sentiments, les émotions de peur. 

    Sortir de la psychologie  de la peur car elle nous enferme, dans l’inquiétude, l’angoisse. Nos émotions sont des forces qui nous tiennent enchaînés. Et ces chaînes nous ralentissent, c’est le chemin de l’errance, une lenteur pour les guérisons, pour nos réussite professionnelles, pour nos projets, pour nos assemblées, 

    Peur du lendemain, peur du futur. 

     C’est ce que vient nous dire Yitro: Tu n’es pas seul. Nous ne sommes pas seuls.

     Et ça on ne doit jamais l’oublier, car même dans la solitude nous avons la chance de pouvoir prier et parler à Dieu, chose que le monde ne peut pas faire .

    Yitro c’est aussi une manière de nous enseigner les fondements moraux d’un vrai croyant. Yitro était le maître de Madian, il excellait dans la connaissance de toutes les divinités, un idolâtre des plus manifeste. Il était prêtre, et enseignait les dieux de ses ancêtres.

     

    Yitro entend ce que lui raconte Moïse tous les miracles que Dieu à fait. Yitro veut adhérer à la foi du Dieu de Moïse. Et c’est là notre enseignement, Yitro ne veut pas construire une nouvelle religion liée à ses connaissances, il ne veut pas mélanger ses dieux avec le seul et unique Dieu d’Israël.

    Il veut obéir sans y rajouter un seul petit iota;  Il ne veut pas faire ce que les religions ont fait comme Rome qui a fondé sa religion avec des principes de vérités en y mélangeant ses différents dieux et idoles.  C’est la sagesse de Yitro il n’essaye pas de s’approprier Dieu pour en faire une nouvelle religion.

    Il a entendu parler du grand Dieu d’Israël et il ne veut plus suivre ses dieux.

     Il convient qu’il a fait des graves erreurs mais cela est fini pour lui. Maintenant qu’il a entendu la vérité, il veut faire partie de cette vérité.

    Il ne sera plus le maître des divinités, il sera celui qui reste seul.

    Il vaut mieux être seul que mal accompagné nous dit le proverbe.

     

    Dieu donna les 10 commandements à Moïse, ces commandements on les connaît, et leurs enseignements sont complexes. 

     

    Ici dans ce message on va essayer de les voir d’un côté plus fermés.

     

    Moïse monta sur la montagne et reçut ces commandements.

     

     

    1: Un seul Dieu tu adoreras. Je suis l’Éternel, ton Dieu.

     

    2: Tu n’auras pas d’autres dieux. Tu ne te feras pas d’idoles, ni de  représentations.

     

    3: Tu n’utiliseras pas  le Nom de l’Éternel, ton Dieu, à des fins inutiles.

     

    4: Souviens-toi du jour du Shabbat pour le sanctifier. 

     

    5: Honore ton père et ta mère. 

     

    6: Tu ne commettras pas de meurtre.

     

    7: Tu ne commettras pas d’adultère.

     

    8: Tu ne voleras pas.

     

    9: Tu ne diras pas contre ton prochain des faux témoignages.

     

    10: Tu ne convoiteras rien de ce qui est à ton prochain.

     

     

    Ces 10 paroles ici on va les comprendre dans le sens de l’idolâtrie.

     

    Les 10 paroles ont des correspondances avec des dieux étrangers.

     

     

     

     1: Un seul Dieu tu adoras. Tout autres dieux attachés à une croyance est de l’idolâtrie, un blasphème.

     

    2:  Tu n’auras pas d’images, de statues, de représentation.

    Il est interdit de faire une représentation de Dieu, de Yeshoua, de Saint, du bouddhisme ou toutes autres. Les croyances  qui prônent les représentations sont de l’idolâtrie des blasphèmes.

     

    3: Tu n’utiliseras pas le Nom de Dieu au couvert d’une croyance qui blasphème le Nom de L’Eternel. C’est de l’idolâtrie.

     

    4: Souviens-toi du shabbat. Toutes croyances qui ne respectent pas le Shabbat est un blasphème devant Dieu. Le Shabbat c’est le coeur de notre foi en Dieu.

     

    5: Honore ton père et ta mère.

    L’honneur des parents c’est que leurs enfants suivent la voie de Dieu. C’est le plus bel hommage que les enfants rendent à leurs parents, la transmission est l’héritage du peuple de Dieu.

     

     

     

     

     

    Les 5 premiers commandements dénoncent le péché de l’idolâtrie,  quiconque ne les respecte pas, blasphème devant Dieu.

    Le blasphème est le péché de celui qui revendique le « droit » de persévérer dans le mal. 

     

     

    Les 5 autres commandements dénoncent les dieux du néants,  car quiconque fait ces choses là, se prosterne devant ses dieux étrangers assimilés au mal.
     

     

    Le meurtre, dieux Bhaal. L’adultère, dieux Tlazoleoth. Le vol, dieux Hermès. Les fausses rumeurs, dieux Valki. La convoitise, dieux Ptonos, ces divinités sont animées par l’esprit du mal. 

    Quiconque fait du mal à son prochain sert ses faux dieux.

    Quiconque transgresse les 10 paroles ne peut pas servir le Seigneur.

     

     

     

    Ces 10 commandements que Dieu donna sur la Montagne du Sinaï sont le fondement de l’alliance  du Messie Yeshoua.

     

    Yeshoua monta sur la montagne; et, après qu'il se fut assis, ses disciples s'approchèrent de lui. Puis, ayant ouvert la bouche, Il les enseigna, et dit ces 10 paroles:

     

     

    1: Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux!

     

    2: Heureux les affligés, car ils seront consolés!

     

    3: Heureux les gentils, car ils hériteront la terre!

     

    4: Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés!

     

    5: Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde!

     

    6: Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu!

     

    7: Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu!

     

    8: Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux!

     

    9: Heureux serez-vous, lorsqu'on vous outragera, qu'on vous persécutera et qu'on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi. 

     

    10: Heureux serez-vous, et soyez dans l'allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les cieux; car c'est ainsi qu'on a persécuté les prophètes qui ont été avant vous.

     

     

     

    Heureux nous dit le Seigneur Yeshoua, nous qui avons persévérer dans le silence, dans la solitude, et parfois dans la persécution, la peur, et l’abandon, sans jamais avoir douter qu’Il était le fils de Dieu, qu’il n’était pas venu pour abolir la loi ou les prophètes, mais qu’Il était venu pour les accomplir. 

     

     

     

    Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront pas, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. Celui donc qui supprimera l'un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux.

     

    Nous qui avons reçu « Le Commandement », parce que nous avons cru en Lui, qu’il était UN avec le Père, nous avons maintenant la certitude que nous sommes sauvés. Que notre vie a été utile, et que notre transmission sera notre service pour Dieu. 

     

    Le but de la vie est de partager.

     

     

    Shabbat shalom 

     

    L . B 

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre 18 verset 1 à chapitre 20 verset 23 (26).

    Lecture de la haftarah: Esaïe: Chapitre 6 verset 1 à chapitre 7 verset 6. Et chapitre 9 verset 5,6.

    Lecture messianique : Mathieu: Chapitre 5 verset 21 à 30.

    Hébreux: 12:18, 29.

     

     


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  • Les grandes oeuvres.

     

    La parasha Bechala’h on pourrait l’appeler:  « Les grandes oeuvres » tant les plus grands événements que Dieu est fait aux yeux de tous, des miracles que la terre est pu vivre. Tel un grand tableau de maître.

    Alors que le peuple est poursuivi par l’armée égyptienne, jusqu’au bord de la mer, Dieu dit à Moïse  ordonne aux enfants d’Israël,  de se mettre en marche, et toi lève le bras vers la mer et moi Je diviserai  la mer par un grand vent et le peuple passera sur le sol sec.  

    Et lorsque  l’armée de pharaon essaiera de vous poursuivre et qu’ils seront en plein milieu de la mer, je passerai détacher les roues de leurs chars pour les arrêter et toi Moïse tu étendra ton bras, et les eaux se refermeront sur eux et ils mourront.

     

    Ici en ces quelques lignes se peint la vie du peuple de Dieu.

     

    Après que cette grande oeuvre soit terminée la parasha continue avec Myriam soeur de Moïse qui prit un tambourin pour acclamer Dieu et tout le peuple chantaient; louait, adorait Dieu avec une force de  joie intense.

    Mais la marche dans le désert doit continuer des jours et des mois et le peuple se décourage.

    Suite à la grande euphorie du peuple qui pensait que maintenant plus rien ne pourrait leur arriver, que tout irait bien, les voilà chamboulé, plus de maison, plus de nourriture, les familles éparpillés et sans travail, tout ce qu’ils avaient tant redouté se dessine par ce chemin de vie.

     

    Le vague à l’âme du peuple s’écume comme des plaintes sur le chemin de Mara. Avec ce sentiment d’amertume.

     

    Myriam dans sa connotation hébraïque veut dire « celle qui élève ».

    Et aussi Myriam est le vrai nom de la mère de Yeshoua.

     

     

    Myriam, soeur de Moïse et d’Aaron est une prophétesse, elle éleva son cantique selon comme il est écrit au verset.

    Exode 15; 20,21.

    Myriam, la prophétesse, soeur d'Aaron, prit à sa main un tambourin, et toutes les femmes vinrent après elle, avec des tambourins et en dansant.

    Myriam répondait aux enfants d'Israël: Chantez à l'Eternel, car il a fait éclater sa gloire; Il a précipité dans la mer le cheval et son cavalier.

     

    On retrouve une similitude d’exaltation de joie avec le cantique de Myriam la mère de Yeshoua dans Luc: 1. 46 à 55.

    Et Myriam dit: Mon âme exalte le Seigneur,

     

    Et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur,

     

    Parce qu'il a jeté les yeux sur la bassesse de sa servante. Car voici, désormais toutes les générations me diront bienheureuse,

     

    Parce que le Tout-Puissant a fait pour moi de grandes choses. Son nom est saint,

     

    Et sa miséricorde s'étend d'âge en âge Sur ceux qui le craignent.

     

    Il a déployé la force de son bras; Il a dispersé ceux qui avaient dans le coeur des pensées orgueilleuses.

     

    Il a renversé les puissants de leurs trônes, Et il a élevé les humbles.

     

    Il a rassasié de biens les affamés, Et il a renvoyé les riches à vide.

     

    Il a secouru Israël, son serviteur, Et il s'est souvenu de sa miséricorde, -

     

     Comme il l'avait dit à nos pères, -Envers Abraham et sa postérité pour toujours.

     

     

     

     

     

     

     

    Myriam de l’ancienne alliance qui symbolise l’Esprit qui annonce le Messie. Au travers de son cantique, elle révèle les temps futurs.

    On comprend que Myriam, soeur d’Aaron et de Moïse, annonce le Messie.

     

     

    Le peuple dans ce désert n’ayant pas trouvé le Messie se sont découragé laissant s’installer la mélancolie, qui a emmené la tristesse qui s’est changé en amertume dans ses eaux de Mara. Mara voulant dire amertume.

    Ils avaient soif de Yeshoua, ils avaient faim de lui. Ils avaient goûté le vin de la vie et le pain de Pessah. Dieu voulait maintenant qu’ils goûtent le shabbat. 

     Dieu fit couler l’eau du rocher et envoya la manne et les cailles. Manne qu’ils recueillaient durant 6 jours et le septième jour était le repos, il n’y avait pas de manne ce jour-là.  Le shabbat était enseigné.

     

     

    Le peuple soupire pourtant Myriam la prophétesse leur enseigné la marche à suivre. 

    Myriam veut dire aussi Mora, en hébreu enseignante,  qui se comprend dans le sens Myriam annonçait que le  livre de l’enseignement, le livre qui élève devrait premièrement venir, et deuxièmement  le Messie viendrait.

     Le livre de l’enseignement c’est la Torah car Torah veut dire. Enseignement. Chemin de vie,  voie, 

     

     

    Myriam porte en elle la vérité et la parole de Dieu.

     

    Myriam comme une terre qui fait naître. L’Esprit et le Messie de chair.

    Elle annonce celui qui serait le livre et le sauveur;

    Dans la première alliance Myriam elle est comme la fille de Sion, la montagne de Sion.

     

    Psaume ; 38; 11.

    La montagne de Sion se réjouit, Les filles de Juda sont dans l'allégresse, à cause de tes jugements.

     

     

    On retrouve ce verset de Myriam mère de Yeshoua dans Luc; 1; 39. 

    Dans ce même temps, Myriam se leva, et s'en alla en hâte vers les montagnes, dans une ville de Juda. 

     

     

     

    La montagne de Sion  sur laquelle on s’élève progressivement montagne de l’enseignement, elle annonce la loi. 

    Dieu l’appelle « la montagne de ma sainteté »  lieu où la sanctification est enseigné comme dans la Torah.

    Venez, et montons à la montagne de l'Eternel, à la maison du Dieu de Jacob, Afin qu'il nous enseigne ses voies, Et que nous marchions dans ses sentiers. Car de Sion sortira la loi, Et de Jérusalem la parole de l’Eternel.

     

    Les deux Myriam sont donc invoquées, celle qui annonce  la loi et celle dans la nouvelle alliance qui annonce son fils le Messie.

     

     

     

    Dans notre parasha on a pu lire que Dieu  a détourné le peuple du chemin le plus court pour qu’il emprunte un chemin très long.

     

    S’engager vers les montagnes reste difficile, Sion n’est pas à la portée de tous.

    S’engager à suivre Dieu après l’euphorie des premiers temps, la vision de la vie change comme une oeuvre peinte à la main que chacun dessine, sa vie tranquille sous protection du grand Maître. Mais la réalité arrivant le tableau s’obscurcit devant nos yeux; car après la joie il y aussi le mal qui se fait connaître. La loi  fait naître le péché, En effet, sans loi le péché est mort, sans la loi, ou nous vivions  autrefois ; mais quand le commandement est venu, le péché a repris vie.

    C’est par là que l’esprit nous fait distinguer le bien et le mal  ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut plus faire, le joli dessin se transforme en genre pictural de combat.

     

    Myriam prophétise toute cette réalité de la vie du croyant par l’Esprit qui nous enseigne le combat spirituel, la lutte contre ce qui nous tient lié.

     Et cette confirmation nous la retrouvons avec notre haftarah avec Deborah la prophétesse qui s’illustre dans l’art du combat spirituel.  Elle donnera le secret de la mise à mort de nos ennemis. Elle donnera ses ordres comme un fusain entre nos mains qui guide les traits d’une nature morte. 

     

    C’est pourquoi notre parasha termine sur l’illustration  d’Amalek qui nous poursuit toujours pour nous attaquer, et notre force c’est de ne pas se décourager, mais de ne jamais oublier que les démons sont là pour nous faire chuter dès que l’on sort du cadre de la loi. La force d’Amalek c’est dans les vagues de l’amertume qu’il va aller les puiser, toutes nos rancoeurs son comme des croquis des eaux de Mara, tout ce qui est non pardonner non gommer sur la  toile de nos vie reste dans un coin noirci.

    Le chemin de Dieu  est une épreuve pour notre élévation.

     

    Le plus dur à comprendre et à faire, c’est de se séparer de ce qui nous tient lié au mal, les dieux, les idoles dont on à pas toujours conscience, qui sont des esprits qui nous tiennent accroché aux murs comme des pantins. 

     

    La force de Myriam, la force de Deborah celles qui élèvent le chant et la louange vers Dieu, qui symbolise la force de l’Esprit c’est d’acclamer Dieu par des chants de joie pour proclamer notre attachement à Dieu, la force des cantiques déclenche le bras de Yeshoua pour mettre à mort nos ennemis. La force d’Amalek c’est notre amertume et notre rancoeurs.

     

    Choisissons la force de l’Esprit de Yeshoua en le proclamant le Maître de notre vie et l’oeuvre sera parfaite.

     

     

     

    Shabbat shalom

     

    L . B 

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre  13 verset 17 à chapitre 17 verset 16.

    Lecture de la haftarah: Juges: Chapitre 4 verset 4 à chapitre 5 verset 31.

    Lecture messianique: Jean: 6: 25 à 35. 19: 31, 37. Luc: 2: 22,24.

    1 Corinthiens: 10: 1 à 13.  2 Corinthiens: 8:1,15. Apocalypse: 15: 1,4.


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  • Le dernier bras de fer.

     

     

     

    La parasha Bo continue avec les fléaux que Dieu envoie sur l’Egypte.

    Les 3 derniers fléaux sont d’ordres spirituels.

    Le texte commence par vouloir dire: L’Eternel dit à Moïse j’ai fait tout cela afin que tu racontes à ton fils et ton petit-fils ce que j’ai fait à l’Egypte.

     Pour que vous puissiez partir libre faire la fête de la Pâque, Pessah.

    Dieu les menace d’envoyer des sauterelles pour ronger le pays, puis d’envoyer des ténèbres très épaisses durant 3 jours, et de finir par faire mourir tous les premiers nés de l’Egypte.

     Jusqu’à ce que tous se prosternent devant Dieu et le reconnaissent comme le seul et unique Dieu.

     

    Dieu veut faire tomber Pharaon.

    C’est un temps de vengeance pour l’Eternel, un temps de la fin d’un peuple voué à l’extermination.

    Maintenant a lieu le jugement de ce monde; maintenant le prince de ce monde sera jeté dehors.

     

     

    Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui.

     

    En ce jour, l'Eternel frappera de sa dure, grande et forte épée, le léviathan, serpent fuyard. Le léviathan, serpent tortueux; Et il tuera le monstre qui est dans la mer. Esaïe 27;1;

     

     

    Apocalypse 9; 3. 

    De la fumée sortirent des sauterelles, qui se répandirent sur la terre; et il leur fut donné un pouvoir comme le pouvoir qu'ont les scorpions de la terre. 

     

    Luc; 19;18,19.

    Yeshoua leur dit: Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l'ennemi; et rien ne pourra vous nuire.

     

    Tous ces versets nous enseignent sur la force du mal qui est comparé à toute la démonologie.

    Le  bras de fer de l’Eternel pour détruire satan et ses démons. 

    On voit que ces sauterelles sont comparés à des esprits impurs,  les épaisses ténèbres qui sont des dominations et des autorités démoniaques, des puissances, des princes de ce monde de ténèbres, d’esprits méchants.

     

     

    Notre haftarah commente ses versets Jérémie 46; 13.

     

    La parole qui fut adressée par l'Eternel à Jérémie, le prophète, sur l'arrivée de Nebucadnetsar, roi de Babylone, qui voulait frapper le pays d’Egypte.

     

    Nebucadnetsar, Tel un dragon qui dévore.

     

    D’après les sources bibliques, les cérémonies magiques étaient fortement influencées par les rituels babyloniens, et notamment, par les arts divinatoires. Notamment par l’utilisation de  charaktêres  ou  mots magiques .

     

    Les historiens et les archéologues considèrent les rituels publics et privés associés à la religion comme faisant partie de la vie quotidienne.

     

    Ce qui a valu une banalisation de la magie.   

     

    La réponse semble assez simple : La Torah fait elle-même référence à la sorcellerie pendant l’histoire de l’Exode, lorsque les magiciens de Pharaon reproduisirent les signes surnaturels de Moïse et plusieurs des plaies.

     

    Il semble bien que la Torah croit en la notion de magie et de sorcellerie, car autrement, elle n’aurait pas lieu de l’interdire.

     

    Toutes ces traces écrites et trouvailles archéologiques témoignent des rituels magiques utilisés en Orient.

     

    L’Egypte était imprégnée de rituels magiques, de sorciers, de guérisseurs, cette influence n’a pas épargné les enfants d’Israël.

     

    Devenu esclaves de l’Egypte courbait par la souffrance, la peur et la faiblesse, beaucoup d’hébreux utilisaient les arts magiques.

    Empreints à ces forces occultes, les enfants d’Israël s’étaient liés avec ses démons.

    Et même encore aujourd’hui certains rites, superstitions sont à l’honneur. Il reste en nous des traces de croyance nous donnant le droit d’utiliser la magie.

     

    Mais si on courbe la tête devant ses démons, il nous est impossible d’aller adorer Dieu dans sa pleine connaissance. 

     

     

    Dieu va détruire toutes ses puissances afin que le peuple soit libéré de cette influence.

     

    L’attrait de l’homme pour l’inconnu et l’invisible est profondément enraciné en nous. Que l’on y croie ou non, la pensée magique est une émanation tangible des peurs, des espoirs, désirs et frustrations communes à toute l’humanité. 

     

    Selon une récente étude de l’Autorité israélienne, des objets  découverts  il y a de cela des dizaines d’années, le long d’une ancienne route de pèlerinage  menant du Caire à travers le nord du Sinaï jusqu’à Aqaba, puis à La Mecque et enfin à Médine, dans la péninsule arabique. Ont probablement servi à des rituels de protection ou de magie pour les pèlerins musulmans en route vers La Mecque, il y a quelque 400 ans.

    Ces objets, qui comprennent des hochets d’argile, des brûleurs d’encens, des cailloux de quartz colorés et de petites figurines de forme humaine.

    Et ce qui est certain c’est que les arts magiques ont survolé les siècles et sont toujours  d’actualité de façon revisité, modernisé, mais toujours pratiqués.

     

    Et ces peuples ne font que ramener leurs pratiques dans les pays occidentaux. 

     

     

    Cette ascension diabolique permet au prince de ce monde satan et ses démons de s’infiltrer dans les familles, dans les cérémonies, dans les coutumes, dans la politique, dans le sport, chez les artistes  et cette insidieuse infiltration donne du pouvoir à l’ensemble du monde qui bâtit la Babylone des temps moderne. Et cette puissance qui donne l’attrait de la réussite attire les esprits orgueilleux, avide de pouvoir, et d’argent, mais nous savons que celui qui a pour maître le diable et ses démons se retrouve lié de son idole.

     

     

    Car les humains sont attirés naturellement par ce qui est spirituel, ce qui est surnaturel. Et c’est ce qui empêche de venir à Dieu. Car les chaînes que produisent la magie et la superstition sont des chaînes de fer que seule la repentance peut défaire.

    Et ne pas croire que l’on est pas concerné par ses choses; Car même si on ne pratique pas la sorcellerie, il y a des habitudes, et des réflexes qui traduisent les actes magiques involontaires.

    Les religions en sont remplies; Le signe de croix a été adopté par le christianisme en guise de protection.  La croix tire son origine des anciens Babyloniens de Chaldée ! Autrement dit, ce symbole existait bien avant la naissance de Yeshoua et du christianisme. Ce n'est qu'ensuite que la croix s'est propagée à travers le reste du monde !  Ainsi que l’eau bénite censée purifier et protéger des démons. Et toutes autres rites religieux car ainsi sans le savoir on pratique une certaine magie.

     

     Un certain nombre de versets de la Torah interdisent la magie et la sorcellerie : « Une sorcière, tu ne la laisseras pas vivre » ; et « Qu’on ne trouve pas chez toi quelqu’un qui pratique des enchantements, qui s’adonne aux augures, à la divination des présages, un mage, un charmeur, ou un nécromancien un adepte des rituels. Car quiconque accomplit pareilles choses est une abomination pour l’Éternel ».

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Il est un temps de parasha qui nous parle pour se repentir, demander pardon pour avoir été influencé par ces choses attrayantes. Demander pardon pour avoir fait appel et pratiquer ces choses.

     Dieu va détruire ses puissances et nous délivrer de l’emprise des démons qui nous retiennent enchaîné.

     

    Depuis les profondeurs de nos ténèbres Yeshoua est descendu pour nous libérer.

     

    Nous sommes libres car l’Eternel par son bras étendu a ordonné aux puissances de ce monde de nous laisser partir.

     

    Etre libre de  penser seul avec pour enseignement l’Esprit de Dieu, qui vient nous libérer des esprits, des dominations et des esprits méchants.

     

    Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mène à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mène à la vie, et il y en a peu qui les trouvent.

     

     

    Le chemin vers Dieu est long parfois car on résiste toujours. Mais la repentance produit le miracle et Dieu se révèle en puissance Il nous rend libre.

     Libère des religions qui nous garde bien assis sans bouger écoutant la prêche d’un illusionniste qui prêche Dieu de Babylone.

    Libère de la présence gouvernementale des adorateurs des pyramides aux degrés des maîtres décisionnaires de l’avenir du monde.

     

    Le seul et unique Dieu aux sources bibliques est Dieu d’Israël seul Dieu unique qui prescrit ses ordonnances.

     

    Dieu a  ordonné à son peuple:  Venez m’honorer à La  Pâque, Pessah. 

    Toute autre Pâque est un mensonge, une idolâtrie démoniaque.

    Seule la vérité sort du coeur de celui qui obéit aux écritures.

     

    La source biblique reste notre seule boussole qui nous guide vers le chemin étroit de Dieu.

     

    Dieu a placé le judaïsme non pas pour être une religion mais pour être les gardiens des écritures.

     Dieu nous a donné son fils non pas pour créé une religion mais pour nous sauvé et pour être libre de toute esclavage. Il est mort, Il est ressuscité et Il est descendu dans les enfers, pour nous retirer de nos ténèbres, 3 jours, Il est descendu dans ces ténèbres si épaisses, Il a mis à mort les démons qui nous dominé, Il est venu et nous a tendu sa main, pour nous attirer vers Lui.

    Il a donné sa vie, Il a souffert par amour pour nous. Et pour cela nous devons l’aimer à Pessah et l’enseigner à nos enfants afin que la vérité soit perpétuée à tout jamais. 

     

     

    Yeshoua lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.

     Et ce chemin c’est le chemin qui mènent à la Pâque pour adorer le Seigneur.

     

     

     

    Shabbat shalom

    L . B


     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre 10 verset 1 à chapitre 13 verset 16.

    Lecture de la haftarah: Jérémie: Chapitre 46 verset 13 à 28.

    Lecture messianique: Luc: 2: 22,24. Jean:19: 31,37; 1 Corinthiens: 5 : 2 à 8. 

    1 Pierre  1: 18 à 25.

     

     

     


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  • Le coeur de l’homme.

     

    La parasha Vaéra c’est la confrontation entre Moïse et pharaon.

     

    Moïse doit aller devant Pharaon pour lui demander de libérer les hébreux dont il en a fait ses esclaves.

     

    Dieu ayant endurci le coeur de pharaon afin qu’Il puisse montrer sa puissance par des grands miracles, des faits extraordinaires, des signes merveilleux.

     

    L’Eternel envoie par l’intermédiaire de Moïse  les 7 premiers fléaux sur l’Egypte afin de distinguer son peuple qui était protégé à Goshen d’entre les Egyptiens.

     

    Dieu dit à Moïse : Je suis Dieu:  transmet à pharaon tout ce que je te dirai. 

    Moïse dit:  Moi je suis incirconcis des lèvres  comment donc pharaon m’écoutera t-il?

     

     

    -Moïse dit, je suis incirconcis des lèvres dans le sens je suis impur pour parler à la place de Dieu.

    Moïse c’est la conscience de l’impureté du coeur qui veut changer.

     

     

     

    La parasha Vaéra commence par ses mots qui donne tout le sens du texte qui suit:

     

    Dieu s’adresse à Moïse en lui disant.

     

    Je me suis révélé à Abraham et j’ai établi une alliance éternelle avec lui.  Je lui ai fait la promesse de le ramener en terre d’Israël avec toute sa descendance.

     

      

     

    Le texte commence par l’alliance avec Abraham:

     

     

    Ainsi parle l'Eternel, le Dieu d'Israël: Vos pères, Térach, père d'Abraham et père de Nachor, habitaient anciennement de l'autre côté du fleuve, et ils servaient d'autres dieux.

    Abraham  après qu’il fut sorti du pays de ses pères idolâtres fut béni par Dieu et fit avec lui une alliance.

    L’alliance d’Abraham est la circoncision la Brit Milah: Brit veut dire alliance et Milah veut dire circoncision.

     

    Dieu dit à Abraham: Toi, tu garderas mon alliance, toi et tes descendants après toi, selon leurs générations. C'est ici mon alliance, que vous garderez entre moi et vous, et ta postérité après toi: tout mâle parmi vous sera circoncis. Vous vous circoncirez; et ce sera un signe d'alliance entre moi et vous.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ainsi Dieu a donné comme signe la circoncision qui est un acte de foi.

    Car que dit l'Ecriture? Abraham crut à Dieu, et cela lui fut attribué à justice.

    Et il reçut le signe de la circoncision, comme sceau de la justice qu'il avait obtenue par la foi 

    Car la loi  c’est la justification de la foi de l’homme. C’est la circoncision du coeur.

     

     

    Et si la circoncision d’Abraham fut une alliance éternelle pour les descendants de ses fils pour toutes les générations à venir, elle est considérée comme un acte de foi. 

    Abraham père des nations, père de la foi nous enseigne la foi qu’il a transmise à ses descendants les  croyants.

     

     

    Romains 3; 1 et 2.

    Quel est donc l'avantage des Juifs, ou quelle est l'utilité de la circoncision? Il est grand de toute manière, et tout d'abord en ce que les oracles de Dieu leur ont été confiés. 

     

    La circoncision est donc un avantage s’il y a la foi de la loi. Le circoncis de la chair est justifié seulement si  il a la foi en la loi car sinon sa circoncision ne lui sert à rien.

    Car la circoncision faite  de main d’homme n’a de valeur que si le coeurs est circoncis.

    Car le circoncis de coeur c’est celui qui a la foi en la loi car la loi est Yeshoua. 

     

     

    Galates 5; 2  Voici, moi Paul, je vous dis que, si vous vous faites circoncire, le Messie ne vous servira de rien.

    Votre circoncision ne sera d’utilité que si vous observez la loi.

     

    Romain 2; 25  La circoncision est utile, si tu mets en pratique la loi ; mais si tu transgresses la loi, ta circoncision devient incirconcision.

    Car la foi c’est la loi et la loi c’est Yeshoua.

    La loi de Dieu est au cœur du sens de la circoncision.

    Et la circoncision de la chair c’est aussi par la foi que nous la faisons.

     

     

    Pharaon représente ici le coeur de l’homme tel qu’il est quand il sert d’autres dieux.

    Ainsi la promesse faite à Abraham consiste à changer le coeur de l’homme.

     

    Le coeur de l’homme est mauvais.

     

     

     

     

     

     Le cœur est le siège des émotions et des sentiments de l’homme qui amène souvent la confusion dans nos réflexions trompeuses. 

    « Le cœur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant : Qui peut le connaître ? »  Nous dit le proverbe.

     

    Dieu est esprit  et il souhaite établir sa demeure dans le cœur de l’homme.  C’est pourquoi le coeur a besoin d’être circoncis.

    L’alliance de la coupure pour être séparée des autres alliances que l’on a pu faire avec les dieux étrangers.  Dieux des religions. Dieux de l’argent. Dieux du pouvoir. Dieux de la séduction. Dieux du sex. Dieux de l’idolâtrie. Dieux des arts mystiques. 

     

     

    Pharaon comme notre coeur est endurci  rebelle a changer de vie, laisser son passé derrière nous, ne plus vivre nos passions comme on voulait, renoncer à ses habitudes  faire une coupure avec notre ancienne vie, pour s’engager à vivre selon le modèle de vie de sainteté.

     Mais pour passer ses étapes Dieu va envoyer les fléaux.

     

     

    Tous les féaux mentionnés dans le texte font référence à des dieux, que l’Eternel veut détruire.

    Les  fléaux, contenues dans notre parasha, sont l’indication d’une déviation spirituelle.

     Chaque fléaux est un faux dieu.

     

    Moïse  levant son bâton changea l’eau du Nil en eau sanglante.

     Le Nil représente tous les dieux étrangers que l’on peut retrouver dans le coeur de l’homme, dieux spirituels, dieux matériels, ou dieux idéologiques.

     Le sang va sanctifier toutes l’idolâtries qu’il y a dans le coeur de l’homme.

     

     Moïse symbole de la loi démontre par la gloire de Dieu que c’est la loi qui prépare le coeur de l’homme à la circoncision de son coeur.

     

     

     

    C’est alors que Dieu vient se révéler à nous. Pour ce faire, Il fera une coupure dans notre vie. Une ouverture de la conscience, c’est cela le sens de la parasha, Dieu veut se révéler et il va déployer sa force devant tout ce qui nous tient lié avec les forces opposées à Dieu.

    C’est alors que LE MIRACLE  se matérialise en foi et nous sommes prêts à aller le servir.

     

    Cette parasha est une brèche dans le coeur de l’homme pour que Dieu puisse y venir. Ce qu’Il attend c’est notre consentement à ce qu’Il change notre coeur.

     

     

    Voici l'alliance que je ferai avec eux, Après ces jours-là, dit le Seigneur: Je mettrai mes lois dans leurs coeurs, Et je les écrirai dans leur esprit.

     

    Ainsi nous recevons la promesse faite à Abraham qui nous a transmis la foi. Car c’est par la foi que l’on fait toute chose. C’est par la foi qu’Abraham fut circoncis.

     

     

    Josué dit au peuple:

    Maintenant, craignez l'Eternel, et servez-le avec intégrité et fidélité. Faites disparaître les dieux qu'ont servis vos pères de l'autre côté du fleuve  en Egypte, et servez l’Eternel.

     

    Lorsque vous abandonnerez l'Eternel et que vous servirez des dieux étrangers, il reviendra vous faire du mal, et il vous consumera après vous avoir fait du bien. Le peuple dit à Josué: Non! car nous servirons l’Eternel.

    Otez donc les dieux étrangers qui sont au milieu de vous, et tournez votre coeur vers l'Eternel, le Dieu d'Israël. 

    L'Eternel, ton Dieu, circoncira ton coeur et le coeur de ta postérité, et tu aimeras l'Eternel, ton Dieu, de tout ton coeur et de toute ton âme, afin que tu vives.

     

     

     

    Car Dieu va changer notre coeur endurci en coeur de chair.

    Ce coeur c’est le Messie Yeshoua qui habite en nous. 

     

    Je vous donnerai un coeur nouveau, et je mettrai en vous un esprit nouveau; j'ôterai de votre corps le coeur de pierre, et je vous donnerai un coeur de chair.

     

     

    Un coeur circoncis prêt à recevoir par la foi le Messie Yeshoua.

     

    Que Dieu vienne enlever en nous tous les dieux qui sont en nous, tout ce qui persiste à vouloir nous retenir encore esclave de ce monde.

     

     

     

    Shabbat shalom

    L . B

     

     

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre 6 verset 2 à chapitre 9 verset 35.

    Lecture de la haftarah: Ezekiel: Chapitre 28 verset 25 à chapitre 29 verset 21.

    Lecture messianique: Romains: Chapitre 9 verset 14 à 17. 1Corinthiens: Chapitre 6 verset 14 à Chapitre 7 verset 1.

     


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  •  

    Il est écrit.

     

    La parasha Chemot ouvre son livre de l’exode avec l’histoire de Moïse.

     

     

    En résumé: Devant le nombre croissant des enfants d’Israël en Egypte, le pharaon les soumet à des travaux forcés.

    Il ordonne aux sages femmes de tuer tous les nouveaux nés garçons, devant leurs désobéissances il ordonne que les bébés hébreux soient jetés dans les eaux du Nil.

    Moïse née dans ces circonstances fut caché jusqu’à l’âge de trois mois puis ses parents le placèrent dans un coffre et le déposèrent sur les eaux du Nil sous la surveillance de sa soeur Myriam.

    La fille de pharaon  le recueillit  comme son fils et fut élevé au palais du roi pharaon. Ayant grandi dans cette environnement Moïse vit la souffrance qu’endurent ses frères les hébreux suite à une bagarre violente il dû s’enfuir dans le désert.

     Il fut secouru par Jethro qui fit de lui un berger et fut  marié avec Sephora la fille de Jethro. Et il vécut sa première rencontre avec Dieu.

     

     

    L’histoire de Moïse est la plus connue des histoires, sa lecture reste intemporelle et accessible à tous. Moïse, personnage le plus élevé de toutes les écritures, dépeint une réalité mêlée de romanesque ce qui lui donne un attrait de lecture interessante.

     

     

    Pharaon prit la décision d’éliminer la race juive, car sa crainte était de perdre sa domination de Roi.

    Sans pitié comme tous les dictateurs criminels il contraint le peuple juif à un dur esclavage et ordonne la mort de tous les petits garçons juifs. Moïse fut miraculeusement épargné.

     

    Pharaon avait pour ministres des astrologues, des astronomes, et des sorciers qu’il consultait fréquemment. Ces décisions se prenaient autour de la table avec ses personnages, avec son seul souci que jamais personne ne lui prenne sa place de Roi.

    Ses astrologues, et sorciers également appelés des Mages, car ils étaient vénérés en Egypte comme des princes, ou des rois. Ils furent consultés par Pharaon pour chercher  cet enfant l’élu de Dieu.

     

    Moïse l’emblématique porte parole de Dieu, qui dévoile le Messie.

     

    Cet épisode de la naissance de Moïse ramène tout droit vers la naissance du Messie Yeshoua.

     Yeshoua naquit à Bethléem à l’époque du roi Hérode.

    Ce Roi avait pour ministres des astrologues, des astronomes et des sorciers, qu’il consultait pour prendre ses décisions. 

    A ce conseil des ministres, ces astrologues lui annoncent la venue d’un roi qui lui serait supérieur.

         Ces Mages arrivèrent à Jérusalem chercher le Roi des Juifs qui venait de naître car ils avaient vu son étoile dans le ciel.

     

    Hérode s’interrogea auprès des juifs  qui lui répondirent Il est écrit :

     

    Et toi, Bethléem, terre de Juda, tu n'es certes pas la moindre entre les principales villes de Juda. Car de toi sortira un chef qui sera le berger d’Israël, mon peuple.

     

    A ces dires, Hérode envoya les Mages chercher l’enfant. 

    Les Mages suivirent l’étoile qui s’arrêta à l’endroit où était l’enfant. Ils se prosternèrent et offrirent l’or l’encens et la myrrhe.

    Puis ayant été averti  par un rêve de ne pas retourner vers Hérode pour lui donner l’information, ils partirent vers un autre pays..

    Après leur départ un ange d’Adonaï apparut à Joseph et lui dit: fuit en Egypte avec  l’enfant et sa mère car hérode va chercher l’enfant pour le faire mourir: 

     Comme il est écrit: 

    J'ai appelé mon fils hors d’Egypte.

     

    Hérode, voyant les Mages qui lui avaient désobéi, se mit dans une grande colère, et il envoya tuer tous les enfants de deux ans et au-dessous qui étaient à Bethléem et dans tout son territoire, selon la date dont il avait soigneusement examiné auprès des Mages. Alors s'accomplit ce qui avait été annoncé par Jérémie, le prophète: selon qu’il est écrit: 

     

    On a entendu des cris à Rama, Des pleurs et de grandes lamentations: Rachel pleure ses enfants, Et n'a pas voulu être consolée, Parce qu'ils ne sont plus.

     

     

    A la mort d’Hérode Joseph fut visité en songe par un Ange d’Adonaï et lui dit: 

     

    Lève-toi, prends le petit enfant et sa mère, et va dans le pays d'Israël, car ceux qui en voulaient à la vie du petit enfant sont morts. Joseph se leva, prit le petit enfant et sa mère, et alla dans le pays d'Israël. 

     

    Mais Joseph ayant appris qu’Archélaüs avait succédé à Hérode  il fut avertit en songe d’aller vers la Galilée dans une ville nommé Nazareth afin que la prophétie fut accomplie comme il est écrit: 

    « Il sera appelé Nazaréen ».

     

     

    Ces textes sont la preuve existentielles du Messie qui correspond aux écritures selon les prophètes.

     

    Les écritures attestent le témoignage de la vraie identité du Messie.

    Les deux témoins sont les deux testaments.

    Psaume 102:18.

     

    Que cela soit écrit pour la génération future, Et que le peuple qui sera créé célèbre l'Eternel!

     

    Toute Ecriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice.

     

     

     

    Ces deux textes Moïse et Yeshoua ont en commun le massacre de milliers d’enfants.

     

    La rivalité entre satan et Dieu 

    Empêcher le plan de Dieu pour sauver son peuple.  Et rester maître du monde pour garder les humains en esclavage.

     

    Comme un serpent, satan séduisit toute la terre, les hommes se confièrent à d'autres hommes qui sont des chefs et des rois.

    Et cela n’est pas étonnant, puisque satan lui-même se déguise en ange de lumière.

     

    Il est une étoile du soir. Il est l’illusion de Dieu. Il s’oppose à Dieu. Il confère des mensonges sur Dieu.

     

     

     

     

    Il agit avec des artifices de lumières, il se placent dans les religions.

     

     

     

    Le christianisme à été la religion qui a inspiré le plus grand massacre de l’histoire de l’humanité.

     

    Elle a aveuglé premièrement les juifs qui ne peuvent pas reconnaître le Messie à travers cette religion, car il ne correspond pas à ce qu’il est écrit.  

    Car c’est par les écrits de la loi et les prophètes que le Messie se reconnaît car il est les commandements comme il est écrit:

    Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée.

    Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes.

     

    Petite parenthèse; l’histoire des rois mages qui célèbrent l’épiphanie  le 6 janvier avec la galette des rois est une invention païenne, qui célèbre une tradition des dieux Egyptiens célébrant les sorciers.  On peut manger ces galettes en évitant le jour de cette célébration ».

     

     

     

     Ce qu’atteste l’ancien testament doit être ce qu’atteste le nouveau qui est son accomplissement.

     

     

     

     

     

    « La naissance du Messie » se dit en hébreux « Leidat Mashia’h » qui donne en guematria 100 ce qui veut dire va vers toi même. C’est en allant vers soi même qu’on trouve le messie. 

     

    En fait le Messie on ne trouve pas dans la religion on le trouve en soi.

     

    On a tous en nous l’âme du Messie, on a tous en nous un Moïse intérieur.

     

    Ils ont voulu tuer Moïse, ils ont voulu tuer Yeshoua.

     

    Car en réalité ce qu’il faut comprendre c’est que Dieu à un plan pour Son monde. C’est que chacun d’entre nous peut choisir; soit il s’associe à Dieu soit il choisi de s’opposer à Dieu comme pharaon.   Faire vivre ou faire mourir la Torah de Moïse dépend de nous.

     Faire vivre ou faire mourir Yeshoua dépend de nous.

     

     

     Il nous appartient de faire ce choix solitaire.

    Chercher la volonté de Dieu et pas la nôtre. Nous ne devons plus marcher selon nos préférences ; nous devons marcher selon la volonté de Dieu. Cherchez premièrement le Messie dans les écritures pour le faire ressusciter dans notre coeur. Car c’est la vérité des écritures qui nous rend libre.

    Et il dit aux Juifs qui avaient cru en lui: Si vous demeurez dans ma Torah, vous êtes vraiment mes disciples; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira.

     

    Moïse est venu libéré de l’esclavage le peuple de Dieu, par le message de la Torah, cette liberté nous est donné par la loi de Moïse comme un berger qui nourrit ses fidèles brebis, afin que les écrits attestent qu’un Messie viendrai; selon qu’il est écrit: 

     

    Pour dire aux captifs: Sortez! Et à ceux qui sont dans les ténèbres: Paraissez! Ils paîtront sur les chemins, Et ils trouveront des pâturages sur tous les coteaux.

     

    Yeshoua prit le rouleau de la Torah et dit selon qu’il est écrit dans Luc 4:18:

     

    L'Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu'il m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé. Pour proclamer aux captifs la délivrance. Et aux aveugles le recouvrement de la vue. Pour renvoyer libres les opprimés.

     

     

    Selon ce qui est écrit dans Esaïe: 61: 1

    L'esprit du Seigneur, l'Eternel, est sur moi. Car l'Eternel m'a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, Pour proclamer aux captifs la liberté, Et aux prisonniers la délivrance.

     

    Le monde a le choix de faire mourir Moïse et Yeshoua.

    C’est notre choix et notre volonté de faire vivre la Torah et Yeshoua.

     

    Il est vivant !!!

     

     

     

     

     

     

     

    Shabbat shalom 

    L . B

     

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre 1                                                                        verset 1 à chapitre 6 verset 1.

     

    Lecture de la haftarah: Esaïe; 27: 6 à 28:13. 29: 22,23.                                                   « S »: Jérémie: 1: 1à 2: 3.

     

    Lecture messianique: Mathieu: 22: 23, 33.                                                                           Marc: 12: 18, 27.

    Luc: 20: 27, 38. Actes: 3: 17, 36.                                                                                           Hébreux: 11: 23, 26.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Une histoire sans fin.

     

    Jacob vécut les 17 dernières années de sa vie en Égypte. Sentant ses jours toucher à leur fin, il demande à son fils Joseph de prêter serment d’être enterré en Terre Sainte. 

    Il bénit les deux fils de Joseph, Manassé et Ephraïm. Puis, juste avant sa mort, Jacob réunit ses fils. Il veut leur révéler la date de la fin des temps mais il en est empêché par Dieu. Il bénit chacun de ses fils, leur assignant chacun un rôle en tant que tribu.

     

    A la disparition de Jacob, une grande procession funèbre l’accompagne jusqu'à sa dernière demeure en Israël. 

     

    Joseph, lui aussi, décède en Egypte à l'âge de 110 ans. Il demande que ses ossements soient enterrés en Terre Sainte. Avant de mourir, il leur donne les instructions  qui leur permettront d'endurer les difficultés de l'exil: Dieu se souviendra de vous et vous fera monter de ce pays vers la Terre qu'Il a promise à Abraham, Isaac, et Jacob. 

     

     

    La parasha Vayéhi  termine l’histoire de Joseph immortalisant la venue du Messie.

    Joseph annonce sa mort et son après mort. La mort c’est en vérité la vie qui commence.

    La vie de l’âme est éternelle et commence sa vie quand le corps rend l’âme. 

     

     

    Avant de mourir, Jacob bénit les douze pour leur attribuer une mission.

     

     

    Yeshoua  fit de même avec ses disciples en leur disant: Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et de l’Esprit Saint et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde.

     

     

    Joseph a pardonné à ses frères car ils avaient peur qu’après la mort de leur père Joseph ne maintienne pas sa promesse de pardon

     

     

     

    Yeshoua leur dit de nouveau: La paix soit avec vous! Comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie. Après ces paroles, Il souffla sur eux, et leur dit: Recevez l’Esprit saint. Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils leur seront pardonnés; et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus.

     

    C’est en quelque sorte le pouvoir que nous a transmis Yeshoua. Pardonner pour rendre libre ceux qui sont dans la servitude.

     

    Yeshoua enseigne à ses disciples à prier et Il leur révèle là un grand secret: Si nous voulons être pardonnés, nous devons pardonner ceux qui nous ont offensés. C'est un principe divin.

     

    Afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés: 

     

    Le pardon guérit l’âme et si l’âme est guérit elle est vivante.

      

     

     

     

    Joseph à l’approche de sa mort parla à ses frères dit: Je vais mourir.  Sachez que le seigneur vous visitera et vous ramènera  de ce pays dans celui qu’il a promis par serment à Abraham, à Isaac et à Jacob, oui le Seigneur vous visitera et alors vous emporterez mes ossements de ce pays.

     

     

    Les os font référence à la mémoire.

    Garder les os de quelqu’un c’est comme garder un exemple de conduite, un enseignement.

    C’est ce que Joseph veut transmettre; comme lui a pardonné  ses frères; ne jamais oublier que le Pardon libère.

     

    Le pardon est réellement la clef de nos relations avec Dieu et les hommes. L’esprit de pardon peut opérer des miracles, briser les cœurs les plus durs, rétablir des foyers désunis et changer les situations les plus désespérées. 

     

    Le pardon est une action tellement puissante de l’Esprit Saint que se produirait une multitude de miracles, des vies seraient libérées, des corps seraient guéris, des âmes seraient sauvées. 

     

    Le pardon libère, purifie, justifie, réconcilie.

    Le manque de pardon c’est comme une dette.

    Pardonner c’est aussi être libéré de ses dettes.

     

    Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père céleste vous pardonnera aussi; 

    mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.

     

    Dieu nous pardonne et nous donne la force et la grâce de pardonner à notre tour. 

    Le pardon libère l’âme.

     

    Le mot hébreu pour « os » etsem signifie également « essence ».

    Essence c’est la nature profonde  d’un être humain.

    L’essence de l’être humain réside dans l’esprit. Les traits et qualités qui font d’une personne ce qu’elle est.

     

    L’esprit conditionne la pensée et fait l’essence même de l’homme suivant ses convictions.

    Joseph l’homme qui pardonne c’est cela l’essence de Joseph le pardon.

     

    Les os de Joseph constituent la mémoire collective de Dieu, l’essence de Dieu, la mémoire qui rend témoignage de Dieu.

     

     

     

    L’os est comme un héritage qui transmet aux générations la puissance du pardon.

     

     

    Yeshoua donne aux apôtres leurs missions pour prêcher la repentance et le pardon.

     

     

    Le pardon des péchés est l'un des principaux actes de la mort de Yeshoua. C'est le but de sa venue sur terre.

    La proclamation du pardon des péchés est l’essence même de la mort du sauveur.

    Yeshoua donnait aux apôtres et par conséquent, à toute son assemblée, le privilège d'annoncer de quelle façon Dieu veut que l'homme reçoive le pardon de ses péchés. Ainsi, si quelqu'un croit en Yeshoua,  a le droit de lui annoncer qu'il est pardonné. En revanche, si quelqu'un rejette le sacrifice de Yeshoua peut annoncer que les péchés de cette personne sont retenus.

     

     

     

     

     

     

    Lorsque Yeshoua eut achevé de donner ses instructions à ses douze disciples, il partit de là, pour enseigner et prêcher dans les villes du pays.

     

     

     

    Celui qui croit que Yeshoua est le fils de Dieu et qui croit qu’il est mort pour nous pour le pardon de nos péchés sera sauvé et vivra éternellement avec Dieu.

     

     

     

     

    Ils partirent, et ils prêchèrent la repentance et le pardon des péchés en son Nom.

     

    Tous ceux qui ont entendu et ont cru en Yeshoua ont reçu le pardon et la vie éternelle.

     

     

     

    Le pardon n’est pas une simple parole, le pardon a une dimension si élevée, qu’il fait de véritable miracle, de guérison et de paix dans nos vies.

    La parasha Vayéhi selon la vie de Joseph est l’un des plus beau des messages que Dieu nous ai laissé, la puissance du pardon à travers Yeshoua.

     

    Profitons de ces moments pour pardonner ainsi nous serons  aussi pardonnés par Dieu, libérez peut-être d’une situation dans laquelle,  on est resté  bloqué depuis si longtemps, ou recevoir une guérison miraculeuse, et libéré des âmes.

     

     

    Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père céleste vous pardonnera aussi; mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.

     

     

     

     

     

     

    Shabbat shalom

    L . B

     

     

    Lecture de la parasha: Genèse: Chapitre 47 verset 28 à chapitre 50 verset 26.

     

    Lecture de la haftarah: 1 Rois: Chapitre 2 verset 1 à 12.

     

    Lecture messianique:

     Actes 7: 15 à 16.

     Hébreux: 11: 21,22.

     1 Pierre: 1: 3 à 9. Et 2 : 11 à 17.  

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Un plus un ça fait UN.

     

    Vayigach en résumé.

     

     

     

     

     

     

    Juda se présente devant Joseph pour demander la libération de Benjamin, se proposant lui-même comme esclave à la place de son frère.
     

     

     

     

     

    Joseph  révèle son identité à ses frères : « Je suis Joseph », dit-il, « Mon père est-il encore vivant ? ». Les frères de Joseph sont inquiets. Ils sont pris de remords et de honte. Toutefois, Joseph les réconfortent : « Ce n’est pas vous qui m’avez envoyé ici, mais c’est Dieu qui m’a envoyé pour vous sauver. 

    Les frères retournent en terre de Canaan pour annoncer la nouvelle à leur père. Jacob, fou de joie, descend en Egypte avec ses fils et leur famille –soixante dix âmes en tout. Il retrouve son fils après 22 ans de séparation. 

    Sur la route vers l’Egypte, Dieu se révèle à lui et lui promet: « Ne crains pas de descendre en Egypte car je ferai de toi une grande nation. 

    Je descendrai avec toi en Egypte et Je t’en ferai remonter ». 

    Joseph accumule les richesses d’Egypte en vendant de la nourriture et du grain pendant la famine. Pharaon donne à Jacob et sa famille la région de Gochèn pour s’y installer. Les enfants d’Israël prospèrent dans l’exil d’Egypte.

     

     

    La parasha Vayigach est la onzième parasha. Celle qui résume les 22 ans d’absence de Joseph avec sa famille.

     

    Avec cette onzième parasha, le 11 nous enseigne.

    Le 11 en Hébreu s’interprète comme un moment de transformation. Une transformation spirituelle. Plus exactement une connexion entre ce qui est spirituel et ce qui est terrestre.

    Le 11 en hébreu est la lettre KAF.

    Kaf veut dire, paume de la main et signifie se réconcilier avec le corps spirituel.

     

    Nous voyons aussi que Joseph a été séparé de sa famille durant 22 ans. Et ce 22 nous enseigne.

     

     

     

    Les 22 ans d’absence de Joseph, signifie, la fin d’un cycle. C’est avoir atteint son potentiel, l’aboutissement d’être capable d’influencer le monde vers le bien. Avoir la maturité pour dévoiler au monde l’existence de Dieu.

     

    Le 22 en hébreux est la lettre TAV. C’est  le sceau divin. Le TAV c’est la marque de Dieu il est associé au passage biblique dans Ezéchiel: 9; 4,6.

     

     L’Eternel lui dit : Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fais une marque (Tav) sur le front des hommes qui soupirent et qui gémissent а cause de toutes les abominations qui s’y commettent. (…) Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes; mais n’approchez pas de quiconque aura sur lui la marque (Tav);

     

     

    Tav est donc le signe de l’élection divine, de la libération et du salut.

    C’est aussi le signe de l’alliance entre Dieu et les hommes. 

    Au final, Tav nous rappelle а l’Unité Universel. 

     

    Tav est la marque de ceux qui suivent la Torah; comme la marque des téfilines sur le front.

     

    Tout cela nous amène à l’expression du dévoilement de notre parasha.

    Joseph se dévoile à sa famille.

     

    Depuis les parasha précédentes on a vu que Joseph exprimait l’image du Messie Yeshoua sur terre.

    On l’a vu serviteur, puis l’homme de Dieu.

    Là maintenant c’est le sauveur.

     

    Joseph exprime l’union entre ce qui est spirituel et ce qui est matériel. Joseph le rédempteur le sauveur. Joseph accepte le pardon de ses frères. 

     C’est le pardon qui sauve.

    Ils ont reconnu leurs torts, ils ont reconnu leur mensonges, ils ont reconnu que leur frère était différent d’eux  qu’il était porteur d’une mission divine.

     

    Un homme qui demande pardon à Dieu devient le plus grand de tous les hommes.

     Il se transforme, il naît de nouveau, il devient un croyant de l’intérieur car c’est son âme qu’il a transformé en une âme vivante. Faire téchouva devant Dieu c’est reconnaître ses erreurs spirituelles et pas ses erreurs de mauvaise conduite, cela viendra plus tard. La téchouva c’est vraiment demander pardon à Dieu de s’être détourné de Lui durant sa vie, en ayant suivi d’autres voies spirituelles.

     

    Faire téchouva devant Dieu c’est reconnaître de s’être détourné de la loi de la Torah. faire techouva devant Dieu c’est reconnaitre que le Messie est Yeshoua de Nazareth.

     Reconnaitre que c’est Dieu qui s’est fait chair à travers la chair de sa chair en donnant Yeshoua  son fils.

     

     

    Il a été envoyé par le Père pour faire de chaque croyants des pierres vivantes qui forment l’unité avec Dieu.

     

    Juda c’est le royaume du sud royaume d’israël qui porte la Torah.

     Car le peuple d’Israël c’est la Torah qui prépare le monde à venir,  il prépare les nations à accepter la Torah qui donne le signe d’appartenance à Dieu et c’est le signe qui permet à Yeshoua de se révéler aux croyants.

     

     

    C’est ce que révèle donc les chiffres 11 et 22 de notre texte.

     Car Yeshoua fut homme sur la terre et c’est dans ses paumes de mains quand il fut cloué sur le bois, qu’il nous a marqué du sceau divin avec son sang, par son acte il nous a réconciliés avec son corps et son sang. Car nous étions terrestres et nous devenons par lui spirituelle renaissant à la vie, cette transformation nous a unis avec Dieu nous sommes Un.

    Jean; 10, 30.

    Yeshoua dit: 

    Moi et le Père nous sommes un.

     

    La réparation du monde passe par la reconnaissance d’Israël qui porte le message de la Torah, cette réparation à cause de la rupture qui fut entre l’homme et Dieu. 

    La conscience universelle est la véritable réparation du monde.

    La conscience universelle se sera quand les nations et Israël s’uniront quand ils seront Un, là sera le grand bouleversement mondiale le grand Tikoun Olam. 

     Les nations reconnaîtront la Torah comme signe de Dieu et Israël reconnaîtra Yeshoua comme le Messie.

     

     Mais cette transformation ne pourra commencer que par les nations qui reconnaissent que le Messie est bien sorti de la Torah et qu’ils annoncent le vrai messie Yeshoua et c’est en cela que chacun à sa part à faire. Annoncer le Messie Yeshoua. 

     

     Car à la fin  tout sera réparé et tous ne feront qu’Un pour servir le Roi unique, car tout sera réparé par le secret de l’unité.

    L’union dans l’unité correspond au but de toute l’humanité, car chaque-Un possède une âme individuelle.

    Il s’agit donc dans ce texte de la révélation de l’Unité qui permet la réparation du monde. 

     

     

     

    Yeshoua est Un avec Dieu. Et par Lui nous devenons Un. 

    Le Un constitue toute la création qui n’obéit qu’à une loi, celle du pardon et de l’Amour  car à l’origine toutes les âmes étaient contenues dans cette Unité avec Dieu.

     

    En somme un seul lien unit toutes les actions accomplies au cours de l’histoire, c’est annoncer  Yeshoua comme le Messie en proclamant la vérité et en le dé-christianisant.

     

     

    Petite parenthèse avec ce même chapitre de Jean 10.

    On célébrait la fête de la dédicace qui se dit en hébreux fête de hanouka, C’était l’hiver et Yeshoua se promenait dans le temple.

    Il est clair que la bible mentionne la fête de Hanouka, mais jamais la fête de Noël.

    Et même si cette fête est devenue tellement populaire, il nous est interdit de célébrer les fêtes païennes car Noël est vraiment une fête païenne  car ce petit jésus de la crèche n’est pas l’identification du fils de Dieu, le Messie Yeshoua. Ce Jésus est identifié au dieu du soleil.

     

     

    Si Noël est une fête païenne, c’est parce que ses premières origines remontent  avant la période chrétienne de l’Europe. En effet, la période du 25 décembre a d’abord été associée au culte de Mithra.

     

    En effet, les Romains avaient déjà des traditions religieuses autour du solstice d’hiver avant que soit instaurée la fête de Noël, mais ce sont également eux qui ont décidé de fêter Noël en tant que jour de la naissance de ce Jésus.

     

    Ce Jésus dépouillé de ses origines juives, Ce petit juif de Nazareth né dans un foyer juif obéissant aux lois de la Torah,

    C’est ce qui fait un des grands blasphèmes de ce monde qui ont christianisé  l’histoire du Messie. Et ont contribué à la séparation des juifs et des gens des nations.  

     

     Mais il vient le jour ou les prophéties s’accomplissent.

    Ces tribus de la maison de Joseph, bois d’Ephraïm seront rattaché au bois de la maison de Juda, maison d’Israël, pour ne former plus qu’UN, une seule nation pour Dieu.

     

     

    Il se peut que dans ce monde il y en ait qui soit maintenant prêt à

     

     abandonner leurs traditions, pour être transformé par la vérité qui frappe à la porte et demander  pardon à Dieu et  contribuer à la réparation de notre monde pour rentrer dans l’Unité avec Dieu.

     

    Conclusion avec le merveilleux verset sorti de la parole de Yeshoua dans Jean 17; 21 à 26.

     

    Afin que tous soient Un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu'eux aussi soient Un en nous, pour que le monde croie que tu m'as envoyé.

     

    Je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée, afin qu'ils soient Un comme nous sommes Un, moi en eux, et toi en moi, afin qu'ils soient parfaitement Un, et que le monde connaisse que tu m'as envoyé et que tu les as aimés comme tu m'as aimé. Père, je veux que là où je suis ceux que tu m'as donnés soient aussi avec moi, afin qu'ils voient ma gloire, la gloire que tu m'as donnée, parce que tu m'as aimé avant la fondation du monde.

     

    Père juste, le monde ne t'a point connu; mais moi je t'ai connu, et ceux-ci ont connu que tu m'as envoyé. Je leur ai fait connaître ton nom, et je le leur ferai connaître, afin que l'amour dont tu m'as aimé soit en eux, et que je sois en eux.

     

    Amen

     

     

    Shabbat shalom

     

     

    L . B

     

     

    Lecture de la parasha: Genèse: Chapitre 44 verset 18 à chapitre 47 verset 27.

    Lecture de la haftarah: Ezéchiel: Chapitre 37 verset 15 à 28.

    Lecture messianique: Actes : 7:  9 à 16. 


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  • Parasha Mikets du samedi 15 décembre 2023.

               Quel est Son Nom?

     

     

     

    La parasha Mikets se poursuit avec l’histoire de Joseph. Alors qu’il est en prison, Pharaon eut deux rêves.

     

    Joseph le seul à pouvoir décrypter les mystères des rêves fut appelé auprès de Pharaon.

    Dans cette vision Pharaon voyait 7 belles vaches bien grasses se faire dévorer par 7 autres vaches, laides et maigres.

     Et aussi 7 beaux épis de blé bien charnu se faire avaler par 7 autres épis de blé fins et décharnés.

     

    Joseph lui révéla le caractère de ses visions. En lui donnant cette explication.

    Il va y avoir durant 7 ans une grande récolte de blé, car les 7 années qui suivront seront des années de famines.

     

    Pharaon établit Joseph gouverneur de son royaume afin qu’il établisse une stratégie pour réaliser ses visions.

     

    Au bout du compte Joseph l’homme à l’intelligence et à la sagesse de Dieu réussit tout ce qu’il entreprend.

     

    Joseph, l’homme de la réussite.

    Il est l’incarnation du plan Divin.

     

    Dans la vie il y a des cycles qui tournent dans le sens où nos vies doivent réaliser les plans de Dieu.

    Chacun à son cycle, de réussite et d’échec. Chaque cycle à son utilité pour mener à bien le projet Divin qui nous concerne.

     

     

    La racine du nom Joseph  « Yossef » en hébreu signifie croître, Joseph l’incarnation messianique nous fait comprendre que l’on doit sans cesse chercher la connaissance afin que celui qui vit en nous croisse par l’acquisition de la sagesse et la connaissance. 

     

     

    Nos périodes d’échecs ont toujours été préparées d’avance par Dieu afin qu’on puisse les supporter, par une mise à l’écart. Car ces périodes nécessaires permettent d’atteindre la connaissance qui nous manque.

     

    Lorsque la bible fait mention de famine cela veut dire qu’il y a un manque de connaissance biblique, un manque de révélation, un manque de Torah.

     

    Les temps de famine poussent le croyant à aller chercher la connaissance, il part chercher ce que  sa communauté ne lui donne plus, la faim spirituelle se fait sentir, comme un manque inexplicable.

     

    Un détachement se met alors en place pour laisser place à une nouvelle perception spirituelle.

     

    Il remarque que son Pasteur, son Rabbin, son Prêtre ou tout autres enseignements ne permet plus de lui donner ce que son âme a besoin, un manque de sens vient réveiller l’étincelle qui brûle en lui. 

    Il est donc contraint de quitter partiellement son environnement pour aller commencer à butiner  vers ce que son esprit lui fait ressentir, jusqu’à trouver ce qui le rassasie pleinement.

     

     

     

    Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés!

     

     

    Nos âmes n’ont pas faim de gloire, de confort, de richesse ou de pouvoir, nos âmes ont faim de sens.

     Un sens qui donne raison à ce qui est au fond de nous, comme une évidence attendue depuis toujours.

    Le croyant qui désire toujours plus de Dieu recevra une telle abondance qu’il sera capable de distribuer et partager sa connaissance et sa foi avec ceux qui l’environnent.

     

     A un moment donné comme un cycle qui vient à point nommé, les choses habituelles s’arrêtent sans vraiment comprendre pourquoi, pour entamer un nouveau processus spirituel.

     Des fois il est temps de se séparer de ses frères comme Joseph, pour pouvoir évoluer seul, sans que personne ne s’y oppose. Car souvent les proches ne comprennent pas ce qui nous arrive.

    Notre évolution est notre foi est personnelle.

    La vie est une prison, une étape pour s’élever.

     

    Joseph nommé gouverneur par Pharaon, lui changea son nom.

    Pharaon nomma Joseph Tsafnat Panéach.

     

    Ce nom a deux consonances.

    En Egyptien cela veut dire: Celui qui donne la nourriture de la vie.

    En hébreu cela veut dire:

    Celui qui révèle les secrets.

    Tsafnat révèle aussi par son préfixe Tsadik le caché.

     

    Joseph décrypte le rêve. Premièrement il y aura un temps de Torah qu’il faudra amassé car dans un autre temps, ceux qui auront amassé survivront, les autres connaîtront la famine.

     

    En fait Joseph doit cacher son identité dans ce monde. Car le monde n’est pas prêt à l’entendre.

     

     Joseph a caché son identité juive à l’Egypte car son nom porte un secret.

     

     

     

    Joseph ne révélera son Nom qu’à la fin, quand ils sont à bout, affamé, apeuré, épuisé.

     

     

     

     

    Joseph le juste est un Tsadik 

    Le livre des proverbes dit : Le Tsadik est le fondement du monde.

     

    Cette notion s'associe alors à celle de miracle, des hommes possédant des pouvoirs surnaturels.  Elle attribue au Tsadik des pouvoirs divins, dont celui de servir d'intermédiaire entre Dieu et le peuple.

     

     

     

    Le Tsadik est un être humain qui nous permet de réaliser que chacun de nous est fondamentalement  habité par Dieu. Il nous rappelle par son existence qu’un humain peut être relié à Dieu.

     

     

    En hébreu son nom donne: Le juste, le secret qui se cache derrière l’homme juste.

     

    Aussi si nous relions la parasha avec la haftarah on comprend la liaison des textes: Salomon est le roi de justice, il est juste par ses jugements lorsqu’il dû trancher pour faire sortir la vérité entre les deux femmes qui voulaient l’enfant.

    Sa sagesse et sa justice font de lui le Tsadik, il est reconnu le roi d’Israël.

     

    Joseph a caché sa nature de Tsadik  qu’il a caché comme un secret.

    Le Messie est venu il a maintenant plus de 2000 ans. Il est caché pour beaucoup, Il reste caché à ceux qui ne cherchent pas son Nom.

    Pour le monde cette Egypte se contente d’un Messie, pas trop juif, pas trop religieux, pas trop exigeant, sans trop de lois, ni  trop de commandements, il se fait appelé Jésus.

    Ce jésus c’est le nom comme en Egypte  ce vivant qui nourrit. Il est un messie qui cache encore son vrai nom.

     

     

    Joseph 

    Tsafnat Panéach. De l’hébreu: Le Tsadik qui se cache dans la Torah.  Le roi qui se révèle.

     

    Le Messie se laisse trouver si on cherche son nom. 

     

     

     

    Le Messie se révèle par son nom hébreu Yeshoua. 

    Yeshoua est le nom qui sauve pour l’éternité. Il fait connaître son nom à celui qui le cherche vraiment. 

    Yeshoua c’est pas un simple prénom c’est le  Nom du juste, du Tsadik qui se révèle à l’homme. C’est ce que voulait nous enseigner cette parasha à travers Joseph le Tsadik. L’homme le juste qui cache le Messie. 

    Le  juste le Tsadik qui est un homme qui cache Dieu en lui 

     Comme nous même, des humains dans lequel l’Esprit de Yeshoua se cache en nous 

     

    Nous sommes des croyants des justes des Tsadik, non pas par nos mérites mais par la vie de Yeshoua qui vit en nous.

     

    Il est un cycle qui arrive ou c’est le moment de franchir le cap et d’accepter le Messie Yeshoua. Yeshoua avec son nom hébreux, qui veut dire; celui qui vient de la loi il est sorti du rouleau de la Torah.

     

     

    Alors il devient plus compréhensible pour un juif premièrement de se dire que cela a du sens car la Torah est le fondement de la foi d’où sortira le Messie,  et devient aussi tout à fait compréhensible pour un authentique croyant de croire que le Messie est juif et que toute la culture biblique est sorti du milieu d’Israël. 

     

    En ce temps de famine ou les épreuves qui ont commencé un cycle difficile de guerre, d’insécurité croissante, nous poussent à chercher l’identité du messie. Son véritable Nom.

     

    Il est caché à travers ce monde. Il a caché son nom au christianisme, mais il a révélé son nom à ceux qui  ont dans le coeur la vérité à ceux qui ont osé sortir de leur assemblée pour aller chercher la nourriture qui remplit l’âme. 

     

    Yeshoua le Messie est honoré dans les assemblées messianique.

    Yeshoua s’est laissé connaître car dans leur coeur il y avait cette étincelle pour Israël.

    Yeshoua est son Nom, et par son identité, il est plus facile de le reconnaître comme le vrai messie d’Israël.

     

    Un jour viendra où les  âmes solitaires, celles qui ne suivent pas la masse, deviendront le peuple élu, c’est-à-dire Israël au sens symbolique du terme: Ce peuple qui va au-delà de ses limites et dévoile la dimension messianique.

     

     

     

    Shabbat shalom 

     

     

     

    L . B

     

     

    Lecture de la parasha Mikets :

     Genèse: Chapitre 41 verset 1 à chapitre 44 Verset 17.

    Lecture de la haftarah: 

    1 Rois: Chapitre 3 verset 15 à chapitre 4 verset 1.

     

    Lecture messianique: Actes: Chapitre 7 verset 9 à 16.

     

     


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    La lumière prophétique.

     

    En ce shabbat hanouka nous lisons la parasha Vayéchev qui commence l’histoire de Joseph.
    Joseph personnage emblématique et visionnaire de l’annonce messianique. 

     

    Joseph à des visions, il est le prophète de sa génération.

    Comme pour beaucoup de prophètes, Joseph n’est pas très apprécié par ses proches.

    Comme il est écrit: Yeshoua leur dit: Un prophète n'est méprisé que dans sa patrie, parmi ses parents, et dans sa maison.  Je vous le dis en vérité, aucun prophète n'est bien reçu dans sa patrie. 

     

    N'est prophète, non seulement chez lui, mais dans son pays; voilà ce que nous apprend l’histoire.

     

    Joseph fut rejeté par ses frères parce qu’il était prophète de Dieu.

     Joseph esclave, otage, il souffrira dans cette prison. Joseph au fond des ténèbres apportera la lumière dans cette sombre histoire de sa vie.

    Joseph doit souffrir pour libérer la lumière qui est en lui. Il doit transmettre pour sa génération et les siècles à venir le destin du monde.

     

     

    C’est durant les épreuves que la lumière s’élève.

    C’est dans les épreuves que la force se libère. Dieu veut faire de nous des femmes et des hommes forts.
    L’homme de Dieu quand il tombe, Dieu le relève mais l’homme du monde quand il tombe il reste à terre.

    Joseph est identifié à un rayonnement comme une lumière comme celle de la fiole d’huile retrouvée parmi les débris du temple celle qui servira à allumer la hanoukia.

    Prophétique lumière qui annonce Yeshoua lumière du monde. 

     

    Joseph reçoit des visions, il est prophète c’est pourquoi il porte sur lui le manteau indigo. Celui qui est réservé aux prophètes.

    Les écritures bibliques enseignent que c’est l’Ange Gabriel qui donne les prophéties.

     

    Gabriel veut dire force de Dieu.

    Dans les écrits de Daniel c’est l’Ange Gabriel qui parlera à Daniel des temps messianique. 

    De même que Zacharie le père de Jean Baptiste reçoit la prophétie de la naissance de son fils par l’ange Gabriel.

     

    Mais aussi c’est l’ange Gabriel qui annonce la Naissance de Yeshoua à sa Mère  Marie,  qui se dit Myriam en Hébreu. Ainsi qu’à Joseph père par procuration c’est L’ange Gabriel qui lui parlera à chaque fois que ce fut  nécessaire.

    Gabriel est l’ange qui annonce le destin, il est celui qui parlait à l’homme. Il est l’ange des prophètes. C’est Gabriel qui donna toutes les visions à Joseph.

     

    L’Esprit de la prophétie c’est une lumière qui illumine la vision de Yeshoua. Comme une lumière sur le visage du Messie. C’est pourquoi quand parfois Yeshoua se montre aux hommes il apparaît comme l’ange Gabriel dont on ne voit pas le visage tant il est illuminé.

     

    A travers l’histoire de Joseph fils de Jacob, s’écrit l’histoire de Yeshoua.

     

    Joseph est rejeté par les siens c’est l’histoire de Yeshoua.

     

    Il est un sacrifice, il est le berger, il est prophète.

    Sa tunique sera trempée dans le sang comme celle de Yeshoua. Ils l’ ont cru mort mais il n’est pas mort.

     

    Joseph  a souffert pour les siens, et bien qu’il fut rejeté, il les sauva comme Yeshoua.

     

    Joseph apporte la lumière au monde. Les écrits bibliques de l’histoire de Joseph son un véritable trésor  de merveille qui révèle toute l’existence du Messie.

     A travers chaque détail on y trouve une référence avec Yeshoua.

     

     

     

     

    Dieu ayant autrefois parlé aux pères par les prophètes, en plusieurs fois et en plusieurs manières, à la fin de ces jours-là, nous a parlé dans le Fils.

     

    Hanouka, fête de la lumière infinie qui dure huit jours, symbolise la capacité de renaissance et de résurrection du peuple de Dieu. Ce qui était perdu est retrouvé.

    Retrouver le Messie Yeshoua au travers de cette fête est un vrai miracle.

     

     

    C’est parce que chaque ange est comme une lumière qui font le Fils de Dieu, se sont  les huit lumières qu’illuminent la Hanoukia, plus  la neuvième lumière qui allume les autres. 

     

    La neuvième lampe s’appelle  shamash qui veut dire  serviteur.

    Yeshoua s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur,  Il s’est fait serviteur pour Dieu.

     

    Cette parasha se termine par les prophéties de l’échanson et du panetier, qui se réalisèrent comme l’avait prédit Joseph.

     

    Joseph le prophète  comme Yeshoua rejeter mais ensuite reconnu.

    Lorsqu'il entra dans Jérusalem, toute la ville fut émue, et l'on disait: Qui est celui-ci? La foule répondait: C'est Yeshoua, le prophète, de Nazareth en Galilée.

     

     

    Yeshoua symbolisé par les prophéties  de la vie de Joseph.

     Il a tout accompli en son temps. Il est venu sauver son peuple mais il a été rejeté, vendu au christianisme, esclave de l’église, mais la prophétie se termine bien. Il sera reconnu par les siens au milieu du monde, au temps des épreuves.

    C’est pourquoi nous célébrons Hanouka, la lumière de Yeshoua qui est venue nous sauver des ténèbres.

     

     

    Car Yeshoua est la lumière qui vit en nous, c’est pour que nous soyons aussi des lumières qui illuminent le monde qu’il nous a choisi. 

     

    Soyons ces lumières vivantes qui reflètent la gloire de Yeshoua dans ce monde et que par notre effet lumineux nous puissions être la force qui combat le mal.

     

    En ce shabbat Hanouka ou la parasha Vayéchev de l’histoire de Joseph prophétise Yeshoua. Nous prophétisons nous  aussi que cette lecture soit une véritable prophétie pour tous ceux qui lirons l’histoire de Joseph et reconnaîtront que le Messie est Yeshoua.

     

     

    Shabbat shalom

     

    L . B

     

    Lecture de la parasha: Genèse: Chapitre 37 verset 1 à chapitre 40 verset 23.

    Lecture de la haftarah: Amos: Chapitre 2 verset 6 à chapitre 3 verset 8.

    Lecture messianique: Actes: Chapitre 7 verset 9 à 16. 

     

     


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    C’est pas Versailles ici! 

     

    Hanouka 2023 commence dès jeudi soir 7 décembre avec l’allumage de la première bougie, et se finit vendredi 15 décembre en fin de journée.

     

    Hanouka fête des lumières c’est la victoire de la lumière, qui s’est dévoilé au monde. Car il fut la lumière dès la création du monde.

     

    Le palais  du roi Soleil  à Versailles illustre la richesse des rois du monde, la richesse du vatican qui professe une religion opposé au Judaïsme et  impose ses cultures païennes et  ses traditions de Noël.

    Mais pour les croyants véritables nous croyons que le salut vient des juif car notre sauveur Yeshoua, est juif il n’est pas né de ces festivités chrétiennes.

     

    Ce n’est pas Versailles ici!  Nous, notre Roi nous le célébrons avec authenticité de coeur, contre tout un monde qui s’oppose à nous. L’histoire de hanouka nous rappelle qu’un petit groupe d’une famille juive était parti en guerre contre ce méchant roi qui dominait sur Jérusalem. Ce petit groupe s’était la famille Maccabés qui ont défendu leur foi en Dieu. Après qu’ils eurent nettoyé le temple, ils trouvèrent un petit pot d’huile ayant servi dans le temple pour allumer la menorah de Moïse, ils vécurent un grand miracle car la petite dose d’huile ne s’était pas consommée, elle dura 8 jours. Et depuis ce jour nous fêtons le miracle de hanouka durant 8 jours nous allumons chaque soir une bougie de plus, jusqu’à ce que le huitième jour la hanoukia soit toute allumé.

     

     

    Hanouka c’est la lumière qui illumine le monde. 

    Les Maccabés se sont battus pour rester juifs,  et c’est aussi notre lutte pour garder notre identité.
     La lumière s’est allumée en nous par  Yeshoua, la lumière du monde qui nous a transformés à l’intérieur. Nous brillons car le temple a été rétabli en nous, nous avons créé une demeure pour que réside l’Esprit de Dieu, et ces lumières brillent en nous.

    Yeshoua dit:

    Vous êtes la lumière du monde, puis il ajoute: que votre lumière brille. 

    Pendant que vous avez la lumière, croyez en la lumière, afin que vous soyez des enfants de lumière.

     

     

     

    « Âme » se dit en hébreu « Néshamah » dont la guematria est 395. Ainsi par le nombre sacré nous sollicitons la lumière de l’âme.  

     

    395 fait allusion à la lumière de la création lorsque Dieu considéra que la lumière était bonne. Notre âme est celle de la lumière de Yeshoua.

    En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.

    Yeshoua leur parla de nouveau, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.

     

     

    Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde.

     

     

    Yeshoua est la lumière du monde. 

    Lumière pour éclairer les nations, Et gloire d'Israël, ton peuple. 

     

     

    Elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.

     

    Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l'a point connue.

     

    Hanouka c’est le miracle, de retrouver cette lueur qui nous conduit vers la lumière, celle  qui nous guide depuis le commencement, et dont notre âme se languit de retrouver les étincelles de lumières.  

     

    Les retrouvailles en célébrant cette fête juive avec Yeshoua juif de nature qui est venu nous donner le salut  dont nous étions prédestinés pour l’éternité.

     

     

     

    Hanouka c’est montrer que nous sommes revêtus de la lumière. 

    Le miracle de Hanouka c’est les lumières qui s’intensifient et qui  brillent dans le monde. C’est pourquoi il est si important de commémorer Hanouka car ce que nous faisons par nos actions dans le monde produit l’effet spirituel dans le ciel.

     

    C’est pourquoi il y a toujours eu dans le monde des ennemis de Dieu qui cherche à faire périr le peuple de Dieu, toutes les générations ont connu des persécuteurs qui voulaient détruire les porteurs de la Torah.

     

    Alors nous devons espérer que notre génération porte le zèle comme les Maccabées qui se sont levés pour reconquérir le temple et faire briller les lumières de Dieu dans ce monde, pour espérer que plus aucun persécuteur ne viendra faire du mal au peuple de Dieu.

    Car Dieu, a dit: La lumière brillera du sein des ténèbres! Et fait briller la lumière dans nos coeurs pour faire resplendir la connaissance de la gloire de Dieu sur la face du Messie.

     

     

     

     

    Je souhaite à tous une bonne fête de Hanouka que nos lumières éclairent le monde par le rayonnement de Yeshoua.

     

     

    Shalom et Bonne fête de hanouka.

     

    L . B

     

     

     

     

    Prières devant l’allumage de chaque soir;

     

     

    Prières devant la Hanoukia. 1, 2 et 4 tous les soirs le 3  en plus seulement le  premier soir.

     

     

     

     

     

     

    1

    BAROU’H ATA ADO-NAÏ ÉLO-HÉNOU MÉLÈ’H HAOLAM ACHÈR KIDÉCHANOU BÉMITSVOTAV VÉTSIVANOU LÉHADLIK NÈR ‘HANOUCCA.

    Béni sois-Tu, Eternel notre Dieu, Roi de l’Univers qui nous as sanctifiés par Ses Commandements et nous as ordonné d’allumer les lumières de ‘Hanouka.

     

    2

    BAROU’H ATA ADO-NAÏ ÉLO-HÉNOU MÉLÈ’H HAOLAM CHÉASSA NISSIME LAAVOTÉNOU BAYAMIME HAHÈME BIZMANE HAZÉ.

    Béni sois-Tu, Eternel notre Dieu, Roi de l’Univers qui a fait des miracles pour nos pères en ces jours-là, en ce temps-ci.

     

     

    Le premier soir que le 3.

     

    3.

     

    BAROU’H ATA ADO-NAÏ ÉLO-HÉNOU MÉLÈ’H HAOLAM CHÉHÉ’HÉ-YANOU VEKIYÉMANOU VEHIGUIANOU LIZMANE HAZÉH.

    Béni sois-Tu, Eternel notre Dieu, Roi de l’Univers qui nous a maintenus en vie, nous a préservés et nous a permis d’atteindre ce moment-ci.

     

     4.

    Après chaque allumage on récite

    Nous allumons ces lumières pour commémorer, les miracles et les merveilles que Tu as accomplis pour nos ancêtres, en ces jours-là, en ce temps-ci, par l’intermédiaire de Tes saints Cohanim. Pendant les huit jours de ‘Hanouka, ces lumières sont sacrées et nous n’avons pas le droit d’en faire un quelconque usage, mais uniquement de les regarder pour remercier et rendre grâce à Ton grand Nom pour Tes miracles, pour Tes merveilles et pour Tes délivrances.

     

     

    Je souhaite à tous une bonne fête de Hanouka que nos lumières éclairent le monde par le rayonnement de Yeshoua.

     

    Lecture conseillé; les lectures conseillé sont zacharie; 2:14,4 à 7. Jean: 10:22 à 39. 

    L .B

     


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  •  

    Jacob ou Esaü.

     

    La parasha Vayichlah continue l’histoire de Jacob

     

    Jacob envoie des messagers de paix vers Esaü son frère. Jacob sépare sa famille et les fait passer par le petit ruisseau appelé Gué de Jaboke. Esaü vient à sa rencontre avec 400 hommes... Resté seul pendant une nuit, Jacob affronte un homme qu'il parvient à dominer, au prix de sa hanche déboitée, après cela Jacob reçoit le nom: Israël.

     

    Après que les deux frères eurent fait la paix ils se séparèrent;

    Dans la ville de Sichem, la fille de Léa et Jacob nommé Dina se fit attraper par un des hommes de Sichem, il l’a séquestra et abusa d’elle. Suite à ce drame les habitants de Sichem voulurent conclure un accord entre les deux familles.

     

    Les hommes de la ville acceptent la circoncision. 

     

    Dieu apparut à Jacob  et lui dit fait disparaître tous les dieux étranger qui sont au milieu de toi, et élève un autel en mon nom  et Dieu lui donne le nom Israël. 

    Jacob fait couler l’huile d’onction sur l’autel. 

     Rachel enfanta un fils qu’elle nomma Ben-Oni. Mais son père le nomma Benjamin.
     Les douze tribus s’installèrent  dans le pays que Dieu leur avait donné.

    Esaü partit vers une autre terre  et régna sur Edom.

     

    Jacob combattit avec un homme qui fut une puissance de Dieu. Jacob nomma ce lieu Peniël.

    Peniël veut dire face de Dieu. Mais la façon grammaticale du mot Peniël exprime:  se retirer, se détourner s’éloigner.

     

    L’homme avec qui Jacob lutta est  Esaü  qui est la représentation d’ Edom.

     

    Nous trouvons ici le symbolisme du texte.

    Esaü représente le christianisme  car il a été développé à Rome.

    L’esprit d’Esaü c’est Edom qui domine les trois quart de la terre,  ce combat préfigure la lutte du peuple de Dieu avec toutes les forces des autres cultures. 

    Esaü c’est l’esprit qui veut s’imposer parmi le peuple de Dieu. D’Esaü sortira Amalek qui donne en valeur numérique représente: le doute, la confusion.

     

    Jacob et Esaü c’est la lutte entre le messie chrétien et le messie juif. C’est deux peuples qui luttent pour se répandre dans le monde.

     

    Esaü  le chasseur qui a du sang dans ses mains, l’ancêtre de Rome,  qui a fait naître de lui la religion avec le messie sans loi.  

     

    Jacob celui qui est resté dans les tentes est un nazir. 

     Nazir désignant le nazaréen celui qui observe la loi. 

     Il est écrit: Yeshoua de Nazareth le roi des juifs. 

    Yeshoua celui qui observe la loi.

     

    Bien qu’ils aient été frères et qu’ils se soient réconciliés, Jacob ne veut pas continuer à suivre son frère et cela en dit long. Jacob doit se retirer, s’éloigner de la présence de ce frère; s’il veut ne pas être influencé par le mode de vie d’Esaü.

     

    Le monde chrétien s’est attribué les droits d’auteur de la bible pour en faire un livre christianisé. Tout le décor a été modifié, même l’esprit qui y règne semble bon.

     

    Esaü est vrai dans son ensemble il a simplement occulté la loi, pour y faire régner sa propre loi.

     

    Les églises sorties du christianisme ont établi leurs propre lois sans la loi de la Torah.

    Le christianisme est donc vrai dans son ensemble il a simplement occulté la loi de Moïse.

     

    Et c’est là toute la rivalité du peuple de Dieu.

     Jésus ou Yeshoua, Esaü ou  Jacob.

    Jacob a changer de nom parce qu’il fut celui qui observe la loi, il fut nommé Israël.

     

    L’histoire de la parasha nous rappelle qu’il faut vraiment lutter contre l’influence du monde. La force d’Esaü c’est la force du doute et de la confusion; et cela il ne faut jamais l’oublier. 

    Le christianisme a beaucoup d’influence, il est décoré de certaine valeur, enrubanné de bonne conscience, enguirlandé de complaisance, brille de cordialité, s’illumine d’indulgence. Comme un sapin de noël, qui donne une illusion de joie, mais qui en fait n’est qu’un aveuglement, un mythe, un artifice qui crée un sentiment presque réel de faire quelque chose de bien. Une confusion mêlé d’apparence bienfaisante.

    Le christianisme a donné vie à Noël une illusion, une croyance fausse, causé par un raisonnement basé sur l’influence de la masse religieuse. Mettant en scène la naissance d’un messie.

    C’est cela l’esprit Édomite qui vient d’Esaü.

     

    Les historiens sont clairs sur ce sujet.

    C’est bien le concile de Nicée qui a créé de toutes pièces cette idéologie. Réinterpréter la bible en détournant la vérité juive de la Torah.

    A ce concile de Nicée en 325  la réforme fut écrite par Constantin: Il  dit: Il faut se séparer des juifs, ne plus fêter leurs fêtes, il faut honorer  la fête de Noël le 25 décembre, etc… 

    Constantin a réorganisé son calendrier des fêtes sachant qu’il était adorateur des dieux de l’antiquité, opposé à Dieu.

     Pour rappel, le concile de Nicée a pour guematria 666.

     

    On retrouve donc notre parasha avec son enseignement:

     Jacob appela ce lieu Péniël comme au début du commentaire 

     Péniël exprime se retirer, se retourner, s’éloigner.

    S’éloigner du christianisme, et ses pratiques.

    Jacob a combattu la puissance qui s’oppose à lui. La puissance du doute et de la confusion religieuse qui règne sur le monde. 

     

     

     

     

     

    L’influence est dangereuse.

     Ce que nous recommande ce texte, c’est de s’éloigner, se retirer faire face à tous ce christianisme qui depuis des siècles éloigne le peuple de Dieu de la connaissance de la vérité.

     

    Se séparer de toutes personnes qui peut nous influencer à rester dans ce christianisme corrompu. S’éloigner de ceux qui veulent tuer notre foi en Yeshoua.

    Noël c’est un dieu de l’antiquité.  Noël vient du mot natal qui veut dire naissance, jour de naissance du soleil Mithra divinité, indo-iranienne. 

    Noël ne fait pas partie des fêtes suivies par les premiers croyants qui ont suivi Yeshoua.

     

     

    C’est l’illustration d’Esaü qui aime les festivités, les gibiers, mais  qui n’a pas sa place parmi les vrais croyants.

     

    Le peuple de Dieu fête Hanouka fête de la lumière du monde, car Yeshoua est la lumière du monde, qui couvrira toute l’obscurité, ténébreuse.

    C’est la vérité qui nous affranchie

     

     

     

    Cela nous amène  à Dina qui a été déshonoré.

    Dina est femme dans le sens elle est spiritualité et pas religion elle est le fondement elle enfante l’âme d’israël. Dina veut dire « la loi du royaume de la loi ». Elle est l’esprit de la loi. Elle est l’esprit qui siège au milieu de l’assemblée.

     

    Dina c’est l’esprit de la loi dans l’assemblé de Dieu qui a été déshonoré par l’église de Rome. 

     

    Jacob craignit pour le reste de sa postérité car il dit; nous sommes qu’un petit groupe comment survivrons s’ils nous attaquent.

    Les frères répondirent : Fera t’il de notre soeur Dina une prostituée.

     

     

    Dina l’esprit de l’assemblé ne doit pas se prostituer avec les idolâtres car elle représente l’esprit de la loi qui règne dans l’assemblé.

     

     

    Dieu dit à Jacob: faites disparaitre tous vos dieux étranger, vos festivités étrangères. Je suis EL Shaddaï et je te nomme Israël.

     

     

     

     

     

    C’est la conclusion de ce commentaire avec 1 corinthiens 5 

    Maintenant, ce que je vous ai écrit, c'est de ne pas avoir des relations avec quelqu'un qui, se nommant frère, est impudique, ou cupide, ou idolâtre.

    Retirez le méchant du milieu de vous.

     

     

    Se séparer des personnes qui sous l’augure de la bienveillance, veille à nous influencer à nous mettre le doute sur l’éventualité que faire Noël n’est pas si grave.

     

    Puissions nous porter le Nom Israël dignement, nous petit peuple qui résistons à ces festivités diaboliques. Préparons-nous plutôt à fêter la belle fête de Hanouka fête des lumières qui illuminent nos coeurs.

     

     

    Prophétie d'Abdias. Ainsi parle le Seigneur, l'Eternel, sur Edom: -Nous avons appris une nouvelle de la part de l'Eternel, Et un messager a été envoyé parmi les nations: Levez-vous, marchons contre Edom pour lui faire la guerre! -

     

    Esaü est fouillé! Comme ses trésors sont découverts!

     

    Tous tes alliés t'ont chassé jusqu'à la frontière, Tes amis t'ont joué, t'ont dominé, Ceux qui mangeaient ton pain t'ont dressé des pièges, Et tu n'as pas su t'en apercevoir!

     

    N'est-ce pas en ce jour, dit l'Eternel, Que je ferai disparaître d'Edom les sages, Et de la montagne d'Esaü l’intelligence?

     

    La maison de Jacob sera un feu, et la maison de Joseph une flamme.

     

     Mais la maison d'Esaü sera des tiges sèches, qu'elles allumeront et consumeront; Et il ne restera rien de la maison d'Esaü, Car l'Eternel a parlé.

     

     

     

     

     

    Shabbat Shalom

     

    L . B

     

     

     

    Lecture de la parasha: Genèse: Chapitre 32 verset 4 (3) à chapitre 36 verset 43.

    Lecture de la haftarah: Osée :11: 7 à 12: 12 et Obadia: 1: 1 à 21.

    Lecture messianique: 1 Corinthiens 5: 1 à 13. Et Apocalypse: 7: 1 à 12.


     

     

     

     

     


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  • Vers notre destiné.

     

    La parasha Vayétsé c’est l’histoire de Jacob qui se rend à l’endroit stratégique où Dieu l’attend.

     

    Ce lieu qui fut pour lui un endroit chargé de souvenir quand sur ce Mont Morijah il fut proposer par son père comme un holocauste.

     

    A cet emplacement il prit les pierres pour s’en faire un dossier pour y poser sa tête et s’endormir.

    Dans son sommeil Jacob vit une grande échelle qui montait jusqu’au ciel, des anges montaient et descendaient le long de cette échelle puis l’Eternel apparaissait au sommet et disait: «  Je Suis l’Eternel d’Abraham ton père et d’Isaac et cette terre là sera à toi et à ta postérité, jusqu’au Nord et au Sud, je veillerai toujours à ce que cette terre t’appartienne. 

     

    Après son réveil Jacob érigea un autel de prière à cet endroit là.

     

    Ce petit résumé de l’histoire de Jacob est l’annonce prophétique des événements à venir, de l’histoire du peuple de Dieu.
     

    La parasha  parle aussi de Rachel et Léa ainsi que les concubines qui donnèrent naissance aux douze fils d’Israël.

     

    Jacob qui fut un berger au service de Laban durant 20 ans, décida de se mettre à son compte.

    Avec l’aide de Dieu il eut l’idée géniale de faire fructifier son bien en favorisant les naissances des agneaux.

     

    Dans un rêve Dieu lui donne la stratégie pour réussir dans son affaire.

     

    Pour faire cela il mit à part les agneaux rayés, pointillés, et mouchetés, il prit des branches de peupliers, des branches d’amandiers, et des branches de marronniers. Il en gratta l’écorce les fixa dans les bacs d’eau et les animaux se multiplièrent de façon extraordinaire.

     

     

    Jacob donne donc naissance à des animaux rayés, pointillés et mouchetés : en hébreu akoudim, nekoudim, broudim (ou tlouim).

     

    Le texte établit ici clairement un parallèle entre le troupeau de Jacob et le peuple d’Israël. Et il faudra donc interpréter tous les actes de Jacob autour de ce troupeau à la lumière de ce qui le symbolise.

     

    L’Eternel lui révèle tout ce qui doit arriver pour les siècles à venir, afin que les âmes se préparent à recevoir leur mission, et d’en accepter les conditions.  

     

     

     

    Jacob sait, qu’il faudra préparer les âmes d’Israël, que celles-ci passeront par de graves épreuves, comme l’exil d’Egypte et les quatre grands autres dans les quatre grands empires (Babylonie, Perse et Mède, la Grèce et Rome). Il sait que son peuple passera par de grandes souffrances, qu’il sera humilié, bafoué, tué. Alors il prépare des âmes qui puissent aussi supporter ces épreuves, et traverser l’histoire pour la faire aboutir, c’est-à-dire à la messianité;  la lumière se dévoilera par le Messie porteuse du message Divin de morale, d’amour et de justice. Malgré tous, les génocides et les humiliations.

     

    Jacob prépare donc aussi les âmes d’Israël à ce grand dévoilement final, qui se fera à travers de terribles épreuves, comme en attestent les prophètes à propos de la guerre de Gog et Magog.

     

     

    Jacob prépare son troupeau, il prépare le peuple de Dieu en devenir.

     

     

     Les animaux rayés, pointillés, mouchetés, nous enseignent, non pas comment multiplier ses biens mais comment Dieu dévoile le plan pour  multiplier son peuple.

     

     

    Rayés en hébreu se dit: Akoudim. Qui est aussi le symbole du peuplier.

    Akoudim exprime le lien. Le lien qui uni.

    Peuplier à pour guematria 345  comme Moïse, Moshé:  345.

    Ce qui nous dit; le lien qui unit mon peuple se fera par la Torah.

     

     

    Pointillés en hébreu se dit: Nékoudim. Qui est le symbole de l’amandier.

    Nékoudim exprime une brisure par une lumière, un arrêt momentané, ça exprime aussi la mort et la résurrection.

    Ce qui nous dit: La Torah sera éclairée  par la mort et la résurrection.

     

     

    Mouchetés en hébreu se dit: Broudim. Qui est le symbole de marronnier.

    Broudim exprime l’arbre qui n’a pas d’écorce, le fruit qui n’a plus sa bogue,  il exprime;  être sorti de son exil, la fin du mal.

    Ce qui nous dit: la rédemption future se fera par le Messie.

     

     

     

    Jacob ne représente pas l’individu Jacob, mais tout le peuple d’Israël. Jacob est justement en route pour jeter les fondations de la maison d’Israël. L’errance de Jacob est celle de tout le peuple, face à des civilisations qui le mettent en danger.

     

     

     

     

     

    Jacob est le prototype du croyant insécurisé, déstabilisé, instable au sens propre. Il a peur d’Esaü qui a dit : « je tuerai mon frère Jacob ». Esaü est le symbole du monde cruel et sans humanité des Nations. Le mal qui veut détruire Israël.

     

    Jacob savait tout ce qui allait se passer, son peuple son Israël devra passer par des terribles tourments son Israël serait attaqué du Nord et du Sud comme ça l’est actuellement.

     

     

    On pourrait faire coïncider le texte avec les événements actuels.

     

    Dieu dit à Jacob vers le début de la parasha .

    « Je Suis l’Eternel d’Abraham ton père et d’Isaac et cette terre-là sera à toi et à ta postérité jusqu’au Nord et au Sud, je veillerai toujours à ce que cette terre t’appartienne ». 

     

    Jacob était parti  de sa terre natale, pour aller sur le territoire d’haram  territoire interdit. 

    Haram est un adjectif arabe qui dans l’islam décrit ce qui est interdit selon la charria.

     

    Là ce territoire au sud de Canaan qui est Edom , G,aza, car Esaü  y choisit ses femmes, ses religions. 

    Edom le rouge est une figure du H,amas.

     

    Jacob est attaqué par le H,amas le sud du pays. Esaü veut  le tuer.

     

    Laban   le blanc qui est de la même racine hébraïque  que le L,iban  est une représentation du H,ezbollah.

    Le nord du pays qui attaque.

     

    Israël est attaqué au Sud et au Nord.

    Mais la fin du verset dit: 

    Je veillerai toujours à ce que cette terre t’appartienne ». 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Mais cette parasha n’est pas là pour nous inquiéter mais bien au contraire nous encourager,  car le texte répète par trois fois que Dieu se tient toujours au côté d’Israël, son peuple. 

     

    Je suis avec toi.

    Je te protégerai là où tu iras.  

    Je te ramènerai sur cette terre.

     

     

     Jacob le peuple de Dieu subira de nombreuses guerres. Mais Dieu sera là car son dessein est de  sauver son peuple.  

     

    Jacob retournera dans sa patrie, nous retournerons nous aussi dans notre patrie céleste quoi que  nous serions mort, nous ressusciterons et nous serons avec Dieu éternellement et les autres iront dans le lieu réservé aux ennemis d’Israël.

     

     

    L’Eternel prépare les âmes, les rayés, les pointillés, les mouchetés.

     

    Par le lien qui unit mon peuple à la Torah et par la foi en Yeshoua mon peuple sera sauvé.

    Par l’union de la Torah et Yeshoua, ils seront sauvés pour l’éternité.

     

     

     

    Jacob le père des nations nous a légué la force, la foi, et l’espérance.

    La force de la Torah la foi en Yeshoua et l’espérance d’être sauvé et qu’un jour il n’y aurait plus de souffrance, ni de cris, ni de pleur, car la terre que nous a préparé Yeshoua est un monde où le mal n’existera plus.

     

     

     

    Sans nul doute que nous sommes les générations de la fin, les Broudim. Puisse Dieu nous préparer à la réparation et au pardon, nous envoyer des âmes qui nous guident vers le Messie  et qui sauront nous indiquer les voies de la vérité messianique.

     

     

     

    Comme Jacob est allé au lieu de son rendez vous de prière pour parler à Dieu, nous aussi allons prier Yeshoua, afin qu’il nous pardonne et nous sauve.

     

     

     

     

     

    Le troupeau de Dieu s’est préparé, les âmes entrent dans la bergerie:

    Yeshoua est donc cette échelle qui est descendue vers nous pour nous conduire vers Dieu.

     

     

     

    Jean 1; 51. Et il lui dit: En vérité, en vérité, vous verrez désormais le ciel ouvert et les anges de Dieu monter et descendre sur le Fils de l’homme.

     

     

    Lorsque le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, avec tous les anges, il s'assiéra sur le trône de sa gloire.

     

    Car le Fils de l'homme doit venir dans la gloire de son Père, avec ses anges; et alors il rendra à chacun selon ses oeuvres.

     

     

     

     

     

     

    Shabbat Shalom

     

     

    L . B

     

     

    Lecture de la parasha : Genèse : Chapitre 28 verset 10 à chapitre 32 verset 3 (2).

    Lecture de la haftarah: Osée: Chapitre 11 verset 7 à Ch 12 verset 12 (11).Et plus 12:13(12) à 14:10(9).

    Lecture messianique: Jean : Chapitre 1 verset 43 à 51. 

     

     

     

     


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