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  • Donner sans compter.

     

     

     

    La parasha terouma c’est une offrande, un prélèvement, un don.

     

     

    Et voici l’offrande qu’ils m’apporteront:

    De l'or, de l'argent et de l'airain; des étoffes teintes en bleu, en pourpre, en cramoisi, du fin lin et du poil de chèvre; des peaux de béliers teintes en rouge et des peaux de dauphins; du bois d'acacia; de l'huile pour le chandelier, des aromates pour l'huile d'onction et pour le parfum odoriférant; des pierres d'onyx et d'autres pierres pour la garniture de l'éphod et du pectoral. Ils me feront un sanctuaire, et j'habiterai au milieu d'eux. Vous ferez le tabernacle et tous ses ustensiles d'après le modèle que je vais te montrer.

     

    Ils feront une Arche de bois d’acacia…..

     

    Tu feras un propitiatoire d'or pur……le propitiatoire c’est un couvercle pour l’Arche. Avec deux anges qui le recouvrent avec leurs ailes.

     

     

    Propitiatoire veut dire: Qui a pour but de rendre la divinité propice.

    S‘attirer les faveurs de Dieu, le pardon de Dieu.

     

    Propitiatoire se dit en hébreux: Kapperet qui exprime:  expier kapperet c’est une expression de Kippour la fête de kippour la fête des expiations des péchés.

     

    Une fois par an le propitiatoire était aspergé de sang expiatoire par le souverain sacrificateur pour la purification des péchés du peuple.

     

     

    Le propitiatoire c’est un couvercle et c’est là au-dessus du propitiatoire que Dieu parlait.

     

    Moïse entendait la voix de Dieu qui lui parlait sur le haut du propitiatoire.

     

    La présence Divine ne pouvait pas descendre en dessous de dix palmes, 1 palme mesurant environ 12 cm ce qui fait environ 120 centimètres en l’air, entre les deux anges.

     

     Ce propitiatoire mesurait 125 cm de longueur sur 75 cm de largeur.

     

     

    Cette parasha nous demande de donner pour Dieu un prélèvement.

     

    Donner une part de nous pour faire le temple. Donner à Dieu sa part.

     

    Ce que nous devons lui donner c’est ce pour lequel nous  sommes venus dans ce monde.

     

     En fait Dieu veut ce qui lui appartient.

     

    Chacun  de nous est né avec une mission.

     

    Il nous faut  comprendre  notre place dans ce monde et que nous acceptions cette place, ainsi chacun pourra apporter sa meilleur part.

     

    Cette part pour la construction du temple c’est une part de sainteté.

    La sainteté c’est  la spiritualité de la matière.

     

    Rendre Saint  ce qui ne l’ait pas, pour y faire venir Dieu.

     

     Il feront pour moi une maison de sainteté, un lieu pour que Dieu puisse y poser ses pieds. 

     

    Comment faire ce temple dédié à Dieu?

     

    Depuis la parasha Ytroh Dieu nous a donné les commandements. Ensuite avec la parasha Michpatim nous avons compris que pour entreprendre la construction du temple il fallait vivre pour la Torah et maintenant avec Terouma tous les  détails nous sont donnés, et chacun doit apporter sa contribution.

     

    Dans le tabernacle de Moïse il y avait l’arche contenant les tables de la loi, le bâton d’Aaron qui avait fleuri et le vase rempli de manne. Le tout caché par le propitiatoire chaque année pour la fête de kippour ils abattaient les animaux et aspergeaient de ce sang le propitiatoire en guise d’expiation des péchés pour le peuple.

     

    Car le pardon des péchés ne peut être que par le don du sang.

     

    Yeshoua dit qu’IL est le propitiatoire.

     

    Romains : 3: 25,26.

     

    C'est lui que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer sa justice, parce qu'il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps de sa patience, afin, dis-je, 26de montrer sa justice dans le temps présent, de manière à être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Yeshoua.

     

     

    Il est donc objectif de croire que Yeshoua a fait don de sa personne, Il a donné sa personne, IL a donné son sang pour nous.

     

    Ainsi nous aussi nous devons donner notre vie, donner notre corps, donner notre sang qui est notre âme à Dieu. Donner notre vie pour vivre par le Messie, donner notre corps pour dévoiler la spiritualité  de la matière.

     

    Car le  corps  est un réceptacle pour les démons, en l’offrant à Dieu  pour qu’il rende notre corps Saint.

     

    Donner notre âme à Dieu pour créer un temple terrestre.

     

    La notion de prélèvement veut dire alors « séparer », lorsque nous prélevons quelque chose nous le séparons. A shabbat, lorsque nous préparons les pains de shabbat avant la cuisson des pains nous prélevons une petite part de pâte à pain, et nous la mettons à part sur la plaque de cuisson avec les deux pains. Ce prélèvement de pâte s’appelle terouma nous prélevons la terouma.

     

    Quand nous prélevons la dîme nous prélevons qu’une toute petite part de nos revenu que nous mettons à la disposition de Dieu.

     

    Le shabbat est un prélèvement de la semaine nous nous mettons à part pour être sanctifier en ce jour.

     

    Chacun comme une grande équipe vient donner sa personne pour y faire venir la présence divine.

     

    Et pour que Dieu y vienne il devient évident que sa présence ne se manifeste qu’au dessus de l’arche, contenant les commandements de la Torah avec son vase de manne qui est la mise en pratique d’une vie fondées sur la sainteté des commandements et par la foi en la mort et la résurrection de Yeshoua symbole du bâton mort qui refleuri. 

     

    Yeshoua ainsi vient   comme un propitiatoire nous laver de nos péchés et c’est pour signifier qu’il réside au-dessus de l’arche de ceux qui ont gardé les commandements.

     

     

    Et le verset dans Romains 3:31  confirme cette analyse.

     

    Anéantissons-nous donc la loi par la foi? Loin de là! Au contraire, nous confirmons la loi.

     

     

     

    Donner à Dieu sans compter, c’est faire notre mission car en fin de compte nous avons tous la même mission, que l’on soit grand érudit des écritures ou simple croyant, riche ou pauvre, jeune ou vieux nous devons être à notre place, chacun utile là ou il est, chacun devient donc une pierre vivante qui élève l’édifice du temple.

     

    Un édifice qui grandit dans le monde. 

    Et là nous comprenons que notre corps est une maison pour Yeshoua car en nous il pose ses pieds sur la terre par nos pieds.

    Car là où ses pieds se pose la sainteté marque son territoire.

     

    Josué:1: 3

    Tout lieu que foulera la plante de votre pied, je vous le donne, comme je l'ai dit à Moïse.

     

    -Ainsi tout lieu ou nous sommes est à nous. Tout lieu ou nous résidons sur cette terre est donc sanctifié car nos pieds qui sont les pieds du Messie.

    Tout lieu où nous faisons résider la Gloire de Dieu, est un lieu qui n’est plus à satan mais un lieu réservé pour notre Seigneur.

     Son sang à délibérément ôter tous les droits du diable.

     

     

     

     

    -Yeshoua a donné sa vie, il a versé son sang  sur le bois et a coulé jusque sur la terre, sur le sol d’Israël. C’est par ce don de sang que nous pouvons marcher   en vainqueur sur cette terre car l’empreinte de son sang la marqué légitime. Satan a été vaincu  et a perdu ses droits fondamentaux de la terre.

     

    -Ainsi nous qui sommes des temples ayant accepté la mission de porter en nous la gloire de Yeshoua.

    Nous sommes des ambassadeurs qui relevons le défi de faire croître le territoire de Dieu partout dans ce monde.

     

     

    -Notre mission est alors comprise nous somme des tabernacles des temples portatifs qui formons l’âme de Mashiah.

    Nous avons fait don de notre corps, de notre âme  et notre vie afin de faire résider Dieu sur la terre. C’est à travers nous que Dieu se déplace, agit, parle, guérit, fait des miracles; nous sommes des réceptacles pour que Dieu agisse sur la terre.

     

    -Notre corps  est devenu spirituel la matière sanctifiée.

     

    -Yeshoua peut vivre en nous; il peut être le propitiatoire car dans notre sang coule la vie. Notre arche cache la Torah sans laquelle la vie de Yeshoua ne peut être.

     

    -Car nous savons que là où il y a la marque du sang de Yeshoua, satan ne peut plus y venir. 

     

    -Notre mission: être une part du temple sur la terre, quelle que soit notre position si nous avons une arche sainte nous bâtissons le temple.

     

     -Donner sa vie à Dieu pour que l’arche soit diffusé dans le monde entier.

    Telle est notre mission.

    Etre des transporteurs des commandements.

     

     

    Romains 10:15, à 18.

    Et comment y aura-t-il des prédicateurs, s'ils ne sont pas envoyés? selon qu'il est écrit: Qu'ils sont beaux Les pieds de ceux qui annoncent la paix, De ceux qui annoncent de bonnes nouvelles!

     

    16Mais tous n'ont pas obéi à la bonne nouvelle. Aussi Esaïe dit-il: Seigneur, Qui a cru à notre prédication? 17Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ.

     

    18Mais je dis: N'ont-ils pas entendu? Au contraire! Leur voix est allée par toute la terre, Et leurs paroles jusqu'aux extrémités du monde. 

     

     

     

    -Ainsi donc Terouma nous invite à donné notre corps, notre vie, et notre âme à Dieu afin que la terre soit remplie de sa gloire.

     

     

     

    Jeremie:32:22.

    De même qu'on ne peut compter l'armée des cieux, Ni mesurer le sable de la mer, De même je multiplierai la postérité de David, mon serviteur, Et les Lévites qui font mon service.

     

    Osée 1:10.

    Cependant le nombre des enfants d'Israël sera comme le sable de la mer, qui ne peut ni se mesurer ni se compter; et au lieu qu'on leur disait: Vous n'êtes pas mon peuple! on leur dira: Fils du Dieu vivant!

     

     

     -Et alors toute la terre appartiendra à Dieu, et tous seront sauvés.

     

     

    -Que nous soyons tous une terouma qui formons l’arche avec pour dessus notre propitiatoire Yeshoua le Messie d’Israël.

     

    Que ce shabbat soit comme une gigantesque maison qui s’agrandit et qu’un jour toute la terre soit remplie de la gloire du Seigneur.

     

    Shabbat shalom. 

    L.B

     

    Lecture de la parasha : Exode: Chapitre 25 verset 1 à chapitre 27 verset 19.

    Lecture de la haftarah : 1 Rois: Chapitre 5 verset 26 (ou 12 bible ch) à chapitre 6 verset 13.

    Lecture messianique : Hébreux: Chapitre 8 verset 1 à 6. Chapitre 9 : 23,24.et 10 :1.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Date limite de vente.

     

    La parasha Michpatim c’est la parasha  des lois compliqués.

     En effet la Torah est constituée de 613 lois que nous sommes censé appliquer.

     Mais toute la divergence d’opinion réside là.

     Quelles sont les lois qui sont encore valides et celles qui sont expirées.

     

    Le texte fait référence à des lois qui sont régies pour l’autorité du pays.

    Sachant que maintenant les lois d’états légifèrent ses propres lois sur un système laïque.

     

    Ce qui suppose que toutes les lois spirituelles sont abolies.

     

     Mais si le monde vit sa vie selon les lois civiles, nous les croyants nous ne sommes pas du monde.

     

     

    Nous sommes dans ce monde, mais nous ne sommes pas du monde.

    1 Jean 4: 4 à 6.

     

    Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, parce que celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde. Eux, ils sont du monde; c'est pourquoi ils parlent d'après le monde, et le monde les écoute. Nous, nous sommes de Dieu; celui qui connaît Dieu nous écoute; celui qui n'est pas de Dieu ne nous écoute pas: c'est par là que nous connaissons l'esprit de la vérité et l'esprit de l’erreur.

     

     Nous  qui sommes dans la vérité car nous sommes de Dieu; la loi nous incombe.

     

    Nos vies s’adaptent au monde devant le monde, mais devant Dieu nous vivons avec des codes différents.

     

    La Torah impose des codes qui ont l’air d’un autre temps. Avec Moïse il y avait le tabernacle et avec le Roi Salomon il y avait le temple. Ce qui semblait bien plus raisonnable de pratiquer certains rituels qu’institue la Torah.

     

    Il n’y a plus n'y Tabernacle n'y Temples alors l’évidence et le bon sens nous montre que toutes les pratiques anciennes ont résolument été abolies.

     

     Yeshoua notre Messie  est venu abolir les sacrifices du Temple étant lui-même le sacrifice universel, Il est l’agneau qui a rendu inutile le sacrifice animal.

     

     

    Yeshoua est aussi le  Temple.

     Là donc ces paroles semblent compliquées pour notre entendement.

     

    Il dit: » Je suis le temple du Saint Esprit. Il est l’Esprit de Dieu qui habite en nous.

     et par là nous devenons le Temple.

     

    Nous sommes individuellement et collectivement le temple de Dieu

     

    Actes 7:3

     

     Etienne dit que : Le très haut n’habite pas dans des édifices construits de main d’hommes » ; 

     

    Pourtant dans 2 chroniques 7:12,16. Dieu à promis à Salomon de choisir l’édifice qu’il avait fait construire «  pour y être à jamais présent ».

     

    Dieu avait choisi cet endroit comme lieu de sacrifice jusqu’à l’arrivé du Messie, c’est dans cette optique que Salomon l’avait compris.

     La promesse de Dieu qu’il ferait reposer son nom et ses yeux  sur ce temple signifiait qu’il le regarderait  avec un certain recul car plus-tard ce ne serai pas simplement du regard mais de son être entier quand il sera le temps ou le temple sera le Messie.

    Il faut aussi comprendre  que cette promesse était conditionnelle.

     

     

    Car ce Temple ne pouvait se faire que par la volonté suprême de l’homme en se détournant du monde pour se construire une ville sainte afin que Son Esprit puisse y venir faire sa demeure.

     

     La condition reprise beaucoup de fois dans les textes bibliques  redit les mêmes conditions.

     

     « Ne vous détournez pas de mes ordonnances, de mes lois  car si vous vous en détournez,  alors je rejetterai loin de ma vue ce temple  que vous m’avait fait ».

     

     

    Dieu affirme donc que si nous construisons le temple du Messie en nous il faut que ce temple soit Saint. 

     

    Donc il en ressort avec certitude que le seul temple que Yeshoua peut habiter est un temple sanctifié.

     

     Dieu n’habitant pas dans des maisons faites des mains d’hommes il s’est construit sa propre maison et cette maison c’est nous.

    — 

    Hébreux 3: 3 à 6.

     

    Car il a été jugé digne d'une gloire d'autant supérieure à celle de Moïse que celui qui a construit une maison a plus d'honneur que la maison même. Chaque maison est construite par quelqu'un, mais celui qui a construit toutes choses, c'est Dieu. Pour Moïse, il a été fidèle dans toute la maison de Dieu, comme serviteur, pour rendre témoignage de ce qui devait être annoncé; mais le Messie l'est comme Fils sur sa maison; et sa maison, c'est nous, pourvu que nous retenions jusqu'à la fin la ferme confiance et l'espérance dont nous nous glorifions.

     

    Le verset 5 dit: Que Moïse a été fidèle  à suivre les choses de la loi,
     Pour ainsi dire que c’est seulement ce que Dieu attendait, c’est un serviteur obéissant à la loi.

     

    Le verset 6 dit: Que Yeshoua est le maître de la maison, le maître de son établissement,  Il est le constructeur de sa bâtisse,  Il en est le propriétaire. 

    Il ne veut pas dire d’un bâtiment de pierre mais d’un bâtiment de chair. Il devient le possesseur de chaque être qui croit en lui.

    Il n’a pas dit que les bâtisses étaient son temple surtout pas, car c’est là toute la nuance toute la difficulté à comprendre car si les bâtiments où se réunissent les croyants peuvent avoir une efficacité, une utilité cela reste que des bâtiments, synagogue ou église etc…  Le messie parle bien que le temple est en nous et que les bâtiments servent de lieux d’études où des lieux de rencontre où d’échanges spirituels rien de plus.

     

    Nous sommes la maison du Messie, mais seulement si nous sommes saint.

     

    Et là tous le bon sens des lois se fait comprendre. 

    La sainteté c’est pas par notre bravoure qu’elle s’obtient mais par notre obéissance.

     

    Et cette parasha nous dévoile la sanctification supérieure aux bonnes actions dans ce monde.

     

    Les bonnes actions dans ce monde qui sont être monsieur ou madame gentil, religieux où ayant de bonnes intentions envers les autres ne servent qu’à être considéré par les autres et non pas par Dieu.  Dieu demande l’obéissance à certains de ses statuts.

     

     

    La loi n’est pas en date limite de vente, elle sera non périssable car la loi c’est la véritable sanctification.

     

    C’est cela qu’il faut absolument retenir. Le principe de suivre les ordonnance Lévitique c’est pour être sanctifier.

     

    La bible n’est pas dépasser par notre génération où les avancé technologique , la révolution de la science quantique est utile mais se périme à chaque avancé et découverte.

     

    La loi fait de nous des constructeurs de temple saint.

     

     

    Les recommandations que Yeshoua à enseigner et qu’il a demandé de garder ne sont pas pénibles ni difficiles a comprendre.

     

     

    Les lois de bons sens qui nous demande de considérer nos prochains avec respect, et d’avoir une vie sans débauche, honnête, et bienveillant.

     

    Et l’essentiel d’aimer l’Eternel Dieu, et notre seul façon de prouver notre amour reste évidemment par notre démonstration à respecter les 10 Commandements. 

    Et surtout le quatrième qui est celui qui est le plus bafoué dans ce monde.

    « Le shabbat hebdomadaire et les fêtes annuelles ».

      Cette parasha vient nous instruire sur la condition unique de faire une résidence pour Dieu.

     

    Un temple semblable à celui de Moïse où celui du Roi Salomon.

     Car la réplique de ces lieux où règne la sainteté doit être notre temple intérieur.

     

    -Présenter l’autel de Yeshoua. Les pains de propositions qui étaient présentés à chaque Shabbat

     -La menorah qui  illumine les sept flammes des 7 fêtes annuelles.

    -L’autel des parfums  c’est la prière d’adoration faite dans le nom de Yeshoua.

     

    Ainsi celui qui reconnaît le Seigneur Yeshoua comme son sauveur ne peut que le recevoir en Esprit et en vérité dans une maison ou Il se reconnaît comme chez lui.

    Yeshoua ne peut pas régner dans une maison qui fait le culte le dimanche car le dimanche n’est pas sanctifié. 

    Yeshoua ne peut pas régner dans une maisons qui fête des fêtes païennes de type noël paque Pentecôte du christianisme qui comme on le sait c’est formé une religion sur des bases païennes.

     

    Yeshoua ne peut pas régner dans une maison qui honore le jésus qui est contre shabbat et contre les fêtes proprement bibliques.

     

    Celui qui sait saisir ces paroles devient le temple glorieux du Messie Yeshoua.

    Alors la loi n’est pas avariée elle est comme la manne gardé dans le vase dans l’arche jamais elle sera en date limite, elle est éternelle et sera toujours pour nous la garanti de la sanctification pour accueillir dans notre maison le Roi des juifs Yeshoua qui se sentira comme chez lui dans une maison qui lui ressemble. 

     

    A la table des shabbat avec la coupe de son sang et le pain et à chaque fête qui illumine la menorah selon le calendrier hébraïque qui est comme un calendrier perpétuel.

     

    Si Michpatim est la parasha compliqué, en une seule phrase elle  donne aussi sa révélation.

     

     

    « Qu’il n’y à que les commandements de la loi de Moïse qui nous sanctifient pour faire de notre être une maison sainte pour accueillir Yeshoua ».

     

     

    Shabbat shalom

    L.B

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre 21 Verset 1 à chapitre 24 verset 18.

    Lecture de la haftarah: Jérémie: Chapitre 34 verset 8 à 22 et 

    33: 25,26.

    Lecture messianique: Romains: Chapitre 6 verset 1 à 23;

     Mathieu 5: 38, 42. Hébreux: 9:15,22.  10: 28,39.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  •  Lecture de la Torah de cette semaine  Michpatim.


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  • Le troisième mois.

     

    La parasha Ytroh ou Jétroh (en français) commence par l’intervention de Ytroh le beau père de Moïse. 

    Quand suite au récit que Moïse était venu lui raconter sur les grands miracles que le grand Dieu d’Israël avait fait pour les hébreux et contre les egyptiens, il décida de laisser ses fausses croyances car maintenant le vrai Dieu lui avait été témoigné.

     

    Mais Ytroh c’est aussi le symbole de l’homme des nations qui vient vers Dieu pour être sauvé celui qui vient se greffer à Israël et par sa fonction de prédicateur il va maintenant transmettre la vérité a ceux qui seront près de lui.

     

     

    Ce troisième mois Dieu appela Moïse de la montagne du Sinaï pour leur donner les commandements.

    Ce troisième mois nous amène à shavouot ( Pentecôte).

    La troisième Fête biblique.

     Ce jour  de shavouot à été un véritable bouleversement pour le monde. Le sort des hommes en a été transformé.

    Dieu confie à l’homme une puissance divine.

    Dieu donne à l’homme le moyen de se distinguer des autres.

     

    -Le troisième mois  porte un symbole important.

     

    -Le premier mois  c’est Nissan, la mort et la renaissance.

    -Le deuxième mois  le mois de Iyar c’est la marche dans le désert une marche qui rappelle l’éloignement de tout ce qui nous a séparé de Dieu. Une quête, une remise en question de nos expériences passées.

    -Le troisième mois le mois de Sivan  c’est la prise de position.

     

    -Le premier mois c’est le monde d’en haut qui s’approche de nous.

    -Le deuxième c’est nous qui nous approchons d’en haut.

    _Le troisième  c’est la fusion entre Dieu et l’homme.

    Une sorte d’attachement, une union indéfinissable entre ce qui est divin  et ce que nous sommes.

    Nos âmes s’unissent au Divin.

     Nos âmes forment le Tout  en le Un.

    L’unité de la Jérusalem céleste l’âme du Messie qui se forme comme un nouveau monde. S’imaginer que chaque personne qui croit en la résurrection du Messie Yeshoua vient s’ajouter à l’âme primordial, formant une masse qui s’agrandit.  L’âme du Messie c’est le nombre des croyants, c’est la construction de la cité de Dieu la Jérusalem céleste. C’est cela Shavouot. 

    La fusion entre le ciel et la terre, la puissance de l’humanité qui se crée pour vaincre le mal.

     L’homme qui comprend cela est détenteur de la sagesse divine il comprend le cadeau  que Dieu nous dispense.

     Il sait saisir  ce que Dieu lui confit.

     Il sait qu’il ne sera plus jamais le même homme et que sa relation avec le monde devra être différente, il devient le porteur du message de la nouvelle alliance sacrée. Il devient Un, c’est-à-dire qu’il fusionne entre sa chair et l’Esprit .

     

    Le troisième mois shavouot c’est le jour qui change le monde un bouleversement inédit.

    Rav Yossef dit:    Si le jour de shavouot  n’aurait jamais existé  les hommes n’auraient pas pu résister à l’assaut du mal à son influence incessante plus rien ne les auraient  guidé. 

    Shavouot c’est une norme de vie éternelle un guide de tous les jours. Un chemin tracé. Une liberté de pouvoir choisir entre le bien et le mal. Et ce jour nous a donné les repères pour ne pas se tromper de Messie. Les indices pour identifier Yeshoua le vrai Sauveur.

     

    Le plus terrible dans l’histoire  c’est que beaucoup ont étaient détourné de la vérité.

     

     

    Shavouot c’est la fête du shofar qui souffle pour annoncé que l’Eternel allait donner au monde les tables de la loi.

     Shavouot c’est la fête appelée fête des semaines.

     

      Dans le christianisme édulcoré on retrouve une trace de cette fête sous le nom de Pentecôte mais réinterprété  selon leurs codes religieux.

    Pentecôte veut dire 50 jours  évoquant l’événement de l’esprit qui descend sur les apôtres. Le thème est celui du don des langues, des langues de feu qu’il faut alors interpréter comme un message universel. C’est un avènement pour tous  l’Esprit n’étant plus seulement réservé aux hébreux mais devient universel en Yeshoua.

    Le message se fait comprendre dans toutes les langues chacun selon son dialecte. 

    Ce qui pourrait donc paraître comme extraordinaire c’est effacé devant l’usurpation de l’identité messianique; avec un messie anti Torah.

    Cette Pentecôte célèbré 50 jours après leur paque  devient  la dispensation de l’esprit du christianisme  mis en en place par les romains à leurs dates n’ayant aucun rapport avec la bible.

     Shavouot à la juive reste donc notre seul mandat de vérité qui nous relie aux écritures. Shavouot sonne donc le shofar et la Torah qui descend, premièrement sur des tables de pierres et secondement en chair en l’Homme de Yeshoua. 

     C’est dans le bruit et le cri du shofar que la Torah est née sur la terre, c’est dans les bruits de tonnerre qu’est descendu l’Esprit du Messie.

     

    L’Eternel à écrit avec son doigt les tables de la loi comme pour  nous faire comprendre qu’il pouvait être homme lors de l’avènement du pacifique le Messie.

     

    Le ciel s’est ouvert et la lumière est entrée.

    A shavouot  Yeshoua est entré en nous et sa lumière a aveuglé nos ténèbres; et sa lumière nous a donner d’interpréter les lois des commandements  et sa lumière nous a revêtu d'un  nouveau vêtement qui nous sanctifie.

     

    Dieu dit à Moïse ; qu’ils lavent leurs vêtements et qu’ils se tiennent près à recevoir la loi. Ce fin lin comme une robe de fiançailles,  un contrat prénuptial. Une fiancée qui deviendra consacrée, promise pour le Seigneur.   Shavouot fête des fiançailles  comme un engagement, une mise à part qui durant sa vie terrestre sera séparé du monde et ses codes mais se sera emparé les lois Divines qui seront un mode de vie. 

     

     

    Mais voilà ce que dit cette parasha.

     Moïse rapporta au peuple que ces commandements Dieu les a donnés pour nous mettre à l’épreuve.

     

    Afin que vous ne vous trompiez pas de dieux pour votre usage ni dieux en image ni dieux en culture en or ou en argent ni bois ni autres.

     

    Or Moïse dit: Celui qui obéira aux commandements et qui persévéra à ne pas les oublier  sera toujours à l’abri de Dieu.

     

    Cette parasha ne peut qu’exprimer le choix de chacun de nous de  nous remplir de la Torah, qui n’est autre que de se remplir de Yeshoua. 

    C’est pourquoi les 10 paroles écrites sur les tables de la loi, sont la quintessence de Yeshoua qui s‘exprime à travers ses 10 paroles.

     

    Ces commandements sont une mise à l’épreuve qui certifie notre obéissance et notre retour vers Dieu.

     

    1 TU n’auras pas d’autre Dieu.

    2 TU ne feras jamais d’images de dieu ou divinités.

    3 TU ne profaneras pas le Nom de Dieu.

    4 TU honoreras le shabbat.
    5 TU honoreras ton père et ta mère.

    6 TU ne tueras pas.

    7 TU ne seras pas adultère.

    8 TU ne voleras pas.

    9 TU ne diras rien de faux contre personne.

    10 TU ne convoiteras rien de personne.

     

     

     

    -La parasha se confirme dans notre lecture de haftarah.

    Alors soyons de ceux qui cherchent Dieu à travers la Torah, aimons là car c’est notre Messie Yeshoua. Bénis sois-tu, l’Eternel notre Dieu qui nous a donné la Torah pour recevoir la lumière de Yeshoua.

     

    Que ce shabbat réunisse tous les croyants pour que ce forme au plus vite l'Âme du Messie qui remplisse l'univers. 

     

     

     

    La fin de la lecture de la haftarah confirme encore:

    Esaïe 9:5

    Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, Et la domination reposera sur son épaule; On l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix.

     

      L.B

     

    Lecture de la parasha : Exode : Chapitre 18 verset 1 à chapitre 20 verset 23.

    Lecture de la haftarah : Esaïe : Chapitre 6 verset 1 à chapitre 7 verset 6. Et chapitre 9 verset 5,6.

    Lecture messianique : Jean : Chapitre 12 verset 35 à 50. Hébreux : Chapitre 12: Verset 18 à 29.

     

     


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  • Présent!

     

    Après que Pharaon ait renvoyé les enfants d’Israël, Dieu décide de les faire passer par le désert plutôt que par la terre des Philistins, en proie à la guerre. Il précède Son peuple dans une colonne de nuée, qui devient pilier de feu la nuit.

    Les Égyptiens partent à la poursuite des Hébreux, qui se retrouvent coincés entre la mer et les armées de Pharaon, menées par Pharaon lui-même. Les Israélites sont gagnés par le désespoir. Dieu réprimande Moïse et ordonne à Son peuple d’avancer dans la mer. Celle-ci se fend et laisse passer les enfants d’Israël à pied sec, mais elle se referme sur les Égyptiens, qu’elle engloutit. Les Israélites entonnent alors le Cantique de la Mer.

    Le peuple, se retrouvant cependant en butte à la soif et à la faim, commence à murmurer contre Moïse. Dieu fait alors descendre pour eux la nourriture des cieux, appelée la manne. Elle tombe en quantité égale pour tout foyer, rassasie tous et chacun, ne se conserve pas la nuit; elle ne tombe d’ailleurs pas le septième jour de la semaine, jour du  shabbat, mais arrive en double portion le vendredi et se conserve pendant cette nuit.

    La révolte continue malgré ces miracles, et Moïse craint d’être lapidé. Amalek, descendant d’Edom, attaque l’arrière-garde des enfants d’Israël. 

     

     

     

    Bechalah se distingue par les grandes étapes de la vie.

     

    Le texte se divise en plusieurs parties très importantes.

     

    1 : La colonne de feu et de nuée.

    2 : L’ouverture en deux de la mer par Moïse.

    3 : Les cantiques de Moïse.

    4 : Les eaux amères de Mara.

    5 : L'arrêt à Elim au douze sources d’eau et soixante dix palmiers.

    6 : La manne et les cailles.

    7 : L’eau du rocher.

     

    Ces sept grands évènements nous sont reliés.

     

     

    Le peuple est libéré de pharaon, il est libre d’aller adorer Dieu, la vraie vie peut commencer.

     

    1 Notre âme vivante comme une nué qui reconnaît Dieu son guide. 

     Notre conversion par la foi.

     

    2 L’ouverture de la mer fait référence à l’engagement.   L’engagement par la foi dans les eaux du baptême.

     

    3 Les cantiques font référence aux prières.

     L’engagement par les paroles, la foi par l’amour.

     

    4 Les eaux amères font référence à la repentance.

     La foi par le coeur.

     

    5 L’arrêt à Elim c’est les temps fixés par Dieu, fait référence à  l’étude des écritures, l’étude de la Torah. 

    La foi par l’intelligence.

     

    6 La manne les rendez-vous des shabbat et fêtes bibliques.

     La foi  par des actes.

     

    7 L’eau du rocher fait référence aux miracles, la foi qui déplace les montagnes, la foi de vivre en Yeshoua.

     

     

     

     

    Le texte dit au sujet de la Manne et des cailles: 

     

    Le soir vous mangerez de la viande, et le lendemain vous mangerez du pain.

     

    Ces deux allusions font directement penser à la fête de Pessah qui s’identifie également à Shabbat.

    Le premier soir de Pessah on partage l’agneau et le lendemain de la fête on partage les pains sans levain.

    Cette viande qui est le sacrifice de Yeshoua et ce pain sans levain (sans péché) qui est son corps.

     

    Et tous ces shabbat  auxquels nous partageons la coupe de vin qui représente le sang du sacrifice, ainsi que nous élevons le pain qui est son corps.

    Nous élevons ce vin et ce pain en sa mémoire le septième jour le shabbat. 

     

     

    Ce shabbat est pour (toi)  où (pour vous) le premier qui sera la date de ta résurrection, votre résurrection. 

    C’est le commencement de la vie; le sang de la coupe qui va couler dans tes veines et le pain de shabbat qui va t’intégrer au corps de Yeshoua. 

    Comme une pâte qui lève et qui s’unit à l’ensemble du corps de Yeshoua.

     

    Un homme, des hommes, une femme, des femmes, vont répondre Présent à ce Shabbat car ce Shabbat est spécial c’est comme un premier jour de vie. 

    Tel est l’appel que Dieu lance à son peuple.

     

    L’homme est arbre. 

     

     

    Ce lundi 17 janvier c’est un rendez-vous un peu spécial, c’est la fête de Tou Bichvat 5782.

    Cette fête est un hymne à la nature, la création de Dieu.  De coutume on la célèbre en plantant un arbre ou une fleurs, une plante, et on met sur la table des belles coupes de fruits à déguster et jus et fruits.   

    Une commémoration qui rappelle l’oeuvre de Dieu, et dont nous  ne devons jamais oublier qu’il faut respecter la nature, l’admirer et la protéger!

     

    Cette fête nous rappelle que la nourriture de l’arbre c’est la nourriture de la Torah, qui est l’arbre de la vie planté en Eden.

    -Cet arbre qui est le symbole du lien entre le ciel et la terre.

     

    L’arbre représente la présence transcendante et ineffable de Dieu.

    Il incarne la Shekinah, la présence de Dieu. Comme la colonne de feu et la colonne de la nuée qui guide continuellement le peuple de Dieu. 

    Ses racines puisent la sève de la Torah pour produire des bons fruits.

     

    Le fruit est la transformation de la matière première inerte en produit vivant et nourricier pour l’homme.

     

     L’homme par ses actions deviendront les supports de la présence de Dieu.

     

    La sagesse de cette commémoration de Tou Bichvat c’est un peu le résumé de cette parasha. 

     

    Yeshoua  est l’arbre de la vie. 

    Il est la colonne de nué qui est en nous

    Il est notre résurrection, notre pardon, notre nourriture, notre Torah, Il est notre miracle personnel.

     

    Car nous qui étions mort Il nous a ressuscité, car nous avons cru qu’Il est le fils de Dieu.

    Il est l’eau du rocher, la manne qui nourrit et les eaux de Mara qui nous a pardonnés par le bois de sa crucifixion.

     

     

     

    La foi c’est la confiance que nous avons en Dieu.

    La foi c’est de résister au diable quand il souffle à nos oreilles, non shabbat c’est pas bien; les fêtes c’est pas bien ! Cet Amalek qui vient dès qu’on baisse la garde. 

     

     

     

     

    Psaume 23.

     

    L'Eternel est mon berger: je ne manquerai de rien.

     

    Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles.

     

    Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom.

     

    Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi: Ta houlette et ton bâton me rassurent.

     

    Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires; Tu oins d'huile ma tête, Et ma coupe déborde.

     

    Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront Tous les jours de ma vie, Et j'habiterai dans la maison de l'Eternel Jusqu'à la fin de mes jours.

     

     

    -Puissions répondre présent lors de toutes les convocations que Dieu nous  donne.

     

    -Que nos shabbat soit nos délices et notre joie dans l’unité de Yeshoua.

     

     

    Shabbat shalom

     

     

    L.B

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre  13 verset 17 à chapitre 17 verset 16.

    Lecture de la haftarah: Juges: Chapitre 4 verset 4 à chapitre 5 verset 31.

    Lecture messianique: Jean: 6: 25 à 35. 19: 31, 37. Luc: 2: 22,24;

    1 Corinthiens: 10:1à13.  2 Corinthiens: 8:1,15. Apocalypse: 15: 1,4.


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  •  

     Le peuple de Dieu n’existe que pour Le glorifier.

     

     

    Cette semaine nous entrons dans une phase de grande bénédiction avec la parasha BO.

    « Bo » veut dire : « Va ». Va trouver Pharaon .

     

    Toutes les consignes sont données pour que le peuple soit prêt  pour participer à l’institution de Pessah.

    Car dans la nuit du 15 Nissan l’Ange de l’Eternel passant au-dessus de toutes les maisons d’Egypte sème la mort et la consternation.

    Avant cette dernière plaie, l’Eternel ordonne aux enfants d’Israël de sacrifier un agneau  afin d’enduire leurs portes et leurs linteaux  de son sang. Puis de manger la chair de l’agneau.

    Et de manger des herbes amères.

    Dieu ordonna aussi de préparer des pains sans levain et d’en manger durant 7 jours.

    Et à chaque année à la même date pour toutes les générations à perpétuité, jusqu’à la fin du monde.

     

    Le peuple sorti d’Egypte au milieu de la nuit, ils récupèrent les biens et toutes les richesses que leurs avaient pris les Egyptiens.

     

    Mais avant tout ça Dieu menaça Pharaon des trois derniers fléaux.

     

    1 L’invasion des sauterelles qui décime tout le Pays.

    2 L’obscurité totale pendant trois jours.

    3 La mort de tous les premiers nés.

     

    Les sauterelles ne laissent plus rien après leurs passage, elles désherbent toutes les mauvaises semences qui ont poussé dans nos vies, toutes les croyances, les engagements religieux, les fausses paroles prophétiques, les esprits en tous genres, les aliénations religieuses.

    Pour laisser un vide.

     

    L’obscurité  est un espace vide, un espace pour repenser à sa vie, s’interroger, se laisser guider par Dieu, lui faire confiance, le laisser faire, le laisser nous guider  vers ce qui nous effraye.

     

    C’est un retour vers la case départ.

    Et c’est le temps de faire mourir nos premier nés, pour renaître de nouveau.

     

    C’est notre véritable conversion.

     

    Il y à un lien entre les trois derniers fléaux et les trois ordonnances de la Pâque.

     

     

    Les premiers nés de Dieu naissent à Pessah. Les premiers hébreux ont été sauvés de la mort  le soir de Pessah.

     

     

    Même si le premier Pessah c’est notre conversion, notre naissance spirituelle, Dieu nous demande  de ne jamais oublier cette Fête.

    La cérémonie de la Fête sert à enseigner nos proches, nos enfants car la mémoire retient toujours les actes, la transmission est plus facile.

     

    Les trois ordres de Pessah.

    L’offrande de l’agneau. Les herbes amères, les pains sans levain.

     

    Les trois fléaux.

    Les sauterelles, l’obscurité, la mort.

     

    1 Le sacrifice de l’agneau de Pessah c’est le korban

    Le mot « korban", sacrifice de l’agneau( est dérivé du mot : "karov", se rapprocher.

     

     

    Elever la coupe de vin de la Pâque  se dit:( Un kross )  c’est utilisé afin de proclamer la grandeur de Dieu.

     Psaume 116:13.

    J'élèverai la coupe des délivrances, Et j'invoquerai le nom de l’Eternel.

     

     La guematria du mot Kross est 86 qui est celle du nom de Dieu Elohim.

     

    Le sacrifice du sang nous rapproche de Yeshoua.

     

    2

    L’esclavage est amer, pénible. Les herbes amères servent de rappel de ce temps où nous étions sans Dieu, dans l’obscurité nous avons souffert loin de Dieu, dans le silence de Dieu sans lumière,  la dureté de l’esclavage qui nous à empêché de servir Dieu c’est cela qui nous mène à l’obscurité de la solitude .

     

     

    Psaume 115:17

    Ce ne sont pas les morts qui célèbrent l'Eternel, Ce n'est aucun de ceux qui descendent dans le lieu du silence;

     

     

    Le mot: Maror en hébreux pour (herbes amères) à la même guematria que le mot (mort) « mavét » 446. Dans  le lieux des morts, lieux obscure.

    Même le Fils de l'homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.

     

     

    3 Le pain sans levain;  Matsa en hébreux

    Le mot : מצה (matsa) à la même guematria que le mot : 'haï (חי).

     

    Haï (ou Hayi) est un mot hébraïque signifiant « vivant", « Vie »

     

     

     

    Yeshoua notre Korban nous à délivré de l’esclavage plus rien ne nous retient, Il a dominer sur tout les démons il ne reste rien qui puisent nous dominer .

    Il a mis à mort tous les premiers nés pour nous donner la vie éternelle.

     

    Yeshoua par son offrande de sacrifice nous a relié à Lui en faisant mourir notre vieille nature pour nous donner la vie éternelle.

     

     

     

    Il nous a délivré pour qu’on puisse l’adorer 

     Le peuple de Dieu n’existe que pour le glorifier. Elevé par la Torah, la pratique des commandements nous élève et nous donne de recevoir une énorme lumière. Chaque action de la Torah nous accorde une sorte de bouclier devant l’adversité qui voudrait nous faire flancher.

     

    Cette lumière c’est Dieu qui pénètre et qui éblouit comme un énorme lustre resplendissant,

    Cette lumière  c’est Yeshoua qui entre et qui va au plus profond de chacun de nous dans notre grande détresse obscure et vient nous délivrer. Il fait de nous de vrais adorateurs,

     et un vrai adorateur rempli de zèle de la foi  est présent les soirs de Pessah.

     

     

    Il n’existe qu’un Pessah celui du calendrier hébraïque.
    Un vrai converti né de nouveau à réaliser ce qu’est la loi.

    Il a compris que la loi c’est le lien qui nous rapproche de Dieu.  Et c’est à ces occasions de Fête que l’on vit le grand miracle de la Vie.

     

     

     

     

    Les sauterelles sont capables d’éliminer toutes les semences de ces fausses pâques chrétiennes qui consistent  en une date autre que celle biblique de partager des oeufs de pâques et des lapins en chocolats, (franchement c‘est ridicule), arranger avec quelques notion de messe, ding, dang, dong et les cloches de Rome sonnent. Franchement, rien de Dieu dans ce cérémoniel.

    Il est temps de venir et se préparer à fêter la vraie Pâques de Yeshoua,  afin de Lui prouver notre foi.

    afin que nous recevions Sa Vie en nous.

     

     

    Shabbat Shalom

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre 10 verset 1 à chapitre 13 verset 16.

    Lecture de la haftarah: Jérémie: Chapitre 46 verset 13 à 28.

    Lecture messianique: Luc: 2/22,24. Jean:19:31,37; 1 Corinthiens: 5 : 2 à 8. 

    1 Pierre  1: 18 à 25.

     

    L.B

     

     

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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     Quand Dieu se révèle.

     

     

     

    Dieu se révèle à Moïse et lui promet de sortir les enfants d’Israël d’Égypte, de les délivrer de leur esclavage, de les sauver et d’en faire Son peuple au Mont Sinaï. Il les conduira ensuite vers la terre qu’Il a promise aux Patriarches en héritage éternel.

     

    Moïse et Aaron se présentent à plusieurs reprises pour demander au Pharaon, au nom de Dieu : « Laisse partir mon peuple pour qu’ils Me servent dans le désert ».

     Pharaon refuse. Le bâton d’Aaron se transforme en serpent, redevient bâton et avale les bâtons magiques des sorciers égyptiens. Dieu envoie alors une série de plaies contre les Égyptiens.

     

     

     

     Moïse prononça les paroles : « Le Dieu des Hébreux m’a envoyé ; renvoie Mon peuple pour qu’ils puissent Me servir. »

     

     

     

    Le Yétsèr Hara (l’inclination vers le mal) s’oppose toujours à sa nature essentielle.

     

    (En hébreu, le mot pour « Égypte », « Mitsraïm », signifie également « limites, frontières »).

    Mais en réalité, ces limites n’existent que pour permettre au  croyant de révéler sa véritable nature divine et ainsi transformer ces frontières en transformant l’obscurité en lumière.

     

     

     

    Dans ce texte Dieu veut  révéler sa force et sa  puissance devant toute l’humanité.

     

    Les plaies d’Egypte vont commencer.

     

    Dans cette parasha les 7 premières plaies sont annoncées.

    1 Les eaux en sang.

    2 Les grenouilles.

    3 Les moustiques, poux, puces, vermines, cafards etc..

    4 Les bêtes sauvages, les grosses bêtes, les rats, etc..

    5 La mort des bestiaux par contagions.

    6 Les virus, les fièvres animales contagieuses.

    7 La grêle.

     

    Dieu par Moïse veut que son peuple soit libéré de l’emprise de pharaon!

    L’emprise de pharaon c’est l’impossibilité d’aller adorer Dieu.

     

     

     

     

    Dieu commence à dire à Moïse; va demain matin vers la rive du Nil car là se trouvera Pharaon comme chaque matin.

    Nous comprenons alors que Le Nil est un culte d’adoration.

     

    Il va prier le dieu du Nil, culte de Thebes. dieu antique qui donne le pouvoir. Ce dieu criosphinx que l’on retrouve encore en statue égyptienne.

    Ce culte au pouvoir procréateur a su se renouveler durant les siècles.

    On retrouve dans les archives ce dieu  renommé Amon.

     

    Alexandre Le Grand né en 356 av-JC se fit proclamer fils d’Amon-Zeus en 331. Sa renommé à dépasser toute les frontières qui s’unifient vers une religion qui étend sa toile quand le christianisme  s’installa et avec L’empereur Constantin tissèrent un christianisme basé sur les dieux d’Egypte mais en ayant changé les noms.

     

     

    Tous les féaux mentionnés sont des dieux, que l’Eternel veut détruire.

    Les 7 premier fléaux contenues dans notre parasha, sont l’indication d’une déviation spirituelle.

     Chaque fléaux est un culte.

    Tous s’opposent à aller adorer Dieu;

     

    Tous les fléaux représentent des cultes interdit par Dieu.

     

    Aaron et Moïse affrontent pharaon face aux sorciers par le bâton qui  est le sceptre de toute autorité qui est Yeshoua .

     

    Yeshoua est mort à Pessah pour nous donner la liberté d’aller adorer Dieu dans ses fêtes et ses shabbat. 

     

    Yeshoua a combattu les démons pour nous délivrer de l’emprise de ces féroces entités  qui nous détournent de la vérité.

    Yeshoua est venu nous guérir des virus, des fièvres, des contaminations, etc..

     

    Nous sommes venus pour changer les choses, notre existence n’a de sens que si on change le mal en bien.

    Le christianisme est le plus gros mensonge de l’histoire.

    Le culte du dimanche est l’adoration  qui a remplacé le shabbat du samedi.

     

    Le monde marche la tête vers le bas comme des moutons sans bergers.

    Juste pour faire comme tout le monde. 

    Le peuple de Dieu n’est pas tout le monde. Le peuple de Dieu lève les yeux vers le ciel pour contempler Sa puissance.

    Le temps messianique à commencer il y a plus de 2000 ans.

     

     

    Et le monde adore encore les dieux de l’Egypte, les dieux du Nil. 

     

     

    Notre rôle dans ce monde est de créer une demeure pour Dieu en reproduisant l’en haut dans l’en-bas, en révélant la présence de Dieu dans ce monde. 

     

    Révéler Dieu dans ce monde en opérant des changements.

     

    Nous devons être comme des temples dans ce monde pour révéler Dieu. Et affronter les dieux d’Egypte qui nous rendent la vie dure.

     

    « Vaéra »: Dieu se fait voir. Dieu se manifeste en nous, et c’est à travers nous qu’Il manifeste Sa Puissance. 

    Dès que nous décidons d’arrêter d’aller vers le Nil culte christianisé.

     

    Quand nous allons l’adorer en esprit et en vérité dans les fêtes et ses shabbat. 

    Et là le monde commencera à changer.

     

    Les fléaux cesseront, les épidémies s’arrêteront, les maladies, et tout ce qui s’ensuit.

     

     

    On pourrait penser que c’est violent de dire ces choses, mais c’est pas en se taisant qu’on fera avancer les choses.

     

    Dieu veut nous apparaître à travers Moïse, c’est-à-dire à travers sa loi. 

    Car, Pessah c’est Yeshoua.

    Les pains sans levain c’est Yeshoua. 

    Shavouot c’est Yeshoua.

    Rosh Hashana c’est Yeshoua.

    Kippour c’est Yeshoua.

    Souccot c’est Yeshoua.

    Le huitième jour c’est Yeshoua.

    Shabbat c’est Yeshoua.

     

     

    Le vrai combat c’est d’aller adorer l’Eternel.

    Etre libre en Esprit

    Etre sauvé en vérité.

     

     

     

    La vérité affranchi de l’esclavage à condition de vouloir servir Dieu, et non les Hommes.

     

    Cette année est encore une année de grâce pour venir adorer notre Seigneur, préparons- nous à fêter La Pâque pas comme le monde à la date imposé par le christianisme mais à la date imposée par Dieu dans son calendrier .

     

     

    Soyons libre de vivre et de mourir pour la liberté.

     

     

     

    Car le vrai combat c’est en nous même qu’il est. Nous avons la puissance de nous délivrer des dieux antiques qui nous ont précédé depuis des générations en générations, nous devons couper tous liens avec ses entités, qui ce sont reproduits, car ces dieux sont un emblème de la reproduction représenté sous forme phallique et ce n’est que par la foi du Messie et l’Autorité de la Loi comme un sceptre de puissance qui démontent tous ces démons.

     

    L’adhésion à la foi en Yeshoua la Torah faite chair n’est pas chose facile pour les croyants c’est par un véritable Amour que l’on conçoit à changer de regard sur ce que l’on connaît ce qui nous semble bon, juste devant les hommes. 

    Le christianisme à basé sa force sur la propagation sans limites sans frontière, comme le fleuve du Nil qui coule sans limites, sans frontières.

     

     

     

     Car entre ce Moïse et ce Yeshoua il ni a qu’un seul et même Dieu

     

    Moïse a changé l’eau du Nil en sang.

    Yeshoua a changé l’eau en vin. Le sang de Yeshoua.

    Il a détruit la puissance du Nil.

     

    Moïse a fait venir les grenouilles. 

     

    Les grenouilles  en guematria 444 qui font référence au temple et la royauté.

     

    Yeshoua a détruis les temples des idoles car Il est Lui-même le temple, Il est le Roi.

     

    Yeshoua  guérit les lépreux. 

    Yeshoua  guérit les paralysés.

    Yeshoua  délivre des démoniaques.

    Yeshoua  délivre de la fièvre.

    Yeshoua  guérit toutes les maladies.

    Yeshoua  change les vies.

    Yeshoua ressuscite les morts.

     

    Yeshoua détruit toutes autorités religieuses qui nous dominent.

     Yeshoua  détruit les autels d’adoration des dieux.

     

     

    L’homme se fait Dieu. Et Dieu se fait homme en Yeshoua pour nous libérer de notre ignorance inconsciente.

     

    Reconstituer le corps de Yeshoua en nous c’est constituer le corps de gloire du Messie. Nous sommes des Dieu en devenir.

    Psaumes 82:6.

    Vous êtes des Dieu ! Vous êtes tous des fils du très-haut ! 

     

    Dieu dit à Moïse : Je te fais Dieu pour Pharaon.

     

     

    Yeshoua nous fait Lui car Il est en nous et c’est par Lui que nous accomplissons des miracles.

     

    Et c’est par le   sceptre de la loi que nous avons toute autorité devant les démons.

    Et par cette autorité nous sommes libres d’aller Adorer Adonaï pour ses fêtes comme Il nous le demande.

     

    Soyons libre  et affranchi de ce christianisme qui ensorcelle et trouble la vision, et nous empêche de voir Dieu. Car en ce shabbat Dieu nous apparaît pour nous délivrer si nous voulons le suivre. 

     

    Mais pour beaucoup nous le suivons déjà  car nous sommes à shabbat et nous sommes tous là pour l’année qui vient, réunis en un seul coeur celui de Yeshoua.

     

     

    Shabbat shalom

    L.B

     

     

     

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre 6 verset 2 à chapitre 9 verset 35.

    Lecture de la haftarah: Ezekiel: Chapitre 28 verset 25 à chapitre 29 verset 21.

    Lecture messianique: Romains: Chapitre 9 verset 14 à 17.

    2Corinthiens: Chapitre 6 verset 14 à Chapitre 7 verset 1.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Faut pas rester sur sa faim!

     

    La parasha qui commence le livre de l’Exode se nomme: Chemot.

    Chemot veut dire « Les noms ».

    C’est à travers les événements de ce livre, que le peuple de Dieu reçoit son  identité fondamentale, cela explique pourquoi  l’Exode s’ouvre sur l’énumération des fils de Jacob, alors que cette liste nous la connaissons déjà!

    Ce qui souligne le fait que les fils de Jacob n’échangèrent pas leurs noms en Egypte comme le fut la coutume.

    C’est-à-dire qu’ils refusèrent de s’assimiler à la culture égyptienne.

     Ainsi notre parasha nous instruit que notre identité s’identifie à notre nom!

     

     

     

    -Durant l’exil les patriarches ont gardé leurs noms leurs identités profondes l’essence qui défini le peuple de Dieu celui qui Lui appartient.

     

    Et c’est durant l’exil, dans le monde des sans Dieu, que l’on peut avancer, passer à l’étape suivante.

     

    Le peuple de Dieu doit révéler son aptitude innée à surmonter les forces qui s’opposent à Dieu. Ces forces si puissantes qui s’opposent à Yeshoua et à la Torah. Mais nous avons aussi une force exceptionnelle pour les surmontés. Et  c’est par l’abnégation que ce révèle le degré de notre âme.

    Nous voyons notre évolution  de nos propres yeux se réaliser dans notre vie.

     

     

    Cette parasha connue pour être une grande parasha comme un concentré de toute existence.

    Moïse est l’un des plus grands personnages bibliques. Personnage mythique connu par la plupart des gens du monde entier. 

     

    C’est dans Chemot qu’il nous est présenté, mais voilà qu’en une seule lecture on est passé de sa naissance à son exil en passant par sa vie de famille, puis attiré par un feu dans un buisson Dieu lui parle et l’envoie sauver son peuple,  et devant Pharaon accomplir des miracles pour sortir les hébreux d’Egypte  avec son frère Aaron, afin qu’il aillent célébrer: La Pâque.

     

     Tout est dit en un passage biblique trop court trop bref alors qu’on aimerait connaître plus de ce Moïse. On reste sur notre faim.

     

    Tout est dit comme une vie qui passe tellement vite !

     

    Moïse un être à part  il est  celui que Dieu a choisi.

    Comme le précise notre haftarah , Jérémie est celui que Dieu a choisi.

     Ces deux personnages comme beaucoup d’autres sont des âmes évoluées qui doivent faire évoluer les autres.

      Qu’ils soient  prophètes ,  grands sages choisis par Dieu qui seront le secours pour tous les croyants; Ils nourrissent les âmes  qui ont faim, de manne de Torah, car c’est par cette nourriture que nous pouvons élever nos âmes, pour ne jamais rester sur notre faim. 

     

    Les grandes âmes comme ont dit on une chose en commun selon les érudits; c’est qu’elles naissent et meurent le même jour.

    Moïse né et meurt un 7 Adar.

     

     

    Même si la belle vie de Moïse ne nous est pas compter, elle nous enseigne l’essentiel.

    En fait Moïse c’est l’évolution des 5 phases de l’âme, une symbolique de nos phases d’évolutions. 

     

    1 Nefesh: C’est l’âme primaire, ses fonctions sont physiologiques, instinctives.

    2 Ruah: C’est l’âme émotionnelle, le siège de l’amour, la haine, joie, désir.

    3 Neshama: C’est l’âme intellectuelle; la raison, ce niveau est lié à la foi c’est l’étincelle divine que nous recevons à notre naissance.

    4  Haya: C’est l’âme spirituelle, la vivante, elle relie l’humain à Dieu l’âme universelle  le UN.

    5 Yehida: C’est l’âme qui a atteint un niveau très élevé elle permet un ressenti entre l’esprit humain et Dieu c’est le Aïn sof  qui est inaccessible au sens de l’entendement, c’est le niveau d’âme de Moïse et des prophètes des bergers d’Israël, des conducteurs.

     

     

     

    Et  cet enseignement pour nous apprendre que nous devons aussi atteindre des niveaux d’âmes élevés. 

     

    Passer sa vie et rester sur sa faim c’est le problème des religieux qui s’enferment dans leurs dogmes bien fermés ce qui bien sûr les empêchent

    d‘évoluer.

     

     

    Dieu nous connaît par notre nom il nous connaît depuis toujours et depuis l’origine de toute existence.

     

     Et depuis notre naissance dans ce siècle; Il ne cesse de nous appeler, afin que nos âmes évoluent  depuis l’étape 1 par l’instinct innocent de l’enfant,  puis par les émotions et les rencontres de la vie. Puis par le raisonnement intellectuel qui est bien évidemment la Torah qui se révèle d’un feu comme le buisson ardent qui brûle sans rien consumer, l’intellect qui vient allumer l’étincelle divine  et par la foi notre âme devient vivante,  qui nous relie à Dieu par Son  Esprit Saint.

     

    Comme la vie de Moïse en un instant la vie passe et nous ne devons pas rester sur notre faim bloquée a une étape de la vie.

     

    -Moïse nous enseigne sur son nom pour approfondir notre réflexion intellectuelle  comme un coupe faim qui vient à point.

    -Moïse est un nom Egyptien. Dont l’origine probable selon les exégètes est Masi. 

     Moïse ce serait donc appelé premièrement Masi par sa vrai mère nom hébreux.

    Masi veut dire: Part, décider de son destin. 

     

    Ainsi le bébé dans le panier  flottant sur la rivière de Nil s’appelait Masi, mais la fille de pharaon qui le recueille le nomma Moïse qui veut dire « fils de » plus exactement en égyptien se dit: Moïse   « Masha »  tiré  qui veut dire «  Fils de » .

     

     Ainsi toute l’histoire de Moïse tient dans son nom comme si son destin s’inscrivait des ses noms.

     

     De Masi il devait partir accomplir sa destiné puit de Moïse il est le « fils de » : donc pas un Egyptien  et il deviendra pour les Hébreux Moshé de son nouveau vrai nom hébreux.

     

    -Moshé:  C’est: Sauvé des eaux d’en bas  séparant les eaux comme au jour de la création. Dieu sépara les eaux d’en bas des eaux d’en haut.  

     Séparer tout ce qui s’oppose à Dieu.

    -Moshé c’est le bâton qui sépare  les forces d’en haut et les forces d’en bas. 

    -Moshé c’est la puissance de la Torah qui comme le tranchant de l’épée combat les forces qui s’opposent à Dieu. 

     

    -Moshé sépare tous ce qui s’oppose à la Torah.

    -Moshé c’est le berger qui nourrit de la Torah …. et nous élève l’âme vers les niveaux supérieurs. 

     

     

     

     

    Et Par extension Moshé: c’est Mosiah l’annonce du Messie Yeshoua par la Torah

     

     

     Yeshoua qui se révèle par son vrai Nom hébreux car c’est le nom qu’Il a gardé. son nom d’origine, son identité. 

     

     

     Changer le nom de Yeshoua équivaut a lui enlevé sa fonction divine c’est faire du sauveur un berger sans Torah un berger qui nous laisse sur notre faim 

     

    Yeshoua c’est celui qui nous donne un nom nouveau.

     

    Apocalypse 2:17.

     

    Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Eglises: A celui qui vaincra je donnerai de la manne cachée, et je lui donnerai un caillou blanc; et sur ce caillou est écrit un nom nouveau, que personne ne connaît, si ce n'est celui qui le reçoit.

     

     

     

     

     

    Comme tout les chrétiens qui n’évolue pas faute de nourriture torahique; 

     Le choix de nos guides spirituelles dépend de notre faim. 

     

    Dieu a choisi des guides pour nous élever,  la Torah est l’essence même de la nourriture de l'âme et même si nous n’atteignons pas la Yehida ce qui est sur c’est que l’âme quand elle est nourrit correctement elle nous relie à l’Âme de Yeshoua cet aliment qui nourrit éternellement. 

     

    Et pour ce qui est de maintenant suivons des guides qui enseignent les fêtes de Dieu, afin que nous puissions au temps prévu allez adorer le sauveur, celui qui est … et mort à Pâques, car celui qu’ils adorent à Noël je ne sais qui est-il, mais certainement une des forces qui s’opposent à Dieu!

     

     

     

     

     Ce soir et demain  25 décembre c’est Shabbat et pas Noël !

     

    Shabbat shalom

     

    L.B

     

     

     

     

     

     

    Lecture de la parasha: Exode: Chapitre 1                                                                        verset 1 à chapitre 6 verset 1.

     

    Lecture de la haftarah: Esaïe; 27: 6 à 28:13. 29: 22,23.                                                   « S »: Jérémie: 1: 1à 2: 3.

     

    Lecture messianique: Mathieu: 22: 23, 33.                                                                           Marc: 12: 18, 27.

    Luc: 20: 27, 38. Actes: 3: 17, 36.                                                                                           Hébreux: 11: 23, 26.

     

     


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  • La fin justifie les moyens.

     

    La parasha Vayéh’i c’est la douzième parasha qui clôture le livre de la Genèse.

    Cette parasha est considérée comme fermée, c’est-à-dire que le texte contient les secrets du ciel, les secrets de la mort.

     

    La mort dont nous savons très peu de choses concrètes, mais la parasha est censée nous en dévoiler quelques passages obscurs.

    Ce secret d’écriture n’est accessible que par une révélation qui nécessite  que Dieu donne les codes par un canal +  direct,  venant de  Son Esprit.

     

    -Jacob vit ses 17 dernières années de sa vie en Egypte, avant de quitter ce monde. Il demande à être enterré en Terre Sainte. Il bénit ses  fils et il demande qu’ils écoutent ce qu’il va dire ; mais la présence de Dieu le stop et l’empêche de terminer son discours. 

     

    -Un grand enterrement accompagne Jacob pour son dernier voyage.

     

    -Joseph à son tour quitte ce mode à l’âge de 110 ans, et demande que ses ossements soient au moment voulu emporté en terre Sainte.

     

    Un premier petit décodage s’impose.

     

    Jacob reste en Egypte 17 ans. Joseph eut 17 ans quand il fut emmené de force en Egypte. Les commandements sur le Mont Sinaï ont été écrits dans la bible en 17 versets.

     

     

     

    En guematria une correspondance intéressante se propose.

    -Abraham mourut à l’âge de 175 ans ce qui donne 17

    -Isaac mourut à l’âge de 180 ans ce qui donne 17 

    -Jacob mourut à l’âge de 147 ans ce qui donne 17

    -Joseph mourut à l’âge de 110 ce qui donne 17 

     

    Ce  « 17 » referme l’idée d’un renouveau, un arrêt net vers un autre avenir, une autre destiné, ce qui va vers le bon, le meilleur, allée en terre inconnue, pour le bien.

     

     Un deuxième petit décodage.

     

    Joseph meurt à 110 ans.

    -« 110 »  symbolise les vérités cachées,  ce qui ne peut pas se dévoiler d’un coup.

    Tout est caché, même le nouveau testament, tout est secret.

     

    Un troisième petit décodage.

     

    Jacob va mourir il est assit sur le bord du lit, il sent qu’il va mourir, ramène ses pieds dans son lit et meurt.

     

    Ici « les pieds » : donnent la guematria de : 233.

    « 233 » c’est l’arbre de vie qui resplendit, l’Esprit de Dieu qui libère l’étincelle qui ranime l’âme.

     

     

     Pieds en hébreux c’est « reguel » et littéralement « regel »  qui signifie « Les shlosha Regalim » « Shalosh Regalim » qui sont les trois fêtes de pèlerinages. Les trois fêtes qui seront éternelles, les fêtes d’Elohim.

    1 Pessah = Pâque.  2 Shavouot =pentecôte.  3 Souccot =  les cabanes.

     

     

     

     

    Ces trois fêtes majeures au cours desquelles les croyants du monde entier devraient  fêter ainsi que le prescrit la Torah. 

     

    Ces trois fêtes qui définissent, le début, le pendant, et la fin.

    La naissance, la vie, la mort.

    -Un cycle dont nous pouvons modifier le cours.

    La naissance c’est l’âme ressuscité qui croient en Dieu,   puis c’est le choix de vie, et le repos final avec Dieu ou sans Dieu.

     

     

    Pessah c’est la naissance du peuple de Dieu la Neshama qui se réveille;  Shavouot c’est la liberté de vivre par la Neshama de Dieu et Souccot  c’est la Neshama libéré du corps.

     

     

    -C’est  aussi trois symboles sur les fêtes.

    A Pessah le commandement c’est de ne pas manger de pain avec du levain 

    C’est la téchouva, être pardonné,  c’est créer le lien qui va nous unir à Dieu. 

     

    A Shavouot le commandement c’est de manger des produits laitiers,  et les produits laitiers sont le symbole de la Torah. 

     

    A Souccot le commandement est de manger sous une cabane,  symbole d’un lieu sans mur, qui veut dire en vrai, être sans notre corps de chair, être une nouvelle créature céleste.

     

    Et aussi:

    -Jacob bénit Ephraïm et Manassé, ces deux bénédictions sont les deux bénédictions que l’on récite à Shabbat et a Kippour.

     

     

    -Maintenant avec tous ces décodages, on va comparer la parasha et la haftarah:

     

     Jacob et parallèlement David vont mourir.

     

     Il est dans la tradition de dire:  « Jacob et David ne mourront jamais car ils poursuivent les lois de Dieu ».

     

     

     

     

    Jacob et David représentent les immortelles, donnant à l’heure imminente de leur mort les recommandations à leur fils, dernières recommandations d’observer les traditions de la Torah. Les lois des commandements Shabbatiques.

     

     

     On comprend alors que Jacob ne pouvait pas prononcer les commandements quoique la lois existé déjà, il ne les prononça pas car ce qu’il a voulu dire c‘est le grand secret de cette parasha.

     

    Ce qu’il voulait dire:

     Ce que je veux vous transmettre ne se transmet pas par des mots mais par l’Esprit.

    Car c’est l’Esprit de Dieu qui révèle ses choses à ses enfants. 

     

    Comme pour Jacob pas besoin de mots, juste la transmission de la tradition mais c’est l’Esprit qui convainc que les lois Shabbatiques sont les codes pour la vie Eternelle. Car si nous avons la foi en Yeshoua nous avons aussi Son Esprit qui nous donnes les codes de bonne conduite qui nous guide vers le choix de faire de notre vivant un choix d’honneur pour vivre les lois Shabbatiques.

     

     

     

     

    -Si on récapitule tout ça on comprend le dévoilement  de la vie du croyant, qui choisit sa vie pour avoir une belle mort.

     

     

    La naissance, la foi en Yeshoua, le choix de vie en pratiquant les lois shabbatiques, pour une belle mort assurée. 

     

    La naissance c’est en Yeshoua que nous l’avons nous naissons de nouveau car nous avons cru qu’Il est le Messie le fils de Dieu, et parce que nous avons cru notre âme a ressuscité, et par elle nous décidons de vivre tout notre temps de vie que nous avons à vivre par la Torah, et c’est par la foi et par nos choix que notre Souccot sera éternelle avec Dieu pour l’éternité.

     

    Nous voudrions tous avoir le pouvoir de tout recommencer, revivre une nouvelle vie, mais avec la connaissance et le savoir que nous avons acquis durant notre expérience de vie, revivre en ne commettant pas les mêmes erreurs, faire des choix d’existences plus tôt  car nous avons compris  tardivement.

     

     

    -Mais là encore nous est donné l’opportunité de commencer à choisir une vie solidement ancrée avec Dieu.

     

     

    Le résumer du texte biblique se décode si facilement maintenant que l’ont comprend que ce que Dieu nous demande c’est simple; 

     

    Tous ces décodages nous ont révélé que la vie après la mort se prépare de notre vivant en vivant les lois shabbatiques.

     

    Croire qu’il a envoyé son fils unique Yeshoua pour nous pardonner et que nous nous unissons à lui par une alliance de Torah en faisant un choix de vie de se consacrer à lui en faisant de chaque shabbat nos délices et chacune des fêtes ordonner dans la bible tout au long de notre vie, qu’au jour ou nous mourrons de notre chair nous soyons éternellement dans son paradis son Eden, en  l’adorant en Esprit et en Vérité. 

     

    Car nos choix d’aujourd’hui définissent notre éternité de paix.

     

    - Car si nous ne connaissons pas ce nouveau monde qui accueille les âmes, et que personne ne peut dire comment ça se passe là-bas?

     Si les mots ne peuvent pas être prononcés, il y a des secrets que Dieu révèle par son Esprit à ceux qui cherche à vivre selon Sa vérité et par la foi, nous croyons qu’il y a après notre passage sur terre un avenir glorieux et exceptionnel pour tous ceux qui auront fait les bons choix. 

     

    En résumé les lois  Shabbatiques sont:

     

    Le shabbat tous les samedi dès le vendredi soir, car ce jour est sanctifié.

    Les sept fêtes bibliques qui sont comme des Shabbat car ses fêtes sont sanctifiées.

     

    Et c’est par ce que  nous nous sommes sanctifié par ses lois nous sommes revêtu du vêtement blanc, le vêtement de fin lin qui est l’unique vêtement que porte les croyants pour leur dernier voyage sur terre vers la maison du Père.

     

     

    Puissions nous être tous trouvés sanctifiés avant notre grand voyage.

     

     

    Shabbat shalom 

     

     

     

    L.B

     

    Parasha du samedi 18 décembre 2021. Parasha Vayéh’i: (12).

    Lecture de la parasha: Genèse: Chapitre 47 verset 28 à chapitre 50 verset 26.

    Lecture de la haftarah: 1 Rois: Chapitre 2 verset 1 à 12.

    Lecture messianique: Actes 7: 9.16. Hébreux: 11: 12,22. 1Pierre: 1: 3,9.

    2:11,17.  

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Terre d’abondance.

     

    La parasha Vaygach c’est Joseph qui se révèle à sa famille.

     

     

    -C’est la famine et la famille de Jacob et fils partent pour l’Egypte pour chercher de la nourriture; En ce temps là Joseph était un homme puissant, il dirigeait toute l’Egypte.

     

    Quand il vit ses frères il se révéla à eux et fit venir son père et toute la grande famille. 

    -Il les installa à Goshen.

     

    Goshen était un lieu privilégié, une terre d’abondance.

     

     

    GOSHEN veut dire: Terre du soleil, lieu d’abondance, lieu du soleil.

     

    Un lieu ou les arbres poussent bien et donnent de l’abondance.

     

     

    -Goshen donne en guematria 358 exactement pareil que Mashiah 358.  Mais plus exactement le Messie qui nourrit.

     

    Jacob compris que le destin d’Israël allait se jouer à Goshen.

     

    Ici c’est une invitation à comprendre, un avant goût du Messie. Le Messie fils de Joseph.

     

    Le Messie fils de Joseph c’est la matière assimilé aux blés qui nourrit les croyants; 

    C’est donc la Torah.

     

    Enfin ici elle est symbolisée par la loi à venir; La loi des patriarches.  Les bases solides , les fondements enracinés dans la terre d’Eden, la terre d’abondance. Ce jardin luxuriant.

     

    Dans l’Eden il y avait l’arbre de vie, un arbre lumière qui depuis son sommet rayonne sa lumière et transmet toutes ses étincelles  jusqu’aux racines, éclairant sur son passage toutes les parties de l’arbre. 

     

    L’arbre se dit en hébreux « Homme », l’arbre est un homme qui à besoin de la lumière pour se réaliser en stature et en énergie.

     

    Dans l’arbre de vie  toute la Torah est vivante dans cet arbre la nourriture y est constante.

     

     

    De tout temps le plus grand conflit religieux c’est la loi de Moïse.

     

    Les religions ont évolué en se respectant plus ou moins les unes des autres, mais ce qui cause le plus de problèmes, de polémiques et de controverses c’est la loi de Moïse.

     

    Et pourtant sans Torah on est mort.

     

    Car la Torah c’est un récit de lois dont l’Homme à besoin, une énergie spirituelle qui propulse l’âme de l’Homme vers Dieu. Une force émanant de cette Torah qui réveille et élève la véritable foi. 

     

    -Goshen  en révèle le contenu. Goshen est constitué de lettres hébraïques qui indiquent que même  se trouvant sur un sol impur les enfants d’Israël ont pu garder les éléments les plus précieux dont l’Homme à besoin: Le gouf = c’est le corps, le sekhel= c’est l’esprit, la neshama = c’est l’âme.

    Cette terre  de Goshen dont c’est Joseph qui la possède sera pour eux la vie pour leur corps , leur esprit et leur âme.

     C’est donc la terre de la Torah.

    Ici dans le texte Joseph est assimilé à la Torah.

    Car c’est Moïse qui transporta les os de Joseph hors d’Egypte.

     

    La nuance des textes révèle ce dire: l’Eternel dit à Moïse  consacre toi tout premier né.

     

     -C’est pourquoi Moïse prit les os de Joseph dans le sépulcre.

    Mais nous savons que le premier né de Jacob fut Ruben, mais ce dernier ayant fauté, ce fut le premier né de Rachel qui reçut le droit d’aînesse, mais qui fut recevable seulement sur Ephraïm fils de Joseph.

    Et c’est ce droit d’aînesse qui donne la paternité de la transmission de la Torah. 

    Car c’est les juifs qui ont reçu ce droit d’aînesse afin de pérenniser le droit de porter l’arche de la Torah, afin d’en garder les écritures et les transmettre.

     

     

    -1 Chroniques 5:1.

    Fils de Ruben, premier-né d'Israël. -Car il était le premier-né; mais, parce qu'il souilla la couche de son père, son droit d'aînesse fut donné aux fils de Joseph, fils d'Israël; toutefois Joseph ne dut pas être enregistré dans les généalogies comme premier-né.

     

     

     -Car l’aîné sera comme un signe sur sa main et comme un frontaux entre ses yeux. 

     

     

    Joseph représente le Messie Torah le premier.

    Juda représente le Messie de chair le deuxième,  car Juda est la transmission du sang de la lignée messianique  en passant par le Roi David jusqu’à notre Roi Yeshoua  issu de la même lignée.

     

    Ainsi Joseph l’ainée  c’est l’arbre qui est la souche de cet arbre qui en Eden produisant la nourriture spirituelle en abondance d’où émane la Torah.

    C’est les racines des pères , des patriarches circoncis qui par cette circoncision permet la greffe des incirconcis.

     

    Car si la souche de l’arbre est un souche franche bâtie sur les fondements de la loi alors l’arbre est bon comme le fruit de l’arbre de Joseph qui est Ephraïm,  alors les branches qui seront greffées sur la souche naturelle deviendront un seul arbre uni dans la main de Dieu.

     

     

    Romains 11:16 à 18.

    Or, si les prémices sont saintes, la masse l'est aussi; et si la racine est sainte, les branches le sont aussi.

     

    17Mais si quelques-unes des branches ont été coupées, et si toi, qui étais un olivier sauvage, tu as été greffé à leur place, et rendu participant de la racine et de la graisse de l'olivier, ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que c'est la racine qui te porte.  

     

     

     

     

    24 à 26.

     

    Si toi, tu as été coupé de l'olivier naturellement sauvage, et  gréffé contrairement à ta nature sur l'olivier franc, à plus forte raison eux seront-ils greffés selon leur nature sur leur propre olivier.

     

    25Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne vous regardiez point comme sages, c'est qu'une partie d'Israël est tombée dans l'endurcissement, jusqu'à ce que la totalité des païens soit entrée.

     

    26Et ainsi tout Israël sera sauvé, selon qu'il est écrit: Le libérateur viendra de Sion, Et il détournera de Jacob les impiétés; 

     

     

    Ainsi la parasha Vaygach nous enseigne que c’est par la Torah nourricière que nous élevons notre corps et notre esprit, mais c’est par Yeshoua que nous élevons notre foi.

     

    Car si les juifs ont gardé la Torah et ont été mis à l’écart du messie afin que les païens puissent venir se greffer sur l’arbre de vie, Yeshoua est venu parmi les païens et c’est révélé à eux non pas pour qu’ils reste greffé sur l’arbre sauvage mais au contraire Yeshoua est venu vers eux pour qu’ils se greffent sur les circoncis qui porte la greffe. 

     

    Ainsi en toute logique de l’enseignement donné dans L’épître aux Romains chapitre 11.  Il est nullement question de nier que l’arbre dont les racines sont la Torah soit la nourriture qui conditionne tous les croyants, la Torah est la base de toute construction la base de la foi sans qui la vie n’existe pas.

     

    Ainsi la haftarah rattachée à notre parasha conclut en beauté le message.

     

     

    Ezechiel 37: 16 à 23.

     

    La parole de l'Eternel me fut adressée, en ces mots: 16Et toi, fils de l'homme, prends une pièce de bois, et écris dessus: Pour Juda et pour les enfants d'Israël qui lui sont associés. Prends une autre pièce de bois, et écris dessus: Pour Joseph, bois d'Ephraïm et de toute la maison d'Israël qui lui est associée. 17Rapproche-les l'une et l'autre pour en former une seule pièce, en sorte qu'elles soient unies dans ta main. 18Et lorsque les enfants de ton peuple te diront: Ne nous expliqueras-tu pas ce que cela signifie? 19réponds-leur: Ainsi parle le Seigneur, l'Eternel: Voici, je prendrai le bois de Joseph qui est dans la main d'Ephraïm, et les tribus d'Israël qui lui sont associées; je les joindrai au bois de Juda, et j'en formerai un seul bois, en sorte qu'ils ne soient qu'un dans ma main. 20Les bois sur lesquels tu écriras seront dans ta main, sous leurs yeux. 21Et tu leur diras: Ainsi parle le Seigneur, l'Eternel: Voici, je prendrai les enfants d'Israël du milieu des nations où ils sont allés, je les rassemblerai de toutes parts, et je les ramènerai dans leur pays. 22Je ferai d'eux une seule nation dans le pays, dans les montagnes d'Israël; ils auront tous un même roi, ils ne formeront plus deux nations, et ne seront plus divisés en deux royaumes. 23Ils ne se souilleront plus par leurs idoles, par leurs abominations, et par toutes leurs transgressions; je les retirerai de tous les lieux qu'ils ont habités et où ils ont péché, et je les purifierai; ils seront mon peuple, et je serai leur Dieu.

     

     

     

     

     

    La parasha se rapporte au jour du jugement  de notre jugement divin;

    Les gens font leur vie avec certaine convictions qui justifie leurs choix, mais quand ils devront affronter le jugement ultime  ils verront l’éclatante vérité et réaliseront soit qu’il ont suivi la voie de la vérité et seront sauvé soit ils realiseront que leurs choix etait basé sur leurs envies et raisonnements et ne seront pas sauvé.

    Ainsi nos raisonnement humains n’ont de conséquence que la mort mais notre foi et notre crainte de Dieu nous pousse à suivre la voie qui ne nous satisfait pas vraiment mais qui est celle de la Vérité fondamentale de Dieu.

     

    Si en une seule phrase on résumerai cette parasha:

     

     

    La foi en Yeshoua sans Torah est morte, et la Torah sans Messie est vaine.

     

     Mais sachant que tous les juifs qui croient en la Torah croient aussi au Messie, ils seront sauvés.

     

     

    -Que Dieu puisse venir en aide à tous ceux qui ne sont pas greffés sur Israël sur l’arbre franc, celui qui nourrit de sa Torah nourriture abondante qui vivifie le corps, l’esprit, et l’âme.

     

    Afin qu’au jour du jugement nous soyons tous trouvé juste devant l’Eternel.

     

    L.B

     

      

     

    Lecture de la parasha :Genèse :Chapitre 44 verset 18 à chapitre 47 verset 27.

    Lecture de la haftarah: Ezéchiel :Chapitre 37 verset 15 à 28.

    Lecture messianique : Actes: Chapitre 7 verset 9 à 16.

     

     

    Shabbat shalom 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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     Le Roi d’Israël.

     

     

    La parasha Miquets qui veut dire : « En fin de compte », où « Au bout d’un certain temps ».

     

    La question est: Au bout de combien de temps on va enfin comprendre qui est le MESSIE? Qui est le Roi d’Israël?

     

    Combien  de temps nous faut-il pour comprendre que la vérité est devant nous?

     Tellement près de nous et tellement facile à saisir, qu’on n’y a pas cru?

     

    Les frères de Joseph n’ont pas cru à Joseph, ils n’ont pas cru ? où n’ont t-ils pas voulu croire?

    La vérité fait-elle si mal à entendre?

    Faut-il être dans une situation mauvaise pour plier le genou devant le Roi d’Israël?

     

    Combien d’années perdues, de pleurs, de problèmes, de prison, de deuil, de maladies pour voir la vérité en face?

     

    La vie passe vite, on a eu des convictions, de l‘ambition, des rêves, de l’espoir et voilà le temps qui passe, espérant qu’il se passe un truc de fou pour croire que le Roi d’Israël est là.

     On a cru faire des choses bien, faire des bons choix, mais au fond où en somme nous en fin de compte.

     

     

    -Joseph, ce personnage biblique qui eut un destin troublé car personne ne voulaient croire en lui.

    Joseph insignifiant, mais pourtant rempli de la sagesse de Dieu, destiné a servir ses frères, mais ses frères n’en voulait pas.

    Ils auraient préféré un grand homme de Dieu, une imposante personnalité, une stature de Roi, un religieux en habits de prestige.

     

     Joseph avait une cape indigo bleu violet que son père lui avait donné symbole d’une prédisposition spirituelle, mais ses frères  et même la femme de Potiphar la lui avait volé, espéraient -ils tous un coup d’éclat pour  voir si Joseph avait des grands pouvoir pour se sortir de là. Voulaient-ils le mettre à l’épreuve pour voir si vraiment c’était un prophète missioné de Dieu.

     

    Là est la question?

    On voudrait toujours voir des miracles, des trucs de fous, pour savoir si on est  dans la vérité ou pas? 

    On voudrait savoir si les personnes que l’ont suit spirituellement font des trucs de ouf pour être rassuré . 

     

     

    Et bien la réponse est non!

     

    La vérité se dévoile dans l’humilité.

     

    Mathieu 12:15,19.

     

    Mais Yeshoua, l'ayant su, s'éloigna de ce lieu. Une grande foule le suivit. Il guérit tous les malades, et il leur recommanda sévèrement de ne pas le faire connaître, afin que s'accomplît ce qui avait été annoncé par Esaïe, le prophète:

     

    Voici mon serviteur que j'ai choisi, Mon bien-aimé en qui mon âme a pris plaisir. Je mettrai mon Esprit sur lui, Et il annoncera la justice aux nations.

     

    Il ne contestera point, il ne criera point, Et personne n'entendra sa voix dans les rues.

     

     

    Mathieu 12: 38,42.

    Alors quelques-uns des scribes et des pharisiens prirent la parole, et dirent: Maître, nous voudrions te voir faire un miracle. Il leur répondit: Une génération méchante et adultère demande un miracle; il ne lui sera donné d'autre miracle que celui du prophète Jonas. Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d'un grand poisson, de même le Fils de l'homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre. Les hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette génération et la condamneront, parce qu'ils se repentirent à la prédication de Jonas; et voici, il y a ici plus +  que Jonas. La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu'elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus + que Salomon.

     

     

     

    Yeshoua ne leur donnera pas ce qu’ils attendent car leurs demandent de miracle n’est qu’un désir de spectacle et pas un désir de  croire en Lui.

     

     

    Mathieu:27:42

    Il a sauvé les autres, et il ne peut se sauver lui-même! S'il est roi d'Israël, qu'il descende du bois de crucifixion, et nous croirons en lui.

     

     

    Et voici le texte de référence de notre parasha:

    Genèse:42: 15,18.

     

    Voici comment vous serez éprouvés. Par la vie de Pharaon! vous ne sortirez point d'ici que votre jeune frère ne soit venu. Envoyez l'un de vous pour chercher votre frère; et vous, restez prisonniers. Vos paroles seront éprouvées, et je saurai si la vérité est chez vous; sinon, par la vie de Pharaon! vous êtes des espions. Et il les mit ensemble trois jours en prison.

     

    Le troisième jour, Joseph leur dit: Faites ceci, et vous vivrez. Je crains Dieu!

     

     

    La haftarah rejoint le texte:

    1  Rois 3: 16, à 28.

     

    Alors deux femmes prostituées vinrent chez le roi, et se présentèrent devant lui. L'une des femmes dit: Pardon! mon seigneur, moi et cette femme nous demeurions dans la même maison, et je suis accouchée près d'elle dans la maison. Trois jours après, cette femme est aussi accouchée. Nous habitions ensemble, aucun étranger n'était avec nous dans la maison, il n'y avait que nous deux. Le fils de cette femme est mort pendant la nuit, parce qu'elle s'était couchée sur lui. Elle s'est levée au milieu de la nuit, elle a pris mon fils à mes côtés tandis que ta servante dormait, et elle l'a couché dans son sein; et son fils qui était mort, elle l'a couché dans mon sein. Le matin, je me suis levée pour allaiter mon fils; et voici, il était mort. Je l'ai regardé attentivement le matin; et voici, ce n'était pas mon fils que j'avais enfanté. L'autre femme dit: Au contraire! c'est mon fils qui est vivant, et c'est ton fils qui est mort. Mais la première répliqua: Nullement! C'est ton fils qui est mort, et c'est mon fils qui est vivant. C'est ainsi qu'elles parlèrent devant le roi.

     

    Le roi dit: L'une dit: C'est mon fils qui est vivant, et c'est ton fils qui est mort; et l'autre dit: Nullement! c'est ton fils qui est mort, et c'est mon fils qui est vivant. Puis il ajouta: Apportez-moi une épée. On apporta une épée devant le roi. Et le roi dit: Coupez en deux l'enfant qui vit, et donnez-en la moitié à l'une et la moitié à l'autre. Alors la femme dont le fils était vivant sentit ses entrailles s'émouvoir pour son fils, et elle dit au roi: Ah! mon seigneur, donnez-lui l'enfant qui vit, et ne le faites point mourir. Mais l'autre dit: Il ne sera ni à moi ni à toi; coupez-le! Et le roi, prenant la parole, dit: Donnez à la première l'enfant qui vit, et ne le faites point mourir. C'est elle qui est sa mère. Tout Israël apprit le jugement que le roi avait prononcé. Et l'on craignit le roi, car on vit que la sagesse de Dieu était en lui pour le diriger dans ses jugements.

     

     

     

     

    Cette histoire qui en fin de compte n’a eu qu’un seul but leur donné  la preuve de la sagesse de Salomon  par la parole qu’il a dit et non par le miracle,  car il aurait put ressuscité l’enfant mort et là il y aurait eu un grand miracle, mais non, Dieu voulait montrer que c’est la sagesse qui définit l’homme de Dieu.

     

     

    Le texte de notre parasha se résume  par:

     

    Nous tous qui sommes des croyants en Dieu,  avons nous cru à Yeshoua comme le fils de Dieu l’envoyé, le Messie.

     

    Yeshoua c’est pas par les miracles qu’il a voulut se faire connaître mais c’est par sa sagesse et son amour.

    Et s’est seulement comme cela que l’on découvre la vérité. Simplement en acceptant qu’il un homme créé par Dieu rempli du souffle de l’Esprit rempli par: l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur, la maîtrise de soi.

     

     Car c’est à cela que l’on reconnaît le fils de l’homme.

     

    Car le fils de l’homme c’est Yeshoua qui se reflète par nous en nous. Car le Messie ne se montre pas de façon imagée comme un ange ou un être céleste.

     

    -Non la révélation; c’est de comprendre que le Messie se révèle en nous,  rempli de Lui, comme une hanoukia qui s’allume et qui par sa lumière nous renouvelle, et nous change, de l’individu banal que nous sommes, nous devenons meilleure.

     

     

     

     

     

     

     

    Nous sommes Shabbat Hanouka et là c’est un miracle caché car c’est  cette fête qui illumine notre temple intérieur par les neuf lampes qui chaque soir progressent, chaque lampe représente la sagesse de Yeshoua la sagesse qui illumine notre être.

    Chaque allumage; 

    C’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur, la maîtrise de soi.

     

    Chaque soir devant la hanoukia recevoir le souffle de Dieu qui nous fait avancer dans la vie. Nous rempli de Yeshoua.

     

    Et cette vision des choses nous fait comprendre Que c’est là que la vérité est caché en nous elle ne fait pas des grands miracle qui en mettent plein la vue à tout le monde.

     

    Le miracle c’est la vie de Yeshoua qui croisse en nous et nous qui diminuons de notre être mauvais 

     

    Jean 3: 30

    Il faut qu'il croisse, et que je diminue, dira Jean.

     

     

     

    -La preuve du Messie c’est en ses disciples qui se manifestent, par nos actes premièrement spirituelles, par le shabbat et les fêtes et par notre comportement mettant en avant les fruits de l’Esprit.

     

    -Joseph fut reconnu sage Pharaon le fit habiller de fin lin et lui remit un collier d’or à son coup.

     

    Proverbe 1:9.

    Car c'est une couronne de grâce pour ta tête, 

    Et une parure pour ton cou.

    Car ce seront des grâces enfilées ensemble autour de ta tête, et des colliers autour de ton cou.

     

    -Un collier comme une couronne.

     

    La reconnaissance qu’il fut l’homme de Dieu, reconnu, comme un Roi d’Israël, accomplissant la volonté de Dieu. 

     

     

    -Actes 13:22,23.

     

    J'ai trouvé David, fils d'Isaï, homme selon mon coeur, qui accomplira toutes mes volontés. C'est de la postérité de David que Dieu, selon sa promesse, a suscité à Israël un Sauveur, qui est Yeshoua.

     

     

    Michée 5: 2,à 4

     

    Et toi, Bethlehem, Ephrata, Petite entre les milliers de Juda, De toi sortira pour moi, celui qui dominera sur Israël, Et dont l'origine remonte aux temps anciens, Aux jours de l'éternité.

     

    C'est pourquoi il les livrera Jusqu'au temps où enfantera celle qui doit enfanter, Et le reste de ses frères Reviendra auprès des enfants d'Israël.

     

    Il se présentera, et il gouvernera avec la force de l’Eternel. Avec la majesté du nom de l'Eternel, son Dieu: Et ils auront une demeure assurée, Car il sera glorifié jusqu'aux extrémités de la terre.

     

     

    Mathieu 2:6.

     

    Et toi, Bethlehem, terre de Juda, Tu n'es certes pas la moindre entre les principales villes de Juda, Car de toi sortira un chef Qui paîtra Israël, mon peuple.

     

     

     

    Jean :1: 49,50.

     

    Nathanaël répondit et lui dit: Rabbi, tu es le Fils de Dieu, tu es le roi d'Israël. Yeshoua lui répondit: Parce que je t'ai dit que je t'ai vu sous le figuier, tu crois; tu verras de plus grandes choses que celles-ci.

     

     

     

     

    Croyons que Yeshoua est le Messie. Qu’il est le Roi d’Israël  le fils de Dieu.

     

    Que cette fête de Hanouka soit pour nous même et pour le monde les lumières qui changent nos vies et qui changent ce monde perdu.

    Que ces lumières soient en nous le reflet de L’âme de Yeshoua qui vit en nous, en accomplissant la volonté de Dieu. Que nos lampes soient des lumières qui éclairent les autres qui cherchent la vrai lumière.

     

    Car plus il y aura des personnes rempli d’amour dans ce monde, moins la haine et la violence n’auront de pouvoir.  Car au bout d’un certain temps nous seront des lumières pour le monde, et toutes ses lumières ensemble formerons la royauté de Yeshoua.

     

     Car au bout du compte c’est l’Amour qui triomphera et Yeshoua sera reconnu le Roi d’Israël.

     

     

    Le dernier allumage se termine lundi soir 6 décembre.

     

    L.B 

     

    Shabbat shalom de Hanouka.

     

     

    Lecture de la parasha: Genèse: Chapitre 41 verset 

    1 à chapitre 44 Verset 17.

    Lecture de la haftarah: 1 Rois: Chapitre 3 verset 

    15 à chapitre 4 verset 1.

     

    Lecture messianique: Actes: Chapitre 7 verset 9 à 16.

     

     

     

     


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    Hanouka.

     

    Hanouka est une commémoration perpétuelle qui renouvelle la pensée que tout peut changer, en un instant, un miracle peut s’accomplir et changer notre vie. Une nouvelle vision de la foi.

     Une situation bloquée peut se défaire, une longue maladie peut se guérir car c’est la lumière qui change le mal en bien.

    La lumière qui était au commencement et qui a tout créé a aussi le pouvoir de recréé un corps malade où une situation compliquée car la lumière c’est Yeshoua. 

     

    Et celui qui croit verra la gloire de Dieu agir en lui et autour de lui.

     

    Cette fête est comme un départ, semblable à une course de relais, avec une seule flamme de la lumière de la menorah à 9 branches  va allumer les autres lumières.

    Et comme par une seule lumière, elle va passer le relais et allumer une autre âme et ainsi de suite.

     

    La Menorah à 9 branches appelée Hanoukia  à pour habitude ( si c’est possible ) de se placer devant une fenêtre.

     Comme pour dire à ceux du dehors, regardez ici dans cette maison il y à la lumière de Dieu. 

     

    Ici  l’Esprit de Dieu y réside.

     

    Cette fête aux racines Juives était commémorée quand Yeshoua était encore résidant dans ce monde. A Jérusalem il allait au temple pour la fête de Hanouka.

     

     Jean 10: 22;30.

     

    -On célébrait à Jérusalem la fête de Hanouka (la Dédicace). C'était l'hiver. Et Yeshoua se promenait dans le temple, sous le portique de Salomon. Les religieux l'entourèrent, et lui dirent: Jusques à quand tiendras-tu notre esprit en suspens? Si tu es le Messie, dis-le nous franchement. Yeshoua leur répondit: Je vous l'ai dit, et vous ne croyez pas. Les oeuvres que je fais au nom de mon Père rendent témoignage de moi. Mais vous ne croyez pas, parce que vous n'êtes pas de mes brebis. Mes brebis entendent ma voix; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père. Moi et le Père nous sommes un.

     

     

    Car Dieu, a dit: La lumière brillera du sein des ténèbres! a fait briller la lumière dans nos coeurs pour faire resplendir la connaissance de la gloire de Dieu sur la face du Messie.

     

     

    Pour commémorer Hanouka il faut procéder de cette façon.

     

    Donc ce soir Dimanche 28 novembre on allume une bougie ou fiole d’huile cette première flamme est appelée shamash c’est-à-dire qu’elle sert à allumer les autres bougies.

    Donc on commence par allumer ce shamash puis avec cette flamme on allume une autre bougie ce premier soir il y a donc deux flammes qui brillent, puis demain soir on commence par allumer le shamash, qui va servir à allumer deux bougies, il y a donc 3 flammes qui brillent, puis le troisième soir on recommence on allume le shamash et avec le shamash on allume trois autres flammes et ainsi de suite durant Huit jours. Le dernier soir la Hanoukia doit être toute éclairée.

     

    Durant tous ses allumages on réalise que Dieu est venu éclairer notre vie et que maintenant nos lumières doivent éclairer les autres, c’est le moment aussi de demander des miracles car le moment est propice.

     

     

    Cette fête est suivie de festivités joyeuses et pour la tradition le plus est de manger des beignets et de faire tourner les petites toupies. Car nos actions sont comme des gestes prophétiques, nous annonçons que notre lumière soit diffuse sur ce monde, et que Yeshoua soit reconnu le Messie l’Envoyé de Dieu pour nous sauver.

     

    Ont ne fait pas le pain ni le vin pour cette commémoration.

     

     

     

     

    Prières devant l’allumage de chaque soir;

     

     

    Prières devant la Hanoukia. 1, 2 et 4 tous les soirs le 3  en plus seulement le  premier soir.

     

     

     

     

     

     

    1

    BAROU’H ATA ADO-NAÏ ÉLO-HÉNOU MÉLÈ’H HAOLAM ACHÈR KIDÉCHANOU BÉMITSVOTAV VÉTSIVANOU LÉHADLIK NÈR ‘HANOUCCA.

    Béni sois-Tu, Eternel notre Dieu, Roi de l’Univers qui nous as sanctifiés par Ses Commandements et nous as ordonné d’allumer les lumières de ‘Hanouka.

     

    2

    BAROU’H ATA ADO-NAÏ ÉLO-HÉNOU MÉLÈ’H HAOLAM CHÉASSA NISSIME LAAVOTÉNOU BAYAMIME HAHÈME BIZMANE HAZÉ.

    Béni sois-Tu, Eternel notre Dieu, Roi de l’Univers qui a fait des miracles pour nos pères en ces jours-là, en ce temps-ci.

     

     

    Le premier soir que le 3.

     

    3.

     

    BAROU’H ATA ADO-NAÏ ÉLO-HÉNOU MÉLÈ’H HAOLAM CHÉHÉ’HÉ-YANOU VEKIYÉMANOU VEHIGUIANOU LIZMANE HAZÉH.

    Béni sois-Tu, Eternel notre Dieu, Roi de l’Univers qui nous a maintenus en vie, nous a préservés et nous a permis d’atteindre ce moment-ci.

     

     4.

    Après chaque allumage on récite

    Nous allumons ces lumières pour commémorer, les miracles et les merveilles que Tu as accomplis pour nos ancêtres, en ces jours-là, en ce temps-ci, par l’intermédiaire de Tes saints Cohanim. Pendant les huit jours de ‘Hanouka, ces lumières sont sacrées et nous n’avons pas le droit d’en faire un quelconque usage, mais uniquement de les regarder pour remercier et rendre grâce à Ton grand Nom pour Tes miracles, pour Tes merveilles et pour Tes délivrances.

     

     

    Je souhaite à tous une bonne fête de Hanouka que nos lumières éclairent le monde par le rayonnement de Yeshoua.

     

    Lecture conseillé; les lectures conseillé sont zacharie2:14,4 à 7. Jean: 10:22 à 39. 

    L.B

     


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  • Le salut vient des Juifs.

     

    Cette semaine c’est la parasha Vayéchev qui nous enseigne, mais elle se complète avec la fête de  Hanouka qui commence dimanche soir 28 novembre 2021 par le premier allumage de la menorah à 9 branche appelé Hanoukia, allumage qui durera 8 jours.

     

    La parasha s’ouvre sur Joseph.

    Joseph symbole du prédestiné. Cette lecture mentionne aussi Juda symbole de l’élu.

     

    Joseph préfiguration de Yeshoua vendu par ses frères, ils lui ôtèrent le manteau indigo, ce jeune prédestiné pour accomplir une mission. 

    La prédestination donnée pour les nations en Yeshoua. Prédestination conçu en Adam le premier homme qui contient toutes les âmes.  Prédestiné à être sauvé.

     

     

    Juda est un élu qui doit perpétué  le Nom par le sang c’est la lignée messianique, la transmission, le petit reste d’Israël.

     

    -L’histoire de Juda: Il doit marier son premier fils Er  à Thamar, mais il meurent faute de désobéissance envers Dieu, du coup il propose à son deuxième fils Onan de se marier avec sa belle soeur, mais lui aussi ne veut pas concevoir avec elle, il meurt aussi. 

     

    (-Le texte précise que Juda dit à son deuxième fils qu’il doit absolument constituer une postérité selon qu’il sont soumis à la loi du Levira sous peine de mort. Cette loi qui est sur eux selon que Dieu a décidé.

     

    La loi du Lévira veut dire: « Frère du mari », afin de perpétuer le Nom par le sang.

    dans la lignée messianique  le Levira est important.)

     

    Comme l’affaire échoua, mais que la lignée doit continuer ce qui arriva quoique non conventionnel arriva. Juda croyant allé voir une prostituée coucha avec Thamar qui fut déguisé. De cette union naquit des jumeaux  Pereç et zerah dont l’un seul Pereç perpétua la lignée messianique. Car il enfanta Esrom qui enfanta Aram ………. jusqu’à David qui fut Roi ainsi que son fils Salomon qui enfanta Roboam …….  pour finir avec le lien familial  de Myriam et Joseph d’ou naquit Yeshoua du Nom et du sang.

     

    Et de Yeshoua la chose change; pour tous ceux qui étaient prédestinés, ils deviennent alors les élus.

     

    Paul le juif dira au sujet des juifs:

     

    Ephésiens: 1: 3,4

     

    Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Yeshoua, qui nous a bénis de toutes sortes de bénédictions spirituelles dans les lieux célestes dans le Messie! En lui Dieu nous a élus avant la fondation du monde, pour que nous soyons saints et irrépréhensibles devant lui, 

     

     

    Et  c’est en Yeshoua que la prédestination s’accomplit par son adoption. 

     

     

     

    5 à 11.

    Nous ayant prédestinés dans son amour à être ses enfants d'adoption par Yeshoua le Messie, selon le bon plaisir de sa volonté, 6la louange de la gloire de sa grâce qu'il nous a accordée en son bien-aimé. 7En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce, 8que Dieu a répandue abondamment sur nous par toute espèce de sagesse et d'intelligence, 9nous faisant connaître le mystère de sa volonté, selon le bienveillant dessein qu'il avait formé en lui-même, 10pour le mettre à exécution lorsque les temps seraient accomplis, de réunir toutes choses en Christ, celles qui sont dans les cieux et celles qui sont sur la terre. 11En lui nous sommes aussi devenus héritiers, ayant été prédestinés suivant la résolution de celui qui opère toutes choses d'après le conseil de sa volonté, 

     

     

    -Car nous sommes la postérité de Jacob mais cette postérité étant établie en douze tribus,  c’est en Juda que se perpétue la lignée juive messianique  selon le bon vouloir de Dieu. Car tous  ne sont pas des juifs. 

    Mais nous sommes tous prédestinés à être sauvés.

     

     Quoi que l’histoire a rendu incertain qui est juif et qui ne l’est pas.  Ce qui est sûr c’est que le juif élu c’est en Yeshoua qu’il est élu.

     

    Dans cette rivalité persiste le droit d’ être le parfait dignitaire du Messie.

    L’important étant de savoir où l’on va et pas d’où l’on vient.

    Car la persistance à vouloir s’approprier la vérité sous couvert de la religion ne force que cette dualité.

     

     

    Cette rivalité judéo chrétienne n’a fait qu’éloigner les croyants des uns des autres.

     

    Si chacun détient une vérité juive de la Torah alors que les chrétiens ont reçu le messie, il convient maintenant de comprendre que ces deux vérités mises ensemble sont l’événement le plus grand que Dieu nous ait donné de connaître et de comprendre.

     -Juifs et nations prédestinés pour être sauvés par Yeshoua, car Il est la seule vérité !

     

    Depuis toujours cette confrontation n’a fait que diviser les juifs des nations, et cette division continue et chacun y va de  ses convictions.

     

     

     

     

    L’histoire de Barrabas témoigne de l’antisémitisme naissant.

    Bibliquement le retracement des faits laisse à penser que c’est les juifs qui ont voulu tuer le Messie.

    Mais force est de constater que Pilate ayant consulté les autorités religieuses  pour savoir qui il devait libérer  entre Barrabas ou Yeshoua. 

     Les religieux on voté de libérer Barrabas. 

     

    Mais toute la question est de quelles autorités religieuses s’agissait- il ?

    Juives où Romaines?

     

     Car si c’était les juifs, jamais ils n’auraient condamné un juif, car la loi l’interdit.

    Seules les autorités religieuses  romaines  condamnés à mort.

     

    Selon le grand sage juif Maïmonide:

     Les juifs ne prononcent pas  la peine de mort,  étant toujours accusé par les Chrétiens sur la compréhension  de la loi. Voulant toujours accuser les juifs d’avoir tué ce Juif (Yeshoua).

     

     

     

    -Les experts traitant des sujets bibliques  maintiennent que les écrits bibliques s’évertuent à dissimuler la vérité sur le sujet, minimisant siècle après siècles par un procédé  littéraire laissant à  penser que c’est les juifs qui ont voulu la mort du Messie.

     

    Jusqu’aux  dernières expertises  qui confirment que l’autorité religieuse qui  décida de la mort de Yeshoua n’est pas Juive.

     Donc c’est depuis l’origine des faits que la persécution juive à délibérément exclu les juifs des assemblées de Yeshoua.

     

     

    Les historiens ont conclu que c’est l’aristocratie romaine et non les juifs qui ont condamné Yeshoua.

     

    -Cette histoire de rivalité  n’a de but que la séparation entre juifs et chrétiens.

    Alors que tout le but d’un croyant c’est d’être dans l’unité entre la Torah et Yeshoua qui n’est qu’un.

     

    Et malgré cette divergence il est quand même une lignée celle de Juda qui persiste à survivre en passant au-dessus de toute cette confusion de religion.

     

    Car le croyant qu’il soit juif où pas, sa seule raison d’être est de passer outre les raisonnements religieux des communautés fermées mais de connaître et vivre selon la volonté de Dieu. Et la volonté de Dieu c’est de faire vivre Yeshoua qui vit en nous par une alimentation continue que diffuse la Torah.

     

    Car ceux dans la Torah sans Messie sont pauvres et ceux dans le Messie sans la Torah sont dans la famine.

     

    Le salut vient des juifs car le Messie c’est Yeshoua, dont il est écrit sur le bois de son sacrifice « Roi des Juifs ».

     

     

    Et comme chaque histoire non résolue, elle se perpétue dans le conformisme de chacun.

     

    Mais celui qui cherche la vérité, trouve en son coeur la réponse.

     

     

     

    Et ce qui vient donne une réponse!

     

     

    Voilà nous approchons les fêtes de fin d’années et d’un côté les juifs avec Hanouka et les chrétiens des nations emprisonnés se sont condamnés avec ce Noël qui n’est qu’une invention des autorités religieuses chrétiennes.

     

    Comme par un sentiment de supériorité et d’antisémitisme créant un événement ressemblant à Hanouka, mais sortie de leurs propres illusions afin que la séparation entre juifs et chrétiens s’accentuent de plus en plus.

     

    Hanouka c’est une commémoration d’un événement relatant le fait qu’une famille juive cherchant dans les ruines du temple les vestiges du passé glorieux, ont trouvé l’un des vases contenant  l’huile qui alimenté la flamme de la menorah.

     

     

    -Quelle extraordinaire merveille que de trouver la lumière ensevelie dans nos décombres, de siècles, de confusions.

     

    Hanouka c’est la révélation de la plus grande vérité que le ciel nous ait donnée

     

    La lumière de Yeshoua dans notre temple, la révélation de la Torah qui c’est fait Chair en Yeshoua, la Torah qui renvoie cette lumière devant nos yeux comme une évidence que le peuple juif et les chrétiens unis c’est plus qu’une lumière réunis sur le monde c’est comme un éclatement capable de démolir le mal, et ses mensonges et en faire sortir le jaillissement et l’intensité de la radiation du Messie Yeshoua.

     

    Hanouka en est l’exemple! 

    Cette fameuse fiole d’huile fut rallumée le 25 du mois hébraïque, mais n’étant jamais à date fixe, car basé sur un calcul lunaire.

     

    La copie falsifiée de religieux romains ont décidé d’une fête de lumière le 25 décembre. La plus grande des  décisions anti-messie. Une copie grotesque, une moquerie pour les non croyants 

     

    Les érudits, les historiens, les experts sont formels, le 25 décembre ne correspond pas à l’événement de la naissance de Yeshoua, mais correspond à des événements de commémorations de fêtes des entités relevant de la superstition et la magie.

     

     

     

    Cette année Dieu nous donne de faire le choix de l’unité entre les juifs et les croyants de la lignée messianique tous unis pour Hanouka.

    L’unité dans la vérité de la lumière qui dès le commencement nous a prédestiné à devenir des élus par le temple que nous devons former tous unis.

     

    La fête de Hanouka commémore les retrouvailles de la Torah c’est la plus haute symbolique qui puisse nous être donnée.

    Retrouver la Torah enfouie en nous c’est la vérité absolue c’est recevoir le Messie Yeshoua le plus haut degré spirituel que nous puissions comprendre, sur ces 9 lumières qui nous éclairent.

     

    Après avoir lutté contre le culte de jésus sans identité juive, culte gréco romain. Et renoncer à célébrer cet anniversaire d’un dieu étranger selon les croyances païennes. 

     

     

    Hanouka c’est le miracle, de retrouver cette lignée messianique qui nous porte depuis le commencement, et dont notre âme se languit de retrouver les étincelles de lumières.  

     

    Les retrouvailles en célébrant cette fête juive avec Ce Juif Yeshoua qui est venu nous donner le salut  dont nous étions prédestinés pour l’éternité.

     

    Shabbat shalom

     

     

    Parasha Vayéchev: 9 : du samedi 12 décembre 2020.

    Lecture de la parasha: Genèse: Chapitre 37 verset 1 à chapitre 40 verset 23.

    Lecture de la haftarah: Amos: Chapitre 2 verset 6 à chapitre 3 verset 8.

    Lecture messianique: Actes: Chapitre 7 verset 9 à 16. 

     

     

     

     

    Suite de Hanouka dimanche (si possible).

    L.B

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    C’est clair comme de l’eau de roche.

     

     

     

    La parasha Vaychlah  commence par:  Jacob envoya des messagers en avant vers Esaü son frère, pour lui dire :

    Ainsi parle ton serviteur Jacob: J’ai séjourné chez Laban et prolongé mon séjour jusqu’à présent. J’ai acquis boeufs et ânes, menu bétail , esclaves mâles et femelles; je l’envoie annoncer à mon seigneur, pour obtenir  faveur à ses yeux.

     

    -Mais il faut revenir en arrière dans les derniers versets de la parasha précédente: qui termine par: 

     

    « Jacob poursuivit son chemin; et des anges de Dieu le rencontrèrent. En les voyant, Jacob dit: C'est le camp de Dieu! Et il donna à ce lieu le nom de Mahanaïm. »

     

    On voit ici que Jacob est constamment guidé par des messagers célestes qui lui parlent en songe ou en réalité, pour lui dire ce qu'il doit faire.

     

    Le verset ne dit pas ce que lui dit l’ange mais Jacob appela cet endroit « Mahanaïm ».

    Et c’est là toute l’interpellation.

    Mahanaïm veut dire » deux camps ».

     

    - Et donc on repart avec notre parasha Vaychlah et voila que Jacob sait qu’il doit séparer tous ses biens ainsi que sa famille en deux camps.

     

    -Jacob est entièrement guidé  par Dieu, il prie et Dieu lui répond.

     

    _Puis il va supplier Dieu d'intervenir!

    Jacob dit: Dieu de mon père Abraham, Dieu de mon père Isaac, Eternel, qui m'a dit: Retourne dans ton pays et dans ton lieu de naissance, et je te ferai du bien! Je suis trop petit pour toutes les grâces et pour toute la fidélité dont tu as usé envers ton serviteur; car j'ai passé ce Jourdain avec mon bâton, et maintenant je forme deux camps. Délivre-moi, je te prie, de la main de mon frère, de la main d'Esaü! car je crains qu'il ne vienne, et qu'il ne me frappe, avec la mère et les enfants. Et toi, tu as dit: Je te ferai du bien, et je rendrai ta postérité comme le sable de la mer, si abondant qu'on ne saurait le compter.

     

     

    Il eut l'idée d'envoyer des cadeaux à son frère et se dirigea vers le Gué de Jabbok pour y faire passer sa famille et lui-même.

     

    Cette idée lui fut inspirée par Dieu.

    -Il se leva la même nuit, prit ses deux femmes, ses deux servantes, et ses onze enfants, et passa « le Gué de Jabbok. » .

     

    Il les prit, leur fit passer le torrent, et le fit passer à tout ce qui lui appartenait.

     

     

    A  ce moment-là une lutte entre l’âme d’Esaü et l’âme de Jacob, va changer l’avenir.

     

     

    Car aucune réconciliation ne peut se faire si il n’y a pas de pardon.

     

    « Jabbok » en guematria hébraïque est : 112. 

     

     « Cette eau de  Jabbok » en gematria ATBASH c’est-à-dire en miroir donne « MASHIAH = 112 ».

     

    Le Gué de Jabbok  est un lieu de rencontre avec celui qui a pris tous nos péchés et nos pardons.

     

    Le Gué de Jabbok est un endroit de passage à pied.

     

    Les Gué quelques y soient sont des passages naturels au milieu des cours d'eau, comme un affaissement de la terre qui fait qu'il n'y a pas de profondeur d'eau, on peut y passer en ayant de l'eau que jusqu'aux chevilles.

    Cette symbolique nous ramène bien évidemment au pardon.

     

     

     

    D’ores et déjà on comprend ce que préfigure ce petit cours d'eau: "Le pardon".

     

    -« Jabbok » veut dire; celui qui se vide;

     

     

    Jacob demande pardon à l’âme de son frère et demande pardon à Dieu ainsi qu’il pardonne aussi que son frère ait voulu le tuer.

     

    Jean 13:5.

    Ensuite il ( Yeshoua) versa de l'eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint. 

     

    Sur le lavage des pieds dira Yeshoua:

    -Celui qui est lavé n'a besoin que de se laver les pieds pour être entièrement pur; et vous êtes purs, mais non pas tous. 

    Le lavage des pieds c’est  se pardonner constamment les uns les autres de  nos offenses, nos plaintes, nos discordes. Car Yeshoua nous a purifié les mains et tout le corps mais lorsque nous marchons dans le camps de la colère, de la médisance, de la moquerie, de l’insulte,  etc…nous péchons envers les autres, si quelqu’un nous a offensé par ses critiques nous devons absolument pardonner afin que l’âme de la personne ne nous attaque plus.

     

    Des fois on peut rester coincer dans un problème faute de pardon. Car Dieu a dit: Si vous ne vous pardonnez pas les uns les autres moi je ne vous pardonnerez pas aussi, sous entendu qu’il ne nous pardonne qu’à la condition que nous pardonnons et que nous demandions pardon.

     

    C’est pourquoi « Jabbok »  est un petit cours d'eau, bas juste pour laver les pieds  comme Mashiah Yeshoua nous l’a enseigné.

     

     

     

     

     

     

    Jacob et Esaü avaient noué de la haine l'un envers l'autre, les quatre femmes Rachel, Léa, Bilha, Zilpa avaient beaucoup de jalousies entre elles et les enfants aussi avaient entretenu une certaine jalousie.

    En passant par le Gué de Jabbok, le verset nous instruit sur la repentance qu'ils ont fait les uns vis-à-vis des autres.

    Car l'amertume, et les ressentiments qui ruminent ne pourront pas laisser agir Dieu pour intervenir favorablement pour stopper Esaü animé de haine.

     

     

     

    Le Pardon spirituel devant Dieu au Gué de Jabbok, c’est le pardon de réparation de ce qui est spirituel , car l’âme est de Dieu. et c’est en comprenant cela que l’on, comprend pourquoi Jacob dira « J’ai combattu avec Dieu et qu’il nommera ce lieu Peniel.

    Il y a donc le pardon charnel qui se fait devant la personne et le pardon spirituel qui se fait devant Dieu.

     

     

     

     

    Le pardon apporte la paix le shalom pour que Yeshoua puisse aller au combat lui-même pour nous protéger du mal.

     

    Le pardon c'est la force qui agit puissamment dans ce monde.

    Mais pour aller plus loin si on reprend le texte Yeshoua, se leva de table, ôta ses vêtements, et prit un linge, dont il se ceignit.

     

    Yeshoua se ceignit.  « Ceindre » veut dire: se préparer au combat,  lutter, lier. 

    Ceindre c’est aussi: ligoter, attacher, sangler, lier.

     

    Jacob nous instruit qu’il a lié tous les esprits mauvais, tout ce qui l’a opposé à son frère. Par le pardon!

    Il a lié ses forces pour les contraindre à les rendre inertes. 

    La force de Jacob c’est cette lutte  et le pardon car l’ange lui dira  après le combat: « Ton nom sera Israël ».

     

    « Israël » qui veut dire: Celui qui a résisté face aux pouvoirs. Celui qui a gagné devant les forces. Celui qui a le dessus, l’avantage. Triomphe; Il sera le prince de Dieu.

     

    Jacob s’est repenti devant Dieu d’avoir mal agi.

     

    Jacob cherche toujours l’avis de Dieu.

     

     

     

    Aussi la parasha:

    Jacob sait que son sort dépend de son état spirituel.

    Il sait que son frère Esaü est son pire ennemi, il sait que son destin est entre les mains de son frère.

     

    Ce texte se réfère à la lettre hébraïque « Ayin, ע »  .

    Cette lettre hébraïque se définit comme un oeil qui regarde vers l’intérieur.

    La lettre Ayin c’est l’oeil de Dieu où aussi la source de Dieu.

     Jacob cherche ses réponses en lui là où Dieu va lui répondre.

     

    -La valeur de cette lettre est 70  qui veut dire: Nécessité de changer de regard sur une situation.

     La puissance du Ayin c’est le symbole de la révélation, la vision. Chercher la réponse en Dieu. 

     

     

     

    Et de plus  encore la lettre lui révèle ce pardon par Yeshoua.

     

    Car sa valeur de  70 dévoile le mystère : « Le vin de la coupe".  

     C’est le nombre de l’avènement universel,  le vin sera le sang de Yeshoua. Le vin de la coupe  du pardon sera versé par le sang du sauveur.

     

     

    Cette parasha au travers de cette lettre décrit le pardon que nous donne Yeshoua, par le pardon Il nous donne accès à la liberté.

     Ayin c’est Yeshoua qui comme un guide nous enseigne ce que l’on doit faire.

    Ayin apporte la vision  nécessaire pour sortir d’une situation bloqué, 

    Ayin c’est l’escorte de Yeshoua qui marche devant nous, si nous faisons ce qu’il faut.

    Ayin c’est le pardon.

     

    Sans pardon Dieu n’agit pas.

     

     

    Le pardon fait s’écrouler les murs, fait tomber l’orgueil et les mauvaises ambitions, les têtes tombent  et les fausses idées tombent aussi.

    Penser que c’est que l’autre qui a tort, se remettre en question c’est commencer le pardon.

     

     

     

    Jacob lutte avec Esaü il aura sa hanche déplacée qui le fera boiter ce symbole nous rappelle que nous  devons être humble car c’est par orgueil qu’on ne pardonne pas, c’est par orgueil qu’on pense qu’on a toujours raison.

     

    Jacob est resté boiteux comme Paul de Tarse parce qu’il avait d’excellente révélation de Dieu afin qu’il ne s’enorgueillisse pas. 

     

     

    2 Corinthiens:12: 7,à 9.

     

    Et pour que je ne sois pas enflé d'orgueil, à cause de l'excellence de ces révélations, il m'a été mis une écharde dans la chair, un ange de Satan pour me souffleter et m'empêcher de m'enorgueillir. 8Trois fois j'ai prié le Seigneur de l'éloigner de moi, 9et il m'a dit: Ma grâce te suffit, car ma puissance s'accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance du Messie repose sur moi.

     

     

     _Yeshoua c’est l’eau du rocher, c’est l’eau de la source qui purifie et qui pardonne.

     

     Comme Jacob allons au Gué de Jabbok , allons pardonner afin que Dieu nous pardonne aussi. Et que nous puissions être appelés Israël devant Dieu.

    Israël celui qui fait partie du peuple de Dieu.

     

     

    Se pardonner les uns les autres c’est prier les uns pour les autres. Car finalement nous sommes comme un seul être réunis par l’amour de Yeshoua.

     

    Nous comprenons que le problème de l’un c’est aussi notre problème. Son combat c’est mon combat car nous formons tous l’unique ÂME celle du Messie Yeshoua qui nous a rassemblé, pour former son Royaume .

     

    C’est par l’unité et par l’amour que nous sommes unis, tous reliés les uns aux autres.

    Tout l’univers est contenu en un seul être Yeshoua. Et si nous ne pardonnons pas nous ne pouvons pas être uni à cette immense Âme qui est Yeshoua.

     

    C’est en quelque sorte la priorité des priorités dans la vie du croyant.

    Car  le commandement c’est: d’aimer Dieu et de s’aimer les uns les autres, étant donné que l’autre a aussi l’Âme de de Dieu, et je suis donc aussi lié à son âme.

     

    Ne pas pardonner c’est ordonné la division et un royaume ne se divise pas .

     

    -Marc 3:

    Yeshoua les appela, et leur dit sous forme de paraboles: Comment Satan peut-il chasser Satan? 24Si un royaume est divisé contre lui-même, ce royaume ne peut subsister; 25et si une maison est divisée contre elle-même, cette maison ne peut subsister. 26Si donc Satan se révolte contre lui-même, il est divisé, et il ne peut subsister, mais c'en est fait de lui. 27Personne ne peut entrer dans la maison d'un homme fort et piller ses biens, sans avoir auparavant lié cet homme fort; alors il pillera sa maison.

    Je vous le dis en vérité, tous les péchés seront pardonnés aux fils des hommes, 

     

    -Comprendre que l’autre fait partie de nous dans l’union de l’âme  de Dieu aide a tout pardonner.

     

    Tel est la règle d’or:

     

    -Traites les autres comme tu voudrais être traité.

     Pardonnes aux autres comme tu voudrais être pardonné.

     

    תתייחס לאחרים כפי שהיית רוצה שיתייחסו אליך

     

     

    Que cette parasha soit pour nous un guide qui nous apprend le pardon.

     Et nous enseigne le pardon au delà de son immense pouvoir.

     

     

     

    L.B

     

     

    Shabbat shalom 

     

    Lecture de la parasha: Genèse: Chapitre 32 verset 4 (3) à chapitre 36 verset 43.

    Lecture de la haftarah: Osée :11: 7 à 12: 12 et Obadia: 1: 1 à 21.

    Lecture messianique: 1 Corinthiens 5: 1 à 13. Et Apocalypse: 7: 1 à 12.

     

      

     

     

     

     

     

     


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