• Les deux font la paire.

     

     

    La parasha Toledot c’est l’histoire des naissances.

    C’est l’histoire d’Isaac, mais ça pourrait-être aussi l’histoire de Rebecca.

    Le texte commence par: Voici les descendants d’Isaac fils d’Abraham Jacob et Esaü.

     

     

    Rebecca devint enceinte  de jumeaux cette grossesse difficile l’a amené à dire devant Dieu « Pourquoi se battent’ ils dans mon ventre. Si cela est ainsi pourquoi suis-je là  enceinte.

     

    Et l'Eternel lui dit: Deux nations sont dans ton ventre, et deux peuples se sépareront au sortir de tes entrailles; un de ces peuples sera plus fort que l'autre, et le plus grand sera assujetti au plus petit.

     

    Rebecca accoucha d’Esaü qui était roux et poilus et de Jacob qui tenait  de sa main le talon d’Esaü.

    Ces enfants grandirent. 

     

    Esaü eut faim, il demanda à son frère Jacob de lui donner son plat de lentille rouge contre son droit d’aînesse.

    Ce symbole nous annonce la couleur de ce qui se cache dans les lignes du texte.

    Les lentilles sont un plat de deuil.
     On comprend que Esaü renonce à sa vie, il meurt à son héritage terrestre, et c’est Jacob qui reçoit l’héritage spirituel. 

    Le spirituel prend le dessus sur le terrestre.

    Esaü élève son âme car ils sont une même âme.

     

     

     

     

    Esaü devint un habile chasseur, un homme des champs; mais Jacob fut un homme tranquille, qui restait sous les tentes. Isaac aimait Esaü, parce qu'il mangeait du gibier, et Rebecca aimait Jacob.

     

     

    Il y a un fait surprenant c’est que Isaac aimait Esaü et Rebecca aimait Jacob.

    On se demande: est-ce vraiment possible que Isaac se trompe?

     

    En fait l’explication c’est que le sens donné c’est que l’homme représente l’extériorité de l’être, et que la femme représente l’intériorité.

    La vie elle-même nous le montre en général par le modèle le plus proche de notre bon sens.

    Esaü l’homme est responsable de l’extérieur de la maison, il chasse, il travaille, il protège, il est fort pour le combat et l’armée, car il est créé pour cela.

    C’est dans ce sens que se révèle le verset, Isaac transmet à son fils Esaü sa masculinité. Il aime Esaü pour ce qu’il est.

     

    A travers Rebecca, Jacob reçoit sa partie intérieure, c’est par elle qu’il reçoit ce qu’il se passe à la maison. La femme est responsable de ce qu’il se passe à la maison. La vie intérieure qui s’exprime par la spiritualité.

    Jacob vit dans la tente, dans la maison.

     Esaü est la représentation extérieur de l’être humain, il est conçu pour ne pas laissé trop apparaître ce qui ce vie à la maison, il protège sa femme, c’est à dire son intériorité qui est spirituel.

    Ce qui est spirituel reste caché à l’abri des regards, à l’abri des dangers.

     

    Esaü et Jacob sont une complémentarité de l’être humain, les deux font la paire. Ils symbolisent l’être entier, celui que l’on voit et celui que l’on ne voit pas.

    On peut être spirituel à la maison et le caché devant le monde, au travail, dans certaine famille, devant les collègues, à l’école ou devant les voisins.

     

    Ce sens devrait être considéré car si on s’expose trop on se met en danger.

     D’ailleurs il est maintenant difficile d’afficher sa spiritualité, porter une étoile de David, une mézouza sur sa porte, une kippa, ou même parfois une croix, les symboles extérieurs peuvent devenir un danger pour nous.

     

    La parasha relate aussi le fait que Isaac dira à Abimelec que Rebecca était sa soeur ce qui confirme encore la réalité du sens. Isaac veut protéger son intériorité, ce qui est en lui sa spiritualité représentée par Rebecca. Il ne veut pas la présenter comme sa femme pour ne pas se mettre en danger.

     

    La sagesse féminine si elle est spirituelle, influence toujours l’homme, et ce qui se passe à l’intérieur est plus important que ce qui se passe à l’extérieur.

    La foi en Dieu c’est l’intériorité.

    L’homme a le devoir de prier, l’homme peut extérioriser dans les lieux appropriés sa foi. Quand l’homme prie dans son assemblé ou chez lui, il extériorise sa foi.

     

    La femme a le devoir et le privilège d’allumer les bougies de shabbat et en général d’organiser tout le shabbat, repas, pain etc… C’est un grand honneur que de faire entrer le shabbat dans sa maison. 

     

    Les femmes s’assurent aussi que ses enfants s’attachent à Dieu et qu’ils suivent le chemin de la sainteté.

     

     

     

    La parasha évoque la conversation entre un père et son fils au cours de laquelle il l’éduque sur  la pratique et la façon de faire, la transmission du père à  son fils, sur  le devoir qui est commandé aux hommes. 

     

    C’est l’homme qui apprend à ses enfants à avoir une bonne conduite à l’extérieur. Le père est le modèle pour les enfants,  honnêteté, persévérance, force et pudeur.

     

    Esaü et Jacob sont l’unité de Rebecca et Isaac.

    C’est l’être humain corps et âme. 

    Avant même leur naissance, ils luttent pour vivre dans le monde qui les attend.

     

    Nous avons à lutter et à comprendre que ce monde est contraire à Dieu et contraire au bien, il faut comprendre notre place dans ce monde, vivre pour Dieu sur terre c’est pas facile et ça ne va pas en s’arrangeant.

    Israël lutte pour sa survie, il est attaqué par les opposants à Dieu. Les actualités nous le prouvent.  Les opposants à Dieu n’ont qu’une idée: éradiquer Israël et le peuple qui vit pour Dieu.

     Il est important de choisir Dieu, mais il n’est pas nécessaire de s’afficher, en tant que croyants.

     Car de toute façon ce que Dieu regarde c’est notre coeur, notre foi qui est notre intériorité.

     

    Soyons comme des Esaü dans ce monde, fort et audacieux et soyons comme des Jacob à la maison devant Dieu.

     

    Nous sommes nés humains pour ce monde, mais nous sommes aussi nés spirituellement pour Dieu.

     

     

    En Isaac sera nommée pour toi une postérité, c'est-à-dire que ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu, mais que ce sont les enfants de la promesse qui sont regardés comme la postérité. 

    Il fut dit à Rebecca: L'aîné sera assujetti au plus jeune; selon qu'il est écrit: J'ai aimé Jacob Et j'ai haï Esaü.

     

    Car c’est notre corps qui sera assujetti à notre âme.

     

    Oracle, parole de l'Eternel à Israël par Malachie.

     

    Je vous ai aimés, dit l'Eternel. Et vous dites: En quoi nous as-tu aimés? 

     

    Esaü n'est-il pas frère de Jacob? dit l'Eternel. Cependant j'ai aimé Jacob, Et j'ai eu de la haine pour Esaü.

     

    C’est ce qui est la parole de Dieu. J’ai aimé votre âme parce que vous me l’avez offert en sacrifice en cela j’ai eu de la haine  pour  vos corps qui on touché la corruption de ce monde.

     

    Vous venez devant moi m’apporter des offrandes malades, et vous m’offenser.

     

     

    Cette parasha nous exhorte à faire de nous des croyants faibles aux  yeux du monde, mais aussi des personnes fortes devant  Dieu, pour vivre dans ce monde.

     

    Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes. 

     

     

    Et d’être des croyants fort devant Dieu. 

    Et cela dès que rentre le shabbat chacun de nous a laissé son Esaü, homme de la terre, pour devenir Jacob l’homme spirituel.

     

    Ce que nous engendrons en nous sera la meilleure part pour le Seigneur.  Car ce que nous engendrons en nous est le fils de Dieu Yeshoua.

     

    Il ne se verra pas de l’extérieur, car il est né à l’intérieur,  et ceux qui seront comme nous les héritiers de la promesse en Isaac le verront s’extérioriser en nous. 

     

    Car à la fin comme pour Jacob c’est lui qui reçoit la grande bénédiction de son père.

    Maudit soit quiconque te maudira, et béni soit quiconque te bénira.

     

    Nous aussi nous sommes bénis par le Père, protéger, et aimé. 

     

    Car Il dit:

     

     

     

    Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi.

     

    Shabbat shalom 

     

     

    L . B

     

     

     

    Lecture de la parasha : Genèse : Chapitre 25 verset 19 à chapitre 28 verset 9.

    Lecture de la haftarah : Malachie: Chapitre 1 verset 1 à chapitre 2 verset 7.

    Lecture messianique : Romains : Chapitre 9 verset 6 à 16. Hébreux : Chapitre 11verset 20 et chapitre 12 verset 14 à 17. 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Parasha Hayé Sarah du samedi 11 novembre 2023.

     

    L’union fait la force.

     

     

    La parasha Hayé Sarah veut dire: La vie de Sarah.

    Mais commence par sa mort. Elle meurt à l’âge de 127 ans. Abraham achète le champ d’Efron situé à Makhpéla en face de Mamré.

    Abraham acheta ce champ avec son grand caveau et avec tous les arbres qui étaient sur ce terrain dans ce pays de Canaan. 

     

    Il conclut la vente pour une offre d’achat de 400 sicles d’argent signé,  bon pour accord le: 1675 Avant J - C.

     

     

    L’acte fut consigné devant des témoins et jusqu’à ce jour, gardé en acte testamentaire éternel dans la bible Genèse  Chapitre 23 …

    Ce droit de propriété fut établi à l’ordre d’Abraham comme bien acquis, selon les règles notariales de l’époque.

     

     

    Cette vente a constitué une élévation de la valeur de cette terre, parce que le champ est sorti de la possession d’un homme ordinaire pour entrer dans celle d’un Roi.

     

    Ce périmètre de terre qui ne valait pas grand-chose à la base, mais qui  à prit une valeur inestimable, ce qui aujourd’hui encore provoque un tel acharnement à vouloir s’approprier cette parcelle qui détient les secrets de l’origine.

    A l’heure actuelle les tombeaux  des patriarches constituent un monument qui abrite des cénotaphes, construits au-dessus de tombes attribuées aux patriarches bibliques Abraham, Isaac, Jacob et à leurs épouses les matriarches Sarah, Rébecca et Léa

    Un édifice accolé au mur sud-ouest abrite un cénotaphe, attribué à Joseph. Il est l'un des endroits les plus sacrés du judaïsme et selon la tradition juive, la caverne est aussi le lieu de sépulture d'Adam et Ève.

     

     

    Ce site est divisé en deux; une synagogue juive occupe les trois cinquièmes du monument dans sa partie nord-ouest ; elle comprend une cour autour de laquelle sont construits des bâtiments, les deux cinquièmes restants dans la partie sud-est constituent la salle de prière de la mosquée musulmane. L'accès à celle-ci est sous contrôle israélien.

    Ce qui provoque toutes ces tensions entre ces deux partis depuis tant d’années, mais la preuve en est: 

     Le tombeau d’Abraham, Isaac et et Jacob  appartient aux juifs sans discussions possibles.

     

    La conquête musulmane ne se fit que par des tragédies et des massacres.

    Ces conflits qui durent des siècles empêchent les juifs d’accéder au sanctuaire en toute liberté.

     

    Depuis le 7 juillet 2017 l’Unesco à classé le site comme « Patrimoine mondial en danger ».

     

     

     

     

     

    L’Unesco a estimé que le tombeau des Patriarches à Hebron est un site palestinien, ce qui veut dire non juif, et que c’est un site en danger. Pas un site juif ? 

    Cette décision a provoqué un tollé en Israël.

     

    Donc on en est là!

     

     

    Abraham légua ses biens à Isaac, il lui légua tout ce qu’il possédait tandis qu’à ces concubines il leur fit des dons.

    Donc la terre est à Isaac et à sa descendance. Ce droit de propriété est donc à Israël.

     

    L’Eternel avait béni Abraham en toutes choses.

    Ce qui amène l’idée qu’il était comblé et heureux, il avait accompli sa part d’humanité pour ce monde il avait contribué à la réparation.

     Abraham avait été béni en tout. 

    La guematria de « en tout », bakol en hébreu est la même que celle de  « fils », Ben  en hébreu » étant donné que Dieu, l’avait béni en lui donnant un fils, il fallait que la bénédiction continue avec une femme pour son fils.

    Mais le sens de la phrase soumet l’idée qu’Abraham devait rester encore en vie, car il devait éduquer son fils pour lui transmettre l’héritage de sa terre en Israël,  par la descendance de son fils et petit fils, c’est parce qu’il est béni d’un fils qu’on peut dire qu’il est béni en tout.

    Car c’est cette descendance qui est héritière de la terre d’Israël et des secrets que renferme ces lieux. 

     

    Abraham apprend à Isaac que le libre arbitre est de choisir d’être une âme,  pas un corps, la bataille consiste à faire ce que notre âme veut et pas ce que notre corps ressent.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La parasha Hayé Sarah c’est aussi comprendre ce que l’on ne voit pas.

    En réalité la Torah n’est pas une question de lois, de rituels et d’histoire; En vérité la Torah est entièrement spirituelle,  notre côté humain ne décèle pas ses secrets,  nous ne pouvons pas voir ce côté directement, c’est pourquoi souvent on est arrêté que par ses lois, rituels, et histoires. Mais il faut aller voir ce qui se cache derrière ce que l’on croit être vrai, mais qui en fait ne l’ai pas.

    En chacun de nous se trouve une âme plus complexe et sainte que nous ne pouvons imaginer. Chaque incarnation a contribué à l'âme, chacune laissant l'âme plus élevée et complète qu'elle ne l'était auparavant. 

    Car, à l'intérieur de l'homme, il y a le secret de l'homme céleste. 

     

     

    La vie de Sarah

    Sarah en guematria donne 505 qui signifie « Princesse ».

    Ce qui sous-entend la Shekinah, la présence de Dieu, ce mot signifie littéralement être installé, habiter, ou résider, mot hébreu désignant une demeure. 

    Représenter par la lumière  qui nous habite . L’Esprit de Dieu incarné en nous.

     

    Sarah c’est la fin de l’exil de la Shekinah. Elle a accompli sa réparation. Sarah le principe féminin qui se traduit par le temple que forme l’unité des croyants; le monde a été crée par l’union des principes masculins et féminins et la réparation du monde ne s’obtiendra que par elle, c’est l’assemblée des croyants qui s’unissent avec Yeshoua.

     

    Car ceux qui appartiennent à la lumière et qui s'y font une demeure de tout leur cœur n'ont rien à craindre.

    Car les ténèbres sont créées pour disparaître, mais la lumière est pour toujours. « 

     

    La lumière est notre véritable lieu et la lumière est notre destinée.

     

    Cette parasha se concentre sur l’union entre Isaac et Rebecca.

    Ce couple qui est le modèle de l’union sacrée du mariage entre notre âme et le Messie Yeshoua. C’est cette union qui est notre force.

     

    Abraham cherche l’épouse pour son fils, il envoie Eliézer qui comme nous l’avons vu précédemment. Le prénom Eliézer  est un prénom qui veut dire: Dieu est mon secours, Dieu m’a secouru,  mon secours vient d’un miracle. C’est l’intervention de Dieu qui agit.

     

     Dans le sens c’est Dieu qui va agir, pour aller chercher la femme d’Isaac.

    Notre union avec le Messie se fait par un miracle, le miracle de la foi.

    Car il est écrit que celui qui croit verra la gloire de Dieu.

     

    C’est cette union entre Yeshoua et son peuple qui réalisera la réparation de l’humanité et l’anéantissement du mal.

     

    Rebecca c’est la préparation de l’épouse qui se prépare à rencontrer son Messie.

     

     

    Rébécca qui vient de l’hébreu רִיבְּקַה, Ribqah qui signifie : « celle qui a eu ce qu’elle désirait. ». Celle qui cherchait son sauveur. Celle qui est prête à faire ce qu’il faut pour être sauvée.

     

     Rebecca rencontre Isaac au puits:

     « du Vivant qui se révèle ».

     

    C’est le puits où se trouve Yeshoua, Il se révèle, Il vient vers elle,  

     

     

     

     

     

     

     

    Les mots du texte sont précis: Quand Rebecca  au loin vit Isaac, elle se met un voile comme pour se préparer au shabbat, elle se dirige dans la tente de Sarah avec Isaac, elle allume les bougies de Sarah le flambeau de la transmission.

     

     

     

     

    C’est le scellement des âmes, c’est à ce moment là qu’elle devient la femme d’Isaac. Car le shabbat c’est l’union des âmes.

    Là donc se révèle la plus belle des révélations.

    L’union de notre âme avec Yeshoua ne se concrétise qu’à shabbat.

    C’est ce que nous dévoile ce texte de façon spirituelle. 

     

     

    Le shabbat est comme un avant goût  de lune de miel entre le Messie et Son assemblé.

     

    Le shabbat c’est notre réparation, alors comme Abraham, Isaac, Jacob, Sarah, Rebecca et Léa nous aussi on doit réparer l’humanité en faisant notre part  dans ce monde. Car si le monde faisait shabbat, il y aurait tant de miracle, de guérison, de joie, de vie heureuse comme il est écrit dans notre texte.

     

    Abraham était comblé et heureux, il avait accompli sa part d’humanité pour ce monde il avait contribué à la réparation.

     Abraham avait été béni en tout. Il a transmis à son Fils la bénédiction du shabbat; et Isaac fut aussi béni en tout.

    Nous aussi nous pouvons être bénis en tout si nous honorons le shabbat. 

     

     

     

     

     

    Shabbat shalom 

     

    L .B

     

    Lecture de la parasha: Genèse : Chapitre 23 verset 1 à chapitre 25 verset 18.

    Lecture de la haftarah: 1 Rois : Chapitre 1 verset 1 à 31.

    Lecture messianique:  Mathieu: 8: 19,22. 27: 3,10. Romains; Chapitre 8 verset 19 à 22.  Luc; 9. 57,62.

     

     

     


    votre commentaire
  • Qui  vivra, verra.

     

     

     

    Quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?

     

    Celui qui croit en Yeshoua vivra, quand même il serait mort;

     

    La parasha Vayéra veut dire: Et Il apparut, ou il se montra.

     

    Abraham accueille trois personnages qui sont en réalité des anges.

    Dont l’un lui annonce la naissance de son fils Isaac, et les deux autres annoncent la destruction des villes de Sodome et Gomorrhe.

    Abraham plaide en faveur des habitants  de ces villes s’il s’y trouve des justes. Mais les pourparlers ne mènent à rien car dans ces villes les habitants étaient mauvais, seul Loth et sa famille furent distingués à cause de l’insistance d’Abraham. Comme quoi dés fois il faut pas trop insister, car à la fin ça tourne mal.

     

    Les deux anges arrivent le soir à Sodome. 

     

    Loth les reçut, ce qui déplut fortement à cette bande de fous  qui encerclèrent la maison pour les violenter, les anges examinant ces faces de criminels comme il est écrit: les hommes de sodome étaient violents et pervers à un haut degré.

     

    Loth voulut négocier avec ses terreurs, mais on ne négocie pas avec des gens dépourvus de sens humains et moral. Ils voulurent attraper Loth mais heureusement les deux anges firent venir l’obscurité sur eux de sorte qu’ils ne voyaient plus rien ce qui permit à Loth d’être libéré de leur mains. Car ces êtres diaboliques  voulurent  violenté et violé  les serviteurs de Dieu. 

     

     

     

     

    Les anges libérèrent Loth et sa famille un peu récalcitrante et les fit partir avant que Dieu envoie son armée de soufre et de feu tiré dans le ciel pour détruire ces villes envahies par des ravisseurs chargés de haine contre le peuple  et les  serviteurs de Dieu.

     

    L’un des anges dit: songe à sauver ta vie, ne te préoccupe pas de tes biens, laisse tout derrière toi fuis vers la montagne.

     

    Car une pluie comme des missiles vont tomber sur eux et ils sont exterminer une bonne fois pour toute.

     

    Cette étrange histoire qui résonne à l’heure juste de ce que nous vivons nous apprend qu’il est l’heure de regarder vers le ciel parce que le Messie veut se montrer, il veut se faire voir se faire connaître.

     

    Le récit de cet histoire d’Abraham avec ses anges nous apprend que les anges qui sont des serviteurs célestes comme des hommes ont été créés pour des missions bien précises. 

    Un est venu se faire connaître comme le fils de Dieu,  et les deux autres annoncent ce qui va arriver, ils sont les messagers, les témoins qui viennent nous enseigner comment se protéger, ils annoncent ce qui doit arriver.

     

    Si on reprend le texte  on voit que c’est le soir de Pessah, comme le dit Rachi.

    Nous sommes au temps d’Abraham bien avant le Pessah de Moïse.

     

    C’est là maintenant que l’on comprend que les anges sont venus enseigner à Abraham la fête de Pessah car tout commence à Pessah. Le réveil de la foi se vit à Pessah.

    Ainsi le merveilleux texte se lit comme la lecture de Pessah.  

     

     

     

    C’est dans cette nuit que l’obscurité  est venu sur  les sodomites tandis que Loth voyait la lumière.

     

    La parasha commence par Abraham vit 3 personnages. L’un est le Messie qui se présente à lui.

    Les deux autres lui annoncent ce qu’il doit faire. Ainsi Abraham décide de faire cuire le veau et de préparer les galettes.

     

    C’est le soir de pessah, La force d’Abraham c’est d’obéir à ce que Dieu lui dit.

     

    Il aura la victoire sur tous ces ennemis.

    On retrouve le même texte avec Loth, qui reçoit les anges, lui aussi prépare le veau, et  les galettes de pains sans levain. C’est parce qu’il obéit qu’il sera sauvé. Car il s’est trouvé le seul juste prêt à suivre le Messie.

     

    Le premier Pessah  d’Abraham se confirme par la lecture que nous lisons à Pessah.  

    Loth vécu cette même histoire. Qu’au temps de Moïse C’est dans cette nuit que l’obscurité  est venu sur  les égyptiens, tandis que  le peuple hébreux voyait la lumière.


    Les deux témoins qui représentent l’ancien testament et le nouveau testament,  les deux témoins enseigner à Abraham ce qui va arriver il comprend que la Torah sera l’enseignement qui  sera l’ombre des choses à venir le Messie en personne.

     

     

    Vayéra c’est l’enseignement de base de tout croyant. Elle constitue le départ de toute chose, 

    Car pour connaître le vrai Messie il faut commencer par connaître le Père.

     

     

    Vayéra annonce que le Messie se fait connaitre, il apparaît a Abraham l’homme juste et à Loth l’homme du monde. Yeshoua le Messie se fait connaître à tout le monde, même à celui qui est dans le péché, car Yeshoua vient pour sauver les pécheurs. Ce temps de Vayéra  est un temps pour chercher la lumière et chercher le Messie  Yeshoua. 

    C’est un temps où il se fait connaître.

     

    C’est un temps difficile propice pour se tourner vers Dieu.

     

    Le monde est dans la tempête et la lumière se fait voir.

     

     

     

    Il est important pour tous de prier pour que  la lumière soit au bout du tunnel, que la lumière illumine Israël et toutes les nations encore aveugle.

     

     

    Beni soit celui qui vient car sa lumière va engloutir tous nos ennemis.

     

    Car celui qui croira à la lumière vivra  car la lumière est Yeshoua le Messie.

     

     

    Abraham dit « me voici » en hébreu « Hinéni » cette affirmation pour dire devant Dieu, je suis prêt à te suivre et faire ce que tu me diras de faire, nous rappelle que si l’on s’engage à dire devant Dieu « me voici » pour te servir cela implique une adhésion à la Torah, non juste comme un récit historique mais avec la foi que Dieu nous dessille les yeux afin de comprendre et d’accepter que la lumière du Messie Yeshoua, vient nous éclairer pour que la foi comme à Abraham puisse nous donner de voir la patrie céleste à laquelle la promesse nous  a été destiné. Car il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l'architecte et le constructeur. Comme la foi  d’Abraham qui fut l’ assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas.

     

    Seigneur hinéni « me voici » je veux te connaitre encore plus en esprit et en vérité, je veux que tu m’augmentes la foi pour que je puisse comprendre ma part des mystères de ta Torah pour te servir utilement tous les jours de ma vie.

     

     

     

    Shabbat shalom

    L . B 

     

     


     

    Lecture de la parasha : Genèse: Chapitre 18 verset 1 à chapitre 22 verset 24.

    Lecture de la haftarah : 2 Rois : Chapitre 4 verset 1 à 37. 

    Lecture messianique: Luc: 17:26, 3. Hébreux: 6: 13 à 20. Et 11: 13 à 19.

    Romains: 9: 6-9. Galates: 4:21-31.

      

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    La force d’Abraham.

     

    Dieu s’adresse à Abram et lui dit: Quitte ton lieu de naissance, déracine toi de cette terre, car tu dois devenir une grande nation.

    Il part avec Saraï sa femme, Tèrah son père et Loth son neveu, ses bergers et ses troupeaux. 

    Ils parcourent la terre d’Israël, puis atteignent le Neguev, puis une famine les poussent à aller en Egypte.

     

    Après que les troupeaux d’Abram et de Loth se soient multipliés, ils se séparèrent. Loth choisit la plaine de Sodome, et Abram partit pour Canaan,  s’établir aux Chênes de Mamrés, près d’Hébron.

     

    Une guerre éclata entre les Rois de Sodome de Gomorrhe de  Kerdorlaomer et ces contrées  avoisinantes. Kerdorlaomer Roi d’Élan dominait l’Iran jusqu’aux frontières de  l’Egypte.

     

    Un jour Abram apprit que Loth et sa famille avaient été kidnappés, pris en otage par le Roi de Sodome.

     

     

    Abram poursuit les auteurs de cette prise d’otage  avec 318 vassaux. 

     

    318 de ses plus braves guerriers les attaqua de nuit à Dan, et les poursuivit jusqu’à Damas, en Syrie, d’où il ramenèrent Loth et les autres otages.

     

    A son retour Abram est béni par Melchisédeck Roi de Salem.

    Abram veut être père il enfante à agar la servante arabe un fils qui se nomme Ismaël.  Puis treize année plus tard c’est avec Saraï qu’il eut un fils nommé Isaac, qui sera l’héritier de la grande nation.

    Dieu ordonne la circoncision  comme signe d’alliance.

    L’Eternel dit que c’est à ta destinée que je destine la terre d’Israël, tout son territoire.

     

     

    L’histoire d’Abram fut très compliquée, il vécut beaucoup d’épreuves, il fut très affecté lorsqu’il apprit que son neveu Loth et sa famille furent pris en otage.

     

    Loth avait certainement fait le mauvais choix d’aller vers sodome ville de la débauche
     Mais Abram se devait d’aller les libérer.

    Abram envoya 318 soldats de sa milice, vers les 4 puissantes armées animés de violence, et de haine.

     

    Abram était avec Eliézer. Selon les exégètes  de la Torah quand il est dit qu’Abram envoya 318 soldats, en faîte ça veut dire qu’il partit seulement avec  Eliézer.

    Eliézer  a pour guematria 318.

     L’étymologie de l’écriture  de ce nom en confirme le sens Eliézer parti seul, devant les 4 gouvernements de la terreur. 

     

    Eliézer exprime l’idée d’une conviction suivant laquelle on place notre confiance en Dieu. Être capable de dépasser toutes nos craintes, toutes nos limites, c’est avoir la foi dans la prière. 

    Eliézer exprime l’aide de la prière de la foi. C’est un dépassement de soi qui nous ouvre une autre possibilité  de sortir du problème dans lequel on est, une solution inespérée une solution qui vient de Dieu.

     

    Par la prière de la foi nous pouvons nous dépasser d’une situation sans issue, une situation décourageante. 

    Par le biais de la prière de la foi, celle qui vient du plus profond du coeur nous pouvons nous  dépasser de ce qui est insurmontable. C’est avec cet état d’esprit qu’Abram  et Eliézer sont partis affronter les organisations qui produisent la terreur.

     

     

    Le prénom Eliézer  est un prénom qui veut dire: Dieu est mon secours, Dieu m’a secouru,  

    mon secours vient d’un miracle.

     

    Eliézer ramène au prénom Lazare, et c’est cette ouverture qui nous fait comprendre qu’un miracle peut arriver. Tout est possible.

    Lazare était mort il fut ressuscité, tout peut arriver si nous croyons au miracle et que nous prions pour que Dieu envoie un miracle.

     

    Le titre de notre parasha Lekh Lekha qui veut dire:  Va, part pour toi, où, va, part chercher en toi,

    s’inspire de cette idée  Va en toi chercher du secours.

    L’idée de la parasha c’est d’aller chercher la force qui est en nous.

     

    On retrouve la même forme grammaticale dans le verset Genèse 22: 2 

     

     

    Leck lekha » quand Dieu dit à Abraham « Va part pour toi » au pays de Morija  pour m’offrir ton fils unique.

     

     Ce qui donne la révélation du sens caché de cette parasha. 

    «  Va chercher le FILS qui est en toi ».

     

    On comprend tout de suite le sens où veut nous mener cette parasha : Va chercher en toi LE FILS « Yeshoua », ou plus précisément « Va chercher l’Esprit Saint de Yeshoua qui est au fond de toi. »

     

    Va chercher le sacrifice qui vit en toi.

     

    La force d’Abram c’est la foi qu’il a trouvé en Dieu.

     Abram fut béni par Melchisédeck 

    Melchisédeck préfigure le Messie. 

    Melchisédek  qui est aussi l’expression du  Roi de justice c’est l’étincelle qui annonce le fils.

    Il y est présenté comme « roi de Salem » et « prêtre du Très-Haut » (El-Elyôn). 

     

     

    Dans l’épitre aux hébreux: Yeshoua  est déclaré « Grand prêtre pour toujours » à l'image de Melchisédeck.

     

     

    Abram a trouvé la force pour détruire les oppresseurs par la force qui est en lui, l’étincelle de Dieu qui vit par Yeshoua.

     

    Dans quelques situations que nous soyons, nous devons aller chercher la force en nous car Yeshoua vit en nous.

    Quelque soit le problème que nous ayons à affronter, la maladie, la mort des proches, les oppresseurs, les injustices, les violences, les méchants, les besoins matériels, les soucis, les tribunaux, etc…  notre secours vient de Dieu.

     

     Le nom Yeshoua est un nom signifiant: un cri à l’aide: c'est-à-dire un cri lancé par quelqu'un qui demande à être secouru. 

     

    Ce nom veut littéralement dire « Dieu est un cri à l'aide », c'est-à-dire crier vers Dieu lorsque nous avons besoin d’aide.

     

    En ces temps difficiles pour Israël et pour le monde, cette parasha est un encouragement à crier  à Yeshoua de toute notre force, qu’Il vienne en aide à Israël, qu’Il délivre les otages et qu’Il mette  fin à tous les terroristes. 

     

    Et qu’il nous porte secours dans toutes nos difficultés.

     

     La prière fervente du juste a une grande efficacité.

     

    Nous avons la force de Yeshoua et nous serons vainqueurs.

     

     

     

    Shabbat shalom

     

    L . B

    Lecture de la parasha: Genèse: Chapitre 12 verset 1 à chapitre 17 verset 27.

    Lecture de la haftarah: Esaïe: Chapitre 40 verset 27 à chapitre 41 verset 16.

    Lecture messianique: Actes 7; 1,8. Romains: 3;19 à 5:6.  Galates: 3;15,18. Colossiens: 2;  11 à15. Hébreux 7; 1,19.


    votre commentaire
  • Parasha Noé

    Noé l’homme à suivre. 

     

    Dieu donne l’ordre à Noé, le seul homme juste de la terre, de construire une grande arche, car un grand déluge allait détruire toute chair. Car ce monde était rempli de violence.

     

     

    Noé le juste par son existence pure de crime, existence pleine d’amour.

    Noé entra dans l’arche avec sa famille et un couple de chaque espèce animale. 

    Après que le déluge eut retiré ses eaux, Noé, sortit de l’arche et mit ses pieds sur la nouvelle terre débarrassée de tout hommes chargés de violence.

    Le seigneur avait décidé que tous les habitants de la terre périraient parce qu’ils connaissaient les secrets  de puissance des démons, depuis que les hommes s’étaient associés avec eux. Ils ont connu la puissance des  ennemis, la puissance de la magie et de la sorcellerie, et ceux qui fondent les idoles sur toute la terre. Ils savent comme ont fait de l’or et des métaux, pour faire la guerre, ils savent comment consulter les  puissances pour leur donner l’art de faire la guerre.

     

     

    Noé construisit un autel pour honorer l’Eternel. Il est alors bénit ainsi que sa famille.

     

    Dieu les avertit du caractère sacré de la vie.

    Toute chair avec son âme vous en mangerez pas, et celui qui tue volontairement c’est moi qui lui en demanderai les comptes dit l’Eternel.

     

    Dieu établit une alliance avec l’humanité et lui donne l’arc-en-ciel comme signe.

     

    Noé le juste, il est appelé le juste car il vient apporter un message pour les habitants de la terre, message jusqu’à la fin des temps.

    Chaque juste est un envoyé pour apporter un message. Et le nombre des justes, des élus de Dieu sera infini durant tous les siècles.

    Noé l’homme qui inspire les hommes par sa pureté et sa justice.

     

    Noé l’homme qui révèle les temps.

     

    Car avant le déluge, Le Seigneur n’a pas trouvé sur la terre de demeure où reposer sa tête, c’est pourquoi IL a fait sa demeure dans le ciel.

     

    Après le déluge, quand la terre eut été nettoyée des êtres  démoniaques. IL  est descendu pour habiter avec les enfants des hommes y chercher des demeures dans leurs coeurs, afin de faire de cette terre un monde rempli de Saints; ce sont ceux qui croient au Nom du Seigneur de tous les siècles.

    En ces jours-là les prières des saints monteront de la terre.

     

    Dans ces jours le Nom du Seigneur sera reconnu à cause du sang des justes répandu pour Lui et les prières des justes s’élèveront vers le Trône du Seigneur afin qu’Il leur rende justice et que sa patience pour les méchants prennent fin. Ils tomberont en sa présence et ne se relèveront plus car ils ont niés le Nom du Messie, ils l’ont combattu.

     

    Ce sont ceux qui s’initient à l’art de la guerre, ceux qui connaissent les secrets des métaux,  ceux qui commettent des tueries infâmes de tuer un enfant dans le sein de sa mère.

     

    Ce temps sera un temps de repentir pour beaucoup  car ils reconnaîtront qui est le Messie.

    Le Nom du fils de l’Homme  sera exalté sur la terre.

    A ce moment là ceux qui mourront pour la justice recevront alors la récompense de leurs peines; Oui ceux qui mourront pour la justice vivront éternellement devant le trône du Tout Puissant. A vous juste vos noms sont inscrits devant le Très-Haut, ayez donc espoir car vous qui avez subi les maux de la vie, vous brillerez dans le ciel. Vos cris demandent justice et vous serez vengés,  de tout les maux que vous avez souffert, vous tous qui avez été persécutés.

     

     

    Noé apprit le rouage de la lune, des étoiles et du soleil, il apprit les mois, les jours et les années.

    Pendant une année dans l’arche il fut instruit afin qu’il enseigne sa famille.  Il s’instruisit sur la justice de Dieu, afin que la transmission ne cesse jamais à travers les siècles.

    Texte sorti du livre des révélations d’Enoch.

     

     

     

    Qui dans ce contexte actuel vient nous réconforter et nous encourager à suivre toute notre vie la voie de la justice, car tous ceux qui marcheront dans les sentiers de la justice seront conduits dans le cortège de l’éternité. Car la Justice est Yeshoua Le Messie.

     

    Noé le survivant. Noé fut instruit durant l’année dans l’arche sur la position des étoiles, du soleil et de la lune pour se mettre en phase avec Dieu pour les shabbat. 

     

    Noé, Noah en hébreux veut dire: « Repos » Le jour de repos. Et aussi la consolation.

    L’arche en hébreux se dit : « Tèva ». La maison.

    L’arche constitue une protection pour la famille.

    Une protection contre tous les ennemis qu’ils soient spirituels ou de chair, la Tèva où la maison assure la plus grande des protections que Dieu nous est donné.

    Dieu conclut cette alliance de protection par le signe de l’arc-en-ciel qui comme une voûte céleste nous sépare du monde des violents.

     

    Cette protection c’est le shabbat, le jour du repos est le shabbat. C’est l’image du repos éternel dans la présence de Dieu.

    Il n’y a pas plus grande protection que le shabbat. C’est ce que vient nous enseigner Noé l’homme juste.

    Noé c’est l’homme à suivre il nous enseigne que le secret de la vie et dans le shabbat.

     

    L’arbre de vie c’est le shabbat.

    Quand on rentre dans le shabbat on repousse tout ce qui est mauvais comme un paratonnerre qui retient les énergies diaboliques qui nous entourent.

     

    Le shabbat nous relie à la Torah et la Torah nous relie à Yeshoua car Il est le Messie. 

    Shabbat veut dire:  Le retour vers Dieu. Il n’existe pas d’autres approches pour aller vers Dieu.

     

     

    L’existence des hommes a pour but, le retour vers Dieu par le sentier de la Torah qui nous enseigne que le repos du shabbat est la consolation que nous donne Yeshoua. 

     

    La parasha Noé nous enseigne la voie du  juste, ce chemin de la Torah qui nous conduit directement vers le consolateur celui qui nous consolera éternellement.  Comme Noé nous serons des survivants.

     

     

     

    Hébreux 4:9, 11.

    Il y a donc un repos de shabbat réservé au peuple de Dieu. Car celui qui entre dans le repos de Dieu se repose de ses oeuvres, comme Dieu s'est reposé des siennes. Efforçons-nous donc d'entrer dans ce repos, afin que personne ne tombe en donnant le même exemple de désobéissance.

     

     

     

     

    Noé incarne le message du shabbat par excellence.

    Noé rentre dans le shabbat dans son arche  avec sa famille sous la protection de Dieu pendant tout le déluge. Dieu avait tout organisé, pour leurs protections, l’arche solide, nourritures, confort, chaleur, et soin.

     

    Noé c’est le retour vers Dieu c’est le commencement d’une nouvelle vie. 

    Nous aussi nous devons tout organiser pour ne manquer de rien à Shabbat, tout doit être prêt, pour entrer dans le repos. Comme nous devons préparer notre vie, à rentrer dans le repos éternel.

     

     

    Ce shabbat est un grand shabbat, tout Israël est solidaire des événements comme cela ne l’a jamais été auparavant. 

    Dans le monde entier nous prions pour le rétablissement d’Israël.

    Si tous nous rentrons dans notre arche pour faire shabbat, alors nous construisons la plus belle des arche, celle qui construit le royaume de Yeshoua.

     

     

     

     

    Que Dieu intervienne avec puissance pour délivrer Israël et que toutes  les nations des fils de Noé soient présentes pour shabbat.

     

     

     

    Si tu retiens ton pied pendant le Shabbat, Pour ne pas faire ta volonté en mon Saint Jour. Si tu fais du Shabbat tes délices. Pour sanctifier l'Eternel en le glorifiant. Et si tu l'honores en ne suivant point tes voies. En ne te livrant pas à tes penchants et à de vains discours,

     

    Alors tu mettras ton plaisir en l'Eternel, Et je te ferai monter sur les hauteurs du pays. Je te ferai jouir de l'héritage de Jacob, ton père;.Car la bouche de l'Eternel a parlé.

     

     

     

     

    Shabbat shalom

     

    L. B

     

     

    Lecture de la parasha: Genèse: Chapitre 6 verset 9 à chapitre 11 verset 32.

    Lecture de la haftarah: Esaïe: Chapitre 54 verset 1 à 10 (+jusqu’a 55: 5).

    Lecture messianique: Mathieu: 24 verset 36,44. 

    Luc: 17 verset 26 à 37.1 Pierre: 3:18,22. 2 Pierre: 2: 2,5. 

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Parasha Béreshit du samedi 14 octobre 2023.

     

    C’est le commencement.

     

    Résumé de la parasha Béréshit.

     

     

    Le début commence mal, Dieu créa les ténèbres, et la lumière. Dieu appelle les ténèbres nuit et la lumière jour il fut un soir il fut un jour.   

     

     

    Dieu créa le monde en 6 jours, Il créa la terre et l’eau, Il créa des végétaux  avec des semences, Il  fixa la position du soleil, de la lune et des étoiles qui serviront de signes pour les jours de fêtes bibliques. Il créa  les poissons, les oiseaux,  puis les animaux de la terre. 

    Le sixième jour Dieu créa l’Homme. Il fit Adam.

     

     

     

     

     

    Dieu considère qu’il n’est pas bon que l’homme soit seul, Dieu prend de ses côtés et forme la femme.

     

     

     

    Adam le premier homme et Eve furent installés dans le jardin d’Eden. Mais Dieu fit cette recommandation: tous les arbres du jardin tu peux t’en nourrir, mais l’arbre de la connaissance du bien et du mal tu n’en mangeras pas parce-que  le jour ou tu en mangeras tu mourras.  

     

    Adam s’établit dans le jardin d’Eden pour le cultiver et le soigner.

    A partir de là deux conditions sont ordonnés à Adam de cultiver et prendre soin de la terre et de jamais manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal.

     

     

    Ils étaient heureux, tranquilles, dans la paix, dans le règne de l’Amour de Dieu, mais voilà qu’ils n’étaient pas seuls dans ce jardin, il y avait les ténèbres qui rôdaient autour d’eux.

     

    Adam et Eve furent tentés et le péché prit vie en eux.

    Dieu dit: Voilà l’homme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien et du mal.

    Empêchons-le maintenant d'avancer sa main, de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement. 

    Et l'Eternel Dieu le chassa du jardin d’Eden.

    Dieu plaça à l'orient du jardin d'Eden les Anges qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l'arbre de vie.

     

    A partir de là les portes du paradis sont gardées, et les portes de l’enfer sont ouvertes.

    Le shéol est allumé les flammes de l’enfer brûle d’impatience de consommer les créatures de Dieu, ses portes sont grandes ouvertes .

    La porte de l’Eden a désormais un accès méritoire et le chemin est plus difficile à trouver.

    Yeshoua dit à ses disciples: Je vous le dis en vérité, un riche entrera difficilement dans le royaume des cieux. Je vous le dis encore, il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu.

     

    L’homme est confronté à son destin choisir Dieu, et vivre selon les conditions de Dieu, ou choisir de vivre la vie du monde avec toutes ses dérives.

     

    Ceux qui veulent vivre pour Dieu devront se séparer du monde et ceux qui veulent poursuivre leur vie mondaine seront exclus du royaume de Dieu.

     

     

    Yeshoua dit: Quiconque aura quitté, à cause de mon nom, ses frères, ou ses soeurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses terres, ou ses maisons, recevra le centuple, et héritera la vie éternelle.

     

    Car lorsque le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, avec tous les anges, il s'assiéra sur le trône de sa gloire. Toutes les nations seront assemblées devant lui. Il séparera les uns d'avec les autres, comme le berger sépare les brebis d'avec les boucs; et il mettra les brebis à sa droite, et les boucs à sa gauche.

     

     

    Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite: Venez, vous qui êtes bénis de mon Père; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli; j'étais nu, et vous m'avez vêtu; j'étais malade, et vous m'avez visité; j'étais en prison, et vous êtes venus vers moi. Les justes lui répondront: Seigneur, quand t'avons-nous vu avoir faim, et t'avons-nous donné à manger; ou avoir soif, et t'avons-nous donné à boire? Quand t'avons-nous vu étranger, et t'avons-nous recueilli; ou nu, et t'avons-nous vêtu? Quand t'avons-nous vu malade, ou en prison, et sommes-nous allés vers toi? Et le Roi leur répondra: Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous les avez faites.

     

    Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche: Retirez-vous de moi, maudits; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. Car j'ai eu faim, et vous ne m'avez pas donné à manger; j'ai eu soif, et vous ne m'avez pas donné à boire; j'étais étranger, et vous ne m'avez pas recueilli; j'étais nu, et vous ne m'avez pas vêtu; j'étais malade et en prison, et vous ne m'avez pas visité. Ils répondront aussi: Seigneur, quand t'avons-nous vu ayant faim, ou ayant soif, ou étranger, ou nu, ou malade, ou en prison, et ne t'avons-nous pas assisté? Et il leur répondra: Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous n'avez pas fait ces choses à l'un de ces plus petits, c'est à moi que vous ne les avez pas faites. Et ceux-ci iront au châtiment éternel, mais les justes à la vie éternelle.

     

     

    Ces versets bibliques tirés dans Mathieu 25, n’ont besoin d’aucun autre commentaire, ils résument l’avenir de tout hommes et toutes femmes nés sur cette terre.

     

     

    Depuis Adam l’homme représenté comme l’homme de chair doit mourir  et ressusciter; car si cela n‘aurait pas été le cas l’homme serait resté éternel et le mal serait aussi éternel.

     

    C’est pourquoi il nous faut mourir en Yeshoua le Messie car ce n’est que par lui que nous ressuscitons.

    Nous devons mourir et ressusciter par le Fils pour devenir des âmes vivantes car nous sommes mort aux péchés.

     

    Nous qui étions morts par nos offenses, rendus à la vie avec le Messie c'est par grâce que nous sommes sauvés; Il nous a ressuscité. Car c'est par la grâce que nous sommes  sauvés, par le moyen de la foi.

     

    Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de vie de ce monde, selon le prince de la puissance de l'air, de l'esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre, et nous vivions autrefois selon les convoitises de notre chair, accomplissant les volontés de la chair et de nos pensées, et nous étions par nature des enfants de colère, comme les autres.

     

     

     

    Mais maintenant, en Yeshoua le Messie, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang du Messie.

     

    Ainsi donc, vous n'êtes plus des étrangers, ni des gens du dehors; mais vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu. 

     

    Les raisons d’être de l’homme pour acquérir la vie éternelle c’est par l’élévation de son âme qui fait vivre Yeshoua  en nous.

     

     Dieu dit: C’est par le mérite de celui qui sera victorieux de croire  que Yeshoua est le sauveur, si donc je vous ressuscite vous serez victorieux et vous ne pourrez plus mourir.

     

     

    Nous mourrons en Adam et nous renaissons dans le Messie, c’est ce qui change l’homme et le changement du monde ainsi que l’accomplissement de la prophétie.

     

     

    Mais maintenant, Le Messie est ressuscité des morts, Il est les prémices de ceux qui sont morts. Car, puisque la mort est venue par un homme, c'est aussi par un homme qu'est venue la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront dans le Messie. 

     

     

     

    C'est pourquoi il est écrit: Le premier homme, Adam, devint une âme vivante. Le dernier Adam est devenu un esprit vivifiant. 

     

    Le premier homme, tiré de la terre, est terrestre; le second homme est du ciel.

     

    Et de même que nous avons porté l'image du terrestre, nous porterons aussi l'image du céleste.

    Nous redeviendrons à l’image de Dieu.

     

    Ainsi, soyons fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l'oeuvre du Seigneur, sachant que notre travail ne sera pas vain dans le Seigneur.

     

     

     

     

    Nous vivons des moments extrêmement douloureux, nous vivons des prophéties annoncés, il est ce temps voulu par Dieu, 

     

    La guerre c’est un temps de révélation messianique, le Maître a ouvert grande la porte,  Il se révèle, le Messie appel. Il sépare à droite ou à gauche.

     

    Chacun doit révéler sa part de vérité qui est en lui, le cri de chacun doit résonner au-delà de toute la terre comme un écho qui résonne plus fort que la haine.

    Le Messie dans sa douleur immense va moissonner, pour son Gad Eden, les portes sont grandes ouvertes. 

    Et le shéol va s’alimenter de la haine avec tous ces haineux.

     

    Dieu parle de la vérité éternelle de Yeshoua qui est le Messie.

      

    Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde, et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts,

     

     

    Celui qui croit que le Messie Yeshoua est le Pessah sera sauvé.

     Le Messie Yeshoua est l’Agneau  immolé, par son sang précieux  comme d'un agneau sans défaut et sans tache, prédestiné avant la fondation du monde.

     

     

     

     

    Que Dieu nous vienne en aide, à tout Israël, à nous tous, qu’il fasse de cette épreuve un grand miracle, qu’IL agisse vite.

     

    Qu’Israël vive. Qu’Israël soit sauvé.

     

     

    Shabbat shalom.

     

     

    L . B

     

     

     

     

    Lecture de la parasha: 

    Genèse: Chapitre 1 verset 1 à chapitre 6 verset 8.

     

    Lecture de la haftarah: 

    Esaïe: Chapitre 42 verset 5 à 21 et + à chapitre 43: 1 à 10.

     

    Lecture messianique: 

    Mathieu; 1;1 à 17. Jean; 1;1 à 18.

     

    Hébreux: 1:1 à 12. 

     3; 7 à 4; 11

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Chemini Atseret Simh’at torah.

     

     

    Chemini Atseret, Simh’at Torah  est une fête à part entière c’est la dernière fête du calendrier biblique, elle commence dès la tombée de la nuit vendredi soir 6 octobre 2023, pour se terminer le samedi soir, mais une prolongation d’un jour de plus est considéré vouloir prolonger ce temps pour rester dans la présence de Dieu.

     

    Atsérêt signifie plus précisément la retenue : Dieu nous retient avec lui parce qu’il Lui est douloureux de se séparer de Son peuple.

     

     

     

    C’est la fête de l’intemporalité de la Torah, relue et étudiée sans discontinuité.

    Simh’at Torah coïncide avec chemini Atseret : le jour-même. Durant toute l’année, chaque semaine une portion de la Torah est lue dans la bible, 

    Pour cette fête  nous lisons la dernière portion de la Torah c’est-à-dire la fin Deutéronome et nous entamons tout de suite la lecture au premier chapitre de la genèse comme voulant formuler le désir de ne jamais se couper de Dieu.

     

    Nos sages enseignent que les soixante-dix taureaux offerts lors de la fête de Souccot correspondent aux soixante-dix nations, tandis que le taureau unique que l’on offre à Chemini Atseret correspond à la nation unique, le peuple d’Israël.

    C’est l’unité enfin reconstituée par le Messie avec toutes les âmes revenues à Dieu.

     

     

    Le mot atseret (clôture) est une forme du mot ‘atsara, qui signifie assemblée, réunion ; car en ce jour, on se rassemble.

     

     

    Au commencement a été créé une seule âme celle d’Adam,  de cette même âme est né le peuple de Dieu séparer à cause du péché.

    Ainsi nous venons d’un corps spirituel recouvert d’un corps de chair à notre naissance. Notre vie a un but: chercher un chemin pour retrouver Dieu. Les chemins empruntés dressent des obstacles si on a de base un coeur égoïste.

     

    Car l’essence même du coeur de Dieu c’est l’Amour les uns pour les autres.

    Car celui qui a l’Amour a l’étincelle de Dieu qui s’illumine quand il est sur le bon chemin. Elle nous conduit à la montagne Sainte, vers la demeure de Dieu.

    C’est un chemin qui purifie, celui de la Torah car ce précepte est une lampe et son enseignement une lumière et les avertissements qu’elle donne sont pour la correction du chemin de vie.

     

    La vie de l’homme est voué à se perfectionner en se corrigeant de sa saleté.Et ce n’est que par un tel chemin que l’on parvient à se sanctifier. Car Yeshoua nous sanctifie en se plaçant en nous mais nous avec notre corps nous sommes obligés d’agir à l’encontre de notre corps de pêcheur.

     

     A ce stade de perfectionnement nous avançons d’âge en âge, de douleurs, après douleurs, de remise en question en remise en question a un changement véritable de notre perception de la vie.

     

    Comme dit l’Ecclésiaste à la fin de son manuscrit: 12; 13;

    .

    Ecoutons la fin du discours: Crains Dieu et observe ses commandements. C'est là ce que doit faire tout homme. Car Dieu amènera toute oeuvre en jugement, au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal.

     

     

     

     

    C’est par cette réparation de l’âme  purifiée que les âmes s’unissent les une avec les autres.

    Le collectif d’âmes s’appelle Chemini Atseret l’union du tout Israël réuni en une seule âme.

    C’est cette âme unique qui forme l’âme du Messie dite La Jérusalem céleste.

    Esaïe;  60; 4

     

    Tous ils s'assemblent, ils viennent vers toi; Tes fils arrivent de loin, Et tes filles sont portées sur les bras.

     

     

    La vraie Jérusalem ne se manifestera qu’après le changement de tous. La reconstruction originelle de Jérusalem se fait en nous,  nous devons créer une telle cité par tous nos agissements entre nous, de sorte qu’il n’y est pas de différence entre les gens, nous devons nous ressentir les uns et les autres, être attirés par les âmes qui suivent le même chemin que nous et alors nous nous transformons en un seul tout.

    C’est l’amour les uns pour les autres qui prépare Jérusalem.

    Construire Jérusalem dans son coeur, c’est un Don de Dieu qui signifie le don sans réserve pour le bénéfice de l’autre.

     

     Se donner sans limites pour les autres c’est ça le coeur de Yeshoua car Lui même Il a donné sa vie en rançon pour sauver la nôtre.

     

    Dans 1 Jean: 3; 16.il est dit:

    Nous avons connu l'amour, en ce qu'il a donné sa vie pour nous; nous aussi, nous devons donner notre vie pour les frères.

     

    Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis.

    Yeshoua le Messie à dit:

     

                                                                                                                                                                                     

    Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Demeurez dans mon amour. Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme moi, j’ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour. Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite. Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime. Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande. 

     

     

     

    Donner sa vie, c'est aimer, indépendamment de l'intérêt que nous pourrions y trouver…

    L’amour rend capable des sacrifices les plus nobles.

     L’amour annonce la vérité sur les enseignements de la Torah car Yeshoua est la Torah 

     

    Ce n’est que dans ce sens que l’on comprend cette fête de Chemini Atseret, Simha’t Torah

    Cette union liée par un ciment d’amour forme la grande Jérusalem  forme l’âme du Messie.

     Nous sommes tous des pierres vivantes qui, chacune assemblée les unes aux autres, reconstruisons cette Jérusalem céleste.

     

     

     Chemini Atseret est la conclusion de l’histoire humaine. 

     

    Cette fête se célèbre  en dansant joyeusement avec la Torah ou bible serré contre soi. 

     

     

    Les sages  d’Israël disent: « La Torah elle-même se réjouit de danser et qu’un jour la Torah aura des jambes pour danser. »

     

    Oui la Torah c’est transformer en Homme le Messie est venu sous le nom de Yeshoua.

     

    CELEBRER cette fête c’est admettre que Yeshoua c’est celui qui est sorti du rouleau de la Torah et que notre âme vit par Lui et cette fête c’est notre  reconnaissance unique, aucune autre fête ne nous offre ce privilège de Le célébrer,

     

    c’est le scellement le plus grand qui nous eut été donné en ce jour,  toutes les âmes se lient entre elles pour former « LA Jérusalem Céleste ».

    Nous sommes, comme des pierres vivantes, édifions-nous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d'offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Yeshoua Le Messie.

     

     

    A cette fête nous finissons la lecture de la Torah et nous commençons la lecture de la genèse,  comme pour nous rappeler qu’au commencement nous étions déjà là, unis à notre créateur sans péché; depuis le commencement.

    On ne mange plus dans la Soucca On fait comme à Shabbat le pain et le vin.

     

    Bonne fête de Chemini Atseret, Simha’t Torah

    Shabbat Shalom

     

    L. B

     

     

     

     

    Les lectures sont:

     

    Deutéronome: Chapitre 33 verset 1 à chapitre 34 verset 12. 

    Genèse : Chapitre 1 verset 1 à chapitre 2 verset 3.

    Josué : Chapitre 1 verset 1 à 18.

    Marc: Chapitre 12 verset 28 à 34

    Jean : Chapitre 7 verset 37 à 40.

    Apocalypse : Chapitre 21:1 à 22:5.


    votre commentaire
  • Souccot 2023.

     

     

    La fête de Souccot  commence dès  vendredi soir 29 septembre et se termine le vendredi 6 octobre en fin d’après-midi, car dès cette soirée on entrera dans la dernière fête  qui est Chemini Atseret qui dure 1 jour et se prolonge une journée de plus.

     

    La fête de Souccot se concrétise par la fabrication d’une cabane dans laquelle on va résider durant 7 jours. Cette cabane comme une habitation éphémère avec du feuillage et du bois donne à cette fête une allure de camping joyeux.

     

    Souccot est fêté dans la joie avec des airs d’insouciance, créé par cette habitation extérieure mais décoré comme si c’était dans la maison.

     

    Ce contraste cache la réalité de Souccot.

     

    Souccot représente la fin d’un chemin spirituel. La fin d’un combat, d’une guerre contre nous même.

    Les fêtes d’automne Rosh Hashana, Kippour, Souccot, et Chemini Atseret sont des fêtes qui ont une portée sur l’ensemble de l’univers.

     

    Depuis Rosh Hashana et ses 10 jours redoutables nous expérimentons des épreuves qui cibles nos problèmes, à Rosh Hachana, nous prenons conscience de ce qui ne va pas en nous, nos mauvais penchants, nos mauvais désirs, c’est l’esprit qui met en avant ce qui est mauvais en nous.

     

    A Kippour le jour du pardon nous soumettons nos mauvais désirs à Dieu, car à Kippour Dieu envoie sa force pour nous aider à vaincre le mal qui subsiste en nous.

     

    Car nous avons beaucoup de guerres à mener contre nous-même, nos impulsions,  et notre rébellion.

    Le mal qui est en nous fait parti de notre personnalité et il faut le dire est très difficile de s’en détacher.

    On ne se défait pas du mal qui domine notre personnalité, on la soumet à la force de Dieu.

    On ne le chasse pas, on doit le gouverner, le soumettre à la volonté de Yeshoua.

     

     

    Et c’est cela le vrai but de l’existence, L’être humain est né pour soumettre les forces du mal à Dieu depuis Adam et les anges déchues le but de ce monde et de ramener toute la création  à Dieu;

    Nous sommes tous porteur du mal et nous avons tous à nous corriger.

     

     

    Voilà toute la dimension de la mission de l’Homme: rétablir la hiérarchie céleste.

     

    C’est pour cela qu’à Rosh Hashana nos mauvais penchants se réveillent pour qu’à Kippour on transforme le mal en bien par la force que donne ces jours de fêtes. On demande pardon pour avoir laisser agir ces mauvais penchants. 

     

    Le pardon de Dieu devient universel pour chaque âme qui demande pardon pour ses fautes.

    La force de Kippour c’est la puissance de Yeshoua qui est le pardon. 

     

    Refuser certains mauvais désirs, se donner des limites.

     

     

     Le temps de ses fêtes est une véritable manne pour se débarrasser de ce mal qui est en nous.

     Elles agissent comme un regroupement de croyants qui forment une extraordinaire force qui permet à Dieu de progresser dans le coeur des Hommes.

     

     

    Souccot est la fête du perfectionnement.

     Comme une fête de victoire sur nos combats spirituels.

     

     Il y a toujours des combats à mener en chacun de nous, simplement, invisibles ou  vécues intensément.

    Souccot est bien une fête qui prépare la victoire. Une élévation, de nous même vers ce qui est spirituel. 

    Souccot se vit  étape par étape, par des décisions des engagements à tenir, a ne plus recommencer ce qui est mal.

    Les fêtes nous aident a surmonter toutes nos difficultés. Elle nous donne la force de Dieu pour dominer sur le mal.

    Notre nature qui est mauvaise, on ne peut pas la changer, mais on peut la transformer en la soumettant à Yeshoua. 

     

    Car Dieu a envoyé le Messie Yeshoua pour faire ces combats en nous, Il est le seul à maîtriser nos pulsions mauvaises car Yeshoua sait soumettre le mal à Sa puissance.

     

    La nouvelle Jérusalem, c’est un nouveau monde soumit à Dieu.

    Les symboles de Souccot c’est de se retrouver sous un abri temporaire. C’est sortir de sa zone de confort, changer ses  habitudes pour commencer une nouvelle vie débarrassés de certains mauvais penchants. 

     

    Souccot c’est que chacun est le désir de changer.

    A souccot on se rassemblent avec le même désir de changement pour Dieu, pour soi, pour les autres et pour que le monde change.

     

     

    C’est pourquoi à Souccot en Israël, il y a ce magnifique cortège des nations, comme si en ces jours ont été tous d’accord pour changer le monde.

    Les croyants du monde entier se rassemble pour former un grand cortège dans les rues d’Israël.

     

     

    Selon la prophétie de Zacharie l’annonçait déjà: C’est qu’au temps du Messie  un festival aura lieu durant la fête de souccot. 

     

    Et quiconque sera vivant devra célébrer la fête de souccot devant le Roi. 

    Ainsi la maison de l’éternel sera remplie des consacrés au seigneur.

     

     

    Souccot est un temps de vie spéciale même si c’est parfois difficile de faire la cabane selon le lieu de notre habitation il faut essayer quand même en version minimaliste de le faire.

     

    Ce lieu temporaire est une invitation à prendre du plaisir les uns avec les autres, faire attention aux autres, que nos désirs ne nuisent jamais aux autres. Vivre ensemble en ayant le désir de contribuer à la bienveillance de chacun.

     

    Ce désir de s’améliorer d’année en année pour devenir ce que Dieu veut que l’on devienne.

    Des êtres humains porteurs et transmetteurs de l’amour. 

     

    C’est le symbole du Loulav.

     Cette prescription biblique qui nous demande de rassembler les 4 espèces de végétaux

     Une branche de palmier, 2 branches de Saule, 3 branches de Myrte et un fruit de cédrat. 

    Ces 4 espèces qui sont le symbole des images des être humains. Différent mais ensemble.

     

    Souccot c’est le temps de s’engager pour changer certains de nos mauvais penchants et ne plus s‘y soumettre. Ne plus être esclave  de ses mauvais désirs.

     

    Souccot c'est le temps de se rapprocher d’Israël, et d’aimer Israël.

     

    Il est une habitude durant les jours de cette fête de lire le livre de L’Ecclésiaste.

    Ce livre décrit que tous les plaisirs de la vie ne sont que vanités.  L’Ecclésiaste à observé tous les plaisirs que la terre est donné, des plaisirs menant à rien, il a constaté que rien n’a égale que de vivre dans la sagesse de Dieu, il a vu la bêtise des hommes qui ne cherchent qu’à vivre pour eux même, sans plus de considération pour personnes 

    Il conclut que la seule chose importante dans la vie c’est de craindre Dieu et d’observer les commandements.

     

     

     

    Je souhaite à tous une bonne fête de Souccot. Que nous soyons tous ensemble par l’amour qui nous uni en Yeshoua.

     

     

     

     

    L . B

     

     

     

    Les lectures de Souccot sont:

    Lévitique; Chapitre 22 verset 26 à chapitre 23 verset 44.

    Nombres; Chapitre 29 verset 12 à 16.

    Zacharie; chapitre 14 verset 1 à 21.

    Jean; Chapitre 7 verset 1 à 53.

     

    Lire l’Ecclésiaste tous les jours de la semaine pendant les 7 jours de Souccot. 

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Yom Kippour.

     

    La fête de Yom Kippour commence dès le dimanche soir après le dernier repas et va durer jusqu’au soir du lundi 25 septembre 2023.

     

    Ce jour durant lequel ont est le plus proche de Dieu.

    Car en ce jour IL fera expiation, pour nous purifier de toutes nos fautes.

    En ce jour nous affligeons nos âmes.

    Ce jour se vie comme un deuil.

     

    « Lévitique », 23; 29-32 : « Aussi, toute personne qui ne se mortifiera pas en ce même jour, sera supprimée de son peuple ; et toute personne qui fera un travail quelconque en ce même jour, J’anéantirai cette personne-là du milieu de son peuple. Ne faites donc aucune sorte de travail : loi perpétuelle pour vos générations, dans toutes vos demeures. Ce jour est pour vous un chômage absolu, où vous mortifierez vos personnes ; dès le neuf du mois au soir, du soir jusqu’à l’autre, vous observerez votre chômage. »

     

     

    Pour comprendre le sens de cette fête, il faut s’intéresser à la tradition que nos sages nous ont enseignés.

    Il est dit qu’il y a 5 interdits à Kippour.

    1. Manger et boire.
    2. Travailler.
    3. Se laver, se passer de la crème, se parfumer.
    4. Se chausser avec des chaussures en cuir.
    5. Ne pas avoir de rapport intime.

     

     

     

    C’est interdit c’est un arrêt sur image, un stop à toutes nos exagérations, à toutes nos ambitions, car nous passons beaucoup trop de temps à s’attarder sur notre personne, ou bien a des choses tellement futile et sans intérêt, et très peu de temps pour les affaires de Dieu.

     

     

    Et si les générations anciennes ont pu quelquefois négliger des affaires de Dieu, il faut dire que maintenant ce ne sera plus permis, car notre génération est soumise aux forces du mal comme cela ne l’a jamais été. L’idéologie mondiale c’est de moduler les êtres humains a un débilisme consentit. C’est les conséquences de la révolution technologique. 

    Nous devons veiller à ne pas tomber dans ces pièges, et à utiliser les diverses technologies dans l’utilité collective avec du bon sens et surtout l’utiliser pour le service de Dieu.

    La vie ne se résume pas à jouer avec des images, et de la musique, ou à s’enfermer tout seul devant son petit écran.

    Dans la vie tout est bon mais avec modération.

     

     

    Ce temps de Kippour est un temps merveilleux pour mettre de l’ordre dans nos idées.

    Kippour c’est un regard sur soi, en soi.

     

     

    Ce temps de pause pour réparer ce qui ne va pas.

     

     

    Nous portons la mission d’élever Dieu en nous.

     

    C’est à l’image de Moïse qui a grandi dans un palais comme un prince, avec tous les privilèges de la vie. Il fut élevé par la fille de Pharaon qui lui a donné tout ce qu’il voulait, on pourrait presque imaginer qu’il était comme un enfant gâté, privilégié de tout, sans manquer de rien.

    Il a connu l’opulence, mais Dieu voulait quand ce fut le moment que  tous ces privilèges devaient s’arrêter, car il devait accomplir une grande mission.

     

    Moïse connut alors la restriction, plus autant de nourriture, de boisson, ni de beau vêtement prestigieux, ni de soin luxueux pour son corps, ni de libertinage, fini l’insouciance.

     

    Moïse devait élever Dieu en lui, pour être digne d’aller l’Elever pour sauver le peuple, soumis à la puissance de l’Egypte.

     

    Moïse s’est séparé de tout ce qui est futile, le temps de la rigolade est fini, c’est le temps de passer du temps pour les affaires de Dieu.

     

    Moïse a réussi il est allé rassembler le peuple de Dieu, il les a porté jusqu’au pied du Mont Sinaï ils sont devenu une nation.

     

     

     

     

    A Kippour nous lisons le livre de Jonas et ce livre nous enseigne.

     

    Jonas avait une mission commandée par Dieu, d’aller vers la ville de Ninive pour prophétiser contre les habitants de cette ville car leur péchés était arrivé jusqu’à Dieu, il devait les rassembler pour qu’ils soient sauvés et deviennent une nation peuple de Dieu.

    Mais Jonas ne voulait pas accomplir cette mission.

    Ninive est comparé à Sodome et Gomorrhe c’était une ville florissante, ces habitants étaient socialement et moralement corrompus, trop occupés à leurs affaires.

     

    Jonas représente la responsabilité de tous vrai croyant, le tout Israël en particulier ceux qui aspirent à l’atteinte spirituelle.

    Il faut se corriger d’abord soi-même pour  transmettre aux autres.

    Jonas a pris le bateau et s’est enfui, il a fui sa responsabilité.

    Dieu a créé une tempête de Mer, et pour sauver le navire, les marins ont commencé par chercher un responsable. Jonas  dans sa grande détresse a reconnu sa responsabilité, il fut jeté à la mer. Et le poisson le ramena sur le rivage, près de Ninive. Jonas a eu le temps de repenser à ce que Dieu lui avait demandé.

    Jonas ne pouvait pas échapper à sa mission.

    L’homme ne pourra jamais fuir Dieu.

    Chaque homme et Femme a sa propre mission dans ce monde ils doivent l’accomplir.

    C’est aussi le symbole de kippour le jour du grand pardon.

    Dieu à créé un programme dans chaque âme et si une personne  entame ce processus spirituelle alors il est impossible de fuir. 

     

     

     

    Notre responsabilité devant le monde c’est se corriger, s’améliorer. Pour entrer dans notre mission.

     

    Soit nous attirons la force du bien et elle se développe soit c’est la force du mal et c’est la fuite.

     

    Il est temps de prendre sur nous la mission qui nous a été confiée et d’apporter la lumière aux nations. Nous sommes comme une source qui retient l’eau alors que le monde entier est assoiffé et déshydraté. Nous sommes ceux qui pouvons ouvrir la source.

     

    Les fêtes sont comme un arrêt intemporel et particulièrement Kippour. Comme un point de repère, un état dans lequel il est temps d’agir.

    Les fêtes créent une force en nous.

     

    Une prise de conscience qui nous stop de nos activités habituelles, pour nous recentrer vers ce qui est spirituel, et ce qui est important.

     

     

     

     

     

    La nature humaine est centrée sur elle même égocentrique.

    Kippour est un temps pour changer de cap, il est temps d’agir, faire de sa vie, une vie au service de Dieu.

     

    Nous portons la mission d’élever Dieu dans ce monde, mais pour cela il faut commencer par nous.

     

    Yeshoua vit en nous il faut qu’il s’élève et que nous diminuions.

     

     

    Faire de son corps un temple pour Dieu voilà notre grande mission.

    Un Esprit sain dans un corps sain. Et nous serons utiles pour servir Dieu là où il nous placera.

     

     

     

    Puissions-nous prendre conscience de notre responsabilité. Prendre conscience qu’il faut se corriger, et prendre à coeur l’appel de Dieu.

    Puisse Dieu nous pardonner de nos erreurs.

     

     

     

     

     

     

    Gmar ‘Hatima Tova

     

    L . B

     

     

     

    Les lectures sont 

     

    Jonas en entier.

     

    Lévitique;  Chapitre 16.  

     

    Hébreux; Chapitre 9 et 10.

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Le plus important c’est la vie.

     

     

    Cette semaine juste avant Kippour qui tombe le  Lundi 25 septembre 2023, nous entamons avec la parasha Haazinou pour ce Shabbat une réflexion sur la vie.

     

    A Rosh Hashana nous avons demandé que nos noms soient inscrits dans le livre de vie pour que Dieu nous accorde une année de plus.

     

    La parasha Haazinou s’inscrit comme un ultime avertissement avant que notre destin ne soit scellé définitivement à Kippour.

     

    Haazinou veut dire, écoutez, tendez l’oreille.

     

    Moïse arrive à la fin de sa vie et à travers son cantique il va révéler les différentes failles du peuple, qui a toujours tendance à se laisser détourner des principes vitaux des enseignements de la Torah.

     Car la Torah est vitale pour celui qui craint Dieu.

     

    Ciel et terre sont désignés pour servir de témoin de la vérité divine.

     

    Moïse rend hommage à Dieu, Lui le Rocher qu’il désigne comme l’invariable, la constance de Dieu l’être toujours égale à lui-même.

     

    Le Rocher décrit la Torah car Moïse a extrait les deux pierres des tables de la loi de ce Rocher.

    Le Rocher désigne le Messie Yeshoua, il est le Rocher; celui qui était, qui est, et qui sera éternellement.

     

    Le Rocher est stable, solide comme la force que nous donne la Torah.

    Moïse leur rappelle comme à chacun en particulier « Souviens-toi du passé, puisse les valeurs dans l’histoire d’Israël, puisse tes forces dans les sources  véritables, ce sera là ce qui te gardera de tous les dangers de la vie ».

     

    Ce sont là les paroles de Moïse qui doivent nous interpeller; Moïse nous a laissé la Torah et c’est par elle que nous sommes guidés, elle est comme un guide qui nous éclaire tout au long de notre vie.

     

     Moïse dit en quelque sorte que la Torah  est vivante, elle continuera à vivre à travers les écritures, pour nous enseigner. Car la Torah survivra durant tous les siècles à venir. Tous les récits et histoires serviront d’enseignements. 

    C’est comme une barrière de sécurité pour ne pas tomber dans les pièges du monde et des religions.

     

     Toute l’épopée juive a laissé des traces dans le coeur de l’humanité. Tout le monde sait au fond que c’est Israël qui détient la vérité sur Dieu. Finalement l’histoire juive est la seule et vivante preuve de l’existence de Dieu. Nul autre civilisations n’a pu transmettre la continuité et la direction de Dieu.

     

    Moïse dit au peuple qu’il doit persévérer dans les traditions des pères, qui sont les prophètes,  les anciens qui sont les sages, et dans la pratique des familles qui est essentiel à la transmission.

     

    Car en parlant ainsi Moïse annonce que le Messie sortira de la loi. Il avertit que le peuple extradé  dans le monde sera éprouvé par le faux messie du christianisme celui qu’ils appellent « Jésus le sans Torah ».

     

      Il dit c’est par cela que vous le reconnaîtrez, ou pas?  Il leur dit: ne vous trompez pas car la supercherie sera grande, et tellement grande que beaucoup tomberont dans le piège. 

     

     Il les avertit qu’à un moment donné beaucoup ne voudront rien entendre ce sera l’ingratitude des nations envers Israël qui sera manifeste. 

    Mais ceux qui resteront ferme et appuyé sur la Torah, seront protégés par Dieu et seront sauvés, ils reconnaîtront le vrai Messie Yeshoua .

     

    Moïse est sur le Mont Nebo et regarde l’étendu, il sait que sa mission est finie et qu’il doit passer le flambeau à Josué. 

     

    Moïse termine le cantique en disant cette proclamation  extraordinaire.

     

     

    « Sachez donc que c'est moi qui suis Dieu. Et qu'il n'y a point de Dieu près de moi; Je fais mourir, et je fais vivre, Je blesse et je guéris. Et personne ne délivre de ma main ».

     

     

    Cette déclaration si évidente de Moïse, je fais mourir et je fais vivre à travers Josué, qui n’est que l’image de Yeshoua.

    Le nom de Josué vient de l'hébreu Yeshoua, c'est-à-dire « Dieu sauve ».

     

    Il prend à témoin Dieu de la terre et Dieu des cieux, c’est pourquoi il dit que mon enseignement se diffuse comme la pluie, comme la rosée sur toute la terre.

    La prophétie est lancée, le Messie est la Torah vivante. 

     

    Le Messie Yeshoua doit incarner la loi et non pas l’abolir, mais bien la vivre en nous.

    Yeshoua est venu venger le sang de ses serviteurs comme il est écrit dans notre texte.

     

    La loi doit réaliser un monde régénéré; la loi change le coeur de l’homme, la loi ne s’arrêtera jamais sur la terre comme au ciel.

     

    La Torah c’est notre vie, elle inspire la foi, elle change l’humanité.

     

     Le peuple de Dieu doit s’alimenter en permanence de la Torah comme nous le faisons chaque Shabbat avec les parasha, pour nous transformer à l’image de Dieu. 

     

    La Torah n’est pas une parole vide, elle n’a que pour but de nous montrer le bon chemin de la vie.

     

    Moïse a fini sa mission sur terre, il a porté le peuple jusqu’à la terre promise c’est-à-dire jusqu’à Yeshoua; Il dit: que vous puissiez prolonger vos jours sur cette terre, que vous allez prendre en possession.

     

     

    Depuis le commencement de ce monde, les hommes ne se sont pas rapprochés de la vérité mais s’en sont au contraire éloignés. C’est pourquoi le monde est aujourd’hui en pleine confusion et dans le désespoir.

    Le monde ne veut pas boire l’eau qui sort du rocher qui est comme l’eau vive des écritures qui nous instruisent, nous ressuscitent car sans la connaissance l’homme est spirituellement mort.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L’Eternité de l’âme est à celui qui saura se circoncire aux lois. Il mourra pour le monde.

     

    Dieu prolonge la vie à celui qui prend à coeur la Torah.

     

     

    Rappelons nous que sans Torah Yeshoua ne peut pas vivre en nous, son âme est continuellement reliée au ciel et qu’il a besoin de cette liaison pour pouvoir vivre en nous.

     

     

     

     

    La vie est belle, mais avec Dieu, elle est mille fois plus belle, chaque moments de vie avec Dieu nous rapproche de Lui, nous sommes dans ce monde, mais nous ne sommes pas du monde, ne l’oublions pas, restons vivant  afin que Dieu nous trouve utile pour ce monde, utile pour diffuser le message que Yeshoua est la Torah ne font qu’UN. Ainsi Dieu nous gardera en vie.

     

     

     

     

     

     

    Et cette parasha est une façon de nous dire que si on s’est détourné de la Torah ou de Yeshoua c’est le moment pour se tourner vers Dieu en lui demandant Pardon d’avoir péché contre les lois de la Torah.

     

     

     

    Shabbat shalom

     

    L .B

     

     

     

     

     

    Les lectures de la parasha pour samedi 23 septembre 2023 sont;

    Parasha: Deutéronome: Chapitre 32 verset 1 à 52.

    Haftarah: 2 Samuel: Chapitre 22 verset 1 à 51. 

    Messianiques: Romains: Chapitre 10 verset 14 à 21. ET 12; 14 à 21

    Hébreu: Chapitre 12 verset 28,29.

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Rosh Hashana 5784.

     

    La fête de Rosh Hashana est la fête de la sonnerie du Shofar, Yom Terouah.

    Cette année exceptionnelle, la fête commence à Shabbat le vendredi soir 15 septembre, et se termine dimanche soir 17 septembre.

     

    Cette fête soulève toujours une incompréhension car pour cette commémoration il y a plusieurs sens. Rosh Hashana c’est le jour de l’an, c’est le jour du jugement, c’est le jour anniversaire de la création de l’homme donc Adam, la fête du souvenir, c’est la fête de la sonnerie du Shofar, et instituer le couronnement du Roi, aussi il y a des symboles forts qui viennent s’entremêler, comme la pomme et le miel, organiser la fête comme si c’était des fiançailles ce qui donne la coutume de s’habiller en blanc, de fleurir sa maison et se dire : Que ton nom soit inscrit dans le livre de vie, font que tous ça nous fait oublier le sens sacrée de ce rendez-vous.

     

     

    Il y a un lien entre tout ça  et c’est ce que nous allons tenter de comprendre. 

     

    Ce jour de fête on doit le vivre comme si c’était le dernier; mêlé de crainte, d’incertitude, dans une attente d’espérance optimiste.

     

    Rosh Hashana le début de l’année car chaque homme et femme, tous les habitants du monde passent devant Dieu, croyants et non croyants. 

    Tous se retrouvent seuls devant Dieu, comme devant un tribunal.

    C’est en ce sens le renouveau de l’homme qui renaît comme en Adam, une nouvelle année, une nouvelle perspective, un nouvel  Homme une nouvelle Femme bénit ou maudit. C’est une réactualisation de l’être. 

     

    Il est décrété dans la cour céleste qui vivra et qui mourra, qui sera appauvri et qui s’enrichira, qui tombera et qui s’élèvera.

     

     

     

     

     

    La fête commence par la sonnerie du shofar.

    Le shofar crie, il nous appelle à venir nous présenter devant Dieu. 

    Comme si chacun à cet instant était appelé par un juge qui devait trancher sur notre sort.

    L’instant est solennelle, troublant, angoissant, le cri du shofar c’est le symbole du cri de l’âme qui s’élance vers Dieu pour recevoir les 

    Bontés de Dieu.

     

    Le son du shofar vient aussi équilibrer les fréquences de l’âme.

    Ce son à pour but entre autres, selon Ramban Maïmonide de nous faire sortir de notre rêverie c’est un son  comme un écho qui résonne comme des ondes électromagnétiques, qui rectifie nos mauvais jugements.

     

    Le Shofar envoie un son qui  émet comme  la fréquence divine ce qui permet d’atteindre l’état intérieur de l’individu.

     Cette fréquence corrige, renouvelle, guérit, celui qui écoute le son du Shofar.

     Comme des particules qui créent un champ vibratoire que Dieu déverse  pour rééquilibrer l’âme de toutes les toxicités.

    C’est en quelque sorte la réinitialisation de notre esprit.

     

    Écouter le son du shofar c’est faire descendre sur terre toutes les émanations divines, pour les attirer ici-bas.

     

    Notre âme en ce jour cherche à établir un lien avec Dieu, elle cherche à s’unir avec le Messie, elle cherche son Roi pour sentir sa présence. L’âme cherche au fond de lui le souvenir de cette Unité quand elle était dans sa présence avant de naître sur cette terre.

     

    L’âme cherche Yeshoua, l’âme s’épand vers Dieu, l’âme veut retrouver ce sentiment d’Amour. 

    Le shofar vient réveiller dans l’inconscient cette passion si profonde envers Dieu.

    Une âme qui s’épanche c’est là le sens de la fête. C’est pourquoi nous lisons au cours de cette fête le passage dans: 1 Samuel  de l’histoire d’Hannah qui prie Dieu.

    Hannah épanche son âme, ce n’est pas elle qui prie, c’est bien son âme qui parle à Dieu. Elle parle du fond de sa détresse,  elle invoque Adonaï en pleurant, elle se confie à Dieu et lui dit:  souviens toi de moi, ne m’oublis pas, et donne moi un fils.

     Cette idée de fils fait allusion au Messie,  elle épanche son âme pour être consolée par Yeshoua. Seul son amour peut la guérir.

     

    Alors Hannah dira:

    Mon coeur se réjouit en Adonaï. Ma dignité à été restaurée par Adonaï. Je peux me rire de mes ennemis, car je me réjouis en ton salut.

     

    La prière d’Hannah c’est encore plus que ça.

     

    Hannah demande un fils qu‘elle consacrera à Dieu. L’histoire nous dit qu’elle aura un fils nommé Samuel. 

    Samuel est un grand prophète, mais il est aussi Nazir, c’est-à-dire qu’il est consacré à Dieu avant même sa naissance, il devra ni boire d’alcool, le fer de la lame ne touchera pas son visage et il agira selon la volonté souveraine de Dieu.

    Elle prophétise l’annonce que le Messie viendra d’une femme et que cet enfant sera consacré, il sera Roi pour le monde entier.

     

    C’est aussi ça le son du shofar qui nous rappelle la voix des prophètes qui annoncent le Fils de Dieu .

     

    Rosh Hashana c’est le jour le plus important.

    Un instant près de Dieu vaut mieux que mille ailleurs.

    Un instant pour parler à Dieu en son coeur.

    Un instant pour remettre de l’ordre dans ce qui ne va pas en nous.

    Un instant qui bouscule nos forces pour le faire agir.

     

    Le son du Shofar nous rappel au souvenir lointain quand nous l‘avions entendu près du Sinaï quand la Torah fut donnée à Moïse. 

    Le son qui grondait du ciel quand Yeshoua est descendu en esprit.

     

    L’instant solennel que nous attendons avec une âme sincère, pour renouveler en nous le serment de sainteté que nous avons fait.

     

     

     

     

    Puissions nous vivre ce Rosh Hashana comme Hannah qui épanche  son âme vers Dieu pour retrouver ce lien et vivre un miracle, une guérison que seul Dieu peut donner.

     

    Que nos noms soient inscrits dans le livre de vie.

    Que cette année la bonté de Dieu nous épargne du mal, mais qu’il nous juge avec grâce et nous accorde une année douce comme du miel. 

     

    Shana Tova 

    Shabbat shalom

     

    L. B

     

    Pour la fête.

    Prévoir des vêtements blancs, fleurs, repas festif et pâtisserie.

     

     

    On commence par allumer les bougies,

    Ecouter le son du shofar. (internet).

    Prendre la coupe de vin: Prière du vin comme à shabbat.

    Se laver les mains: Prière comme à shabbat.

    Prendre les deux pains coupés des morceaux, les tremper dans le miel: Prière comme à shabbat.

     

    Plateau du seder. (Qui sert à prophétiser nos actions pour l’année à venir, réalisé par nos actes).

    Sur un plateau on disposera les aliments nécessaires !

     

    Chacun des convives dira « Amen » après que l’officiant eut  récité la prière sur chaque aliment.

     

    On aura coupé des morceaux de pommes  qu’on trempera 

    dans le miel.

     

    Pomme et miel.

    —Qu’il te soit agréable  Seigneur notre Dieu de nous donner une année douce comme du miel.

    Amen!

     

     Les dattes.

     —Qu’il te soit agréable  Seigneur notre Dieu qu’il y est une fin de nos ennemis.

    Amen!

     

    Les graines de grenade.

    —Qu’il te soit agréable  Seigneur notre Dieu que tu puisses compter nos mérites pour que l’on soit  inscrit dans le livre de vie.

    Amen!

     

     

    La courge.

    —Qu’il te soit agréable  Seigneur notre Dieu d’annuler tous nos mauvais engagements.

    Amen!

     

    Poireau.

    —Qu’il te soit agréable  Seigneur notre Dieu de retrancher tous ceux qui nous veulent du mal.

    Amen!

     

    Blette.

    —Qu’il te soit agréable  Seigneur notre Dieu de faire disparaître ceux  qui désirent notre malheur.

    Amen!

     

    Jujubes ou haricots blancs.

    —Qu’il te soit agréable  Seigneur notre Dieu que nos mérites  soient multipliés pour cette nouvelle année qui commence.

    Amen!

     

    Tête d’un poisson.

    —Qu’il te soit agréable  Seigneur notre Dieu  de nous multiplier et que nous soyons à la tête .

    Amen!

     

    —Puis nous nous souhaitons tous une bonne année douce comme du miel. Et que nos noms soient inscrits dans le livre de vie.

     

    Que la miséricorde de Yeshoua soit avec nous.

     

     

    Prendre le repas dans une ambiance festive, puis préparer la table avec diverses pâtisseries  comme pour signifier un grand jour de douceur et de bienfaits à venir.

     

     

    Les lectures de Rosh Hashana :

     

    Le premier jour de la fête:

    Genèse chapitre 21 verset 1 à 34.

    Nombre chapitre 29 1 à 6.

    1 Samuel chapitre 1 verset 1 à chapitre 2 verset 10.

    Mathieu chapitre 24: 21 à 51.

     

    Deuxième jour de la fête : 

    Genèse chapitre 22 verset 1 à 24

    Jérémie 31 verset 1(2) à 20

     

    1 Thessaloniciens; 4; 13, 18.

     

     

     



    votre commentaire
  •  

    Le Pardon.

     

    Cette semaine il y a deux parasha Nitsavim et Vayélèkh.

     

     

    Nitsavim veut dire: vous vous tenez debout, devant Dieu.

    Vayélèkh: veut dire: il alla, dire au peuple.

     

    Résumé de Nitsavim:

    Moïse  s'adresse aux enfants d'Israël, debout en ce jour devant  leur Dieu, renouvelle l'alliance entre Dieu et Son peuple, et promet un sort pareil à Sodome et Gomorrhe à la terre de ceux qui se détourneraient de Lui. Cependant, même la pire des punitions, l'exil, aura une fin et Dieu ramènera Son peuple dans l'allégresse. La Torah n'est ni dans les cieux, ni dans la mer, il est possible de l'accomplir. Devant le choix qui s'offre à soi, entre la vie et la mort, il faut choisir la vie.

     

     

    Résumé de Vayélèkh: 

    Moïse évoque son grand âge et son successeur Josué. Il demande que la Torah soit lue à tout Israël rassemblé tous les sept ans, lors de la fête de Souccot. Dieu prédit à Moïse que le peuple ne restera pas longtemps dans le droit chemin. Cependant, la Torah ne sera pas oubliée, et c'est grâce à cela que l'exil prendra fin. Moïse confie le texte de la Torah aux cohanim lévites, pour qu'il soit placé dans l’Arche.

     

     

    A quelques jours des fêtes d’automne les textes sacrés de nos parasha s’orientent vers le pardon.

     

    Moïse se tient debout devant toute l’assemblée pour leur rappeler les paroles de la Torah.

    Il les avertit qu’ils vont être dispersés dans le monde et que le monde va les égarer des textes est des obligations de la loi divine.

     Ils vont être confronté à toutes les tentations, tous les mauvais désirs, ils vont avoir envie  de faire comme les gens du monde, ils vont être attiré par les femmes du monde, les perversions du monde, les malhonnêtetés que pratique les gens sans Dieu, et tout un tas de transgressions qui sont contre Dieu.

     

    Mais Moïse les avertit qu’ils devront habiter dans tous les pays de la terre car ils seront les témoins de Dieu, leur mission propager les lois de la Torah.

    Moïse les avertit de toujours faire le choix de la vie spirituelle, coûte que coûte, car en suivant le monde ils choisiront la mort.

     

    La Torah doit être diffusée jusqu’au fin fond de la terre.

     

    Car la loi prépare le chemin du Messie.

     

     

    Le Prophète Esaïe annonce:

    Franchissez, franchissez les portes! Préparez un chemin pour le peuple! Frayez, frayez la route, ôtez les pierres! Elevez une bannière vers les peuples!

     

    Voici ce que l'Eternel proclame aux extrémités de la terre: Dites à la fille de Sion: Voici, ton sauveur arrive; Voici, le salaire est avec lui, Et les rétributions le précèdent.

     

    C’est l’annonce du Messie qui rassemblera toutes les nations c’est l’annonce du Pardon, de la délivrance messianique.

     

    Préparez votre coeur car le Messie votre sauveur vous pardonnera de vos fautes.

     

    La loi prépare le chemin comme elle prépare le coeur, la disposition de l’Esprit, à accepter de vivre dans la sainteté, la droiture, et la pudeur.

    La Torah nous dispose à recevoir le Messie Yeshoua.

     

    Le seul désir d’aimer la loi c’est au fond le désir de plaire à Dieu, qui est l’expression de la foi.

     

     

     

    Une Torah qui est accessible à tout le monde sans exception, car la loi n’est pas pénible, elle est au contraire une voie par excellence pour plaire à Dieu.

    La Torah est une école de vie pour apprendre à être des personnes bien, des personnes honorables, qui se comportent honnêtement, et charitablement.

    Torah veut dire: Enseignement.

     

     

     

     

     

    La Torah prépare notre corps, notre esprit à recevoir le Fils de Dieu. 

    Il faut que nos corps soient sains pour qu’ils puissent venir vivre en nous, car nous ne devons pas lui faire subir nos mauvaises actions qu’elles soient charnelles ou émotionnelles.

     

     

    Yeshoua est mort pour mettre à mort nos péchés.

    Nous sommes pécheurs et tentés vers le mal.

    Nous péchons par habitude sans même nous en rendre compte.

     

    Nos corps sont voués aux péchés, car notre nature est faible.

     

    C’est pourquoi les lois si merveilleuses de la Torah nous demandent de ne jamais oublier qu’il y a un temps pour se rappeler de nos fautes et ce temps c’est maintenant.

     

     

    Faire techouva maintenant pour se préparer à la fête de Rosh Hashana, Kippour et Souccot.

     

    Un temps pour demander pardon pour nos erreurs. Car à Rosh Hashana Dieu inscrit nos actions, nos repentances, dans son livre et c’est à Kippour qu’Il scelle notre destin pour l’année qui vient. 

     

    Faire téchouva c’est le fondement essentiel  et notre raison d’être.

    Nous sommes sur terre pour revenir vers Dieu.

     

    Techouva veut dire: retour, revenir en arrière.

    Nous avons la possibilité de choisir la vie, de reconnaître nos erreurs. 

    La téchouva dépend de notre volonté, de notre foi.

    La possibilité est donnée à l’homme de se repentir, de regretter les fautes commises, mais aussi de prendre l’engagement de mieux agir. 

     

    Durant cette période Dieu, descend de son trône de Rigueur, c’est-à dire le trône de justice, pour prendre place sur le trône de la Miséricorde. Dieu à ce moment-là ne juge pas avec la Rigueur de la loi, mais Il  agit avec la Grâce et de la Miséricorde.

     

     

     Le texte de Maïmonide – deuxième et troisième chapitre des « Hil’Hot Techouvot » : « c’est celui qui a commis une faute et qui la regrette. Il s’engage à ne pas recommencer et à ne pas se laisser entraîner par ce péché. Il sera repentant si, placé dans une situation identique à celle qui l’a fait commettre son péché, il est capable de résister à trois reprises à l’attrait de la faute. Alors il peut se dire « Baal Techouva », l’homme qui se repent ; cet homme confesse ses erreurs à voix haute ou à défaut dans son coeur et grâce au repentir et à la confession, il obtiendra le pardon de Dieu. Car seul Dieu peut accorder le pardon. »

     

     

    La téchouva peut parfois être instantané, mais très souvent il faut un temps, il faut amorcer un processus de retour en arrière, une acceptation que l’on ai fait quelques chose de mal, un long travail sur soi peut commencer pour déjà ne plus minimiser la faute, mais en la reconnaissant dans tous ses états, c’est un long cheminement qui nous est nécessaire.

     

     

    Les fêtes ont un sens réel sur notre conscience, chaque fête doit nous questionner; l’importance de préparer les fêtes juives notre motivation détermine aussi notre crainte de Dieu.  

     

    Nous rentrons dans le cycle des fêtes d’automne dites les fêtes de Tichri, pour clore l’année hébraïque, et démarrer à Rosh Hashana l’année 5784 avec une justice divine favorable, pour une bonne année. 

     

     

    Durant ces fêtes il y a une expression en hébreux qui revient chaque année.

    Téchouva, Téfila, Tsédaka.

    Cette trilogie biblique nous amène à comprendre et vivre le pardon. Ces trois actes qui nous permettent d’obtenir le pardon. 

     

    Téchouva c’est la conscience.

    Téfila c’est la prière.

    Tsedaka c’est l’action.

     

     

     

     

    La techouva c’est une prise de conscience qui vient du coeur. Revenir vers Dieu, s’examiner, et admettre nos torts, c’est la circoncision du coeur.

     

    Deutéronome; 30; 6.

    L'Eternel, ton Dieu, circoncira ton coeur et le coeur de ta postérité, et tu aimeras l'Eternel, ton Dieu, de tout ton coeur et de toute ton âme, afin que tu vives. 

     

     

    La Téfila c’est la prière, la parole qui dit qu’elle refuse le péché, c’est la prière de la foi en Yeshoua, le reconnaissant autorité qui a le pouvoir de pardonner les péchés.

     

     

     

     

     

     

    La Tsédaka c’est la réparation. Tsédaka vient du mot justice.

     Que ma tsédaka me rende justice. La Tsédaka c’est la compensation financière pour réparer nos fautes, c’est la charité.

     

     

    Quand nous donnons la tsédaka ce n’est pas pour donner aux pauvres, car en réalité la tsédaka c’est un acte de réparation c’est pourquoi il y a des pauvres.

    Les pauvres sont en quelque sorte nos bénédictions, c’est pourquoi il faut bénir les pauvres car c’est grâce à  eux que nous pouvons réparer.  

    La tsédaka permet de réparer des péchés intentionnels ou des péchés dont on a du mal à s’en débarrasser.

    La Tsédaka repousse les mauvais décrets et rajoute de la vie.

     

    Yeshoua nous à pardonner mais il dit aussi « va et ne pêche plus, » ce qui sous entend que nous pouvons être encore tenté. 

    La tsédaka permet par cet acte volontaire d’obtenir le pardon pour une guérison.

     

    Psaume: 82; 3.

    Rendez justice au faible et à l'orphelin, Faites droit au malheureux et au pauvre.

     

    Notre texte précise de réécrire notre Torah.

    Yeshoua a réécrit sa Torah afin que l’on vive par lui, il a écrit avec son sang que les sacrifices pour le pardon des péchés ne se feront plus avec le sang  des taureaux, mais par une offrande de prière.

    Osée; 14; 2.

    Prenez avec vous des paroles, et revenez à l'Eternel; dites-lui: Pardonne toute iniquité, et accepte ce qui est bon, et nous te rendrons les sacrifices de nos lèvres. 

     

    Il y a trois types de péchés, ceux qui sont involontaires, ceux qui sont volontaires et ceux qui sont des actes de rébellion contre Dieu.

     

    Pour celui qui se repent, Dieu transforme les fautes intentionnelles en fautes par inadvertance. Il diminue la gravité des fautes commises. Plus encore, disent nos maîtres, si le repentir de l’homme n’est pas simplement dû à la crainte du châtiment, ou à la crainte des jours redoutables de Rosh Hashana à Kippour, mais s’il est l’expression d’un retour d’un amour sincère de l’homme pour Dieu, alors les fautes elles-mêmes sont supprimées et deviennent des actes méritoires, au lieu qu’il y ait eu péché. Ce péché pardonné rentre dans les qualités et les valeurs morales et humaines de l’homme.

     

    Même lorsque toutes les portes du ciel sont fermées à cause du comportement des hommes, celle de la techouva reste toujours ouverte.

    Osée dit « Reviens Israël, jusqu’à l’Eternel ton Dieu, c’est-à-dire que tu peux monter par ta pénitence jusqu’au trône divin.

     

    C’est la Kappara, le vrai pardon, qui efface complètement les conséquences de la faute. Mais seule la grâce divine est susceptible de lever les conséquences que le péché provoque en nous et autour de nous.

     

    Le but de la techouva est de purifier la personnalité, l’âme de l’homme et de reconstituer, de renouveler, de restaurer les liens avec Dieu comme ils existaient avant le péché. 

     

     

    LA REPENTANCE est un sentiment de culpabilité devant l’état de péché où l’individu se trouve, sa conscience éveillée par l’Esprit de Dieu  reconnaît sa misère et son incapacité à s’en délivrer par des moyens humains. 

     

     

    La loi nous aide à comprendre le péché, mais c’est Yeshoua qui pardonne nos péchés.

     

     

     Mon Serviteur Juste justifiera beaucoup d’hommes et se chargera de leurs iniquités … Il s’est livré lui-même à la mort… Il a été mis au nombre des malfaiteurs parce qu’il a porté les péchés de beaucoup d’hommes, et il a intercédé pour les coupables.  (Esaïe 53 : 11 à 12).

     

     

     Or, là où il y a pardon des péchés, il n’y a plus d’offrande pour le péché, ainsi donc, frères, nous avons au moyen du SANG de Yeshoua une libre entrée dans le sanctuaire par la route nouvelle et vivante qu’il a inaugurée pour nous au travers du voile, c’est-à-dire de sa chair.  (Hébreux 10 : 18 à 21)

     

     

     

    Préparons nous à la nouvelle année qui commence à Rosh Hashana dés le vendredi soir 15 septembre 2023,  et se terminera le dimanche 17 en fin de journée.

     

    Offrons à Yeshoua nos sacrifices de repentance, par le coeur, par la confession, et par la tsédaka.

     

     

    Shabbat shalom

     

     

     

     

    L. B

     

     

     

     

    Lecture de la parasha Nitsavim :

    Deutéronome: Chapitre: 29 verset 9(10) à chapitre 30: 20.

    Lecture de la parasha Vayélèkh: 

    Deutéronome: Chapitre: 31 verset 1 à 30.

    Lecture de la haftarah: Esaïe: Chapitre 61 verset 10 à chapitre 63 verset 9. Osée; 14; 2 à 10. Michée; 7;18, 20. Joël; 2; 15 ,27;

    Lecture messianique: Hébreux; 12; 14,15. 13; 5,8.

    Romains; 9; 30 à 10; 13.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Merci.

     

     

     

     

    Nous arrivons bientôt vers la fin de l’année hébraïque et la parasha ki Tavo vient nous avertir des sentences qui nous sont peut-être réservées. 

     

     

    Le texte commence par: Quand tu seras arrivé dans le pays, quand tu en auras pris possession et y sera établi.

    Tu apporteras tes premiers fruits.

    Puis Moïse explique les bénédictions et les malédictions.

     

     

    Résumé de la parasha :

     

     Il est ordonné aux Israélites d’apporter les premiers de leurs fruits au Temple et de donner toutes les dîmes à leurs destinataires désignés. Moïse explique comment les bénédictions et les malédictions doivent être proclamées sur le Mont Garizim et le Mont Ebal lorsque le peuple de Dieu entrera en Terre d’Israël. Il détaille ensuite les bénédictions qu’ils recevront pour ceux qui suivent les commandements de la Torah, et les malédictions qui résulteraient du fait de les ignorer.

     

     

     

     

     

    Dans cet ordre de lecture on voit que les fautes qui sont liées aux malédictions ne semblent pas mérités de si dures sanctions.

     

    Mais en fait le texte prend toute son élégance pour mettre à vue nos traits de caractères.

    Car ces fautes s’apparentent toutes à des traits cachés du caractère, des actions pleinement calculées en cachette, des infractions en huis clos.

    Des sentiments manipulateurs, des mensonges, ou des plans sournoisement, et hypocritement élaborés.

     

    Car  ces fruits sont bien nos traits de caractères.

    Nos valeurs humaines qui doivent être à la ressemblance de Yeshoua.

    Et non pas à la ressemblance de notre égo.

     

    L’ego est en fait une facette de notre personnalité qui nous pousse à agir davantage avec la tête qu’avec le cœur. 

     

     

    L'ego est chargé d'équilibrer nos impulsions, notre code moral et la réalité du monde, si c’est son désir d’aller vers le bien.

    Ce désir de changement qui donne accès à Dieu, pour nous aider à acquérir toutes les vertus pour devenir un vrai croyant.

     

     

     

    C’est là toute l’idée, d’un égo recentré  vers lui-même, générait par un sentiment d’égoÏsme.

     

    Ki Tavo c’est peut-être le dernier moment pour réaliser qui ont est en réalité.

     

     

    Voici les fruits que j’apporte devant Dieu? Sont-ils bons, ou sont-ils mauvais? Cette année qui vient de se passer, ai-je fait une récolte de bons fruits?

    Ai-je des fruits qui ont satisfait mon égo, ou ai-je des fruits qui ont plus à Dieu? Quels ont  été mes motivations? 

     Voilà la question de la parasha Ki Tavo?

     

    De cette interrogation viendront les jugements de Dieu.

    Que ce soit les bénédictions ou les malédictions c’est Dieu qui décide!!!

    Prendre au sérieux les blâmes que Dieu nous adresse.

    C’est le sens de Ki Tavo par ses premiers versets qui disent:

     

     

     « Quand tu seras arrivé dans le pays, quand tu en auras pris possession et y sera établi ». 

     

    Se comprend dans son sens approfondis par:

     

    « Prend possession de ta réalité afin d’y établir Yeshoua ». Fait vivre le Messie en toi.

     

     Et c’est par ce fait que les fruits que nous présentons s’ils sont bons, nous serons bénis.

    Les fruits que l’Esprit de Yeshoua nous donne. La sagesse, l’intelligence, la crainte de Dieu, l’amour pour les autres, les bons conseils, la force, le respect.

     

    On voit que ces 7 fruits, ces dons de Dieu ne sont dirigés que vers Dieu et vers les autres.

    Ce qui pourrait se résumer par les deux commandement que Dieu nous a laissé.

     

     

    Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force.

    Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a pas d'autre commandement plus grand que ceux-là. 

     

    C’est par ces fait que Dieu envoie la bénédiction.

     

     

     

      Vivre pour les autres, avec les autres.  Il y a plus de  bonheur, à donner qu‘à recevoir.

    C’est la définition du vrai bonheur. Faire du bien aux autres et les bénédictions sont pour nous.

    Vivre pour soi attire le mauvais jugement de Dieu.

     

     

     

     

    C’est dons de l'Esprit qui consiste à se perfectionner de l’intérieur. Car c’est ce qui est en nous qui cache en réalité notre vraie personnalité que Dieu va  regarder.

     

     Faire vivre ce que l’on est, on est l’âme de la Torah.

    Faire vivre la Torah lui donner une âme vivante faire vivre la Torah en pratiquant les oeuvre justes. Donner vie à la loi des écrits biblique les pratiquant concrètement.

    C’est ainsi que l’on fait exister Le Messie Yeshoua et c’est ainsi que le bonheur s’accomplit en nous.

     

    Que chacun selon le don qu'il a reçu, l'emploie pour le service des autres, comme bons dispensateurs de la différente grâce de Dieu.

     

     

     

     

    Les dons de l’Esprit doivent s’exprimer dans toute notre vie de croyant.

     

    Les vertus de l’esprit pour notre relation avec Dieu, pour notre relation avec les autres et le contrôle de notre propre vie.

    Les faisants exister par notre attitude, tel est le sens du message, prend possession de ta réalité afin que Yeshoua s’y établisse.

     

     

    Jean; 15;  12 à 17.

     

     

    C'est ici mon commandement: Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés.

     

    Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande. Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père. Ce n'est pas vous qui m'avez choisi; mais moi, je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne. Ce que je vous commande, c'est de vous aimer les uns les autres.

     

     

    Enfin le sens du texte nous enjoint à comprendre que nous ne sommes rien sans Dieu. Nous vivons par Dieu, pour Dieu et avec Dieu.

     

    Le sens de notre vie n’a que d’intérêt pour suivre Yeshoua et nous laisser guider a aimé les autres comme lui nous a aimé.

     

    Notre vie n’a aucun intérêt si on vit pour soi, car à la fin il n’y aura  rien.

     Vivre pour soi c’est avoir un coeur sans Dieu, un coeur vide. N’avoir aucune valeur morale aucune vertus morale.

     

     Et c’est pour cela que le texte nous inspire à comprendre tout l’amour que Dieu a pour nous. 

    Car nous qui vivons la réalité avec Dieu, nous connaissons le vrai bonheur, le bonheur intérieur, la paix unique que seuls les vrais croyants connaissent, la vraie bénédiction.

     

    Et c’est pour cela que nous devons avoir la gratitude d’exprimer notre reconnaissance envers Dieu car il nous a choisi. 

     

    La gratitude est peut-être le plus beau des mots de la langue Française et le concept fondamental d’un authentique croyant.

    La gratitude se dit en hébreux:

     Hakarat hatov: reconnaissance du bien que l’on nous fait. 

     

    L’ADN du croyant en Dieu d’Israël, est l’ADN du vrai croyant, il  est  juif ou devient juif. 

    Le mot juif ou Yehoudi en hébreux contient la racine du mot: Modé qui signifie;  Merci ,Je reconnais le bien. Modé est le premier mot de notre première prière du matin, et qui consiste à s’adresser chaque jour à Dieu pour le remercier.

     

    On retrouve donc le mot Modé en priant chaque matin au réveil. 

    Ainsi chaque matin on s’adresse à Dieu par cette simple prière, ce sont les premiers mots que l’on prononce de  la journée.

     

    Prière du modé ani.

     

    Modé ani léfanekha melekh ‘haï vekayam, ché-hé-’hézarta bi nichmati be’hemla, raba émounatékha.

     

     

    Je Te remercie, ô roi vivant et éternel, de m’avoir restitué mon âme ; grande est Ta fidélité.

     

    Juste une petite différence à rectifier en commençant la prière.

    Pour les hommes on dit: Modé ani.

    Pour les  femmes on dit: Moda ani 

     

     

    Avec ki Tavo puissions nous atteindre la maturité pour avoir un coeur pour être conscient, des yeux pour voir, et des oreilles pour entendre.

     

    Afin de dire Merci Yeshoua car tu vis en moi et les fruits que je porte sont en toi.

     

    Merci Hachem, Merci Seigneur, car tu me donnes la force et l’espérance de vaincre le mal.

    Merci Yeshoua.

     

    Shabbat shalom 

     

     

    L. B

     

     

    Lecture de la parasha; Deutéronome :

    Chapitre 26 verset 1 à chapitre 29 verset (8) ou 9.

    Lecture de la haftarah; Esaïe :Chapitre 60 verset 1 à 22.

    Lecture messianique; Mathieu : Chapitre 13 verset 1 à 58.

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Faut pas rêver !

     

     

    La Parasha de cette semaine, Ki Tetsé, nous présente de nombreux commandements qui s’imposent à l’homme aussi bien dans ses relations familiales que dans ses relations avec ses prochains au sein de la société.

    La Parasha commence par évoquer le cas de la « belle captive ».

    Nos Sages nous mettent en garde implicitement de toute union qui ne répond pas aux conditions de « Kédoucha », de sainteté prescrites par la Torah.

     Les hommes sont confrontés à des pulsions négatives; un Yétser Hara.

    La parasha Ki Tetsé nous pousse à affronter la réalité.

    Elle commence par nous dire : « lorsque tu partiras en guerre, « lorsque tu sortiras ».

    La guerre que Dieu te demande de livrer, afin de te libérer du pouvoir de tes ennemis.

     

    Toujours selon nos maîtres les enseignants de la Torah, le début du texte et décrypté selon son origine, décrit celui qui part à la guerre comme étant un grand Tsadik, un grand homme de Dieu, un homme portant sur lui la marque divine.

     

    Mais ce verset nous pouvons  nous l’approprier. Quand l’homme que Dieu a choisi d’envoyer à la guerre, celui ou celle qui porte le casque du salut, l’épée de l’Esprit, et le bouclier de la foi.

     

     

     

    Et la parasha  se termine par; N’oublis jamais qu’Amalek est là pour te détourner de Dieu, souviens-toi qu’il est l’ennemi du peuple de Dieu.

     

     Et toute la trame de notre parasha commente de manière très voilé, la façon dont notre ennemi Amalek va nous attaquer.

     

    Les commentateurs de la Torah décrivent en générale la parasha ki Tetsé comme la parasha du fils rebelle à ses parents.

    L’homme rebelle aux lois de la Torah.

     

    Cette rébellion est due à un rejet de certaines lois de la Torah.

    Car la guematria de; « Le fils rebelle » est; 248.

    Et 248 est relié aux corps car le corps possède 248 membres.

     

     

    Et toute la sagesse de notre texte cache avec une grande pudeur les pulsions incontrôlables de l’homme en état de fragilité.

     

    Partir en guerre contre nos pulsions.

    Amalek est très fort, il joue avec l’homme sans jamais vraiment lui faire comprendre qu’il est attaqué.

    Amalek est un illusioniste.

     

    L'illusionnisme, ou la prestidigitation, est un art qui consiste à créer des illusions.

    Mêlant agilité, ingéniosité et psychologie, pour créer les illusions qui leurrent nos sens: il fait apparaître et disparaître diverses choses, il défie la gravité, transforme la matière, lit dans les pensées voit dans l’avenir, avec ses astuces et son habileté.

     

    Il agit un peu comme les manipulateurs de  bonneteau qui repèrent  les naïfs passant insouciant à se faire piéger à ce jeu.

    Créant en un instant une illusion d’optique.

     

    Nos sens en état de relax, altère l’état de conscience, capable de déformer les informations reçues, de les interpréter et les modifier, en notre défaveur, s’étant laisser aller pour quelques instants de plaisirs, n’étant plus sur nos gardes.

    Il arrive que même notre réflexion habituellement habile en soit   tromper, l’illusion devient diabolique.

     

    Amalek agit toujours délicatement, il se joue toujours de notre naïveté, sensibilité.

    C’est le sens de la belle captive, qui arrive avec ses charmes  comme inoffensive.

    Si belle et si douce, mais pourtant si diabolique, elle est une appât pour faire tomber les fils d'Israël.

     

     

    Notre texte inclut ce commandement verset; 8 chapitre 22.

     

    Si tu bâtis une maison neuve, tu feras une balustrade autour de ton toit, afin de ne pas mettre du sang sur ta maison, dans le cas où il en tomberait quelqu’un.

     

     

    Ce verset est intéressant et confirme les dires:

    Une clôture sur le toit représente la tête et les rêves,  c’est mettre des barrières à ses pensées, afin de ne pas tomber. L’idée révèle aussi l’idée du sommeil car au cas où il s’endormirait  il pourrait tomber, et le réveil sera douloureux.

     

    Amalek est un ensorceleur, il hypnotise, il met en état de veille la conscience. L’individu est réveillé, mais sa conscience est endormie. Il peut alors faire ce qu’il veut, mais pour un laps de temps  seulement. 

    Il met la personne à sa portée pour lui faire accepter une réalité modifiée.

     

     

    La parasha vient éveiller nos sens, nous tirer du sommeil.

     Se réveiller, sortir de son rêve, une illusion qui maintenant se fait comme un désir de changement;

    Le vrai visage de la captive se transforme en cauchemar. 

     

     

     

    Nos sages nous enseignent que nous devons lutter contre nos pulsions, nos addictions, nos mauvais désirs, car c’est l’immoralité qui nous éloigne de Dieu.

     

     

    Le sommeil est l’arme d’Amalek, il endort, et ensorcelle, il manipule et détourne les sens, il aveugle, et rend vulnérable, il nous fait croire ses mensonges. 

     

    Amalek nous fait somnoler, pour nous faire rêver dans les bras de Morphée.

    L’expression « être dans les bras de Morphée » est une locution verbale signifiant que l’on est dans un profond sommeil.

    Dont l’origine dans la mythologie Grecque est Morphée, fils d'Hypnos (dieu du sommeil) et de Nyx déesse de la nuit, est le dieu des rêves. Des dieux de l’enfer.

     

     

     

     

     

    C’est pour cela que les textes précisent toujours qu’Amalek attaque toujours les gens en état de fragilité, les jeunes, ou les rebelles. Et précise souviens-toi qu’il est l’ennemi du peuple de Dieu.

    Amalek l’ennemi de l’âme juive ennemis du corps messianique.

     

     

    Ce corps messianique qui doit révéler au monde que le Messie est Yeshoua.

    Ses serviteurs entrent en guerre d’abord contre ce qui est mauvais en eux, et tout ce qui s’oppose à eux.

     

     

    1 Corinthiens; 9; 27.

    Mais je traite durement mon corps et je le tiens assujetti, de peur d'être moi-même rejeté, après avoir prêché aux autres.

     

     

     

     

    Aussi il y a ces versets dans notre parasha qui reste toujours intriguant.

    Deutéronome 22; 6,7.

     

     

    Si tu rencontres dans ton chemin un nid d'oiseau, sur un arbre ou sur la terre, avec des petits ou des oeufs, et la mère couchée sur les petits ou sur les oeufs, tu ne prendras pas la mère et les petits, tu laisseras aller la mère et tu ne prendras que les petits, afin que tu sois heureux et que tu prolonges tes jours.

     

     

     

     

     

     

     

    Oiseau en hébreu; c’est Tsipor qui correspond à Shalom, paix, Messie. 

     

    Le nid d’oiseau se dit en hébreu: Ken Tsipor  qui fait référence à  l’endroit ou le Messie se révèle, le lieu, la famille.

     

    Car du ken tsipor se trouve l’âme du Messie, se trouve le shalom, la paix  qui annonce le Messie.

    Il faut que l’âme soit en paix en soi, et aussi la paix autour de soi pour servir Dieu.

     

    Et aussi il y a un fait marquant au verset 7;  Tu laisseras aller la mère et tu ne prendras que les petits, afin que tu sois heureux et que tu prolonges tes jours.

     

    Dans la bible on retrouve exactement ces mots précis dans le cinquième commandements. Honore ton père et ta mère, 

    afin que tu sois heureux et que tu prolonges tes jours.

     

     Ce qui confirme que le shalom doit résider au sein de la famille.

     

     

    Joël 3;9.

    Publiez ces choses parmi les nations! Préparez la guerre! Réveillez les héros! Qu'ils s'approchent, qu'ils montent, tous les hommes de guerre!

     

    La guerre est déclaré Yeshoua se lève pour nous libérer.

     

     

     

     

     

     

     

    Shabbat shalom

    L . B

     

     

     

    Lecture de la parasha : Deutéronome: Chapitre 21 verset 10 à chapitre 25 verset 19.

    Lecture de la haftarah : Esaïe: Chapitre 53 verset 1 chapitre 54 verset 10.

    Lecture  messianique: 1 Corinthiens: Chapitre 9

     verset 1 à 27. Ephésiens; 6; 1 à 24.


    votre commentaire
  • Le visage de l’âme.

     

    Cette semaine nous ouvrons  un nouveau regard avec la parasha Choftim.

     Choftim par définition veut dire  des juges.

    Moïse nomme des juges afin  qu’il n’y ait plus aucune injustice parmi le peuple.

    Ces juges doivent être fidèle dans leur décisions selon la loi de Dieu, aucunes autres lois ne doit venir tenir la jurisprudence de la Torah.

    Le peuple sera soumis à écouter et accepter leurs décisions et cela pour toutes les générations.

    Ces juges devront être impartiaux.

    Les crimes  seront soumis à une investigation méticuleuse et minutieuse.

     

     Dieu prescrit une loi à Moïse sur les crimes quand on ne connaît pas le meurtrier.

     

    Et c’est sur cette loi que nous allons poser nos regards.

     

    La loi sur les crimes non élucidés s’appelle en hébreux « La Eglah Aroufah ».

    L’Eglah Aroufah exigeait que l’on brise le cou d’une génisse et que l’on se lave les mains avec de l’eau au dessus de la génisse pour expier le meurtrier éventuel.

    En prononçant ces paroles: «  Nos mains n’ont pas versé de sang, et nos yeux ne l’ont pas vu versé du sang, pardonne alors que ce sang ne sera pas porté à son compte ».

     

    Car le sang versé du cadavre, retombera sur la tête du meurtrier.

     

    Le temple est constitué de divers objets mais ici nous nous arrêtons sur le bassin des ablutions.

     

    Le bassin d’airain situé entre le temple et l’autel était confectionné avec des miroirs positionnés  en facette à l’intérieur, de façon  à refléter le visage de toutes ces faces quand la personne venait pour faire le lavage des mains.

     

    Exode 38; 8 - Il fit la cuve d'airain, avec sa base d'airain, en employant les miroirs des femmes qui s'assemblaient à l'entrée de la tente d’assignation.

     

    Le miroir reflète dans les yeux notre âme.

     

    Ainsi quand ils venaient se laver les mains ils s’examinaient pour voir si leur expression dans les yeux était bonne.

     

    Nos yeux reflètent l’état du coeur.

     

    Dans les yeux nous pouvons lire l’état d’âme de toute personne. Les yeux ne mentent jamais.

    Dans les yeux on peut lire le caractère d’une personne, ses émotions, ses  sentiments, sa personnalité, ses intentions.

    Les yeux sont une source directe de vérité.

    Les yeux sont les facettes  véritables du visage.

    Le regard dans son ensemble parle par l’expression, les plis autour des yeux, la dilatation des pupilles, la direction du regard, droit, fuyant ou sur le côté. 

    On y décèle aussi la colère, la surprise, l’attirance, la joie, la tristesse, le mensonge.

     

    L’oeil, l’organe de la vue possède une symbolique très forte, car c’est dans l’oeil que l’on perçoit l’omniprésence de Dieu. 

     

    Nous sommes capables d’interpréter l’invisible, l’indicible, la présence du Messie Yeshoua. 

    Nos yeux reflètent celui qui vit en nous car nos yeux parlent et diffusent la lumière,  même si on ne perçoit pas Dieu directement en regardant  une personne, notre âme la perçoit tout de suite. 

     

    Car nos yeux sont la réalité de notre coeur.

     

     Moïse sélectionna des Juges ayant le don de percevoir les coupables ou les non coupables. Ils voyaient les justes et les faux,  les menteurs, les meurtriers. Ils avaient la faculté de voir le coeur.

     

     

    Car ce qu’il y a de plus important chez l’Homme c’est son coeur.

    Le coeur laisse passer l’amour ou la haine.

     

    Psaume; 24; 4.

     

    Celui qui a les mains innocentes et le coeur pur; Celui qui ne livre pas son âme au mensonge, Et qui ne jure pas pour tromper.

     

     

     

     

     

    « Celui qui a le coeur pur, a les mains innocentes ».

     

    Et c’est cela toute la question ?

     

     

    Les mains innocentes c’est les mains qui ne sont pas chargées du sang du justes.

    Car il y a toujours des meurtriers qui tuent ceux qui annoncent la vérité.

     

    Tous les prophètes ont été poursuivis par les meurtriers.

     

    Jérémie 26; 15.

    Jérémie dit: Seulement sachez que, si vous me faites mourir, vous vous chargez du sang innocent, vous, cette ville et ses habitants; car l'Eternel m'a véritablement envoyé vers vous pour prononcer à vos oreilles toutes ces paroles.

     

    Psaumes ; 94; 21.

    Ils se rassemblent contre la vie du juste, et ils condamnent le sang innocent.

     

    De tout temps il y a ceux qui veulent faire taire ceux qui prêchent la vérité c’est-à-dire qui annonce que le Messie est bien Yeshoua, qui nous a ordonné de suivre les commandements.

     

    Jean dit le Baptiste fut assassiné car c’est lui qui ouvrait le chemin qui annonçait la venue du Messie Yeshoua.

     

    Mathieu ; 23……

     

     

    Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites! parce que vous bâtissez les tombeaux des prophètes et ornez les cimetières des justes, et que vous dites: Si nous avions vécu du temps de nos pères, nous ne nous serions pas joints à eux pour répandre le sang des prophètes. 

     

     

     

     

    C'est pourquoi, voici, je vous envoie des prophètes, des sages et des scribes. Vous tuerez et crucifierez les uns, vous battrez de bâton les autres dans vos lieux, et vous les persécuterez de ville en ville, afin que retombe sur vous tout le sang innocent répandu sur la terre, depuis le sang d'Abel le juste jusqu'au sang de Zacharie, fils de Barachie, que vous avez tué entre le temple et l'autel. Je vous le dis en vérité, tout cela retombera sur cette génération.

     

    Le diable envoie ses sbires pour détruire les serviteurs de Dieu, ils répandent le sang innocent, le sang des justes.

    Actes; 10; 42.

     

    Yeshoua nous a ordonné de prêcher au peuple et d'attester que c'est lui qui a été établi par Dieu juge des vivants et des morts. Tous les prophètes rendent de lui le témoignage que quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon des péchés.

     

    Yeshoua a été établi par Dieu et nous a ordonné de prêcher le pardon en son Nom.

     Il est Juge, de toute la terre.

    Il est aussi notre avocat pour attester que nous sommes non coupables, car nous respectons la loi des commandements.

     

     

     

    Avant que Yeshoua fut tué, Ponce Pilate le fit amener devant le tribunal. 

    Pilate était un juge, il s’assit sur le tribunal au lieu appelé le pavé qui se dit en hébreux Gabbatha, et il rassembla tous les juges pour délibérer du sort de Yeshoua. 

     C’était bientôt la fête de Pessah, la Pâque,  et il était coutume de libérer un prisonnier chaque année pour cette fête.

    Pilate convoqua Yeshoua; mais ne trouva rien de condamnable sur lui. Et ne voulait pas prononcer le verdict de coupable. Il dit aux religieux jugez le vous même.  Qui eux aussi ne voulait pas le juger. 

    La foule insistante criait la mort de Yeshoua.

    Pilate confia le sort du Messie à Hérode, mais Hérode refusa lui aussi de le condamner.

     

    Pilate retourna vers les magistrats  et insista sur le fait que Yeshoua était innocent  est dit;

    Je l'ai interrogé devant vous, et je ne l'ai trouvé coupable d'aucune des choses dont vous l'accusez; Hérode non plus, car il nous l'a renvoyé, et voici, cet homme n'a rien fait qui soit digne de mort. Je le relâcherai donc, après l'avoir fait battre de bâton. 

     

     

    Mais le peuple criait, relâchez Barabbas le prisonnier et tuez Yeshoua.

    Le sanhédrin cherchaient un témoignage contre Yeshoua, pour le faire mourir, et ils n'en trouvaient pas, car plusieurs rendaient de faux témoignages contre lui, mais les témoignages ne s'accordaient pas.

     

    Pilate se trouva face une décision qui changerai la face du monde car sa femme l’avais avertit de ce qu’elle avait reçu en songe  qu’il n’y ait rien entre toi et se juste.

     

    Pilate leur dit pour la troisième fois: Quel mal a-t-il fait? Je n'ai rien trouvé en lui qui mérite la mort.

    Mais ils insistèrent à grands cris, demandant qu'il fût tué. Et leurs cris l'emportèrent: Pilate prononça que ce qu'ils demandaient serait fait.

    Et il livra Yeshoua à leur volonté.

    Pilate fit une inscription, qu'il plaça sur le poteau, et qui était ainsi conçue: Yeshoua de Nazareth, roi des Juifs.

    Pilate, prit de l'eau, se lava les mains en présence de la foule, et dit: Je suis innocent du sang de ce juste. Cela vous regarde.

     

     

    Et tout le peuple répondit: Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants!

     

    Qui a tué Yeshoua?

    Le sang de l’innocent est dans les mains de qui?

    La foule, le peuple, les sadducéens, les pharisiens, Pilate le Romain, les juifs, les faux témoins? 

     

    Les textes ramènent la responsabilité ultime à la puissance Romaine. Le droit romain représentait la plus haute autorité  de la justice, et Pilate va commettre, dans les formes, un déni de justice absolu ; il en porte la responsabilité juridique, et ce sont les soldats de Rome qui ont tué Yeshoua.

     

    Donc le sang retombe sur Rome et ses enfants. Rome qui est la mère de toutes les communautés chrétiennes.

     

    Les églises qui enfantent les chrétiens, en les séparant de leur frères juifs, ces églises qui accusent et qui tuent ceux qui prêchent Yeshoua sorti des rouleaux de la Torah.

    Les églises ont du sang innocent dans leur mains depuis toutes ses générations.

     

    C’est pourquoi à chaque shabbat les juifs et les messianiques procèdent au lavage des mains.

    Car nul ne sait vraiment d’où il vient, de quels ancêtres déicides il a  bien pu être la descendance. 

     Et donc la loi d’Eglah aroufah nous intéresse nous même jusqu’à aujourd’hui.

    A shabbat nous procédons au lavage des mains.

     

    La prière du lavage des mains à shabbat après avoir bu la coupe de vin et avant d’avoir mangé le pain.

     

    Barou'h ata ado-naï élo-hénou mélè'h haolam achère kidéchanou

    bémitzvotav vétsivanou al nétilat yadayim.

     

    Béni sois-Tu, Eternel notre Dieu, Roi de l'Univers, qui nous a sanctifié par Ses

    commandements, et nous a ordonné de nous laver les mains.

     

     

    Puissions nous être acquittés si par nos impureté de coeur nous avons d’une manière ou d’une autre empêcher la propagation de la vérité sur le Messie Yeshoua.

    Que notre repentance sincère nous libère d’un châtiment qui peut être depuis des générations et des générations sur nos têtes et puissions-nous  maintenant être libre et affranchi de la culpabilité, car notre Juge est Yeshoua, que nos yeux reflètent notre coeur purifié. 

     

     

    Shabbat shalom

    L . B

     

     

     

    Lecture de la parasha: Deutéronome: Chapitre 16 verset 18 à chapitre 21 verset 9.

    Lecture de la haftarah: Esaïe: Chapitre 51 verset 12 à chapitre 52 verset  12 + jusqu’au chapitre 53 verset:1 à 12.

    Lecture messianique: 1 Corinthiens: Chapitre 5 verset 9 à 13; Hébreux: 10: 28,31.

     

     


    votre commentaire
  • Une étincelle.

     

     

     

    La parasha Réeh qui veut dire: « Voit ». Elle nous place a un tournant de notre vie.

    Comme s’il y avait des choix à faire.

     

    Moïse dit au peuple regardez devant vous il y a la bénédiction quand vous obéissez aux commandements. Et regardez aussi la malédiction si  vous vous en détournez.

     

     

    Examinez ceux qui annoncent  la vérité et ceux qui annoncent le mensonge.

     

    Réagissez devant les lieux de culte qui sont dédiés aux faux dieux.

     

    Détruisez les temples qui ne portent pas Mon Nom.

     

     

    A ce stade de l’existence de ce monde nous arrivons à un tournant particulier, ou beaucoup de personnes non croyantes se posent des questions sur l’avenir du monde.

     

    Ils s’interrogent sur la tournure politique mondiale qui planifient un nouveau monde pour nous faire accepter ce qui est immorale, ce système mondiale organisé par les maîtres  psychopathes voulant installer la mondialisation sous la gouvernance de satan.

    A ce stade de l’évolution du monde nous assistons à une séparation entre les enfants de Dieu et les enfants du diable.

     

    Car tous ces événements que Dieu permet sont pour  réveiller l’étincelle du peuple de Dieu.

    La peur et les mensonges annonçaient suscitant une attention particulière à des millions d’hommes et de femmes sur l’avenir.

     

     

    Dieu a fait les hommes droits; mais ils ont cherché beaucoup de détours.

     

    Dieu a placé en chaque Homme la pensée de l’éternité.

     

     

    La pensée de l’éternité c’est une étincelle de feu qui ne se consume pas, mais qui reste au stade de l’étincelle tant qu’on ne vient pas la ranimée.

     

    L’étincelle se rallume si notre coeur est sincère devant Dieu, car l’étincelle cherche un foyer pour faire jaillir la flamme qui illumine son âme.

     

    Les étincelles sont des personnes qui aiment Israël  et ne savent pas pourquoi. Les juifs appellent ces personnes les étincelles car elles ont l’âme juive.

    Quand Dieu réveille une étincelle, celle-ci a bien souvent un désir puissant de retourner à ses racines.

    Car obligatoirement une étincelle est une âme juive car Dieu n’a mis ces étincelles que dans l’âme de ses enfants.

     

    L’étincelle est Yeshoua. Il existe en nous  depuis notre naissance, mais enfermé comme nous l’avons compris précédemment avec la parasha Ekev.

    Toutes les étincelles ne peuvent pas apporter la preuve de leurs racines Juives  mais elles savent qu’au fond d’eux qu'il y a un lien très fort.

    L’étincelle se détache du foyer quand elle sent le crépitement de la foi se réveiller elle monte  et s’enflamme devant la vérité qu’elle vient de comprendre.

     

    L’étincelle reconnaît la voix de son Dieu et comprend ce qui se passe en elle, la voix du berger qui appel, l’âme la reconnaît instinctivement, son âme juive se réjouit car Yeshoua est Juif. L’étincelle  elle aime les juifs et voudrait souvent être juives car elle se reconnaît  à travers eux.,

     

    C'est pourquoi, lorsqu'une personne découvre son origine juive, le plus souvent sa vie est totalement changée.

     

    Une étincelle est une âme juive qui n'est pas reconnue comme telle par les humains, mais elle l'est par Dieu.

     

     

     

     

    La bible nous dit  Lévitique;  17;……

     " Car l’âme de la chair est dans le sang. Je vous l'ai donné sur l'autel, afin qu'il servît d'expiation pour vos âmes, car c'est par l'âme que le sang fait l'expiation. C'est pourquoi j'ai dit aux enfants d'Israël: Personne d'entre vous ne mangera du sang, et l'étranger qui séjourne au milieu de vous ne mangera pas du sang. … »

    Car l'âme de toute chair, c'est son sang, qui est en elle.

     

     

     Par conséquent l'âme juive est portée par le sang juif du Messie. 

     

    Celui ou celle qui a du sang juif, a en lui une partie de l'âme juive dans sa génétique. Voilà pourquoi celle-ci se réveille parfois et se met à aimer de façon inconditionnelle la descendance de Jacob.

     

    La dualité entre Jacob et Esaü se réveille. 

     

    Jacob choisit la bénédiction en choisissant de vivre selon les codes de Dieu. Mais Esaü choisira la vie du monde qui sera pour lui une grande malédiction.

    Jacob deviendra israël  et Esaü deviendra le symbole de l’antisémitisme, les ennemis du peuple de Dieu.

     

    Les esprits antisémites vont donc tout faire pour que la personne ne sache rien de ce qu'elle est véritablement. Mais, comme cette personne aime le peuple juif, les esprits vont la traquer et s'ils peuvent le faire, lui empoisonner la vie. Il y a ici un dilemme, car il est écrit :

    Nombres;  24; 9b : Béni soit quiconque te bénira, Et maudit soit quiconque te maudira !

     

    Autrement dit, une personne qui aime le peuple juif est bénie de Dieu,  en même temps comme il s'agit d'une âme juive elle reçoit la bénédiction.

     

    On reconnaît une étincelle par le fait que rien ne l'arrête dans cette mission. Mais aussi parce qu'elle possède les caractéristiques et les problèmes du peuple juif.

    Rappelons nous que la descendance de Jacob aime étudier la Torah, de même l'étincelle a besoin de nourriture spirituelle solide.

     

    Les étincelles encore enfermé dans un type de religion souffre de ne pas pouvoir élargir leur espace de la connaissance;

    A l’exemple des chrétiens qui restent coincés dans leur coquille c’est ce que nous avons vu avec la dernière parasha Ekev la prison des âmes 

     

     

     

    _L’étincelle veut se libérer pour éclairer les autres. C’est toujours ce qui se passe, l’étincelle veut partager sa lumière tellement elle est enthousiaste d’avoir trouver son véritable Sauveur.

     

     

    Ainsi, une étincelle ne pourra pas tenir longtemps dans une église où l'enseignement est trop léger, elle va demander plus. Par ailleurs elle voudra revenir à une forme de shabbat, à la pratique des fêtes de l'Eternel et des traditions d'Israël. Elle cherchera à établir des relations avec des juifs, des rabbins etc...Bref, elle se rapprochera de la racine.

     

     

    Les âmes juives préfèrent quitter ces églises locales, parce que celles-ci ne se sont pas attachées à l'olivier franc.

     

     Ainsi nous retrouvons chez les étincelles une caractéristique du peuple juif, qui est d'être un peuple "solitaire" qui n'est pas compté parmi les nations.

    La plupart du temps l'étincelle est seule, elle brille seule parce que l'église dans son ensemble ne la reçoit plus et le peuple juif ne la reçoit pas encore. Mais Dieu travaille les cœurs dans les deux branches, certaines églises prennent conscience de la nécessité d'être greffées sur la racine juive et certains juifs s'ouvrent aussi sur la possibilité que le messie est bien Yeshoua.

     

     

     

     

     

    L’étincelle a pour définition; Parcelle incandescente qui se détache d'un corps qui brûle.

     

    L’étincelle cherche à se détacher constamment, elle cherche un foyer pour s’allumer.

     

    En terme spirituel l’étincelle se définit comme la partie la plus élevée de l'âme. D'autres expressions sont aussi utilisées pour la désigner, comme « étincelle de l'âme », « cime de l'âme », « pointe de l'âme » ou encore « étincelle de la conscience ».

     

     

     

     

    L'âme juive est donc bien à part des autres, elle ne se mélange pas. C'est pourquoi on observe que certaines âmes juives, qui ont été détachées du peuple juif par suite de l'histoire tumultueuse du monde, sont parfois "réveillées" par l'Eternel et ont ce désir profond de revenir à leurs racines.

     

     

     

    Les assemblées messianiques sont nées il y a plus de 2000 ans Yeshoua a posé la première pierre de l’édifice et depuis comme un petit peuple mis à part elles résistent et survivent comme le peuple juif à travers les pires tragédies de l’histoire. Les communautés messianiques ont toujours survécu malgré les circonstances difficiles.

     

    Mais maintenant que le monde prend un tournant inquiétant, les étincelles sont en train de s’allumer, les étincelles  se reconnaîtront, Dieu nous donne cette capacité de reconnaissance .

     

    Et c’est par cette force de lumière que le mal sera combattu.

     

    Yeshoua est cette étincelle qui va jaillir de tous ses enfants.

    L’univers brillera comme des milliards d’étoiles.

     

    Nous serons UNI-VER-DIEU.

     

     

    Cette parasha est comme un appel devant deux possibilités, la bénédiction en choisissant de se greffer sur le peuple juif en pratiquant les commandements ou choisir la malédiction en restant enfermé dans une religion qui rejette la Torah et ne s’identifie pas au peuple juif.

     

     

    Car le point final de l’histoire c’est quand Dieu ouvrira les yeux des juifs devant Yeshoua leur Messie et là alors la porte se fermera pour les nations. Car les premiers seront les derniers à entrer dans l’éternité.

    Car Dieu leur a donné un esprit d'assoupissement, Des yeux pour ne point voir, Et des oreilles pour ne point entendre, Jusqu'à ce jour.

     

     

    Romains; 11;…….

     

    (Paul); Je dis donc: Est-ce pour tomber qu'ils ont bronché? Loin de là! Mais, par leur chute, le salut est devenu accessible aux païens, afin qu'ils fussent excités à la jalousie. Or, si leur chute a été la richesse du monde, et leur amoindrissement la richesse des païens, combien plus en sera-t-il ainsi quand ils se convertiront tous. Je vous le dis à vous, païens: en tant que je suis apôtre des païens, je glorifie mon ministère, afin, s'il est possible, d'exciter la jalousie de ceux de ma race, et d'en sauver quelques-uns. Car si leur rejet a été la réconciliation du monde, que sera leur réintégration, sinon une vie d'entre les morts? Or, si les prémices sont saintes, la masse l'est aussi; et si la racine est sainte, les branches le sont aussi.

     

     

     

     

     

    « Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne vous regardiez point comme sages, c'est qu'une partie d'Israël est tombée dans l'endurcissement, jusqu'à ce que la totalité des païens soit entrée.

     

    Et ainsi tout Israël sera sauvé, selon qu'il est écrit: Le libérateur viendra de Sion, Et il détournera de Jacob les impiétés;

     

    Et ce sera mon alliance avec eux, Lorsque j'ôterai leurs péchés. »

     

     

    Les communautés messianique sont des ponts d’étincelles qui participe à faire  réunir les nations et Israël. 

    Seules les communauté messianique reconnaissent la Torah comme base essentielle pour vivre selon les désirs de Dieu tout en croyant que le Messie est venu avec un corps d’homme s’offrir comme victime expiatoire pour la réconciliation du monde. IL est fils de Dieu sorti d’une femme car il lui fallu qu’il est du sang humain dont l’ADN fut de Dieu, pour qu’il puise nous obtenir le pardon  car il ni a pas de pardon sans effusion de sang.

     

    Les communautés messianique se sont greffé sur l’olivier franc car elles ont retrouvé leur racine car elles ont reconnu que le messie est juif et qu’il enseigne à suivre les commandements  les shabbat et les fête juives. 

     

    Romains 11;..

     

     

     

    « Mais si quelques-unes des branches ont été retranchées, et si toi, qui étais un olivier sauvage, tu as été greffé à leur place, et rendu participant de la racine et de la graisse de l'olivier, ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que c'est la racine qui te porte. Tu diras donc: Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse greffé. Cela est vrai; elles ont été retranchées pour cause d'incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'abandonne pas à l'orgueil, mais crains; car si Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus. Considère donc la bonté et la sévérité de Dieu: sévérité envers ceux qui sont tombés, et bonté de Dieu envers toi, si tu demeures ferme dans cette bonté; autrement, tu seras aussi retranché. Eux de même, s'ils ne persistent pas dans l'incrédulité, ils seront greffés; car Dieu est puissant pour les greffer de nouveau. Si toi, tu as été coupé de l'olivier naturellement sauvage, et greffé contrairement à ta nature sur l'olivier franc, à plus forte raison eux seront-ils greffés selon leur nature sur leur propre olivier ». 

     

     

     

     

     

    La bénédiction est là devant toi. Il est là, Il est le Messie. Il est présent en toi; il veut faire sortir le meilleur de toi.

    Il veut que tu marches dans ses pas, car Il veut te conduire vers ta destinée, pour faire jaillir les étincelles qui sont encore dans le monde, mais qui  font partie de l’âme de Yeshoua.

     

     

     

    Il est là,  Il est la lumière, Il est la Bénédiction. 

     

     Jean; 14…….

    Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit. Yeshoua lui dit: Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu,  Celui qui m'a vu a vu le Père; comment dis-tu: Montre-nous le Père? Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; et le Père qui demeure en moi, c'est lui qui fait les oeuvres. Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi; croyez du moins à cause de ces oeuvres. En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai.

     

    Si vous m'aimez, gardez mes commandements.

     

     

    Shabbat shalom

     

    L. B

     

     

     

    Lecture de la parasha : Deutéronome: Chapitre 11 verset 26 à chapitre 16 verset 17.

    Lecture de la haftarah: Esaïe: Chapitre 54  verset 11 à chapitre 55 verset 5.

    Lecture messianique:  1Jean: Chapitre 4 verset 1 à 6 et 1Corinthiens: 5: 9 à 13.    

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Aux pieds de la lettre.

     

    La parasha  Ekev tape du pied pour nous avertir des conséquences de nos faiblesses.

    La parasha est un discours de Moïse, rappelant ce que Dieu a dit, mais sans que le nom de Moïse y soit mentionné.

     Ce texte soustrayant le nom de Moïse pour le rendre intemporel, nous permet d’y entendre le Nom de Yeshoua.

     

    Moïse avertit sévèrement le peuple sur l’intérêt d’accomplir aux pieds de la lettre les commandements, afin que tous soient prospères et bénit.

    Il leur rappelle que c’est à cause de toutes leurs faiblesses qu’ils ne prospèrent pas. 

     

     

    Il est dit qu’à la fin des temps, beaucoup de gens fouleront du talon les commandements les plus importants. 

     

    C’est l’avertissement de la parasha. Les conséquences de ce désordre.

     

     

    C’est par le rétablissement de la vérité que nous rétablissons le Nom de Yeshoua en marchant par les 10 commandements. 

     

     

    Moïse leur dit: L’homme ne vivra pas de pain seulement.  Mais de la parole de Dieu.

     Moïse décrit la terre d’Israël comme un pays ruisselant de lait et de  miel, pays béni où l’abondance du blé, de l’orge, du raisin, de  figue, de grenade, d’huile, de datte. Ce qui préfigure l’obéissance envers les écritures, qui sont comme des substances de sainteté dont l’âme s’en délecte.

     

    Moïse ordonne au peuple de détruire toutes sortes d’idoles des anciens maitres de leur vie.

    La parasha  se termine par le second paragraphe du Chéma d’Israël et les bénédictions liées à leur accomplissements, et les conséquences négatives lié à leur négligence.

     

    Le sens Ekev veut dire les conséquences de nos choix, de nos décisions.

     Mais Ekev au vrai sens littéraire veut dire « Le talon ».

     

    La première référence biblique qui mentionne le talon c’est dans Genèse 3; 14, 15.

     

    L'Eternel Dieu dit au serpent: Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie.

     

    Je mettrai la haine entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. 

     

     

     

     

    Ce verset décrit toute la vision de l’avenir du monde, il décrit les conséquences du mal qu’a fait le serpent, car il est écrit « puisque tu as fait cela »  qui se traduit par: Ekev en hébreux.

     

    Je mettrai la haine entre mon peuple et satan mon peuple écrasera sa tête et lui te blessera au talon. Ce qui suggère déjà que satan peut nous faire du mal, nous blesser, mais son action reste limitée.

     

    Par contre, Dieu nous a donné le pouvoir par Yeshoua de le détruire de nos vies.

     

     

    Le pied est une des parties les plus sensible du corps, et en même

     tant le talon du pied est la partie la moins sensible, le talon est recouvert d’une peau plus épaisse le rendant insensible.

     

    C’est donc par là que le diable va attaquer le croyant.

     

    Non pas par le pied mais par les sentiments, en le rendant insensible à la Torah.

     

    Cette insensibilité va se traduire par un aveuglement, une insouciance, de la négligence.

    L’insensibilité de ne  pas ressentir la Torah, les commandements.

    Ainsi on en a la preuve évidente avec les chrétiens qui sont sensibles à Dieu car ils marchent dans  ses voies  mais ils restent insensibles à la Torah. Ils restent insensible au Shabbat, comme s’ils ne se sentaient pas concerné par les commandements qui sont des lois à perpétuité.

     

    Ils entendent, ils voient mais ils pensent que ce n’est pas pour eux.

     

    La Torah est résumé par les dix commandements, et ces 10 paroles inscrites sur les premières tables de pierre sont écrites avec  172 lettres.

     Et Ekev a pour valeur numérique 172. « Talon »

     C’est pour cela que nous savons que le serpent va attaquer les hommes par l’insensibilité à la Torah. 

     

    Si on voudrait rajouter cet anecdote à l’histoire du monde et qu’on regarde la carte du monde, on s’aperçoit que l’Italie, symbole des anti Torah, est dessinée en forme d’une botte dont le talon bien présent est dirigé vers Israël.

     Comme pour dire; le christianisme va blesser les enfants d’Israël.

    Le talon du christianisme blessera les croyants en les empêchants de voir clairement les prescriptions qui viennent d’Israël. 

    Depuis que le Messie Yeshoua est venu depuis plus de 2000 ans, ils piétinent les commandements.

     

    Sur ce sujet un des plus grands maîtres de la Torah  Ba’al Hatourim qui est reconnu ayant été pour le monde une lumière qui a apporté les plus grandes révélations  des écritures décrit la parasha Ekev en donnant cette révélation.

     

    Ekev veut dire prison. C’est-à-dire que le message de Ekev nous instruit sur les âmes captives.

     

     Depuis Adam qui contenait toutes les âmes qui appartenaient à Dieu furent tombés à cause de la faute ont été retenus captives par satan.

    Ces âmes emprisonnées comme dans des prisons.

     La prison des âmes est nommée « Klippa », ce sont comme des coquilles, des écorces qui sont des forces maléfiques qui enferment les âmes. Ses prisons se nomment « Ekev ».

     

    Ces âmes captives qui appartiennent au Messie Yeshoua subissent un déchirement de l’âme, elles subissent des épreuves parfois terribles, elles subissent de l’oppression, et dépression.

     

    Le serpent va tout faire pour les blesser, les abîmer, les diminuer, les affaiblir, les rendre à la fois hypersensible à l’environnement et à la fois insensible à la sainteté de la Torah.

     

     

    Ba’al Hatourim ajoute, que plus l’âme est élevée plus elle sera captive, car ces âmes qui sont destinées à apporter la lumière de la Torah et du Messie, vont être empêchées d’accomplir leur destin. 

     

     

     

     

    Le serpent attaque les croyants au Talon. 

     Le serpent attaque la Torah, symbolisée par les 172 mots des 10 Commandements.

    Moïse a brisé les tables des commandements car le serpent a séduit les hommes qui ont fait un veau d’or, ils ont été insensible à la voix de Dieu qui énonçait les 10 paroles des commandements alors que la montagne diffusait le son de sa voix.

    Dieu a redonné les 10 paroles sur de nouvelle table qui sont la représentation du Messie qui vient de la Torah. 

     Le serpent attaque les croyants sur le Messie Yeshoua qui vient de la Torah.

     

     

    Le serpent est un manipulateur, il laisse les croyants croire en Dieu et en un certain messie mais sans Torah. 

    Le serpent attaque là où le bas blesse. 

     

     

    C’est une guerre entre l’Homme et son âme.

    Yeshoua le Messie qui fut déjà annoncé dans toutes les écritures et dont le prophète Esaïe en a fait son éloge.

    Esaïe; 61; 1.

    L'esprit du Seigneur, l'Eternel, est sur moi, Car l'Eternel m'a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, pour proclamer aux captifs la liberté, Et aux prisonniers la délivrance.

     

     

     

     

     

    Le Messie est venu délivrer les captifs. Les âmes prisonnières. 

     

     

    Luc; 4; 16,18.

     

    Yeshoua entra dans la synagogue le jour du shabbat. Il se leva pour faire la lecture, et on lui remit le livre du prophète Esaïe. L'ayant déroulé, il trouva l'endroit où il était écrit:

     

    L'Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu'il m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, Pour proclamer aux captifs la délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue. Pour renvoyer libres les opprimés.

     

    Yeshoua nous délivre, pour que nous allions apporter le message de la vérité. Proclamer que Yeshoua est lui-même la Torah, car il est saint et c’est par l’obéissance aux commandements que nous sommes sanctifiés car tous les commandements sont Saints.

     

     

     

     

    Ekev c’est le temps de l’angoisse qui permet de demander pardon pour avoir consenti à écouter ce serpent maudit.

     

    Car Dieu  nous met à l’épreuve, par ce serpent qui veut nous détourner des lois. C’est par cela que Dieu jugera son peuple celui qui lutte contre le serpent, lutte contre le mensonge et recevra la récompense, mais celui qui s’accommode du serpent restera avec ses serpents. Celui qui continue à profaner les shabbat et les fêtes marqués selon les écritures, restera enfermé dans son ekev jusqu’à    ce qu’il plie le genoux devant Dieu et reconnaisse ses erreurs. 

     

     

     

    Ne restons pas insensible à la voix de Dieu qui nous ordonne de bien suivre les 10 commandements, sans y rajouter, ou sans y enlever le moindre commandements.

     

    Apocalypse ; 22; 18, 20.

     

    Je le déclare à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre: Si quelqu'un y ajoute quelque chose, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre; et si quelqu'un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l'arbre de la vie et de la ville sainte, décrits dans ce livre.

     

    Celui qui atteste ces choses dit: Oui, je viens bientôt. Amen! Viens, Seigneur Yeshoua!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Afin que s’accomplissent au plus vite les prophéties marchons d’un pied ferme dans l’obéissance des commandements et dans la crainte afin que nous puissions être les témoins des  bénédictions que Dieu donne à ses enfants.

     

     

     

    Shabbat shalom

    L. B

     

     

    Lecture de la parasha: Deutéronome: Chapitre: 7 verset 12 à chapitre 11verset 25.

    Lecture de la haftarah: Esaïe: Chapitre 49 verset 14 à chapitre 51 verset 3.

    Lecture messianique: Mathieu: Chapitre 4 verset 1 à 11. Jacques:  Chapitre 5 verset 7 à 11.

     


    votre commentaire
  • Jérusalem.

     

     

    La Parasha retrace des faits marquants. Moïse met en garde les enfants d’Israël contre l’idolâtrie et désigne les villes de refuge situées de l’autre côté du Jourdain. La Parasha revient sur le récit des Dix Commandements. Le passage du "Chema Israël », avec la mise en garde de l’observance des commandements, et la mise en valeur de l’amour de Dieu pour Son peuple.

     

    La parasha Vaet’hanane agit comme une supplication, comme les cris des prophètes qui annoncent la paix. Cette parasha s’alimente des crient des prophètes.

     

     Car le but est d’aller à Jérusalem.

     

     

     

    Mathieu; 5; 17 à 19.

     

     

    Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. Celui donc qui supprimera l'un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux.

     

     

    Cette parasha annonce le règne du Messie.

    Le rétablissement de Jérusalem.

    Le Trône de l’Éternel va s’élever.

     

     Jérémie; 3; 17.

     

    En ce temps-là, on appellera Jérusalem le trône de l'Eternel; Toutes les nations s'assembleront à Jérusalem, au nom de l'Eternel, Et elles ne suivront plus les penchants de leur mauvais coeur.

     

    On appellera Jérusalem le Trône de l’Éternel. 

     

    Jérusalem est la ville du grand Roi, la ville du Messie Yeshoua  y régnera.

     

    Esaïe; 62; 6, 7….11.

    -Sur tes murs, Jérusalem, j'ai placé des gardes; Ils ne se tairont ni jour ni nuit. Vous qui la rappelez au souvenir de l'Eternel, Point de repos pour vous!

     

    Et ne lui laissez aucun relâche, Jusqu'à ce qu'il rétablisse Jérusalem, et la rende glorieuse sur la terre.

     

    Dites à la fille de Sion: Voici, ton sauveur arrive.

     

    -Jérusalem, ce Nom qui fait rêver, et dont le sens semble à lui seul donner toute son importance.

    Mais ce Nom Jérusalem, en hébreux « Yéroushalayim », n’apparaît jamais explicitement dans les 5 livres que constitue la Torah.

     

    En revanche, on retrouve le nom Jérusalem de nombreuses fois dans les livres des prophètes.

    Cette observance ou plus précisément cette présence par allusion, semble voiler l’existence du Messie.

     

    L’allusion de cette Jérusalem reste un lieu, qu’il est soit terrestre  ou céleste sans prétendre au règne messianique, ce qui correspond donc que seul les prophètes nomment le lieu qu’en suggérant que Jérusalem s’identifie au Messie lui-même.

     

    Jérusalem Yéroushalayim est un pluriel ce qui confirme les Jérusalem. Celle qui descend du ciel et celle qui monte au ciel comme pour Yeshoua qui descend du ciel et monte au ciel.

     

     

     

    Car Jérusalem se construit en bas, car c’est ici que se construit le ciel. Nous sommes responsable de ce qui se passe sur la terre, la vie du ciel dépend de la façon dont nous menons notre vie.

    C’est ce que les prophètes ont annoncé.

     

    Reviens, infidèle peuple d’Israël! dit l’Eternel.

    Reconnais seulement ton iniquité, Reconnais que tu as été infidèle à l'Eternel, ton Dieu, Que tu as dirigé çà et là tes pas vers les dieux étrangers, Sous tout arbre vert, Et que tu n'as pas écouté ma voix, dit l'Eternel.

     

    Revenez, enfants rebelles, dit l'Eternel; Car je suis votre maître. Je vous prendrai, un d'une ville, deux d'une famille, Et je vous ramènerai dans Sion.

     

    Je vous donnerai des bergers selon mon coeur, Et ils vous paîtront avec intelligence et avec sagesse.

     

     

    En ce temps-là, on appellera Jérusalem le trône de l'Eternel; Toutes les nations s'assembleront à Jérusalem, au nom de l'Eternel, Et elles ne suivront plus les penchants de leur mauvais coeur.

     

     

    En ce temps, dit le prophète:  Dieu va s’asseoir et révéler la nouvelle Torah. Dieu va siéger, Il va s’asseoir sur son trône et une nouvelle Torah sortira.

     

    La véritable dimension de la Torah se réalisera en soi, la véritable Torah se nomme Yeshoua,  sa dimension s’étale sur tout le peuple d’Israël. 

     

    La reconstruction de Jérusalem sera la Torah gravée dans nos coeur, car c’est Yeshoua qui l’écrira en nous.

     

      Esaïe; 2; 3.

     

    Car de Sion sortira la loi, Et de Jérusalem la parole de l’Eternel.

     

    Yeshoua est la parole de l’Eternel, il est sorti du livre de la Torah, car Il est la loi. 

     

    Car la Torah n’est pas d’une dimension littéraire mais elle est l’âme du Messie.

     

    La Torah n’est pas seulement un principe de vie, elle est la nature même de Dieu.

     Dieu se présente à nous comme un Dieu d’amour, il est la paix, la dimension de bonheur que nous avons perdu en venant sur terre. Dieu est un immense océan de paix, une plénitude dont nous ignorons le sentiment, Il est ce qui est indescriptible avec notre vocabulaire humain, car ce qui se passe dans le ciel est d’une dimension tellement élevé en Amour, que nous ne maîtrisons pas la porté de ce qui nous attend en haut.

     

    Nous qui somme tombé si bas par nos fautes et nos désirs de bassesses, si nous pourrions ressentir qu’une infime particule d’amour qu’il y a avec Yeshoua, nous cesserions immédiatement d’être si mauvais. Si nous pourrions ne serait-ce qu’un instant vivre la présence de Dieu nous nous humilierons tellement qu’on réaliserai notre laideur.

     

     

     

    Mais parce que Dieu nous aime, Il nous regarde et nous attend  avec Yeshoua qui nous conduit dans la voie de la réparation, celle que donne la Torah.

     

     

    Il est certain que la dimension de la sanctification par les commandements nous échappe ici sur terre, mais Dieu ne nous demande pas de savoir cela, Il veut que nous suivions cette voie là.  Car il est dit que la reconstruction de Jérusalem dépendra de la paix.

     La paix est une manifestation de la grâce divine, elle agit comme une puissance surnaturelle.

    Toute la Torah à été écrite en vue de la paix et la paix est l’objectif ultime de la Torah.

     

    Toutes les lois  de la Torah nous  transforment à l’image de Yeshoua.

     

    C’est pourquoi cette parasha vaét’hanane nous décrit les 10 commandements qui sont la base de notre vie, ces paroles agissent comme le sceau que Dieu met sur nous, comme une marque sur nos têtes, une couronne pour nous identifier car nous sommes l’épouse du Messie et cette couronne est la Jérusalem Céleste.

     

     

    Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne dans le temple de mon Dieu, et il n'en sortira plus; j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d'auprès de mon Dieu,

     

     

     

    Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus. Et je vis descendre du ciel, d'auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse qui s'est parée pour son époux.

     

    Les prophètes nous crient leur désespoir, ils crient, mais qui écoutent?  

     

    Ils décrivent la ville Sainte comme l’épouse sauvée, celle qui s’est sanctifiée par la Torah, et qui s’unit à Yeshoua. 

     

     

     

    Et il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne. Et il me montra la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel d'auprès de Dieu, ayant la gloire de Dieu.

     

     

     

     

    Mon peuple, sois attentif! Ma nation, prête-moi l'oreille! Car la loi sortira de moi, Et j'établirai ma loi pour être la lumière des peuples.

     

    Levez les yeux vers le ciel, et regardez en bas sur la terre!

     

    Réveille-toi, réveille-toi! lève-toi, Jérusalem. 

    Réveille-toi! réveille-toi! revêts ta parure, Sion! Revêts tes habits de fête, Jérusalem, ville sainte! 

     

     

    Secoue ta poussière, lève-toi, redresses-toi, Jérusalem! Détache les liens de ton cou, Captive, fille de Sion!

     

    C'est pourquoi mon peuple connaîtra mon nom; C'est pourquoi il saura, en ce jour, que c'est moi qui parle: me voici!

     

     

    Monte sur une haute montagne, Sion, pour publier la bonne nouvelle; Elève avec force ta voix, Jérusalem, pour publier la bonne nouvelle; Elève ta voix, ne crains point, Dis aux villes de Juda: Voici votre Dieu!

     

     

     

     

    La voix de tes sentinelles retentit; Elles élèvent la voix, Elles poussent ensemble des cris d'allégresse; Car de leurs propres yeux elles voient Que l'Eternel ramène Sion.

     

     

    Jérusalem fait référence à la ville de paix qui vient de Shalom.

    Les prophètes crient la vision du Shalom, ils décrivent Le Messie  qui rassemble la Jérusalem céleste.

     

     

     

     

     

    Or, ceci arriva afin que s'accomplît ce qui avait été annoncé par le prophète:

     

    Dites à la fille de Sion: Voici, ton roi vient à toi, Plein de douceur, et monté sur un âne, Sur un ânon, le petit d'une ânesse.

     

    Lorsqu'il entra dans Jérusalem, toute la ville fut émue, et l'on disait: Qui est celui-ci? La foule répondait: C'est Yeshoua, le prophète, de Nazareth en Galilée.

     

     

    C’est là l’essentiel du message prophétique : « Les prophètes n’ont  fait qu’annoncé la paix et la délivrance par le Messie:

     

     « Dieu a annoncé à Jérusalem c’est-à-dire  les enfants d’Israël ne seront sauvés que par la paix ».

     

     Shalom est le nom de Dieu Un, le Nom d’Israël et le nom du Messie.

     

    Et la paix que Dieu donne vient des 10 paroles et si ces 10 commandements sont écrits dans nos coeur. Nous participons à la reconstruction de la Jérusalem céleste. Mais tout commence ici en bas sur la terre. 

     

    Yeshoua nous appelle, pour rentrer dans son shalom et nous serons dans la paix avec lui pour toujours. Car l’épouse du Messie s’est préparé du temps de sa vie terrestre, elle s’est préparé un trousseau de vêtements pur pour la cité éternelle, elle s’est sanctifié avec les commandements.

    Car les commandements sont une émanation de Dieu et celui qui observe les commandements connaît l’Amour de Dieu car cet amour le transcende.

    Car si nous avons connu Yeshoua, nous avons aussi reçu l’Amour.

     

    Nous avons connu l'Amour, en ce que Yeshoua a donné sa vie pour nous.

     

    Et c'est ici son commandement: que nous croyions au nom de son Fils Yeshoua Le Messie, et que nous nous aimions les uns les autres, selon le commandement qu'il nous a donné. Celui qui garde ses commandements demeure en Dieu, et Dieu en lui; et nous connaissons qu'il demeure en nous par l'Esprit qu'il nous a donné.

     

     

    Shabbat shalom

    L . B

     

     

     

     

     

    Lecture de la parasha : Deutéronome : Chapitre 3 verset 23 à chapitre 7 verset 11.

    Lecture de la haftarah : Esaïe : Chapitre 40 verset 1 à 26.

    Lecture messianique : 1 Jean : Chapitre 2 verset 1 à 29 

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Des mots d’amour !

     

     

    La parasha de cette semaine se nomme Devarim qui veut dire : « Les mots ».

    L’Eternel dit à Moïse de dire les mots au peuple.

     

    37 jours avant de quitter ce monde, Moïse récapitule ce qui s’est passé durant les 40 années dans le désert.

    Il retrace les événements négatifs vécues durant ce pèlerinage.

    Il leur remémore les mots qu’ils ont dit contre lui, contre Dieu, contre les chefs des tribus, enfin contre tout.

    Cette parasha se nomme aussi shabbat de la vision.

    Car le prophète Esaïe décrit sa vision du futur.

     

     

    Le sens littéraire pour décrire ce parcours que le peuple a traversé avec Moïse dans le désert se lit comme pour dire: 

    « Maintenant vous savez, la suite dépend de vous, où 

    la suite c’est vous qui la décidaient, où  le futur vous appartient ».

     

     

    Notre passage dans l’au-delà nous appartient.

    Nous avons le choix de préparer notre mort,  choisir la paix éternelle ou le tourment éternel.

     

    Un grand Sage d’Israël a eu cette vision:

     

    Quand nous serons mort et que nous serons devant Dieu, qu’elle sera Sa première question?

    -La première question qui nous sera posée, ne sera pas d’ordre religieux; comme, « As-tu prié? As-tu bien lu la bible? As-tu bien suivit les prescriptions de la loi?

     

    Mais la première question sera. As-tu été honnête? As-tu rendu heureux les personnes qui t’entouraient?

     As-tu pris soin des gens qui en avaient besoin? As-tu été bon envers les autres?

     

    Ce qui remet en question notre idée de comportement en tant que croyant.

    Si ce qui est important en premier c’est l’Amour, par là nous savons que Dieu existe.

     

     

    Par notre texte on voit que la colère de Dieu envers le peuple ne vient pas parce que les gens se sont mal comporté d’un point de vue religieux, mais parce qu’ils se comportaient mal les uns envers les autres, ils n’étaient pas honnête car ils commettaient  des fraudes pour augmenter leur profit personnel. Ils créent des histoires et des rumeurs, des divisions, du racisme, des jalousies, des procès. 

     

    Des violences verbales des mots; qui blessent, des mots qui détruisent, des mots qui tuent, des mots qui éloignent, des mots qui font de la peine, des mots qui rabaissent, des mots, qui harcèlent, des mots qui critiquent, des mots qui découragent, les mots qui envoies des malédictions.

     

    Et aussi les mots non dits.

     

     

     

    Les 40 années dans le désert symbolisent le Jeûne. Le désert c’est l’absence de nourriture et d’eau,  c’est une comparaison au jeûne alimentaire. 

    Dieu ne prend pas plaisir à des abstinences uniquement religieuses, mais Dieu prend plaisir à des abstinences de méchancetés.

    C’est Esaïe qui en décrit le sens.

     

     

    Esaïe; 58; 1 à 11.

     

     

    Crie à plein gosier, ne te retiens pas, Elève ta voix comme une trompette, Et annonce à mon peuple ses iniquités, A la maison de Jacob ses péchés!

     

    Tous les jours ils me cherchent, Ils veulent connaître mes voies; Comme une nation qui aurait pratiqué la justice Et n'aurait pas abandonné la loi de son Dieu, Ils me demandent des arrêts de justice, Ils désirent l'approche de Dieu. -

     

     

    Pourquoi avons-nous jeûné, et tu n'y as point eu d'égard? pourquoi avons-nous affligé nos âmes, et tu ne t'en es point soucié? Voici, au jour de votre jeûne vous trouvez votre volonté, et vous exigez tout ce en quoi vous tourmentez les autres.

     

     

     

    Voici, vous jeûnez pour disputer et vous quereller, Pour frapper méchamment du poing; Vous ne jeûnez pas comme le veut ce jour, Pour que votre voix soit entendue en haut.

     

    Est-ce là le jeûne auquel je prends plaisir, Un jour où l'homme humilie son âme? Courber la tête comme un jonc, Et se coucher sur le sac et la cendre, Est-ce là ce que tu appelleras un jeûne, Un jour agréable à l'Eternel?

     

    Voici le jeûne auquel je prends plaisir: Détache les chaînes de la méchanceté, Dénoue les liens de la servitude, Renvoie libres les opprimés, Et que l'on rompe toute espèce de joug;

     

    Partage ton pain avec celui qui a faim, Et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te détourne pas de ton semblable.

     

    Alors ta lumière poindra comme l'aurore, Et ta guérison germera promptement; Ta justice marchera devant toi, Et la gloire de l'Eternel t'accompagnera.

     

    Alors tu appelleras, et l'Eternel répondra; Tu crieras, et il dira: Me voici! Si tu éloignes du milieu de toi le joug, Les gestes menaçants et les discours injurieux,

     

    Si tu donnes ta propre subsistance à celui qui a faim, Si tu rassasies l'âme indigente, Ta lumière se lèvera sur l'obscurité, Et tes ténèbres seront comme le midi.

     

    L'Eternel sera toujours ton guide, Il rassasiera ton âme dans les lieux arides, Et il redonnera de la vigueur à tes membres; Tu seras comme un jardin arrosé, Comme une source dont les eaux ne tarissent pas.

     

     

    -Durant ces années le peuple s’est conduit comme des gens ordinaires, des gens du monde, des sans Dieu.

    Ce que Dieu attend de son peuple s’est qu’ils se conduisent comme des gens extraordinaires, des gens exceptionnels, des gens qui aiment. C’est à cela que Dieu nous reconnaît.

     

    Alors un jour devant Dieu  que devrions nous lui dire?

    Oui j’ai aimé les autres, je n’ai pas trahi le commandement; car en aimant les autres, c’est toi que j’ai aimé. Car tu vit en moi comme dans les autres. 

     

     

    Dans la bible il y a ces mots: « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ».

    « Tu aimeras l’Éternel ton Dieu ».

     

    Les deux amours ne font qu’un.

     

    On ne peut pas les dissocier, car ils sont d’une seule essence. Et comme ils sont d’une essence unique, aimé Dieu c’est aimé les mots du livre. 

    Celui qui aime les mots de la bible finira par intégrer la conscience que le but et la raison  d’être de la bible est de rassembler Dieu et son peuple.

     

    Et celui qui aime véritablement un autre croyant en viendra inévitablement à aimer Dieu, puisque l’amour de son prochain est en substance, l’amour de Dieu; et il se sentira poussé à se rapprocher de ses frères juifs et de la Torah, qui est l’expression  de leur lien avec Dieu.

    Quand il y a l’amour de Dieu, mais pas l’amour de la Torah et pas l’amour d’Israël, cela signifie que l’amour de Dieu est également défaillant.

     D’autre part, quand il y a l’amour d’un  Juif, cela finira par amener aussi un amour de la Torah et un amour de Dieu.

    L’amour de la Torah et du peuple juif amènera à l’amour du vrai Messie en la personne de Yeshoua, ce juif qui par amour est mort pour nous ramener auprès de Dieu éternellement.

     

     

    C’est par l’amour que l’on se reconnaît les uns les autres. Car cet amour n’est pas un amour humain, il est un amour Divin, seul Dieu partage cet amour avec nous.

    Le royaume de Dieu se construit avec des âmes cimentées par l’amour.

     Car dans ce royaume nous ne formerons plus qu’un seul corps.

     

    Nous ne sommes pas une religion, nous sommes une âme unique qui s’irradie en de nombreux corps, s’ attachant ensemble pour ne faire qu’un.

    Un corps sain est un corps dont tous les éléments fonctionnent en harmonie.

     

     Un peuple en bonne santé est une grande famille bienveillante dans laquelle chacun des membres aime les autres comme lui-même ou elle-même. Dans laquelle si un croyant traverse une mauvaise passe, les autres lui tiennent la main. Dans laquelle, quand l’un connaît le succès, nous le célébrons tous. 

     

    Dans laquelle personne n’est catalogué ou exclu à cause de ses différences ou de son passé.

     Dans laquelle chacun court accomplir un acte de bonté en faveur d’un autre et ferme ses yeux et ses oreilles devant la honte d’autrui.

     

    L’amour envers ceux qui sont le plus proche de chez soi entretient l’amour pour la grande famille de l’humanité et, de là, pour toutes les créatures de Dieu. Car si l’amour ne démarrait pas à la maison, d’où viendrait-il ?

     

     

    La suite de notre vie, c’est nous qui la décidons, car  le futur nous appartient ».

     

    Nous choisissons de dire les mots qui pardonnent, les mots qui réparent, les mots qui donnent la paix, les mots qui donnent la joie, les mots d’amour. 

     

     

     

     

    Mathieu 7;12.

     

    Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux, car c'est la loi et les prophètes.

     

    Ainsi s’accomplit toute la loi.

     

    Soyons  de ceux qui diffusent l’amour, la joie, le pardon, le rire, le partage, la bonne humeur. Ainsi nous saurons que Dieu est en nous et notre avenir est assuré pour l’éternité.

     

     

     

    Car est béni éternellement celui qui apporte la joie, l’amour, la paix  autour de lui.

     

     

    Shabbat shalom

    L.B 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Lecture de la parasha : Deutéronome : Chapitre 1 verset 1 à chapitre 3 verset 22.

    Lecture de la haftarah : Esaïe : Chapitre 1 verset 1 à  27.

    Lecture messianique : Jean : 15: 1 à 11. Hébreux: 3 : 7 à 4:11.

     


    1 commentaire
  •  

    Une rose parmi les épines.

     

    Cette semaine il y a deux parasha Mattot et Massé.

     

     

    Mattot commence par une loi sur l’annulation des voeux, des engagements, des alliances, des partenariats, des pactes, dont il est utile de se défaire.

    Puis une guerre s’engage contre Madian.

     

     

    Il y a les erreurs de jeunesse, il y a les mauvaises décisions, les mauvaises fréquentations, ou bien par bêtise, ou bien par dévotion, ou embrigadement religieux sectaires, ou simplement par naïveté, des engagements que l’on regrette plus-tard, mais toutes ces sortes de voeux dont l’origine est malveillante sont des péchés, qui engendrent des conséquences négatives et beaucoup de retard dans les projets de vie, c’est avec la parasha Mattot que l’on entreprend de se libérer de ses voeux en demandant pardon et en coupant verbalement ses engagements au nom de Yeshoua. 

     

    Mattot décrit la guerre déclarée  contre Madian et ce qui confirme ici c’est que le texte décrit une guerre morale, une guerre à l’âme.

    Et se poursuit avec la difficulté pour le peuple d’avancer vers la terre promise.

    C’est pourquoi on pourrait penser que les engagements prit à la légère ne sont pas graves, mais en fait ils agissent comme des freins dans la vie. Et c’est une vraie guerre froide qui se cache dans nos souvenirs, comment se rappeler d’un voeux fait même bêtement depuis si longtemps?

     

    Massé décrit les étapes de la vie, ici est mentionné 48 villes, comme un temps de vie, des années d’attente comme un nombre d’années qu’il faut pour se libérer de certains engagements de certains péchés.

    42 villes et 6 villes de refuges, ses étapes pour briser les effets du péché.

     

    Car avant de connaître Dieu nos voeux et engagements n’avaient aucun impact spirituel, mais quand on vient à Dieu l’accusateur se réveille.

     

    Les 42 villes qui sont en quelque sorte une traversée du désert pour nous apprendre à marcher selon Dieu.

     

     Et ses 6 villes de refuges qui sont des lieux pour être cachés durant le temps que l’on comprenne nos erreurs.

     

    Dans ces villes de refuge on y retrouve la paix comme des oasis dans le désert.

    On y vient chercher le pardon, on y cherche l’homme de sérénité pour être en paix et ne plus être accusé.  On y cherche le Messie, on y cherche Dieu.

     

     

    Ces villes refuges sont pour les meurtriers qui ont tués sans intention de tuer.

    Mais qui est mort?

    C’est celui qui a péché qui est mort,  c’est notre mort spirituelle dont on parle ici.

     Et si par notre péché nous sommes mort, nous somme accablés par les accusateurs. 

     

     

     

     

     

    1 Jean 2; 1,2;

    Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Yeshoua le Messie, le juste. Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier.

     

     

    Dans notre parasha; Nombres: 33; 55.

    Mais si vous ne chassez pas devant vous les habitants du pays, ceux d'entre eux que vous laisserez seront comme des épines dans vos yeux et des aiguillons dans vos côtés, ils seront vos ennemis dans le pays où vous allez vous établir.

     

     

    Nos ennemis morales si nous ne les détruisons pas ils seront comme des épines dans nos yeux. C’est à cause de ses épines que nous mourrons de chagrin, de détresse, de souffrance morale, de découragement.

     

    C’est parasha nous indiquent le chemin vers ses villes de refuges.

     

     

     

    Car il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Yeshoua Le Messie. 

     

     Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous?

     

     Lui, qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui?

     

     Qui accusera les élus de Dieu?

     

     C'est Dieu qui justifie! Qui les condamnera? 

     

    Le Messie est mort; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous!

     

    Car en Yeshoua personne ne peut plus nous accuser !

     

     

    Les six villes de refuges sont: 

    Kadesh, Sichem, Hébron, Golam, Ramoth, Betser.

     

    Kadesh, c’est une oasis où Yeshoua nous ressource.

    Sichem, c’est l’épaule de Yeshoua qui nous console.

    Hébron, c’est l’onction de Yeshoua qui nous guérit le corps.

    Golam,  c’est le souffle de Yeshoua qui nous transforme.

    Ramoth, c’est le bâton de Yeshoua qui nous relève.

    Betser c’est la force de Yeshoua qui nous reconstruit.

     

     

     

      

    Les villes de refuges nous protègent des accusateurs, qui nous accusent moralement, c’est une guerre morale, un anéantissement de la personne par la culpabilité d’avoir fait quelque chose de mal.

    La culpabilité de s’être laisser faire, de n’avoir rien dit, de n’avoir pas agit mais d’avoir subi, cette sorte de guerre à l’âme se traduit par la dépression, le mal être, un état de rabaissement, d’humiliation, d’appauvrissement, un état de faiblesse, ou d’immobilisme.

     

    Ainsi on retrouve le parallèle avec les villes de refuge. 

     

     

     

    Kadesh c’est le siège de la maltraitance.

    Sichem: c’est le siège des violences, des viols, des humiliations.
    Hébron c’est le siège des maladies, des hérédités, des morts prématurées.

    Golam c’est le siège du rejet.

    Ramoth c’est le siège des injustices.

    Betser c’est le siège des abandons.

     

     

    Dans ces 6 villes on y trouve du secours.

    A Kadesh c’est le repos de l’âme, par la paix.

    A Sichem c’est la réparation de la honte et des humiliations.

    A Hébron c’est la guérison des maladies du corps.

    A Golam c’est retrouver l’estime de soi.

    A Ramoth c’est l’équilibre de la justice reconnu.

    A Betser c’est la reconstruction de sa vie.

     

    Dans ces villes, il y a Yeshoua.

    Il est notre sauveur. 

    Il est notre sacrifice.

    Il a payé le prix de nos fautes.

    Il est notre refuge, notre abri.

    Il est notre justice.

    Il est notre droit d’asile.

     

    C’est 2 parasha instruisent sur l’état moral et mental.

     

    Nous sommes des roses parmi les épines.

     

    Dans la vie il y a toutes sortes d’injustices, des discriminations, des  blessures, qui sont comme des tourments épineux.

    Les épines sont comme des accusateurs qui veulent nous faire chuter.

     

     

    Le rosier en tant qu'épineux évoque aussi la couronne du Messie Yeshoua faite d'épines. 

     

     

    Yeshoua a supporté pour nous la couronne d’épines enfoncée sur sa tête, pour nous guérir de nos souffrances mentales et morales.

    La couronne sur sa tête c’est bien le sens donné à ce symbole de la culpabilité morale que nous font subir nos accusateurs.

     

     

     

     

     

     

    Les blessures de l’âme sont tout ce que nous vivons de désagréable dans notre vie et relié à nos blessures vécues. Tout ce qui nous arrive sur le plan mental (anxiété, peurs…), sur le plan émotionnel (culpabilité, émotions, colère…) et sur le plan physique (maladies, malaises, accidents…) n’est que la conséquence de nos blessures d’âme.

     

     

     

    Nous sommes des roses qui poussons avec des épines.

     

     

     

    Israël est comparé à une rose qui pousserait parmi les épines dans les nations.  Israël c’est la fleur de Dieu dont nous formons le bouquet; telle une immense gerbe de roses. 

    Des roses qui donnent leurs parfums par leurs prières.

     

    Israël est une rose à 13 pétales et 5 sépales dont la métaphore est magnifique.

     

    Les 12 prophètes  et le Messie 

    Osée, Joël, Amos, Abdias, Jonas, Michée, Nahum, Habacuc, Sophonie, Aggée, Zacharie, Malachie. Et le Messie Yeshoua.

     

    Les 5 sépales des 5 livres de la loi. 

    C’est pourquoi le verre du kidouch, le verre du vin de shabbat est en forme de  calice, il rappel la forme de la rose  tenu dans la paume de la main  refermée par ses 5 doigts. Tel il forme une rose.

     

    Nous sommes des roses éternelles, qui ornerons le palais de notre Roi Yeshoua des roses qui embaumerons la cité céleste.

     

    Mais nous sommes encore des roses avec des épines, dont il est un temps pour en briser le sort. 

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ces parasha sont des puissances de guérison, des puissances de réparations. 

    Tout ce que nous a volé le diable doit nous être restitué, que ce soit les blessures de l’âme ou les blessures du corps. Ainsi que les accidents  de la vie, les blessures financières, tout doit nous être restitué, nous récupérons le butin qui nous avait été volé, car en Yeshoua il n’y a plus de condamnation.

     

    Avec ces deux parasha nous fermons le livre des Nombres comme nous fermons une page de notre histoire pour aller de l’avant dans la paix, la joie, la réjouissance et dans la liberté, car nous avons un sauveur qui s'est donné lui-même en rançon pour nous.

     

    C'est ainsi que le Fils de l'homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs.

     

    Il est venu pour nous consoler, nous guérir,  nous aider quand notre coeur est lourd.

     

    Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Yeshoua le Messie, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, qui nous console dans toutes nos afflictions, 

     

    Que notre Seigneur Yeshoua le Messie lui-même, et Dieu notre Père, qui nous a aimés, et qui nous a donné par sa grâce une consolation éternelle et une bonne espérance, consolent vos coeurs, et vous affermissent en toute bonne oeuvre et en toute bonne parole!

     

    Soyons réjouis car une âme réjouie est une âme guérie.

     

    Le réjouisement de l’âme produit une délivrance et une auto défense sur notre corps.

    Une âme réjouit donne un corps en bonne santé.

     

     

     

    Philippiens 4;4.

    Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur; je le répète, réjouissez-vous.

     

     

    Heureux les affligés, car ils seront consolés!

     

    Heureux les débonnaires, car ils hériteront la terre!

     

    Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés!

     

    Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde!

     

    Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu!

     

    Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu!

     

    Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux!

     

    Que toutes les étapes de notre vie, nous conduisent vers Dieu pour l’éternité.

    Hazak, hazak, vénit hazek !

    Sois fort, sois fort, et nous nous renforcions !

     

     

     

    Shabbat shalom

    L.B

     

    Lecture Mattot:

    Parasha 

    Nombres: Chapitre: 30 verset 2 (1) à Chapitre 32 verset 42.

    Haftarah: 

    Jérémie: Chapitre: 1 verset 1 à chapitre 2 verset 3.

    Messianique: 

    Mathieu: Chapitre 5 verset 33 à 37.

     

     

    Lecture Massé.

    Parasha:

    Jérémie: Chapitre 33 verset 1 à chapitre 36 verset 13.

    Haftarah: 

    Jérémie: 2 verset 4  à chapitre 4 verset 2.

    Messianique:

    Jacques: Chapitre 4 verset 1 à 12.

     


    votre commentaire
  • L’arme fatale !

     

    La parasha Pinh’as vient nous raconter l’histoire d’un homme simple qui a pu obtenir une alliance de paix éternelle.

     

    Le texte mentionne le zèle qu‘a eu Pinh’as; qui tue à l’aide d’une épée pointée dans le bas ventre de Zimrih le juif et de la Madianite qui était tous deux ensemble dans la tente.

     

    Puis le texte raconte la distribution des terres pour les 12 tribus qui se fit par un tirage au sort.

     

    Puis les filles de Celofhad réclament leur bien, puis c’est l’annonce de la mort de Moïse et  Josué qui doit prendre la relève.

     Et la parasha se termine  sur le principe éternel de ne jamais oublier d’honorer, les shabbat et les fêtes.

     

     

     

     

    Si on revient à la parasha de la semaine dernière, la parasha Balak, nous avons vu que Balak ce Roi voulait à tout prix maudire Israël, et pour le faire il employa Balaam pour prophétiser la malédiction sur ce peuple.

     

    Après plusieurs tentatives d’échec, il compris que ce peuple ne pouvait pas être maudit, tant qu’il suivait la voie de Dieu.

     Alors Balaam utilisa sa dernière cartouche, la séduction sexuelle.

     

    Balaam regarda vers Shittim pour diriger le peuple vers ces gens, cette race de pervers qui sont les Moabites.

    Israël s’établit à Shittim là où il y a les filles Moabites, celles qui vivent dans la débauche, celle qui pratique le culte du sexe. 

    Les filles Moabites se montrent impudiques et attirent les israélites par l’exhibition de leur corps nu.

     

    Les Moabites hommes ou femmes adorent Baal Péor et se prostituent dans leurs temples, ils s’offraient à ses dieux.

     Ces cultes de Baal sont des célébrations à leurs dieux. 

     Ces dieux et déesses utilisent les corps humains pour détourner les enfants d’Israël de la voie de Dieu.

     

     Ces dieux de l’époque de Moïse sont maintenant très puissants à notre époque, car ils dominent le monde et pervertissent même les croyants. Car leurs divinités est foudroyantes  et puissantes.

     

     Ils agissent tellement sournoisement que même certains croyants tombent dans une sorte d’acceptation moderne.  

     

    Le monde est dominé par les dieux suprême des Panthéons comme le Panthéon de Rome qui encore aujourd’hui attirent des millions de visiteurs comme le Colisée et les musée qui sont d’anciens temples dédiés au culte du sexe.  Ces musées ou l’ont voient que des Apollons et Déesses nu.

     

     Le peuple de Dieu ne peut pas être maudit mais il peut être détourné de ses voies. 

    Le diable utilise toujours le même argument. En minimisant le problème.

     

    C’est alors que notre Pinh’as intervient. Pour défendre l’honneur de Dieu.

    Car ce qui atteint l’un, atteint tous les membres du corps, car si un des membres est  dans le péché tout le corps souffre avec lui, car le péché c’est comme une contamination qui s’étend sur l’entourage.

     

    1 Corinthiens 12 

    …Et si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui; si un membre est honoré, tous les membres se réjouissent avec lui. Vous êtes le corps du Messie, et vous êtes ses membres, chacun pour sa part.

     

     

     

    1 Corinthiens 6 

    Ne savez-vous pas que vos corps sont des membres du Messie? Prendrai-je donc les membres du messie, pour en faire les membres d'une prostituée? Loin de là! Ne savez-vous pas que celui qui s'attache à la prostituée est un seul corps avec elle? Car, est-il dit, les deux deviendront une seule chair.…

     

     

    1 Corinthiens 6:13

    Les aliments sont pour le ventre, et le ventre pour les aliments; et Dieu détruira l'un comme les autres. Mais le corps n'est pas pour l'impudicité. Il est pour le Seigneur, et le Seigneur pour le corps.

     

     

     

    1 Corinthiens 6:19

    Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes?

     

     

     

    La mission impossible de Pin’has c’est de sauver la communauté car si il réside parmi la communauté un mal sexuelle toute la communauté sera impactée par ces souillures.

     

    Pin’has tue Zimrih et Cozby pour que le mal ne sévisse plus au sein du peuple car la séduction agit comme un microbe qui s’attrape si on s’approche de trop près d’un contaminé.

     

    Pinh’as ce super héros agit avec un courage exceptionnel pour sauver le reste qui est encore à sauver car il est dit que Pinh’as tua zimrih et Cozby mais il mourut 24000 personnes, donc le mal avait propager son venin sur une parti du peuple.

     Après cette intervention de Pinh’as fut reconnu  par ses frères.

     

     

     

     

     

    Pinh’as est  l’homme qui n’était pas considéré par les fils des autres tribus ils se moquaient de lui car il ne pouvait pas exercer les services au temple comme le faisait son grand-père Aaron et son père Eléazar, car sa mère était fille de la descendance de Jethro.  

     

     

     

    Pinh’as c’est l’image de deux personnages, à la fois comme un super héros et à la fois comme un simple homme.

     

     

    Il est comme un homme puissant tenant une épée aux pouvoirs surnaturels dans un corps d’homme normal. 

     

    C’est à l’image de Yeshoua qui est Dieu par Père et qui est homme par sa mère.

     

    Nous sommes à l’image de ce Pinh’as puissant par Yeshoua qui est en nous et à la fois  simple personne  par notre corps. Une partie de nous est spirituelle et l’autre est terrestre fort et faible à la fois.

     

     

     

     Pinh’as l’homme n’avait pas reçu le côté spirituel, il ne pouvait pas exercer de service au temple comme son père Eléazar et son grand-père Aaron.

     

    Mais parce-qu’il a voulu honorer Dieu en enlevant la débauche sexuelle il est devenu spirituel.

     

     Parcequ’il a eu le courage d’arrêter le mal qui séduisait les fils d’Israël, il reçut de la part de Dieu la paix éternelle.

     

    Pinh’as l’homme de foi et de courage cherchait à protéger le peuple car ce Zimrih dans son genre participait à l’effort de détruire Israël.

     

     

     

    Pinh’as s’oppose et il protège ses enfants comme il écrit dans la bible. Il fut béni éternellement lui et sa descendance à perpétuité.

     

     

     

    La base d’une société saine repose sur la famille. C’est le noyau incontournable d’un fonctionnement sociétal permettant le bien-être de chaque individu, son développement moral, intellectuel et social devant passer par les valeurs transmises dans le circuit familial. Il est donc de toute première importance que les bases de la famille soient claires, aussi bien au niveau spirituel, que moral. 

     

    Mais le mal atteint aussi le juste par des modèles familiaux exerçant une éducation permissive, tolérante, cool, et moderne, mais cela n’est pas la voie de Dieu.

     

     

     

     

     

    Dieu a honoré Pinh’as car il a refusé le péché d’immoralité sexuelle.

    Toute immoralité sexuelle est en abomination devant Dieu.

     

     

    1 Corinthiens; 6; 9

    Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront point le royaume de Dieu? Ne vous y trompez pas: ni les impudiques, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes,

     

     

     

     

     

     

    Lévitique; 20; 13
    Si un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable; ils seront punis de mort: leur sang retombera sur eux.

     

     

     

    Romains; 1; 27

    et de même les hommes, abandonnant l'usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement.

     

    Lévitique; 18; 22

    Tu ne coucheras point avec un homme comme on couche avec une femme. C'est une abomination.

     

     

     

    Mais Dieu ne rejette aucun homme aucune femme quoi qu’ils aient fait.  Dieu rejette le péché. Yeshoua est venu par amour car il nous aime tous, il aime tous les pécheurs et aucun n’est rejeté  par Yeshoua, si il se répand de ses actes. 

     

    Pinha’s l’homme de foi a pris l’épée de la foi et a détruit le mal.

     

    Mais nous qui sommes du jour, soyons sobres, ayant revêtu la cuirasse de la foi et de l'amour, et ayant pour casque l'espérance du salut. Car Dieu ne nous a pas destinés à la colère, mais à l'acquisition du salut par notre Seigneur Yeshoua le Messie. 

     

    Car Dieu se révèle comme parole incarnée la parole de Dieu est révélé par Yeshoua il est la parole Il est l’épée de l’esprit comme il est dit dans Ephésiens 6;17.

    L'épée de l'Esprit, qui est la parole de Dieu.

     

    Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du coeur.

     

     

    Yeshoua c’est l’épée qui donne  la force et le courage de résister aux séductions de ce monde, il est l‘épée qui tranche entre le mal et le bien. Il est l’épée qui défend le peuple de Dieu. Il est notre justice, si nous suivons la voie de la décence sexuelle, si nous sommes pudiques et propres dans nos actions. 

     

     

     

     

    Yeshoua ne juge pas, il aime et délivre celui qui veut en être délivré.

     

    Car Dieu ne condamne pas les hommes ou les femmes, mais condamne l’acte qui est un péché.

    Jean; 8; 15

    Vous jugez selon la chair; moi, je ne juge personne.

     

     

    Toute dérive sexuelle est interdite si on veut vivre en véritable croyant témoin de Yeshoua par nos actes.

     Car nos actes sont le témoignage de notre foi.

     

     

    Le texte fait mention des filles de Celofhad qui ont été injustement privées de leur patrimoine.  Victime d’une malédiction car aucun homme n’était né de leur famille. Dieu rétabli l’ordre des choses;

     Et les injustices de la vie sont rétablies car Yeshoua est là avec son arme fatale, qui est sa puissance qui nous délivre du mal auquel nous étions soumis de force et contre notre volonté spirituelle.

     Car nous cherchons Yeshoua depuis toujours, mais le mal comme de ses moabites sont venu sur notre chemin pour nous détourner de Dieu par les péchés.

     

    Yeshoua est notre Justice, il nous rend libre car il nous pardonne,  si nous le lui demandons et fait avec nous une alliance de Paix éternelle et pour nos familles.

     

     

     

     

     

     Jean; 16; 33

    Je vous ai dit ces choses, afin que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde; mais prenez courage, j'ai vaincu le monde.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La parole qui est  l’épée de Pinh’as pour leur annoncer que c’est par le Messie Yeshoua qu’ils auraient une promesse de Paix éternelle. 

     

    Nous avons cette arme fatale qui est notre parole qui proclament Yeshoua notre Roi et par cette autorité, nous sommes libre de penser, de décider, de vivre dans la sainteté et refuser toutes séductions de débauches. 

     

    Notre arme fatale c’est d’honorer Dieu, dans Ses shabbat et dans ses fêtes. Ainsi aucune malice du diable ne pourra nous détourner de la voie de Dieu

     

    Yeshoua notre arme fatale contre toutes les séductions de ce monde, car il est l’épée de l’esprit.

     

     Actes; 10; 36

    Il a envoyé la parole aux fils d'Israël, en leur annonçant la paix par Yeshoua le Messie, qui est le Seigneur de tous.

     

     

     

    Shabbat Shalom 

    L.B

     

     

     

    Lecture de la parasha : Nombres : Chapitre 25 verset 10 à chapitre 30 verset 1.

    Lecture de la haftarah: 1 Rois : Chapitre 18 verset 46 à chapitre 19 verset 21.

    Lecture messianique : Ephésiens; 6; 10 à 24. Hébreux; 4; 8 à 16.

    1 Corinthiens; 11. 12 à 20.

     


    votre commentaire
  •  

     

     

    Purifiez-vous !

     

     

    La parasha  Houkat c’est la parasha dite; parasha de la vache rousse.

     Le principe de la vache rousse ordonné par Dieu à Moïse.

    Vous prendrez une vache rousse sans défaut, vous la brûlerez et vous recueillerez les cendres, que  vous mélangerez avec de l’eau. Vous vous en aspergerez sur le corps et sur les vêtements. Cette eau sera l’eau lustrale, l’eau purificatrice.

     

     

     

    La parasha de la vache rousse nous instruit sur nos inquiétudes.

     

    La semaine dernière la parasha nous a rappelé ce que Dieu dit au peuple, sortez de là, séparez-vous de cette communauté, éloignez-vous, séparez-vous d’eux.

     

    Donc notre parasha continue dans cette idée en disant maintenant purifiez-vous, car vous étiez en contact avec des morts. Avec ces gens qui contestent toujours Dieu.

    Car la loi de la vache rousse coïncide avec l’idée de se purifier si on était auparavant en contact avec des morts. C’est-à-dire des morts qui sont encore vivants. Ils vivent de corps, mais sont morts spirituellement.

     

    La vache rousse préfigure une image messianique qui a pour but le nettoyage de nos anciennes connaissances comme un lavage de la conscience.

     

     

    Que l’on vienne du christianisme, du judaïsme, d’autres religions ou alors comme c’est maintenant l’émergence d’une multitude de secte new âge,  c’est un temps  permis par  Dieu, car il vient chercher ses enfants enrôlés, prit dans un système qui a capté leur conscience vers un intérêt  qui leur semblé bien. Dieu appel à sortir de tout  système religieux, à sortir de tout embrigadement  communautaire. Il faut maintenant se purifier de la connaissance acquise dans ces lieux.

     

    Même si c’était bien, car il y a du bon partout, Dieu nous fait passer par des chemins qui correspondent à nos besoins du moment.

     

    Mais le moment pour beaucoup est de sortir de leur confort et d’aller affronter la vérité face à face.

     

     

    La loi de la vache rousse agit comme une eau purificatrice qui fait le tri de notre connaissance.

    Comme pour se laver la conscience de ce que l’on avait appris avant.

     

     

    La loi de la vache rousse est appelée loi « HOK » cela veut dire la science cachée, la science dans la conscience ce qui reste caché, qui n’est pas de la lumière.

    Toutes les doctrines religieuses créés par les Hommes.

    La loi Hok de la vache rousse nettoie de la science de l’ombre.

    Aussi c’est un appel à se purifier de toutes les sciences sorties de l’ésotérisme, toutes les sciences divinatoires, secrètes, toutes les scènes de fausses guérisons ou faux miracles .

     

    La vache rousse purifie la conscience cachée celle qui est enfouie au fond de nous.

    L’eau lustrale c’est l’eau qui régénère l’Esprit qui lave et purifie.

     

     

    Le texte figure ici la mort de Myriam la soeur d’Aaron  et de Moïse c’est une façon de dire que c’était la fin de leur ancienne croyance car il est dit de Myriam c’est la source d’eau qui unissait le peuple comme dans une communauté, mais  qui n’est plus car Myriam était comme un puit où il y avait de l’eau,  un lieu de culte  mais provisoire, car la vrai source d’eau qui vient du Messie devait venir, c’est cette eau qui enlèverai vraiment la soif. 

     

     Le peuple perdait sa communauté, son église, sa synagogue son lieux de source ou de ressource même si ces lieux étaient bien. Le peuple a peur car il est maintenant seul.  Il se sent abandonné par les frères, soeurs, prédicateurs, le peuple se sent isolé un peu perdu.

    C’est ce qui nous arrive quand Dieu nous appelle à quitter ces lieux. 

    Et c’est là que Dieu voit si on lui fait confiance, si notre foi est solide.

     

    Le peuple murmure aussi pour la nourriture, mais là le texte se révèle par ses mots qui sont les mêmes que dans la parasha des explorateurs, ils réclament des raisins, figue et grenades.

    Nous avions appris dans le commentaire de Chelah Lekha que la grappe de raisin c’était la communauté, la figue représentait la foi en Yeshoua et la grenade représentait les commandements.

    Le peuple se plaint car il ne trouve pas de temple messianique.

     

    Alors la parasha Houkat se laisse  mieux comprendre maintenant. Le peuple cherche  une communauté de croyants. Il cherche le Messie et les commandements. Le peuple de Dieu cherche à se réunir pour former le peuple  messianique ce texte le plus merveilleux de tous les temps prophétisait la communauté messianique, qui s’unit pour former le Royaume céleste de Yeshoua.

     Un lieux de repos ou il y a le Messie Yeshoua et les commandements de la  Torah.

     

    Ce texte sonne comme un encouragement pour tous ceux qui sortent de leurs religions parcequ’ils ont reçu l’appel de la vraie liberté, celui que donne Yeshoua.

     

     

    Le peuple a peur de se retrouver seul face à ce monde qui séduit, peur de se mélanger,  peur d’être jugé par les proches, peur de perdre sa famille, peur pour ses enfants.

     Mais Dieu a dit de lui faire confiance car il veille sur nous.

     

    C’est la correspondance du texte qui parle que le peuple devait passer par kaddêch, ville ennemis, mais Moïse dit au peuple de ne rien prendre de ces villes car tout étaient impurs. Les habitants du pays les attaquèrent mais Dieu s’en chargea, et les mit en défaite. Le peuple est passé sans problème, car il n’avait rien touché de ce qui est dans ce pays impur. 

     

     

     

     

     

    L’Eternel dit à Moïse assemble le peuple et montre leur qu’il y a de l’eau, prend le bâton  et ordonne au rocher de faire jaillir de l’eau, mais le peuple rechigna contre Moïse c’est-à-dire la Torah.

     

    Moïse  frappe deux fois le rocher avec le bâton.

     L’eau jaillit mais Dieu fut en colère  car le peuple murmurait, ils irritèrent l’Eternel près des eaux de Mériba et Moïse fut puni à cause d’eux.

     

     

    Mais la marche fut longue et le peuple se découragea, au lieu d’être dans la paix de Dieu.  Il ne trouvait pas le repos du shabbat.

     

    L’Eternel excédé envoya  des serpents qui mordirent le peuple. 

     

    Alors le peuple supplia Moïse d’intervenir.

     

    L’Eternel dit à Moïse fais toi un serpent d’airain et fixe le sur un bâton et alors si quelqu’un sera mordu par un serpent  il lèvera ses yeux vers le serpent d’airain et il sera sauvé.

     

     

    Le serpent d’airain confirme le texte. 

    Le serpent symbolise la science. 

    Adam et Eve furent séduit par le serpent qui leur fit croire que s’il goûtait au fruit de l’arbre de la connaissance ils seraient comme des Dieux.
     

    L’arbre de la connaissance du bien et du mal représente, la science des cités anciennes là ou l’art des sciences cachés est pratiqué, là où les serpents des magiciens d’Egypte ont essayé d’être comme Dieu, les arts divinatoires et le secret de la magie y sont enseigné.

     

    Le serpent vivant est celui qui était dans l’arbre de la connaissance du bien et du mal.

     

     

     

     

    Dieu a toujours interdit que l’on s’intéresse à ses sciences ésotériques. C’est la connaissance que donne les démons. Car les démons font aussi des miracles, ils donnent la science cachée du pouvoir. Les démons peuvent aussi agir sur l’environnement, sur les Hommes  et sur les énergies.

     

     

    Le serpent d’airain c’est l’image de la mort de ce serpent, il est dominé pour montrer à tous qu’il a perdu, il est mort. 

    Quiconque fut mordu par des fausses croyances, est sauvé quand il lève ses yeux vers Dieu.

     

     

    Moïse a dominé le serpent. La connaissance de la Torah domine le serpent il devient d’airain il est mort.

     

    C’est la mort de notre conscience de la science.

     L’homme doit s’élever comme le Messie, il doit mourir de ses anciennes convictions car le péché a plongé l’homme dans l’abîme de la connaissance du bien et du mal.

     

     

    Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle.

     

     

    Yeshoua donc leur dit: Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous connaîtrez ce que je suis, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le Père m'a enseigné.

     

     

    La marche avec Dieu est souvent difficile, les épreuves de la vie nous atteignent et nous attristent car nous voulons tellement être béni tout de suite.

     

     Mais si nous ne nous purifions pas, par l’arbre de vie qui est alimenté par l’eau purificatrice, cette eau lustrale qui donne  la vrai connaissance, l’arbre de vie qui enseigne les 10 commandements, si il nous reste encore quelques envies d’aller vers des lieux de culte que Dieu n’approuve plus, alors notre marche est longue; alors que nous voudrions rentrer dans le repos, c’est pourquoi nous avons le repos du shabbat qui nous console en attendant d’être totalement consoler pour l’Eternité.

     

     

    Shabbat shalom

     

    L.B 

     

     

     Deux lectures Houkat et Balak

     

    Lecture de la parasha houkat : Nombres: Chapitre 19 verset 1 à chapitre 22 verset 1.

    Lecture de la haftarah : Juges: Chapitre 11 verset 1 à 33.

    Lecture messianique : Jean : Chapitre 3 verset 9 à 21.

    4; 3 à 30. 12; 27 à 50 Purifiez-vous !

     

    Parasha Balak 
    Lecture de la parasha: Nombres: Chapitre 22 verset 2 à chapitre 25 verset 9.
    Lecture de la haftarah: Michée : Chapitre 5 verset 6 (7) à chapitre 6 verset 8.
    Lecture messianique: 2 Pierre : Chapitre 2 verset 1 à 22. 
    Apocalypse: 2: 14 à 16. Jude: 11.

      

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Une vieille rancune.

     

     

     

    La parasha Korah se raconte comm un grand secret déterré du fond de la terre.

     

    L’histoire de Korah c’est l’histoire d’une vieille rancune qui revient déterrer le passé.

     

    En bref, Korah et sa bande sont jaloux du service au temple qu’exerçaient Moïse et Aaron. Korah étant affecté au service des offrandes des parfums, tandis qu’Aaron était affecté au service des offrandes de sang.

    Moïse les avertit que s’ils ne se remettent pas en question, ils leur arriveraient un phénomène anormal qui les feraient mourir le lendemain matin. 

    Ainsi ils avaient toute la nuit pour se repentir.

    Mais au lendemain la colère de Dieu s’éleva, il ouvrit la terre et tous furent tombés au fond de la terre en étant vivants.

    Les versions en hébreux traduisent . La terre ouvrit sa bouche et avala Korah et sa troupe.

     

    La parasha relate aussi de l’autorité que Dieu avait donné à Aaron avec son bâton d’amandier qui a refleuri de façon surnaturel.

     

    Pour entrer dans le vif du sujet, il faut remonter à cette vieille rancune qui remonte au temps de la création.

     

    Au commencement Dieu créa le ciel et la terre et les ténèbres couvraient la face de l’abîme: Dieu dit que la lumière soit! Et la lumière fut. Dieu fit une séparation entre les ténèbres et la lumière. Dieu appela la lumière jour et les ténèbres nuit.

    Il fut un soir, il fut un jour.

     

    Dans ce texte on voit que les ténèbres existaient avant la lumière.

    Il fit une nuit, les ténèbres. Il fut un jour, la lumière.

    On peut lire à travers ses écritures que Satan était là avant le Messie.

     

    Mais Dieu choisit la lumière pour créer toute l’étendue du monde. Le Messie Yeshoua est la lumière du monde.

     

     

    Jean; 1; 1 à 5…. 9; 14…16 à 18.

     

    Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle. 

     

    En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue.

     

    Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l'a point connue. Elle est venue chez les siens, et les siens ne l'ont point reçue. Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son Nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu.

     

    Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. 

     

     

     

     

    Et nous avons tous reçu de sa plénitude, et grâce pour grâce; car la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Yeshoua Le Messie. Personne n'a jamais vu Dieu; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l'a fait connaître.

     

     

     

    -Dans cette histoire nous voyons que Dieu a donné sa préférence à Yeshoua. D’où le départ de cette rancune.

     

    Satan connaissant la loi Divine, il réclame son droit d’aînesse, il est né le premier, il exige d’être le chef.

     

     

    -Ensuite il y eu Caïn et Abel. 

    Caïn l’ainé offrit une offrande de sa terre à Dieu.

    Abel le second offrit une offrande de sang à Dieu.

    Dieu préféra Abel.

     

    Une rancune qui se réveille.

     

    Caïn tua son frère Abel. Caïn était le premier, il était du malin.

    Dieu dit à Caïn si tu te reprends en main et que tu te répand de ta conduite, tu pourra te relever, mais si tu t’obstines, le péché fera en sorte de te dominer, mais sache le dominer.

    Caïn toujours arrogant fut maudit à cause de la terre qui a ouvert sa bouche.

     

     

    Genèse; 4; 9 à 11.

    L'Eternel dit à Caïn: Où est ton frère Abel? Il répondit: Je ne sais pas; suis-je le gardien de mon frère? Et Dieu dit: Qu'as-tu fait? La voix du sang de ton frère crie de la terre jusqu'à moi. Maintenant, tu seras maudit de la terre qui a ouvert sa bouche pour recevoir de ta main le sang de ton frère. 

     

     

    1 jean; 3; 11, 12.

    Car ce qui vous a été annoncé et ce que vous avez entendu dès le commencement, c'est que nous devons nous aimer les uns les autres, et ne pas ressembler à Caïn, qui était du malin, et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il? parce que ses oeuvres étaient mauvaises, et que celles de son frère étaient justes.

     

     

     

    Korah était l’ainé de la branche familiale des Lévites; Moïse ne fut que le troisième.

     

    C’est pour cela que korah réclama son droit d’aînesse, et il lui semblait normal d’exercer le service de sang dans le temple.

     

     

    -Cela nous rappelle aussi l’histoire d’Esaü l’ainé et Jacob le second qui fut choisis par Dieu. Esaü perdu son droit d’aînesse, au profit de Jacob.

     

    Romains; 9; 12,13.

    Il fut dit à Rébecca: L'aîné sera assujetti au plus jeune; selon qu'il est écrit: J'ai aimé Jacob Et j'ai haï Esaü.

     

    Cette vieille rancune qui remonte à la nuit des temps nous révèle notre vieille nature.

     

     

    Romains; 9; 6 à 8.

     

    Car tous ceux qui descendent d'Israël ne sont pas Israël, et, pour être la postérité d'Abraham, ils ne sont pas tous ses enfants; mais il est dit: En Isaac sera nommée pour toi une postérité, c'est-à-dire que ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu, mais que ce sont les enfants de la promesse qui sont regardés comme la postérité.

     

     

     

    Si on rassemble ses trois histoires:

    Abel portait devant Dieu le sang de Yeshoua.

    Jacob offrait le sang de Yeshoua.

     Aaron offrait le sang de Yeshoua, car Yeshoua le Messie fut depuis le commencement. 

    Ces exemples pour dire qu’ils étaient nés de la deuxième naissance. La naissance céleste. 

     

     

     

    Caïn portait l’offrande de la terre.

    Esaü portait l’offrande de la terre. 

    korah offrait les offrandes de la terre. 

    Cela pour nous dire qu’ils étaient nés de  la première naissance. Celle qui est terrestre.

     

     

     

     

     

     

    Moïse dit à korah toutes ces querelles n’ont pas pour but de m’atteindre, mais elles sont contre Dieu.

     Mais en fait ce n’est pas à moi que vous en voulez, mais c’est à Dieu.

     

     

     

     

    Car nous sommes tous venus avec un corps terrestre, il nous faut renaître avec un corps céleste. Et cette rébellion peut durer longtemps si on reste persuadé d’avoir raison de vivre sans Dieu.

    -Nous somme né avec une nature conçue dans le péché, notre première naissance c’est une naissance venant de l’homme et le premier homme Adam fut créé à partir de la terre.

     

    Genèse 2; 7.

    L'Eternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre. 

     

    Adam fut tenté par le péché, il fut le premier.

     

     

    C'est pourquoi il est écrit: Le premier homme, Adam, devint une âme vivante. Le dernier Adam est devenu un esprit vivifiant.

     

    Cependant la mort a régné depuis Adam jusqu'à Moïse, même sur ceux qui n'avaient pas péché par une transgression semblable à celle d'Adam, lequel est la figure de celui qui devait venir.

     

     

    Et c’est par sa seconde venu qu’Adam deviendra un esprit vivant.

     

    Ainsi donc, comme par un seul péché la condamnation a atteint tous les hommes, de même par un seul acte de justice la justification qui donne la vie s'étend à tous les hommes. Car, comme par la désobéissance d'un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l'obéissance d'un seul beaucoup seront rendus justes. 

     

     

     

    Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Le Messie est mort pour nous. A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang.

     

     

     

     

     

    Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie. Et non seulement cela, mais encore nous nous glorifions en Dieu par notre Seigneur Yeshoua le Messie, par qui maintenant nous avons obtenu la réconciliation.

     

     

    -Notre deuxième naissance c’est par la foi que nous l’obtenons. Nous qui croyons que c’est l’offrande de sang de Yeshoua qui nous rend la vie, nous revivons une  deuxième naissance, celle qui donne le souffle de vie. Car c’est-à-cet instant que notre corps de chair fait à partir de la terre, meurt englouti dans la bouche de la terre et comme une nouvelle naissance nous renaissons esprit incorruptible. 

     

    Cette vieille rancune entre la chair et l’esprit se termine par notre abandon de notre vieille nature charnelle, qui nous tente vers le péché. Nous sommes transformés par la nouvelle naissance en Yeshoua.

     

    Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Yeshoua Le Messie.

     

    Or, l'espérance ne trompe pas, parce que l'amour de Dieu est répandu dans nos coeurs par l’Esprit-Saint qui nous a été donné.

    Nous sommes justifiés par son sang.

     

    Si nous sommes morts avec Le Messie, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui.

     

    Nous sommes morts au péché, et comme vivants pour Dieu en Yeshoua Le Messie.

     

     

     

    Il y a aussi un autre exemple important, celui de Nicodème, un chef religieux d’Israël. 

     

    Jean 3; 1 à 10.

     

    Nicodème, un chef des Juifs, qui vint, lui, auprès de Yeshoua, de nuit, et lui dit: Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n'est avec lui. Yeshoua lui répondit: En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu.

     

    Nicodème lui dit: Comment un homme peut-il naître quand il est vieux? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître? Yeshoua répondit: En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est esprit. Ne t'étonne pas que je t'aie dit: Il faut que vous naissiez de nouveau. Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d'où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'Esprit.

     

    Nicodème lui dit: Comment cela peut-il se faire? Yeshoua lui répondit: Tu es le docteur d'Israël, et tu ne sais pas ces choses! 

     

     

     

     

    -Nicodème vient la nuit car il était encore des ténèbres, il vient vers le Messie Yeshoua recevoir la lumière, et parce qu’il crut en Yeshoua, il reçut la nouvelle naissance, c’est par la foi qu’il fut sauvé.

     

     

    Or nous sommes sauvés par la foi.

     

     

    Hébreux 11; 3, 4.

    C’est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu'on voit n'a pas été fait de choses visibles.

     

    C'est par la foi qu'Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn; c'est par elle qu'il fut déclaré juste, Dieu approuvant ses offrandes; et c'est par elle qu'il parle encore, quoique mort.

     

    C'est par la foi qu'Isaac bénit Jacob et Esaü, en vue des choses à venir. C'est par la foi que Jacob mourant bénit chacun des fils de Joseph, et qu'il adora, appuyé sur l'extrémité de son bâton.

     

     

     

    -L’exemple de Jonas nous enseigne.

    Jonas fut appelé par Dieu, mais il dédaigna cet appel. Il fuit loin de Dieu et parti en mer, mais une grande tempête lui fit peur, il sauta dans la mer et un grand poisson ouvrit sa bouche et l’avala.  Jonas, dans le ventre du poisson, pria l'Eternel, son Dieu. Il lui adressa cette prière.

     

    Il dit: Dans ma détresse, j'ai invoqué l'Eternel, Et il m'a exaucé; Du sein du séjour des morts j'ai crié, Et tu as entendu ma voix.

     

    Tu m'as jeté dans l'abîme, dans le coeur de la mer, Et les courants d'eau m'ont environné; Toutes tes vagues et tous tes flots ont passé sur moi.

     

    Je disais: Je suis chassé loin de ton regard! Mais je verrai encore ton saint temple.

     

    Les eaux m'ont couvert jusqu'à m'ôter la vie, L'abîme m'a enveloppé, Les roseaux ont entouré ma tête.

     

    Je suis descendu jusqu'aux racines des montagnes, Les barres de la terre m'enfermaient pour toujours; Mais tu m'as fait remonter vivant de la fosse, Eternel, mon Dieu!

     

    Quand mon âme était abattue au dedans de moi, Je me suis souvenu de l'Eternel, Et ma prière est parvenue jusqu'à toi, Dans ton saint temple.

     

    Ceux qui s'attachent à de vaines idoles Eloignent d'eux la miséricorde.

     

    Pour moi, je t'offrirai des sacrifices avec un cri d'actions de grâces, J'accomplirai les voeux que j'ai faits: Le salut vient de l'Eternel.

     

    L'Eternel parla au poisson, et le poisson vomit Jonas sur la terre.

     

     

     

    -Pour terminer notre parasha Korah, nous savons qu’il sera sauvé certainement par la repentance, car de lui sortira, le prophète Samuel, digne héritier de la promesse. 

     

    Car Samuel proclamera dans 1 Samuel 12; 6.

    Alors Samuel dit au peuple: C'est l'Eternel qui a établi Moïse et Aaron. 

     

    Par ces dires Samuel a rétabli l’autorité que Dieu avait donné à Moïse est Aaron. Il annonce que l’autorité c’est Yeshoua Le Messie.

     

    L'Eternel dit à Moïse: Reporte la verge d'Aaron devant le témoignage, pour être conservée comme un signe pour les enfants de rébellion, afin que tu fasses cesser de devant moi leurs murmures et qu'ils ne meurent point.

     

    -Car le bâton d’Aaron avait refleuri.  Car la promesse à été rendu public par le  prophète.

    Et il sortira un rejeton du tronc d’Isaï dit; Jéssé, et une branche de ses racines fructifiera;

    Car le Messie est appelé le bâton qui descend de la famille de Jéssé et qu’il fleurira éternellement.

     

    Le bâton d'Aaron, qui était auparavant en bois sec, se mit à revivre et fleurir. Symbole de l’autorité remise à Yeshoua.

     

     

    Ce message pour nous rappeler d’où on vient et où on va. Si on croit que Yeshoua est le fils de Dieu et qu’il a fait une offrande de sang pour nous sauver, gloire soit rendu à Dieu qui nous donne de mériter un si grand salut par notre repentance, notre pardon le plus sincère que nous ayons à faire de toute notre vie, afin que nous soyons sauvé.  

    Si quelqu'un est avec le Messie, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.

     

    Car Dieu a haï notre première naissance, mais il a aimé notre  deuxième naissance en Yeshoua. 

     

    Car ce que Dieu attend de nous c’est d’être réconcilié avec Lui, en ne s’opposant plus à lui, mais en acceptant avec foi  l’offrande de sang de Yeshoua qu’il a offert pour le salut de quiconque croit en Lui. 

     

    Et nous pouvons faire la prière de Jonas.

     

    Dieu nous aime car son fils vit en nous.

    Shabbat shalom

     

    L.B

     

     

     

     

     

     

    Lecture de la parasha: 

    Nombres: Chapitre: 16 

    verset 1 à chapitre 18 verset 32.

    Lecture de haftarah: 

    1 Samuel: chapitre 11 

    verset 14 à chapitre 12 verset 22.

    Lecture messianique: 

     

     1 Corinthiens ; 15; 1 à 58.

    Jean; 3; 1 à 36.

     

     


    votre commentaire
  • Parasha Chela lekha du samedi 17 juin 2023.

     

    Qui-suis-je, au fond?

     

     

     

     

    La parasha Chela lekha c’est l’histoire des 12 explorateurs qui partent à la conquête du pays de Canaan, sur l’ordre de Moïse.

     

    12 chefs de chaque tribu furent désignés pour aller explorer le pays.

    Le challenge était d’observer le pays, voir s’il y avait du potentiel.  Examiner la végétation, voir si elle était fertile, et voir si les habitants du pays étaient forts ou faibles, et ramener des fruits de ce pays.

     

    Mais voilà que 10 d’entre eux échouèrent lamentablement. Seulement 2 explorateurs Caleb et Josué relevèrent le défis et firent un rapport encourageant.

    Les 10 autres furent dévastés par la peur, car ils avaient vu des géants,  des sauvages, des guerriers.

    Ils rapportèrent les faits à Moïse et découragèrent leur famille.

     

    La fin du  texte de la parasha rappelle aussi que tout croyant en Dieu devrait se rappeler des lois de la Torah, des lois du shabbat, et pour rappel c’est en portant des franges avec un fil bleu pour ne jamais oublier les commandements.

     

     

    La Haftarah qui accompagne notre texte c’est Josué qui envoie 2 explorateurs très zélés, et forts vers Jéricho  pour inspecter le pays.

     Une certaine femme  les reconnaît tous les deux, comme homme de Dieu et les cache sous son toit.

     Et pour être reconnue et être sauvée  elle accrocha un fil rouge à sa fenêtre. Dans cette histoire il y eut une grande victoire. La femme et sa famille furent sauvé.

    Ces deux textes sont soulignés par une émotion de peur. Une bonne peur et une mauvaise peur.

     

    L’une est positive car elle évalue le danger, alerte le corps d’une éventuelle action, car la peur nous fait réagir pour notre protection.

    C’est une émotion vitale qui nous envoie l’information immédiate d’une situation dangereuse, une prise de conscience immédiate.

    Cette peur est donc bonne.

     

    Il y a la peur négative appelée peur stoïque.

    La peur stoïque ne vient pas d’une émotion humaine mais vient d’un esprit de faiblesse qui fait accepter la fatalité telle qu’elle est, telle qu’elle vient, elle s’oppose à la peur. Et ne nous  fait pas  réaliser le potentiel qui s’ouvre.

     

    Cette mauvaise peur est un sentiment de découragement dont il faut prendre conscience.

     

    Dans la vie il y a toujours des gens qui seront là pour nous décourager,

    Il y a toujours des personnes de notre entourage qui seront là pour nous détourner de l’appel de Dieu, il y aura toujours des gens pour nous faire échouer, toujours des personnes pour nous stopper dans nos élans, nos ambitions.

     

    On est toujours seul face à nos engagements, seul devant Dieu. Seul à croire où pas croire en Dieu.

     

    Josué et Caleb c’est la personnification des personnes qui ont du zèle pour Dieu. Ils ne se détournent pas devant les difficultés, des  risques et des conséquences.  

     Ils ont surement du avoir  peur  mais ils ont su gérer leur peur et ils ne se sont pas laisser envahir par leurs émotions négatives.

     

     Ces géants que les 10 explorateurs ont vu se sont des Amalécites de la race d’Amalek.

     

    Amalek veut dire messager du doute.

    Celui qui vient mettre la pensée du doute, celui qui décourage, celui qui déstabilise.

    L’étymologie de Amalek précise « esprit du doute ». Amalek est un esprit qui affaiblit les croyants. 

     

    Donc c’est en nous qui faut aller voir ce qui se passe! 

     

     

    La parasha Chela  lekha veut dire exactement:

    Envoie pour  toi même des explorateurs pour examinez le pays; 

    Et aussi envoie en ton nom, s’adressant à Moïse. 

    Ce texte se lit : Regarde en toi ce qui se passe afin que les pensées qui te domines tu puisses les dominer toi-même, regarde les forces de Dieu qui vivent en toi.

     

    S’explorer pour admettre nos faiblesses, aller au fond de nous.

    Aller chercher ce qui ne va pas en nous, ce qui nous empêche d’avancer d’aller au-delà de nos limites. En fin de compte, nous portons de bons fruits en nous car Dieu vit en nous. Mais si nous laissons nos bons fruits à côté des mauvais fruits, ils vont vite se laisser  contaminer et pourrir.

     

     

    Au fond, qui sommes-nous? Par qui sommes-nous habités ?

    Avons-nous laissé les esprits d’Amalek nous pourrir la vie? Ces esprit sont des voleurs de vie, ils découragent, affaiblissent, détruisent tous nos projets, détruisent notre foi, nos engagements, nos familles.

     

    Ils s’infiltrent dans nos vies sans qu’on les voient, se mêlant à nos émotions, pour mieux nous contrôler.

     

    Ce qui est important c’est la prise de conscience de nos faiblesses, et notre force c’est de  connaître nos faiblesses c’est à cette condition que l’on peut les maîtriser.

     

    2 Corinthiens 12;9.

     Ma grâce te suffit, car ma puissance s'accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance du Messie repose sur moi.

     

     

     

     

    Caleb et Josué sont allés chercher la force qui est en eux car ils ont compris que celui qui vit en eux et plus fort que celui qui vit dans le monde.

     

    1 Jean; 4; 4.

     

    Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, parce que celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.

     

    Notre force c’est de savoir qui on est!

    Je suis fort par celui qui me fortifie.

     

    Philippiens  4; 13 Je puis tout par celui qui me fortifie.

     

     

    Ainsi Caleb et Josué ont  compris 2 choses premièrement qu’ils étaient forts, car Dieu les guidait. Ils avaient  compris que rien ne pourrait les arrêter dans leur mission, rien, ni personnes, ni hommes, ni mauvais esprits de découragements ni aucune force mauvaise. Ils avaient compris qu’au fond d’eux-même il y avait l’Esprit de Dieu.

     

     

    Et deuxièmement ils ont vu le potentiel qu’il y avait en eux pour apporter la bonne nouvelle, apporter la foi à toutes ces âmes perdues dans ce monde.

     

    Une forte concentration de gens qui attendaient la guérison de leur âme, ils attendaient le Messie.

     

    Dieu nous envoie vers les brebis perdu celles qui se sont égarées, celles qui se sont laissé découragé, influencé par leur proches sans Dieu.

    Celles qui n’ont jamais entendu parler de Dieu.

     

    Celles qui ont besoin de guérison, de paix, d’amour, de grâce.

     

    Nous avons la force et le courage d’aller sauver les âmes perdues, alors libérons nous des esprits qui nous affaiblissent en simplement se dire que celui qui vit en nous est plus fort que tous les esprits mauvais et qu’aucun de ces esprits ne viennent nous empêcher d’aller vers les autres.

     

     

    Une force que nous donne l’Esprit de Yeshoua.

     

    Caleb et Josué ont rapporté une grappe de raisin géante, figues et grenades.

     

    C’est fruits nous enseignent:

     

    La grappe de raisin énorme c’est l’assemblée des croyants, c’est la maison de Dieu, c’est le temple du Seigneur.

    Tous ces grains représentent les âmes des croyants reliées au sarment de la vigne.

    Yeshoua dit je suis le vrai cep et mon Père est le vigneron.

    Je suis le cep et vous les sarments. Et les sarments portent le fruit.

    Et le fruit c’est l’amour et l’amour c’est Yeshoua, se sont toutes les âmes réuni en une seule âme comme une  grappe géante.

     

    -Le sang de Yeshoua est annoncé sous la forme d’un fil couleur rouge comme le vin de la vigne. 

     

    -La grenade est comme un fil bleu,  comme la robe de l’ephod tissée en bleu avec des grenades bleu. Comme les fils « des tsitsit » les franges qui rappellent les commandements. 

     

    Les figues sont de couleurs pourpre-violet c’est l’union des deux alliances, le sang de Yeshoua entremêlé des lois des commandements.

    Les figues apportent la guérison.

     

    La force qui détruit le pouvoir d’Amalek c’est la force des 2 alliances messianiques

    Le fil bleu de la Torah et le fil rouge du sang des veines de Yeshoua.

     

    La Torah et la foi dans la reconnaissance du fils de Dieu  en la personne de Yeshoua est  la force indestructible qui annule nos peurs, nos émotions trompeuses, car nous sommes forts.

    Cette assurance-là, nous l'avons par le Messie auprès de Dieu.…

    Ce n'est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu.…

     

    Et d'être puissamment fortifiés par son Esprit dans l’homme intérieur.

     

    Jean; 15. 7 à 12.

    Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. Si vous portez beaucoup de fruit, c'est ainsi que mon Père sera glorifié, et que vous serez mes disciples. Comme le Père m'a aimé, je vous ai aussi aimés. Demeurez dans mon amour. Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, de même que j'ai gardé les commandements de mon Père, et que je demeure dans son amour. Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite.

     

    C'est ici mon commandement: Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés.

     

     

    Si vous portez beaucoup de fruit, c'est ainsi que mon Père sera glorifié, et que vous serez mes disciples.…

     

     

    Le nom de la parasha Chelah lekha  donne en guematria la même égalité que Mashiach « Le Messie ».

     

    Donc on comprend toute la force de cette parasha maintenant.

     

    Va chercher en toi Le Messie car il vit en toi. Et rien ne t’arrêtera, car la force et en toi.

     

     

     

    Shabbat shalom 

    L.B 

     

     

     

    Lecture de la parasha: Nombres : Chapitre 13 verset 1 à chapitre 15 verset 41.

    Lecture de la haftarah: Josué : Chapitre 2 verset 1 à 24.

    Lecture messianique: Jean; 15; 1 à 12. 1 jean; 1 à 21.

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Parasha Béa'alotékha du samedi 10 Juin 2023

    Yeshoua, la lumière du monde.

     

    Résumé de la Parasha de Béha’alotekha.

     

    1. Allumage de la Ménora.
    2. Sanctification des Leviïm pour le service. 
    3. Pessah et second  Pessa’h Chéni. 
    4. Déplacements dans le désert en fonction des directions indiquées par la nuée céleste. 
    5. Moïse reçoit l'ordre de fabriquer 2 trompettes d'argent. 
    6. Moïse demande à Yitro  de les accompagner. 
    7. Le peuple d’Israël se plaint. Dieu envoie un feu qui dévore une partie du peuple.
    8. Le peuple d’Israël réclame de la viande et Dieu leur envoie des cailles.
    9. Moïse est en difficulté pour la gestion du peuple, Dieu lui demande de réunir 70 Anciens.
    10. Myriam et Aaron parlèrent contre leur frère Moïse, Myriam est frappés par la Tsaraat (maladie de la peau).

     

     

     

    Haftarah en lien avec la Parasha  : Le descriptif de la vision de la Ménora.

     

     

    La parasha Béa’alotékha commence par la description détaillée de l’allumage de la Ménora.

    Puis Dieu désigne définitivement les Lévites chargé des affaires spirituelles. Ils seront consacrés et eux seuls seront admis à diriger tout le peuple.

     

    Mais Dieu promet de veiller personnellement sur le peuple durant tout leur séjour sur terre.

     

     

    Dieu est la lumière de la Ménora comme des yeux qui éclaire le chemin des enfants d’Israël; Il sera comme une lampe qui illumine leur chemin, et par la nuée il parlera et fera connaître ses décrets. Ses rendez-vous solennels.

     

     

    Pour avertir de ses rendez-vous il le fera par la colonne de nuée le jour et par la colonne de feu la nuit.

    Ce texte souligne les temps fixés des fêtes de l’Eternel.

    Le calcul donné par Dieu à Moïse démarre à Pessah le quatorzième jour du mois de Nissan, précisément le soir d’après toutes les lois qui statuent les faits.

     

    La nuée enseignait le peuple pour la précisions des dates des fêtes quand la nuée s’arrêtait c’est qu’il y avait un rendez-vous des fêtes et des shabbat.

    La nuée suivant les statuts des fêtes s’arrêtait 1 jour ou une nuit ou un certain nombre de jours, un mois,  une année  selon les règles des lois de Dieu.

    Cette observance indiquait au peuple le calendrier précis des fêtes.

     

    Ce phénomène miraculeux a permis aux anciens d’Israël de perpétuer le calendrier universel selon le cycle de tous les rendez-vous avec Dieu.

    Fêtes, shabbat, Chemita, Jubilé,  et ces précisions ont été confiées au Lévites à perpétuité.

     

     

    -Ainsi Moïse se confectionna 2 trompettes d’argent qui servaient à identifier le genre de rendez vous que Dieu ordonnait selon le nombre de sonnerie, ainsi le peuple obéissait selon les différents sons des trompettes qui servaient à instaurer ce mode de vie autour des rendez vous avec Dieu. Cette institution confiées aux lévites à perpétuité.

     

     

    Les Lévites sont désignés comme gardiens de la Torah et de l’enseignement.

    Les Lévites ont joué un rôle fondamental notamment sous le règne des différents rois d'Israël :

      Les Lévites sont pourvus et exercent des privilèges qui se perpétuent toujours et encore maintenant dans les rites des services et offices des synagogues. En effet, un Lévite est toujours appelé en priorité à la lecture de la loi (Torah) à la synagogue.

     

    -Les Lévites au temps de Moïse étaient les seuls à entrer dans la tente d’assignation  et c’est par la colonne de nuée que Dieu communiquait avec eux.

    Les Lévites étaient chargés de faire connaître au peuple ce que Dieu commandait.

     

    Malachie; 2; 4 à 6.

     

    Vous saurez alors que je vous ai adressé cet ordre, afin que mon alliance avec Lévi subsiste, dit l'Eternel des armées. Mon alliance avec lui était une alliance de vie et de paix, Ce que je lui accordai pour qu'il me craignît; Et il a eu pour moi de la crainte, Il a tremblé devant mon nom. La loi de la vérité était dans sa bouche, Et l'iniquité ne s'est point trouvée sur ses lèvres; Il a marché avec moi dans la paix et dans la droiture, Et il a détourné du mal beaucoup d'hommes.

     

     

     

    Et l’Eternel dit ; c’est par cette nuée du jour et de ce feu la  nuit que je vous protégerez.

     

     Néhémie; 9; 12 à 15.

    Tu les guidas le jour par une colonne de nuée, et la nuit par une colonne de feu qui les éclairait dans le chemin qu'ils avaient à suivre.

     

    Tu descendis sur la montagne du Sinaï, tu leur parlas du haut des cieux, et tu leur donnas des ordonnances justes, des lois de vérité, des préceptes et des commandements excellents.

     

    Tu leur fis connaître ton saint shabbat, et tu leur prescrivis par Moïse, ton serviteur, des commandements, des préceptes et une loi.

     

     

     

    -Le mot Nuée se dit en hébreux « ‘ANAN » qui veut dire (nuage,  masse nuageuse). 

    Car la nuée du jour est comme une masse nuageuse. 

    Mais l’origine du mot « anan » selon sa racine primaire veut dire; s’instruire par les nuages, s’instruire par la nuée. Instruisez-vous par la nuée du jour.

     

     

    Deutéronome 5; 22

     

     

    Telles sont les paroles que prononça l'Eternel à haute voix sur la montagne, du milieu du feu, des nuées et de l'obscurité, et qu'il adressa à toute votre assemblée, sans rien ajouter.

     

     

     

    Esaïe 33; 20.

    Regarde Sion, la ville de nos fêtes solennelles, que tes yeux voient Jérusalem, séjour tranquille, tabernacle qui ne sera point transporté. 

     

     

     

     Dieu a caché son agenda dans les nuées du jour et dans les feux la nuit.

     

    Ce qui signifie justement: c’est par la nuée du jour et le feu la nuit que je vous instruirai pour toutes choses.

     

     

    Esaïe 4; 5,6.

    L'Eternel établira, sur toute l'étendue de la montagne de Sion, et sur ses lieux d'assemblées, Une nuée fumante pendant le jour, et un feu de flammes éclatantes pendant la nuit; Car tout ce qui est glorieux sera mis à couvert. Il y aura un abri pour donner de l'ombre contre la chaleur du jour, Pour servir de refuge et d'asile contre l'orage et la pluie.

     

     

     

    Psaumes 99; 7.

    Il leur parla dans la colonne de nuée; Ils observèrent ses commandements Et la loi qu'il leur donna.

     

     

    C’est dans la nuée que Dieu parla à Aaron et à Myriam.

     

    Nombres 12; 5. L'Eternel descendit dans la colonne de nuée, et il se tint à l'entrée de la tente. Il appela Aaron et Myriam, qui s'avancèrent tous les deux.

     

     

     

    -Le sens de ce verset vient dire: Dieu reprend Myriam et Aaron, car ils n’avaient pas craint  de parler contre Moïse. 

     Car Dieu dit de Moïse qu’il est le seul serviteur dévoué qui puisse diriger. 

     Aaron et Myriam  dirent: Est-ce-que Dieu n’a parlé qu’à Moïse  uniquement.? Ne nous a-t-il pas parlé à nous aussi? 

     

     La symbolique de ce verset dans le sens de cette parasha, désigne que Moïse est désigné comme le premier enseignant Lévite, qui recevait les directives directement de la nuée. 

     

     

    Mais Dieu descendit dans la nuée fit éclater sa colère contre eux et Myriam fut couverte de lèpre. Maladie spirituelle, maladie de celui qui contredit.

     

     

    Les sept lampes de la Menora sont les yeux de Dieu fixés sur son peuple, ses  sept lumières diffusent l’éclat de sa gloire dans ses sept rendez-vous annuels, car c’est dans la nuée que l’Eternel nous parle  et que notre âme communique avec Dieu lors de ces rendez-vous solennels.

     

     Notre âme à besoin de cette lumière et a besoin de ses rendez-vous pour vivre sur terre, car le peuple de Dieu qui vit dans ce monde sans Dieu ne peut pas résister sans ses rencontres spirituelles.

    Ce sont nos seuls repères, nos actions spirituelles qui nous rappellent sans cesse qui nous sommes.  Car le monde est comme une spirale qui entraîne les hommes et les femmes vers le gouffre.

    Notre manière de vivre pour Dieu, faire de ses rendez-vous une priorité est essentiel pour notre vie.

     

    -La force que nous communique la Torah c’est la force de Yeshoua,  car le Messie est le coeur de l’humanité et le monde doit se tourner vers lui. 

     

     

    Les temps des shabbat sont des rendez-vous extraordinaires avec Dieu, les 7 fêtes et les autres moments consacrés à Dieu nous redonne force, courage, et joie pour poursuivre notre vie. 

     

     

    Car tous ceux qui médisent, contredisent la fonction des Lévites pour instituer l’ordre des shabbat, et des fêtes bibliques seront comme Myriam atteinte de tsaraat maladie spirituelle qui atteint l’âme. Maladie de la contradiction, Maladie très contagieuse qui se répand sur le peuple.

    Notre parasha s’adresse à toutes les nations du monde c’est-à-dire au juifs et au non juifs, car les 70 anciens et les 70 nations  font référence  aux juifs et aux non juifs, car la nuée c’est Yeshoua et c’est lui qui nous instruit, Il enseigne à tous.

     

    Jean; 10; 14 et 27.

    Je suis le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent, 

    Mes brebis entendent ma voix; je les connais, et elles me suivent.

      

     

     

    -Et même si encore les juifs et les non juifs sont séparés, voir même opposés, il ne convient pas au peuple des nations de vouloir créer sa propre histoire en reniant les shabbat et les fêtes. Car le croyant authentique des nations doit être greffé sur Israël, et  sa foi doit être fondé sur le modele de l’enseignement juif, car Yeshoua est Juif est Il enseigne le fondement des Lévites.

     

    Car  la Ménora brille à travers nous, car nous sommes entouré des deux forces qui nous alimentent en huile en permanence pour être  éclairés et suivre le bon chemin.

    C’est deux sources d’huile qui sont les deux oliviers qui alimentent les flammes  en permanence, La Torah de Moïse et Yeshoua.

     

    Le mot:  Roua’h Elokim qui veut dire « l’Esprit de Dieu » est comparé au feu créateur et c’est cette essence même qui pénètre la chair de l’homme et qui fait de lui une nouvelle créature, un croyant authentique, qui entend la voix de celui qui parle.

     

    L’Esprit de Dieu se dévoile dans notre monde dans la nuée.

     

    Jean; 8; 12,

     

    Yeshoua leur parla de nouveau, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.

     

     

    Yeshoua a dit:

    Pendant que vous avez la lumière, croyez en la lumière, afin que vous soyez des enfants de lumière.

     

    Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres.

     

     

     

    Dieu a créé dans l’étendu de toutes les assemblées une nuée et une vapeur pendant le jour et pendant la nuit l’éclat du feu, ce  sera des endroits de refuge pour ceux qui cherche Sa protection.

    L’Esprit de Dieu y sera manifeste et sa voix se fera entendre car c’est le temps du shabbat et que Dieu se dévoile dans ce repos.

     

     

    Shabbat shalom

    L.B

     

    Lecture de la parasha : Nombres: Chapitre 8 verset 1 à chapitre 12 verset 16.

    Lecture de la haftarah : Zacharie : Chapitre 2 verset 14 (10) à chapitre 4 verset 7.

    Lecture messianique : Jean. 1; 1 à 51. Hébreux: 3: 1,6.

     


    votre commentaire