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    Parasha Aharei Mot et Kédochim du samedi 28 avril 2018.

    Soyez Saint.

     

    Soyez saint car Je suis saint Moi votre Dieu.

    Ce verset central dans notre parasha  nous révèle une notion d’implication de notre part.

    Cette double parasha nous instruit sur la fête de kippour.

    La fête de kippour est  l’expression de se dépasser  jusqu’à se libérer du fardeau de notre corps.

    Libéré de l’emprise qu’il subit; Maitriser l’instinct mauvais jusqu’à sa soumission totale, libéré des contraintes vitales pour la survie du corps.

    Comme si nous avions un corps qui se régénère semblable à notre corps actuel  mais complètement soumis  à l’Esprit de Dieu ne répondant qu’au désir divin sans plus aucun besoin de nourriture  et tous les autres besoins.

    Ce niveau étant difficilement accessible dans la pratique courante  il a été réservé  à quelques  grands  serviteurs de Dieu  d’atteindre ce niveau,  déjà le Seigneur les ayant préparé avant  leur naissance afin que cela nous serve de témoignage.

     

    Car le faite n’est pas de faire le record du plus long jeûne ou la plus longue abstinence mais c’est de se rapprocher  tellement de Dieu par les pratiques quotidiennes de la lecture  de la Torah à tel point que l’on ressente SA PRESENCE au point presque de désirer la mort pour être plus proche de Lui.

     

    Le désir  de devenir saint pour s’approcher le plus possible de Dieu pour gouter a l’éternité.

    C’est cela le secret des grands sacrificateurs  qui pénétraient dans le lieu très saint une seule fois par an à la fête de Yom Kippour  ce jour-là l’Eternel descendait dans le lieu très saint. Et leurs degrés de sainteté exigeaient d’eux, s’ils devaient entrer dans ce lieu très saint une soumission totale aux recommandations de Dieu pour être totalement pur sinon ils mouraient.

     

    A kippour un tirage au sort s’imposer devant le choix d’un des deux boucs qui devait servir d’expiatoire.

    Un pour l’Eternel et l’autre  sur lequel était reporté tous les péchés pour Azazel. 

     

    Mais qui est cet Azazel ?

     

    Azazel est le nom d’une falaise dite: Azazel la falaise des puits de l’enfer cela nous rappelle dans: 

     

    LUC 8:27 à 33.

     

     

    Lorsque Yeshoua fut descendu à terre, il vint au-devant de lui un homme de la ville, qui était possédé de plusieurs démons. Depuis longtemps il ne portait point de vêtement, et avait sa demeure non dans une maison, mais dans les cimetières. Ayant vu Yeshoua, il poussa un cri, se jeta à ses pieds, et dit d'une voix forte: Qu'y a-t-il entre moi et toi, Yeshoua, Fils du Dieu Très-Haut? Je t'en supplie, ne me tourmente pas. Car Yeshoua commandait à l'esprit impur de sortir de cet homme, dont il s'était emparé depuis longtemps; on le gardait lié de chaînes et les fers aux pieds, mais il rompait les liens, et il était entraîné par le démon dans les déserts.Yeshoua lui demanda: Quel est ton nom? Légion, répondit-il. Car plusieurs démons étaient entrés en lui. Et ils priaient instamment Yeshoua de ne pas leur ordonner d'aller dans l'abîme.

     

    Il y avait là, dans la montagne, un grand troupeau de cochons qui paissaient. Et les démons supplièrent Yeshoua de leur permettre d'entrer dans ces cochons. Il le leur permit. Les démons sortirent de cet homme, entrèrent dans les cochons, et le troupeau se précipita dans la falaise(Azazel) et se noya.

     

    Ces versets révèlent notre parasha !

     

    Déjà admettre que même un croyant peut être possédé de plusieurs démons, ensuite comprendre qu’il y a divers  degrés de possessions et qu’il y a un degré dont on parle peu c’est notre être intérieur c’est-a-dire la parti obscure qui nous domine si nous somme conduits par la chair.

     Comprendre ses choses pour pouvoirs agir en conséquence pour les faire sortir ou les dominer.

    1 En général les personnes ayant approché l’occultisme, interrogé les esprits des morts, la sorcellerie; c’est-a-dire qui ont fait agir d’une manière ou d’une autre, les forces occultes qui sont des démons  les ont en faite inviter à rentrer en eux (c’est ces fameux étrangers qui vivent au milieu de nous).

    Pour  dégager  ces esprits il faut y renoncer et reconnaitre devant Dieu y avoir eu recours  lui demander pardon  et se débarrasser de tous livres et instruments ayant servi pour ces pratiques.

     

    2 Mais ce que cette parasha vient nous dire c’est surtout de faire sortir ce qui est mauvais en nous, un peu comme pour dire  si ont été deux en nous, un mauvais lié à la loi du péché notre première nature qui était lié  la loi du péché  et  notre deuxième  le vrai moi qui reprend vie lorsque l’on t’attache à Dieu  et qui veut maintenant faire mourir la loi du péché. 

     

     

    La loi de la Torah fait vivre le péché qui est en moi dans mon corps ma vieille nature car la Torah me fait connaitre ce qu’est le péché. Mais grâce soit rendu a Yeshoua de condition humaine semblable à notre nature pécheresse afin que soit accomplie  en nous la mort des désirs de  notre chair  afin de faire ressusciter notre âme notre deuxième vrai moi  et qu’il vive maintenant par l’Esprit de la Torah.

      C’est-à-dire qu’avant notre chair ne pouvait pas comprendre la Torah car elle nous condamner étant sous le contrôle de notre ancienne nature  attirée par le péché.  

     

    C’est pourquoi tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de la Torah ont mis à mort la loi du péché et ressuscité ils vivent par la Torah. 

     

     

    Avant on vivait par la chair on ne connaissait pas la Torah donc le pêché ne pouvait pas nous tués charnellement car notre âme était comme morte. 

    La rencontre qui a fait de nous des enfants de Dieu lié par la foi en Yeshoua a rendu la loi de la Torah agissante en nous. 

    Le but étant maintenant de faire mourir notre vieille nature notre mauvais moi, car adhèrent par la foi en Yeshoua nous sommes conduit par l’Esprit de la Torah.  

    Car la chair faisant la guerre a l’âme c’est la chair que l’on crucifie lorsque que l’ont croit à Yeshoua qui est l’Esprit de la Torah.

     

    C’est cet acte de foi qui fait mourir ce premier moi notre être charnel pour que la Torah n’est plus d’influence sur le corps car notre âme ressuscitée a besoin de vivre par les lois de la Torah car l’âme ayant reconnu l’âme du Messie se nourrit de la Torah.

     

    La simple lecture de la Torah crée une force qui transforme, même si le lecteur  ne comprend  pas toujours le sens  de ce qu’il lit  ses forces vont agir  et neutraliser les forces de notre nature charnelle.

     

    C’est cela le symbol de kippour le combat entre la chair et l’Esprit  car notre finalité c’est rendre notre âme pure afin qu‘elle soit accueillie un jour dans le lieu très saint.

     

     

    Paul dira:

    « Car nous savons que la Torah est Esprit.

    Mais moi je suis lié à ma nature  esclave du péché, je ne comprends pas ma manière de me comporter  ce que je veux faire je ne le fais pas  et ce que je hais je le fais, je reconnais que la Torah est bonne ce n’est donc plus le vrai moi qui agit  mais le péché qui vit en moi. 

    je veux désirer ce qui est bon.

    En effet dans mon être intérieur je suis en accord avec la Torah  mais mes membres du corps luttent contre les principes de la Torah ».

     

    En Yeshoua il ni à plus de condamnation car il a fait mourir notre vieille nature.

     

    C’est pourquoi nous sommes par la foi en Yeshoua des êtres en devenir si nous sommes liés par lui par  l’Esprit de la Torah.

     

    C’est cela la vraie délivrance du Messie nous rendre libre de notre vieille nature en la faisant mourir par la reconnaissance du Messie Yeshoua qui est l’Esprit de la Torah.

     

     

    1 Seigneur Mon Dieu c’est devant le trône de ta grâce que je viens renoncer et rejeter tout ce que j’ai pu faire, mes anciennes pratiques lorsque je pratiquais des abominations, tous actes liés a la sorcellerie et toutes pratiques sexuelles que tu condamnes dans ta Torah je te demande pardon  car maintenant je te reconnais comme le fils de Dieu toi Yeshoua l’Esprit de la Torah qui est mort et ressuscité pour moi, tu me libères de tous ses esprits de démons qui sont attachés a moi, et maintenant je te suis dans Ta Torah qui  me sanctifie.Amen



    2 Seigneur Mon Dieu  Je te rends grâce pour Yeshoua  car tu me fait  miséricorde en me donnant le privilège de pouvoir te prier pour me libérer de mon ancienne nature qui m’incite à pécher car je veux vivre par ton Esprit qui est l’Esprit de la Torah et  l’Esprit de Yeshoua l’unité qui m’unit à Toi pour toujours. Rends-moi saint car mon âme réclame la sainteté. 

    Apprends-moi et enseigne moi Ta Torah car elle sanctifie et par elle je veux me lier à toi. Amen.

     

     

    Shabbat shalom 

     

    Lecture de la parasha Aharei Mot  : Lévitique : Chapitre 16 verset 1 à chapitre 18 verset 30.
    Lecture de la parasha Kédochim : Lévitique : Chapitre 19 verset 1 à chapitre 20 verset 27.

    Lecture de la haftarah  Aharei Mot :Ezéchiel : Chapitre 22 verset 1 à 16.

    Lecture de la haftarah Kédochim :Ezéchiel :Chapitre 20 verset 2 à 20.

    Lecture messianique : Romain : Chapitre 7 verset 4 à 25 et Luc : Chapitre 8 verset 27 à 33.  

     

    Lydia.B

     

     


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  • Parasha du samedi 21 avril 2018.

    Guéris de la lèpre. 

     

     

     

    Les deux parasha de cette semaine nous parlent de lèpre, de teigne, d’écoulement d’impureté sur le corps aussi bien d’impureté qui atteint les murs des maisons, des vêtements, et des objets.

    Cette lèpre dont Yeshoua nous parle c’est le mépris.

     

    La lèpre étant une maladie spirituelle, elle ne peut pas être guérie par des médicaments mais seulement par l’intervention divine.

    Etant donné que c’est Dieu qui l’envoie.

     

    Lévitique 14: 33,34.

    L'Eternel parla à Moïse et à Aaron, et dit:

     

    Lorsque vous serez entrés dans le pays de Canaan, dont je vous donne la possession; si je mets une plaie de lèpre sur une maison du pays que vous posséderez…

     

     

    Lorsque Yeshoua à plusieurs reprises guérissait des lépreux il disait aller vers le sacrificateur afin qu’ils reçoivent l’offrande comme l’a prescrit la loi de Moïse.

     

    On voit aussi dans nos deux haftarah:

    Dans chacune des deux histoires de lépreux. Namaan ne fut pas convaincu de ce que lui disait le prophète pour être guéris.  Ainsi que dans l’histoire des quatre lépreux  quand ils décidèrent de parler du miracle qu’ils venaient de vivre l’officier du roi ne voulait pas le croire.

     

    Esaïe 53 :1,2,3.

    Qui a cru à ce qui nous était annoncé? Qui a reconnu le bras de l'Eternel?

     

    Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire.

     

    Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.

     

     

    Luc : 4 : 23,27 

     

    Yeshoua leur dit: Sans doute vous m'appliquerez ce proverbe: Médecin, guéris-toi toi-même; et vous me direz: Fais ici, dans ta patrie, tout ce que nous avons appris que tu as fait à Capernaüm. Mais, ajouta-t-il, je vous le dis en vérité, aucun prophète n'est bien reçu dans sa patrie. Je vous le dis en vérité: il y avait plusieurs veuves en Israël du temps d'Elie, lorsque le ciel fut fermé trois ans et six mois et qu'il y eut une grande famine sur toute la terre; et cependant Elie ne fut envoyé vers aucune d'elles, si ce n'est vers une femme veuve, à Sarepta, dans le pays de Sidon. Il y avait aussi plusieurs lépreux en Israël du temps d'Elisée, le prophète; et cependant aucun d'eux ne fut purifié, si ce n'est Naaman le Syrien. 

     

    Le problème que le Seigneur met en avant c’est que beaucoup qui se disent avoir la foi on en réalité beaucoup de mépris pour LUI .

     

    Ces gens sont aux yeux du seigneur des lépreux.

     

    Car ils ne le reconnaissent pas comme le Messie, c’est pourquoi le Seigneur Yeshoua dira aux lépreux: je peut vous rendre pur mais allez vers le sacrificateur apporter l’offrande comme Moïse la prescrite selon la loi afin que cela rende témoignage.

     

     

     

    Luc 5:12 à 14.

    Yeshoua était dans une des villes; et voici, un homme couvert de lèpre, l'ayant vu, tomba sur sa face, et lui fit cette prière: Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. Yeshoua étendit la main, le toucha, et dit: Je le veux, sois pur. Aussitôt la lèpre le quitta. Puis il lui ordonna de n'en parler à personne.

    Mais, dit-il, va te montrer au sacrificateur, et offre pour ta purification ce que Moïse a prescrit, afin que cela leur serve de témoignage.

     

    Le fait d’aller voir le sacrificateur c’est qu’ils reconnaissaient véritablement le vrai Messie celui qui vient de la loi de Moïse car c’est la loi qui justifie notre foi. Et c’est ça toute la grande différence, des miracles il y en a toujours eu et ils y en aura toujours, mais si ces miracles  sont réalisés sans le témoignage de la loi c’est que ce n’est pas exécuté par le vrai fils de Dieu.

     

    Le seul témoignage que Dieu nous a donné c’est de le reconnaitre dans la loi des fêtes des shabbat et de toutes les lois qui nous aident à nous rapprocher de Lui

    Celui qui prie un sauveur sans marcher par la loi méprise le Seigneur l’envoyé de Dieu et sera atteint de lèpre .

     

    Ainsi si on a enfanté des mauvaises paroles en n’ayant pas cru que  Yeshoua est la Torah ne font qu’UN on sera impur  durant sept jours  et si on a enfanté des paroles mauvaises envers les enseignements qui enseignent la Torah c’est durant 14 jours qu’on sera impur selon la loi(Bien que cette loi ne se pratique plus cela reste un symbol)

     

    Cette parasha qui traite du mépris de Yeshoua est comme la plus grande injure c’est une sorte de médisance à l’égard du seigneur, mais aussi au mépris des serviteurs qui enseigne la Torah.

     

    La lèpre fait référence à la mauvaise parole dite sur une personne.

    Nombres 12:1,2.

    Marie et Aaron parlèrent contre Moïse au sujet de la femme éthiopienne qu'il avait prise, car il avait pris une femme éthiopienne. Ils dirent: Est-ce seulement par Moïse que l'Eternel parle?……….

    12:8

    (Dieu)Je parle avec lui bouche à bouche, et en me révélant clairement, et non en énigmes; et il voit la ressemblance de l'Eternel. Et pourquoi n'avez-vous pas craint de parler contre mon serviteur, contre Moïse?

     

    Il est évident que la médisance envers les serviteurs et les croyants de l’Eternel rependu comme une mauvaise rumeur devient comme une lèpre dans la maison de Dieu.(sur les murs).

    En commençant par mépriser les enseignements donnés par les sages d’Israël, les Rav, tous les enseignants qui révèlent la Torah puis tous les serviteurs engagés à servir de témoignage par tous les moyens qui leur est donné.(Sous-entendu les serviteurs qui sont greffés 100% a Israël ).

    Ce mépris est  si terrible qu’il provoque la mort et surtout il est très contagieux et contamine tous ceux qui si approche. Car il est plus plaisant parfois de  croire ce que l’on a envie d’entendre et surtout écouter ceux qui sont plaisants à écouter.

    Mais si ce mépris est assez grave il n’est en rien comparable à la gravité de mépriser les enseignements de Yeshoua.

    Car le début de la maladie est dans un certain mépris envers Israël et sa Torah.

    Ce mépris engendré par l’orgueil a ensemencé l’impureté du coeur qui se déclare comme une lèpre, teigne ou écoulements infectés dans tous les aspects de la vie.

     

    Ce temps pour nous est de se défaire de toutes lèpres qui nous ont atteints.

    Je te demande pardon Seigneur Yeshoua pour t’avoir méprisé et avoir méprisé les enseignants que tu as utilisés pour le service Divin.

    Je reconnais de t’avoir méprisé dans ton identité juive mais chercher dans une identité païenne. Je veut te suivre et être guéri je veut marcher comme toi tu as marché car je reconnais que ta loi me sert de témoignage de ma foi. 

    Merci pour ta Torah qui me guide chaque semaine dans les lectures de tes parasha. 

    Je te demande pardon pour avoir eu du mépris envers tes serviteurs auxquels j’ai dits des mauvaises choses et je les ai propagé autour de moi  et j’ai aussi écouté les mauvais propos que disaient les autres, car je reconnais avoir pris plaisir à écouter et à rapporter ces mauvais propos alors que ses serviteurs sont Tes serviteurs. 

    Seigneur purifie-moi afin que je n’arrête pas tes serviteurs par mes mauvaises paroles.

     

    Pirké Avot 2, 13

    Luc : Chapitre 4  verset 23 à 27  et chapitre 5 verset 12 à 14

     

    13. Rabbi Hanina disait encore : « Celui qui est apprécié des hommes est aussi apprécié de Dieu, mais celui qui n’est pas apprécié des hommes ne l’est pas non plus de Dieu. 

     

     

     

    Lecture de la parasha Tazria: Lévitique : Chapitre 12 verset 1 à  chapitre 13 verset 59. 

    Lecture de la haftarah : 2 Rois : Chapitre 4 verset 42 à chapitre 5 verset 19.

     

    Lecture de la parasha Metsora : Lévitique : Chapitre 14 verset 1 à chapitre 15 verset 33.

    Lecture de la hatarah  2 Rois : Chapitre 7 verset 3 à 20.

     

    Lecture messianique :

    Jacques : Chapitre 3 verset 1 à 18. Hébreux : Chapitre13 verset 6 à 15 

    Luc : Chapitre 5 verset 12 à 14  et chapitre 7 verset 20 à 23

     

    Shabbat shalom.

     

     

     

     

    Lydia.B

     


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  • Les clés du paradis.

     

    Cette parasha qui se nomme Chemini qui veut dire huitième cache des clés qui nous ouvre un accès, un lien direct avec Dieu. Qui nous délivre encore quelques profondeurs cachées de la Torah  pour nous rapprocher de Dieu.

    Le chiffre huit évoque le symbole de l’infini.  Le Dieu infini ou YHVH dont la valeur numérique est 26 qui coïncident a notre 26 ème parasha Chemini. Qui vient nous dire que cette parasha cache le lien qui nous unit à Dieu.

     

     

     

    La parasha insiste sur l’encens qu’ils apportaient, ce parfum c’est l’insaisissable, le non palpable mais bien réelle.

    Avec Dieu c’est pareil, nous avons un lien invisible mais bien réel et c’est d’ailleurs la chose la plus précieuse à garder intact.

    Car si on venait à couper se lien on retomberait dans la bestialité de ce monde.

    Cet encens décrit dans notre parasha se dit  en hebreux « Qetoret » qui veut dire : « LIEN »

    Ce qui nous enseigne que l’utilisation de cette qetoret  renforce le lien impalpable  qui maintient la relation entre Dieu et nous.

    Et ce parfum qui se fait maintenant c’est nos prières que nous faisons monter vers Dieu.

     

     

     

    Durant cette période après la fête de Pessa’h et jusqu'à la prochaine fête qui est Shavouot se passe 49 jours pendant lesquels nous devons compter les jours selon l’ordre biblique mais ce décompte journalier cache aussi un enseignement.

    Le décompte du Omer nous aide à sortir les 49 degrés de bestialité que nous avons ramené de notre Egypte.

    Ces 49 degrés de bestialités, d’impuretés que nous ont inculqués notre Egypte et que nous avons si bien accepté et ingéré durant notre vie et par les générations qui nous ont précédés.

     

    C’est durant ce temps de décompte que nous pouvons méditer chaque jour pour renoncer sur ces aspects mauvais que nous avons  en nous pour les  évacuer, et revoir ce qu’il faut mettre en ordre dans notre vie.

     

     

    Si notre être  constitué de chair, d’eau et d’os est en vie c’est par la volonté de Dieu mais l’Eternel dans son projet pour nous a considéré notre avenir vital sur un plan exclusivement spirituel.

     

    La vie se dit en hébreu : « hayim » qui en fait est un mot pluriel qui veut dire : les deux vies .

    Un corps qui vit seul est en souffrance, sa vie est dénuée de sens, il ressent un vide au fond de lui.

     

    Vide se dit en hébreu Halal qui veut dire aussi la maladie, le corps malade.

    Une personne qui n’attend rien de la vie qui se contente d‘exister  et puis attend la fin aura une vie inutile, vide. 

    Mais celui qui  cherche Dieu en lui adressant une prière il ouvre une brèche qui lui donne une clé qui ouvre une porte pour établir un lien  et se rapprocher de Dieu qui va faire naitre une nouvelle vie en lui.

    C’est comme un embryon  dans le ventre de sa mère qui a besoin d’être formé il va s’alimenter par le cordon ombilical pour se développer suivant ce que sa mère va se nourrir.

     

    Cette vie dans une vie cherche ce qui est spirituel sinon elle subira des malformations spirituelles des impuretés, des bestialités.

    Mais si cette âme naissante reçois la nourriture appropriée elle pourra s’épanouir pour établir le lien avec son créateur dont elle a  été séparé. C’est cette nouvelle naissance qui crée en nous la réparation puis l’union qui nous pousse à rétablir cette relation de plus en plus pour se rapprocher de la vérité.

     

     

    Une autre clé de cette parasha c’est toute la liste de la nourriture impure qu’il ne faut pas consommer et la nourriture pure que l’on peut consommer.

     

    La nourriture joue un rôle central dans notre vie

    Ces versets sur la nourriture impure décryptée par les érudits nous révèlent pourquoi nous devons  jamais manger ce qui est interdit.

     

     

     La nourriture impure veut dire: « Il faut  arriver à retenir le satan » Il y a des forces négatives  qui ne sont pas évacuables dans certaines espèces animalières dites impures, alors que sur les autres espèces animaliers dites pures nous pouvons les faire évacuer.

     

    Dans la nourriture animale se trouve des forces mauvaises suivant quel soit déclaré pures ou impures, nous pouvons les consommer et cela ne nous atteindra pas si elles sont pure, mais si ces nourritures sont déclaré impurs nous ne pouvons pas les évacués  nous allons garder les forces mauvaises de l’animal avec son degré de bestialité. 

    C’est pourquoi même avant de naitre on a pu ingérer ces forces mauvaises et naitre avec, puis  suivant l’évolution de notre vie continuer à manger ses aliments interdit qui ne feront que nous éloigner de Dieu et en plus nous rendre malade.

     

    Ce que nous délivre cette parasha qui nous ouvre un lien  direct vers le ciel c’est une conviction de renoncement à consommer la nourriture impure citer dans les textes bibliques car si Dieu dit vous ne devez pas en manger  c’est qu’il sait ce qu’il dit il faut pas en manger.

    Cette parasha qui dévoile  le lien avec Dieu  et nous nous parle de cette nourriture c’est bien qu’il y a une bonne raison.

     

    C’est dans le paradis ou vivaient Adam et Eve que fut briser le lien rapproché entre Dieu et les hommes.

    Car la présence divine se retira lorsqu’ils goûtèrent au fruit de la connaissance du bien et du mal.

    De cet incident Dieu dit à Adam: C’est par ton travail que tu te nourriras.

    Ce qui nous révèle  que Dieu a prescrit des ordonnances qu’il faut respecter ce n’est pas aussi facile il faut se donner la peine de suivre ,écouter et mettre en pratique les paroles que l’Eternel nous a données. Comme une écorce ou une coque qui cache son fruit  si on veut le bon fruit il faut persévérer pour l’atteindre en brisant avec force cette coque.

     

    Ainsi Dieu donna la Torah la bonne nourriture dont notre être spirituel a besoin pour bien se former.

     

    Mais comme l’action invisible reste impalpable c’est par l’obéissance à la loi que nous la rendons palpable en agissant  comme des créatures obéissante et reconnaissante envers son créateur. N’agissant pas comme Adam qui a désobéi en mangeant ce qui était interdit, mais en se conformant a ce que Dieu dit: « vous ne mangerez pas ce qui est impur ».

    Et par notre acte d’obéissance nous montrons que nous voulons créé un lien avec Dieu.

    Devenant obéissant nous annulons les conséquences qui conduisent à la mort. Car si ce qui est impur reste impur et ce qui est pur reste pur. Car Dieu nous dit soyez saint car je suis saint.

    Donc me diriez- vous a quoi nous sert la foi en Yeshoua?

     

    Non pas à manger des viandes souillés, impurs, sacrifié, et le sang de l’animal mais en Yeshoua manger de la viande considéré comme pur mais avec action de grâces c’est-a-dire en la sanctifiant. 

    Car la viande impure reste impure même si on prie dessus tandis qui la viande dite pure qui serait atteinte d’impureté ou de bestialité celle-là nous pouvons  la sanctifier. 

    Et si par ignorance ou par obligation nous avons consommé des viandes impures cette parasha nous enseigne que nous devons nous repentir et renoncer à manger ce que Dieu nous à interdit Et Il nous délivrera.

     

    Les clés du paradis sont dans la  Torah qui nous enseigne que la vie qui nous rapproche de Dieu c’est la vie qui obéit à la loi de la Torah.  Et la porte du paradis c’est Yeshoua le Lien qui nous unit a Dieu.

     

    Il est d’usage pour cette parasha de faire en plus des pains de Shabbat un pain en forme de clé.

     

     

    Pirké Avot chapitre 1: citation 2 et 15

     

    2 Chimone le Juste fut parmi les derniers des Hommes de la Grande Assemblée. Il disait : « Le monde repose sur trois piliers : L’étude de la Torah, le service de Dieu et les actes de bienveillance. »

     

    15 Chammaï dit : « Impose une régularité à ton étude de la Torah ; parle peu et agis beaucoup ; et accueille chaque individu avec un visage bienveillant. »

     

    Shabbat shalom 

     

    Lydia.b

     

     

     

     


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  • Le grand miracle.

     

    Ce samedi 7 avril 2018 il ni à pas de parasha, c’est la clôture de Pessa’h avec ses lectures spéciales fin de Pessa’h*.

    C’est un commandement qui porte le symbole de la victoire.

     

    Le plus grand  miracle  de la vie c’est Yeshoua qui nous le fait vivre.

    Par son corps cloué  il a soumis  la terre et tous ses éléments sous son autorité.

    Yeshoua durant les sept jours de la fête des pains sans levain, a détruit les forces sataniques que subissaient la terre et ses habitants, Il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle en triomphant d’elles sur le bois.

     

    Par sa mort il a rendu impuissant celui qui avait la puissance de la mort c’est-à-dire le diable ainsi Il délivre  tous ceux qui par crainte de la mort, étaient toute leur vie dans l’esclavage; car assurément ce n’est pas à des anges que Yeshoua vient en aide, mais c’est à la postérité d’Abraham.

     

    En conséquence Il a dù être rendu semblable en toutes choses à ses frères,  afin qu’Il soit  un souverain sacrificateur miséricordieux et fidèle dans le service de Dieu pour faire l’expiation des péchés du peuple.

     

    Par cet acte il a ramené l’autorité divine sur la terre  il a rétabli l’ordre originel de la création .

    Non pas que les forces du mal ne sont plus agissantes mais elles sont maintenant soumises sous l’autorité de Dieu.

     

    Yeshoua le verbe qui parle ordonne et soumet toutes choses à sa volonté. C’est aussi par La Torah le verbe écrit que cette autorité est transmise, donnant à ceux qui sont ressuscités en Yeshoua l’autorité et la puissance pour soumettre les démons  à leurs paroles  les obligeants a quitté des corps ou des lieux.

     

    Pessa’h c’est la force de la délivrance, c’est la force de la vérité qui se dévoile. Cette vérité c’est par le sang de Yeshoua  qui agit dans le monde, par la permutation de l’autorité divine qui anéantit l’autorité de satan.

     

    Pessa’h ou Matsa (pain sans levain) on l’a même valeur numérique hébraïque qui veut dire: « Couper les forces sataniques » c‘est le symbole de l’illusion et du mensonge,  de même que le nom satan  décline le verbe hébreu  qui veut dire: « Dévier, celui qui dévie ou détourne l’humain du programme de Dieu ».

     Les forces de pessa’h c’est les forces libératrices qui rétablissent la vérité  dans le coeur de l’homme ressuscité.

     

    La clôture de Pessa’h est un commandement de Dieu une  sainte convocation importante qui souvent est négligée, mais pourtant c’est  a ce moment précis que tout se joue, que s’opère le plus grand miracle de la vie 

     

    Le miracle de pessa’h c’est la mer qui s’ouvre en deux, Pessa’h c’est le voile qui s’est déchiré laissant le passage  pour  faire connaitre le fils de Dieu. 

     

    Ainsi les croyants qui ont fêté Pessa’h reçoivent  ce septième jour la résurrection de leur âme.

    C’est ce qui symbolise ce septième jour de la fête des pains sans levains, c’est qu’il nous est rappelé que ; ce n’est qu’à partir du septième jour que se fera réellement la délivrance ! ».

    `

    Cette bénédiction particulière attribué au septième jour, le jour de la traversée de la Mer Rouge, nous apprend que le monde ne pourra totalement se libérer de son propre esclavage qu’en acceptant Yeshoua et la Torah ne faisant qu’un.

     

     

     

     

    Rabbi Eléazar Hamodaï a dit : « Quiconque profane ou  méprise les fêtes […] ou tire de la Torah des enseignements non conformes, n’a point de part au monde futur, quand bien même il aurait des connaissances bibliques et accomplirait de bonnes actions »

     

    Mais le plus important à retenir de cette fin de Pessa’h c’est le passage de la mort à la vie qui s’opère  ce jour. 

    Le grand miracle s’est accompli quand Yeshoua a apparu aux disciples il y a plus de deux mille ans mais le miracle se renouvelle  d’année en année pour toutes les personnes qui ont fêtée pessa’h toutes ses âmes viennent former le royaume de Dieu.

     

    Tous ceux qui cette année ont commencé ne serait-ce que par un petit commencement a s’approcher par leur coeur a cette fête de pessa’h  cela déclenche le processus de la résurrection  car l’âme a reconnu le vrai messie ils reçoivent le souffle de vie.

     

    Et ce que nous constatons c’est que chaque année les nations viennent de plus en plus vers  Yeshoua ils le  reconnaissent   dans les fêtes et chaque année la délivrance devient de plus en plus grande dans le monde.

     

    Jean: 20 :26 à 29.

    Huit jours après, les disciples de Yeshoua étaient de nouveau dans la maison, et Thomas se trouvait avec eux. Yeshoua vint, les portes étant fermées, se présenta au milieu d'eux, et dit: La paix soit avec vous! Puis il dit à Thomas: Avance ici ton doigt, et regarde mes mains; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté; et ne sois pas incrédule, mais crois. Thomas lui répondit: Mon Seigneur et mon Dieu! Yeshoua lui dit: Parce que tu m'as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu, et qui ont cru!

     

     

     

     

    Esaïe 12 : 1 à 6

    Tu diras en ce jour-là: Je te loue, ô Eternel! Car tu as été irrité contre moi, Ta colère s'est apaisée, et tu m'as consolé.

     

    Voici, Dieu est ma délivrance, Je serai plein de confiance, et je ne craindrai rien; Car l'Eternel, l'Eternel est ma force et le sujet de mes louanges; C'est lui qui m'a sauvé.

     

    Vous puiserez de l'eau avec joie Aux sources du salut,

     

    Et vous direz en ce jour-là: Louez l'Eternel, invoquez son nom, Publiez ses oeuvres parmi les peuples, Rappelez la grandeur de son nom!

     

    Célébrez l'Eternel, car il a fait des choses magnifiques: Qu'elles soient connues par toute la terre!

     

    Pousse des cris de joie et d'allégresse, habitant de Sion! Car il est grand au milieu de toi, le Saint d'Israël.

     

     

    Ce soir c’est le shabbat de pessa’h on allume les bougies, le vin du kidoucch et le pain azyme.

     

    Shabbat shalom Soyez Bénis.

     

    * Les lecture sont:

    Exode : Chapitre 14 entier.

    Esaïe : Chapitre 10 verset 32 à chapitre 12 verset 1 à 6.

    Jean  :Chapitre 20 verset 26 à 31.

    Actes : Chapitre 1 verset 1 à 11.

     

     

    Lydia.B


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  • Le décompte du Omer

     

     

    Aujourd’hui  Lundi 2 avril est le deuxième jour du Omer.

     

    Béni sois-Tu, Eternel notre Dieu, Roi de l'univers, qui nous a sanctifiés par Tes commandements et nous a ordonné le décompte du Omer.

     

    BAROU A-TAH ADONAÏ ELO-HEI-NOU ME-LER HA-OLAM ACHERE KID-ECHANOU BE-MITS-VO-TAV VETSI-VA-NOU AL SEFI-RAT HA-OMER.

     

     Aussi, puisse être Ta volonté, Éternel mon Dieu et Dieu de mes pères que par le mérite du décompte du Omer que j’ai effectué aujourd’hui, je sois purifié pour m’approcher de Toi.

     

    A dire tous les jours jusqu’au 19 mai .

     

     

    Depuis le lendemain du sabbat, du jour où vous apporterez la gerbe pour être agitée de côté et d'autre, vous compterez sept semaines entières. Vous compterez cinquante jours jusqu'au lendemain du septième sabbat; et vous ferez à l'Eternel une offrande nouvelle. 

     

     

     

    Ô l’Eternel notre Dieu Maître de l’univers, Tu nous as ordonnés, à travers Moïse ton serviteur, d’effectuer le compte du Omer, afin de nous purifier de notre mal et de nos impuretés, comme Tu l’as écrit dans Ta Torah  : « Vous compterez pour vous, depuis le lendemain du jour de repos, depuis le jour où vous apporterez le Omer du balancement, sept semaines qui devront être entières. Jusqu’au lendemain de la septième semaine, vous compterez cinquante jours » , de sorte que les âmes de Ton peuple Israël soient purifiées de leur souillure. 

     

     

    Accepte la prière de ton peuple ;  renforce-nous, purifie-nous, Toi qui es redoutable. De grâce, Ô Puissant, garde comme la prunelle de l’œil ceux qui recherchent Ton unicité. Bénis-les, purifie-les, prodigue-leur toujours Ta miséricordieuse justice. Puissant, Saint, par Ton abondante bonté, conduis Ton assemblée. Toi qui es unique et exalté, tourne-Toi vers Ton peuple qui a conscience de Ta sainteté. Agrée notre supplication et entends notre cri, Toi qui connais les pensées secrètes. Béni soit le nom de la gloire de Son royaume Yeshoua mon sauveur pour l’éternité.


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