• Parasha du samedi 10 novembre 2018 parasha 6 Toldot.

    Les deux nations.

     

    La parasha Toldot veut dire : Les générations plus précisément les transmissions.

     

    Parasha reçu à la dernière minute donc s’annule une parti de ce qui avait été preparé.*

    La parasha Toldot qui veut dire : les générations, ou les chroniques; nous présente une lecture sur la dualité entre Esaü et Jacob deux figures emblématiques qui inscrit à la fois l’histoire universelle et notre histoire personnelle.

     

    Dieu dit à Rebecca qui était enceinte :  « Dans ton ventre sont deux nations deux peuples sortiront, un peuple sera plus puissant que l’autre et l’ainé obéira au plus jeune ».

     

    Esaü dans Hébreux 12 :16 est comparé à un débauché qui pour un plat de lentilles vendit son droit d’ainesse.

     

    D’Isaac représentation du messie est sorti deux nations, les deux générations messianiques celle issu de Jacob qui suit la Torah  et celle d’Esaü qui c’est marié avec des dieux étrangers: ceux- là sont comparé à des débauchés.

     

    Cette dualité est une dualité qui en fait est une unité.

    Jacob l’aimait de Rebecca sa mère  c’est celui par qui la transmission devait passer pour que Esaü puisse s’élever de façon spirituelle;

     

    La symbolique de Rebecca c’est la vision du shabbat; Lorsque Isaac la prit pour femme c’est dans la tente de Sarah qu’elle entra comme pour nous enseigner qu’elle allait prendre le flambeau de la transmission. Car Rebecca parlait à Dieu et savait exactement ce qu’elle devait faire vis-a-vis de ses fils et c’est par  Jacob que les générations seraient bénies. Ainsi qui Esaü plus-tard qui  devra être soumis à Jacob.

     

    Pour tous les Esaü du monde  qui sont allé épouser des idoles dans les églises chrétiennes car Esaü dans les textes bibliques est comparé à Edom symbole de la communauté chrétienne. Dans cette lutte qui dure depuis 2000 ans à vouloir persister à s’éloigner de la Torah et a vouloir tuer leur frère Israël pour le faire taire  et substituer leur messie chrétien et s’attribuer  le titre du peuple élu de Dieu.

     

    Cette dualité réelle dans le concret de la vie se vit malheureusement en pire dans l’âme  et l’âme crie la douleur et la fait taire avec les émotions de l’esprit qui sont des forces qui les dirigent.

     

    Aujourd’hui la question est: Quelles forces nous dirigent ?

     

    Il y a des forces qui dirigent notre corps et il y a les forces qui accompagnent l’âme.

     Le mal nous entoure et tentes de nous diriger loin de Dieu en utilisant les forces qui dirige nos émotions par cet aspect de notre être nous somme attirés par ce que nous voyons ou nous ressentons. Les forces négatives nous ayant bien observé pour nous diriger vers nos sentiments cachés à cela les forces de Dieu combattent nos influences. C’est là que nous devons intervenir de façon consciente en décidant de changer nos comportements et envisager de suivre le chemin de la vérité c’est ainsi que chaque parasha  et surtout celles du livre de la Genèse sont pour nous instruire sur les efforts du comportement que nous devons changer. Aussi notre parasha nous fait entrer dans le comportement que nous transmet Rebecca en changeant nos vieilles habitudes chrétiennes où autres pour entrer dans les habitudes du Shabbat où chaque vendredi soir on se prépare à faire entre le Roi Yeshoua dans notre maison signifiant par notre comportement qu’ici c’est Yeshoua le maître de ma maison et comme ce que nous faisons de façon réelle s’accomplit de façons spirituelles  signifient par là qu’aucune force négatives ne peut plus rester en nous car notre maitre en  nous c’est Yeshoua ainsi nous transmettons  comme le talon  d’Esaü que jacob tenait dans sa main LA ROYAUTÉ DE YESHOUA SUR LA TERRE ET EN NOUS;  

     

     

     

     

     

    *

    La vision fut un saphir le plus beau des saphirs de mille lumières qui si reflètent de toutes ses facettes en tournant doucement sur lui-même.

     

    La vision du saphir c’est l’âme qui resplendit devant la lumière de Yeshoua.

    Saphir en hébreu se dit Sappi qui veut dire :  « La plus belle des choses ». Le saphir c’est la couleur de Jacob la couleur bleu de la délivrance que Yeshoua nous a donné.

    Le saphir selon la vision qu’ont reçut les sages c’est les tables de la loi que Dieu donna à Moïse les tables de la loi taillé dans le saphir. Le grand symbole de la Torah Jacob étudiant dans les tentes était comme un saphir poli sa peau était lisse alors que Esaü était un saphir brut sa peau était recouverte de poils.

     

     

     

     

    Les couleurs possèdent également une signification spirituelle. Une expression de cette idée est à trouver dans la façon dont elles apparaissent dans la paracha de cette semaine, tout l’héritage de nos patriarches qui ont été nos transmetteurs de vérité. 

     

    Lorsque l’on regarde les tsitsit  (les franges du talit) dont on a rajouté le fil bleu  pour nous rappeler de ne jamais oublier les commandements cela nous fait penser à la mer. La mer au ciel et le ciel au Kissé Akavod – trône céleste – comme il est dit « Ils contemplèrent le Dieu d’Israel. Sous ses pieds, comme un ouvrage en briques de saphir et comme l’aspect du ciel, en limpidité » (Exode, 24, 10) ou encore « Par dessus le firmament qui dominait leur tête, il y avait comme une apparence de pierre de saphir, une forme de trône » (Ezechiel 1, 26).

     

     

    Nous concluons pour cette parasha que la transmission de Rebecca à Jacob c’est le précieux outil qui est la Torah qui polit le saphir que nous somme. Ce saphir qui est  illuminé de la lumière céleste de Yeshoua, la lumière de la royauté divine qui nous relie à Dieu.

     

    Cette transmission venue jusqu’à nous pour nous reléguer le flambeau de toujours garder le shabbat et les lois qui nous dirigent dans l’ordre. Car notre coté Esaü a besoin de retrouver l’ordre l’unité avec la lumière.

     

    Et chaque vendredi soir l’ordonnance d’allumer les deux bougies en faisant la prière nous relie au divin à notre Jacob symbolique  qui est en nous. Les bougies, la prière, les deux pains de shabbat, le verre de vin c’est l‘accomplissement de notre désordre intérieur qui a su mettre de l’ordre intérieur c’est- à-dire qui a su se soumettre a Dieu.

     

    Le bleu que symbolise Israël, c’est tous les saphirs du monde qui sont polis par la Torah qui sont ces pierres vivantes qui forment le royaume de Dieu le palais du Roi.

     

    Que tous les Esaü que nous sommes où que nous avons été se soumettent à Israël et deviennent de magnifiques saphirs. Que ce soir de shabbat nos maisons soient illuminées par les bougies et que du ciel Dieu s’illumine de joie en nous voyant. 

    Telle est la vision.

     

     

    Prière des bougies de shabbat 

    Bénit sois-tu ,Eternel notre Dieu, Roi de l’univers, qui nous a sanctifiés de ses commandements et nous a ordonné d’allumer les lumières du shabbat.

    Que ce soit ta volonté, Eternel mon Dieu et Dieu de mes pères de m’accorder, ainsi qu’à mon mari (à mes enfants, à mon père ; à ma mère) et a tous mes proches, ta grâce, et de nous donner ainsi qu’à tout Israël, une bonne et longue vie.

    Souviens –toi de nous, pour le bien et pour la bénédiction et rappelles-toi de nous pour le salut et la miséricorde.

    Accorde-nous de grandes bénédictions et assure l’intégrité de notre maison et la paix en son sein pour y faire résider ta Divine présence parmi nous.

     

    Accorde-moi le mérite d’élever des enfants et des petits-enfants qui soient sages et intelligents, qui aiment l’Eternel et qui craignent Dieu, des hommes de vérité, une sainte descendance attachée à Dieu et éclairant le monde par la Torah et les bonnes actions et par l’accomplissement  du service du créateur.

     

    De grâce, écoute ma supplique, en ce moment précis, par le mérite de nos matriarches Sarah, Rivka, Rachel et Léah.

    Illumine nos bougies d’une lumière qui ne s’éteigne jamais et éclaire ta face afin que nous soyons sauvés.

    (En Yeshoua).

     

    BAROUKH Ata Adonaï Elohénu  Méleck Ha’Olam,Acher quidéchanou bémisvotav vétsivanou Léhadlid Ner Chel Chabbat    

     

     

    Shabbat shalom 

     

     

    Lecture de la parasha : Genèse : Chapitre 25 verset 19 à chapitre 28 verset 9.

    Lecture de la haftarah : Malachie: Chapitre 1 verset 1 à chapitre 2 verset 7.

    Lecture messianique : Romains : Chapitre 9 verset 6 à 16. Hébreux : Chapitre 11verset 20 et chapitre 12 verset 14 à 17. 

     

    L.B                                    

     

                                                  


  • Commentaires

    1
    Hannah
    Samedi 10 Novembre 2018 à 06:33
    WOuaouh!
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