• L’étincelle.

     

    La parasha Vayéchev qui veut dire « Assieds-toi » dans le sens : reste calme apaisé, écoutes la sagesse et l’intelligence qui parlent. Cette parasha annonce la fête de hannouka. 

     

    Joseph est le premier des grands maîtres, le premier de la lignée des grands et des petits bergers.

    Le premier à avoir un vêtement de couleur pour distinguer le reflet de son Âme.

    Le premier qui va transmettre à l’humanité la lignée des sages.

    Joseph est une lumière sur le monde de sa génération qui a allumé des millions d’autres lumières. Le premier qui a donné la nourriture à ses frères et au reste du monde.

    Joseph c’est aussi la lumière du Messie.

    Joseph le Tsadik c’est le dévoilement de l’Âme de la Torah le dévoilement de son sens caché.

    Cette allusion au dévoilement de la lumière fait référence à la fête de Hannouka .

     

    Cette année  cette fête commémorative de Hannouka commence Dimanche soir 2 décembre 2018 et terminera le 10 décembre en soirée.

     

     Cette fête donne son sens par l’allumage d’une menorah mais à neuf branches et se nomme une Hannoukia. Cette commémoration pour ne pas oublier l’histoire de la  petite fiole d’huile qui avait été préparé pour  la menorah du temple, mais lors d’une invasion le temple fut détruit, quelques décennies avant l’ère chrétienne. Lorsque voulant rebâtir le temple ils trouvèrent dans les débris ce petit vase d’huile dont la contenance d’huile avait une durée limitée de 24 heures, mais un miracle s’était passé et la petite fiole d’huile est resté allumé 8 jours.  C’est cela le miracle de Hannouka et toujours dans le monde durant les jours de Hannouka des miracles sont renouvelés.

     

    Selon l’instruction des grands visionnaires de la Torah la procédure d’allumage doit suivre un certain principe.

    Sur la hannoukia à 9 branches on dispose au centre ou a part  du bougeoir une bougie ou godets à mèches d’huile appelé chamach qu’on allume en premier et de cette flamme on allume la première bougie ou godets  placé  au bout du bougeoir sur notre droite le premier soir donc dimanche soir. Puis le soir suivant on recommence par allumé la bougie centrale  puis de cette flamme on allume la première puis la deuxième bougie toujours en commençant par la droite puis le troisième soir la bougie du centre puis on recommence la première à droite puis la deuxième à droite puis la troisième à droite et ainsi de suite jusqu’au huitième soir où l’on voit enfin toute la hannoukia allumée.

     

    Ce premier soir porte un symbole fort car dans le monde entier s’élève la lumière du Messie. 

     

    C’est toujours à la date hébraïque du 25 Kislev que se dévoile la lumière cachée c’est le 

    OR HAGANOUZ cette lumière cachée  c’est les 36 lumières qui vont s'allumées durant les 8 jours. En enlevant les 8 lumières qui sont les chamach, cette explication a été donné par les sages que depuis toujours 36 Stadikim sont envoyés dans le monde à chaque génération pour que le monde continue.

     

    Ces Chamach c’est l’essence même  de la lumière de Yeshoua.

    Chamach veut dire Serviteur  celui qui est venu servir. Yeshoua est venu servir et non pour se faire servir.

     

    C’est aussi notre image de Joseph qui est venu servir et non se faire servir.

    Joseph le Chamach c’est la première lumière qui vient allumer les autres c’est notre lumière cachée l’Âme de Yeshoua celle qui allume les 36 autres serviteurs.

     

    Le sens de hannouka c’est notre lampe qui a été rallumé par l’étincelle de Yeshoua c’est notre façon  de dire Je suis une petite lumière dans ce monde pour briller dans ces ténèbres et donner la lumière aux autres .

     

    La parasha vient nous dire: Assieds -toi, reste tranquille car la lumière vient  briller de plus en plus.

     

    Joseph c’est celui qui donne l’étincelle et autour de lui son entourage veut souffler sur cette lumière.

    Parce-que dans l’inconscient les gens cherchent au fond la vérité et ils ont peur qu’ont les trompes, dans le monde les gens ont été déçus des religions, des sectes, des guerres de religions, des cercles religieux etc et quand une lumière s’élève devant eux ils vont essayer de l’éteindre car comme pour Joseph ses frères qui ont voulu le tuer c’est en fait une allusion à une vérité profonde en nous qui se manifeste  sachant qu’un Stadik ne peut pas mourir avant qu’il n’est accompli sa mission, alors ils tentent de prouver que si il est un vrai envoyé de Dieu coute que coute il vivra.

    C’est ainsi que se passe aussi la réalité pour nous si on rencontre des gens qui veulent nous éteindre c’est parce- qu‘ils veulent voir si on ne va pas s’éteindre si ce n’est pas juste une passade dans notre vie . Ainsi après un temps de mise à l’épreuve voyant notre lumière briller de plus en plus ils peuvent venir s’alimenter de notre huile.

     

    Hannouka c’est le miracle de la lumière qui brille dans ce monde notre Stadik Yeshoua qui brille en nous et la prophétie de Hannouka s’accompli Yeshoua la lumière du monde a allumer des millions d’âmes qui allument à leurs tours des millions d’âmes car Il a fait de nous des serviteurs.

     

    PS

    Hannouka n’est pas un substitue à Noël. Car hannouka commémore un fait du temps du 25 kislev 3622 du calendrier hébraïque  donc plus d’une centaine d’années avant l’ère chrétienne;  bien avant noël.

    Alors que noël est venu voler les festivités de hannouka, Yeshoua même est mentionné à la fête de hannouka. C’est pourquoi nous honorons cette fête de lumière sans culpabilité de l’esprit religieux qui a voulu dominer sur cette belle fête familiale que satan a détourné en noël sa fête a lui.

    Hannouka fête de la joie, des cadeaux,  des décorations et de repas de fête.

     

    Jean 10 :22

     

    On célébrait à Jérusalem la fête de hannouka (dédicace c’est le mot utilisé dans les bibles chrétiennes afin de créer la confusion mais le vrai mot est Hannouka). C'était l’hiver.

     

     

    Prière pendant l’allumage de la Hannoukia:

     

    1.

    בָּרוּךְ אַתָּה יְיָ אֱ-לֹהֵינוּ מֶלֶךְ הָעוֹלָם אֲשֶׁר קִדְּשָׁנוּ בְּמִצְוֹתָיו וְצִוָּנוּ לְהַדְלִיק נֵר חֲנֻכָּה:

    « Barou'h Ata Ado-naï Elo-hénou Mélè'h Haolam Achère Kidéchanou Bemitsvotav Vetsivanou Lehadlik Ner 'Hanouka »

    Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, Roi de l’Univers, qui nous a sanctifiés par Ses commandements et nous a ordonné d’allumer les lumières de 'Hanouka.

    puis

    2.

    בָּרוּךְ אַתָּה יְיָ אֱ-לֹהֵינוּ מֶלֶךְ הָעוֹלָם שֶׁעָשָׂה נִסִּים לַאֲבוֹתֵֽינוּ בַּיָּמִים הָהֵם בִּזְמַן הַזֶּה:

    « Barou'h Ata Ado-naï Elo-hénou Mélè'h Haolam Chéassa Nissim Laavoténou Bayamime Hahème, Bizmane Hazé »

    Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, Roi de l’Univers, qui a fait des miracles pour nos pères en ces jours-là, en ce temps-ci.

     

    Le premier soir de la fête, on ajoute la bénédiction :

    3.

    בָּרוּךְ אַתָּה יְיָ אֱ-לֹהֵינוּ מֶלֶךְ הָעוֹלָם שֶׁהֶחֱיָֽינוּ וקִיְּמָנוּ והִגִּיעָנוּ לִזְמַן הַזֶּה:

    « Barou'h Ata Ado-naï Elo-hénou Mélè'h Haolam Chéhé’heyanou Vekiyemanou Vehiguianou Lizmane Hazé »

    Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, Roi de l’Univers, qui nous a fait vivre, exister et parvenir jusqu’à ce moment.

     

    Après chaque allumage on récite

    Nous allumons ces lumières pour commémorer, les miracles et les merveilles que Tu as accomplis pour nos ancêtres, en ces jours-là, en ce temps-ci, par l’intermédiaire de Tes saints stadikim. Pendant les huit jours de ‘Hanoucca, ces lumières sont sacrées et nous n’avons pas le droit d’en faire un quelconque usage, mais uniquement de les regarder pour remercier et rendre grâce à Ton grand Nom pour Tes miracles, pour Tes merveilles et pour Tes délivrances.

     

     

    Je souhaite  du fond du coeur que vous soyez rempli de lumière, de joie, de paix, de bonheur, et de vivre des miracles.

     

    Bonne fête de hannouka et shabbat shalom. 

     

    Lecture de la parasha : Genèse : Chapitre 37 verset 1 à chapitre 40 verset 23.

    Lecture de la haftarah : Amos : Chapitre 2 verset 6 à chapitre 3 verset 8.

    Lecture messianique : Jean 10 entier.

     

     

    L.B 

     


    votre commentaire
  • La foi c’est pour les costauds.

     

    La parasha Vaychlah nous parle du retour de Jacob qui se prépare à rencontrer son frère Esaü.

     

    Jacob sépare tous ses biens et sa famille en 2 camps pour éventuellement s’assurer de ne pas tout perdre en cas d’affrontement violent. Puis il va se coucher pour se relier à Dieu comme il avait l’habitude de faire pour trouver les solutions à ses problèmes.

    Mais là c’est un être céleste qui va venir vers lui.

     

    Selon le décryptage des écritures  et leurs capacités prophétiques les grands sages d’Israël  nous ont transmis: que l’ange qui combattait contre Jacob était l'ange de  Esaü et cet ange était si grand qu'il couvrait le tiers de la terre. Même si cette métaphore n'est évidemment pas à prendre à la lettre, il vient quand même nous signifier que l’ange d’Esaü posséder un pouvoir immense qui s’étendait  sur un tiers de la planète.

     

    Cette interprétation prophétique nous fait voir le monde de la croyance, la foi dominante  car Esaü et le descendant intermédiaire de Rome représentant aujourd'hui un tiers de la population mondiale. Ce qui nous fait comprendre la vision prophétique.

     

    Le combat entre Esaü et Jacob a donc une portée historique qu'y vient préfigurer le combat entre  les chrétiens et tous les dérivés d’anti Torah qui s’opposent à la foi des écritures bibliques.

     

    Jacob prie Dieu en disant sauve-moi de la main d’Esaü, car il redoutait du danger de l’influence sur lui et sa famille que pouvait laisser son frère;

     

    Toute la portée de ses versets repose sur le OLAM HAZÉ et le OLAM HABA.

    Le Olam hazé c’est le monde qui se présente à nous et le Olam haba c’est le monde qui doit arriver.

    De même ce principe du monde en devient une affaire personnelle.

     Notre Olam hazé c’est cet Esaü qui contrôle la foi sur nos croyances et cet Olam haba, c’est ce Jacob qui nous offre une vision d’avenir auprès de Dieu là ou les justes s’assiéront.

    Ce Olam haba nous fait avancé vers la croyance fondamentale du messianisme juif. Yeshoua EST la Torah.

    Ce monde à venir à pour juste raison personnelle de nous interroger sur notre foi.

    L’âme a pour désir d’obtenir des réponses soulevées par l’étude et la méditation de la Bible, elle est le principe même de la foi. Par notre intellect nous cherchons des réponses et nous les recevons par la foi.

    La foi c’est aussi le principe de la récompense et du châtiment ou par devoir religieux qui nous pousse à bien agir, ce type de foi nous donne le choix d’opter pour la vérité que Yeshoua est le messianisme juif par la récompense des oeuvres de la Torah.

    La foi c’est aussi de croire aux prophéties, aux guérissons, aux miracles et cette foi-là donne l’immuabilité à la Bible et cette foi-là ne donne pas d’explication logique c’est une foi libre et pur.

     

    Toutes ses formes de foi sont bonnes et nécessaires mais c’est là qu’intervient Esaü qui veut nous réduire dans notre foi nous faisant croire que nous sommes faibles.

    La force c’est la pensée qui se matérialise. 

    Esaü veut nous faire penser que nous ne sommes que des petits moutons qui voulons suivre un petit berger dans un enclos fermer avec toujours la même herbe.
    Il veut nous enfermer dans son monde.
    Jacob qui semble d’apparence physique faible est en effet le véritable combattant, il contrôle ses pensées et sait qu’avec sa foi intellectuelle, surnaturelle et obéissante il ne craint personne car Dieu et avec lui et que la force est en lui.

     

    C’est notre parasha! Mettre un terme à cet envahisseur d’Esaü qui veut nous tenir tête dans nos faiblesses. 

    La foi c’est pour les costauds la force et la puissance Yeshoua nous là donné.

     

    Alors pour une action efficace et biblique comme Jacob qui consultait Dieu pour avoir la force, l’intelligence, la guérison et la victoire.

     

    -Il prit tous les dieux de toute sa famille  c’est-à-dire- Les fausses croyances, les superstitions, les faux interdits que les religions ne maitrisent pas, la foi qui réduits les personnes, tout ce qui emprisonnent les pensées  et  va les enterrer sous les tilleuls.

     

    Cette remarque biblique nous instruit de façon spéciale sur le tilleul. 

    Le tilleul porte le symbole de la liberté, la victoire, la guérison.

    De façon allégorique ces versets bibliques nous montrent la façon dont Jacob a su en finir avec le blocage que les pensées de faiblesses ont pu laisser sur lui et sa famille du temps où il fut chez Laban et ses fausses croyances.

     

    C’est aussi notre démarche pour cette parasha d’enterrer nos faiblesses que nous donne ce Olam hazé (ce monde) pour réaliser  que Yeshoua  nous a ouvert l’accès du Olam haba ( le monde selon Lui) et qu’il nous a donné Sa force et Sa puissance.

     

    Car ce monde veut nous faire croire que l’on ne peut plus guérir, faire des miracles, changer sa vie  ou nous interdit l’accès à tout ce qui est surnaturel en vue de nous garder dans l’enclos et mourir.

     

    Cette parasha pour nous donner la force de penser librement et de gagner tous les combats de nos vies.

     

    L‘enjeu du combat est l’enjeu universel car il s’agit de savoir  qui dominera Israël ou les nations.

    Enterrer celui que le monde veut que l’on soit et faire vivre celui que Dieu veut que l’on soit. 

    Etre celui que l’on doit être. Etre libre de penser et de vivre la foi qui nous feras s’assoir avec les justes.

    Cette force est une force de caractère qui nous fait s’assumer malgré la masse qui domine sur le monde d’être les fils de la main droite de Dieu qui élève le monde par la lumière de Yeshoua et de la Torah.

     

     

    Notre prière c’est de renoncer et d’enterrer toutes nos fausses croyances au-delà des religions les croyances qui nous limites a vivre comme Yeshoua nous a ordonné de détruire tous les systèmes dominateurs en place dans ce monde.

     

    Nous sommes fort et nous avons le pouvoir de détruire toutes les forteresses. Même si le monde du surnaturel semble inaccessible et réservé à une certaine élite  selon les religieux. Yeshoua a  donnait à tous les simples comme les érudits  la force d’accomplir des grandes choses dans ce monde.

     

    Ce n’est pas juste à lire c’est à mettre en pratique.

     

    Q’Israël vive !!

     

     

    Shabbat shalom.

     

    Parasha du samedi 24 novembre 2018 . Parasha 8 Vaychlah.

    Lecture de la parasha : Genèse : Chapitre 32 verset 4 (3) à chapitre 36 verset 43.

    Lecture de la haftarah : Obadia : Chapitre 1 verset 1 à 21.

     

    Lecture messianique : 1Timothée : Chapitre 6 verset 1 à 21 et 2 Timothée Chapitre 4 verset 1 à 8.

     

    L.B

     

     

     

     

     


    2 commentaires
  • C’est notre histoire !

     

    L’histoire de Jacob aussi grandiose qu’elle soit est une petite partie de notre histoire !

    La parasha Vayésté  veut dire: IL SORTIT;

    Ce Jacob ce personnage en lutte avec lui-meme depuis sa naissance cet homme solitaire et cherchant à comprendre sa propre nature pour exister dans ce monde, commence à comprendre qu’il est venu accomplir une mission divine.

    Donc IL SORTIT de sa zone de confort pour  se lier à Dieu, chercher sa mission.

    Il prit une pierre et s’endormit et eut la vision d’une l’échelle qui montait jusqu’au ciel et des êtres de lumières montaient et descendaient.

    Cette vision c’est une réalité qu’il a vécu il se relie à Dieu pour entendre sa mission. Il reçoit et il met les conditions avec Dieu.

     

    Dieu lui dit:

    Voici, je suis avec toi, je te garderai partout où tu iras, et je te ramènerai dans ce pays; car je ne t'abandonnerai point, que je n'aie exécuté ce que je te dis. 

    Jacob :

    Jacob fit un voeu, en disant: Si Dieu est avec moi et me garde pendant ce voyage que je fais, s'il me donne du pain à manger et des habits pour me vêtir, et si je retourne en paix à la maison de mon père, alors l'Eternel sera mon Dieu; 

     

    Jacob compris ce qu’il avait à faire et avec qui il aurait à faire.

    Jacob est  une représentation de toutes les âmes appelées à faire des missions divines pour rassembler le peuple de Dieu.

    Jacob a laissé entrer en lui toutes les lumières que Dieu avait à lui donner pour l’aider dans sa mission.

    L’aide pour accomplir ce pour quoi il fut créé.

    Quand il fut d’accord il prit la pierre sur laquelle il était couché et en fit un autel (ou un serment) il éleva la maison d’Israël.

     

    Jacob eut 12 fils dont chacun a formé la maison d’Israël.

    Yeshoua est venu pour une mission encore plus grande par le don de sa vie il a renouvelé l’alliance, et nous a relégué le pouvoir de rassemblé toute la maison d’Israël.

    Yeshoua est venu renouvelé ses 12 tribus pour reformer la maison d’Israël EN une seule unité par le choix de ses 12 apôtres à qui Il a transmis à chacun sa mission pour réunir les perdus de la maison d’Israël dans les 4 coins du monde.

    Si cette mission semble s’être lourdement retardée  c’est que de ces 4 coins du monde, c’est formé les 4 grandes religions qui dirigent la foi des croyants.

    La religion est une invention des hommes pour éloigner les gens de Dieu. Les religions qui n’ont été que des « Laban » pour garder les croyants dans un enfermement d’idéaux spirituels, qui empêche la vrai et grande et puissante connexion avec Dieu.

     

    Le monde et ses croyants ou bien même les croyants en devenir sont en grande souffrance, les religions ne sont qu’un petit pansement provisoire  pour leurs âmes, ce que leurs âmes réclament c’est la vraie connexion avec Dieu. Cette vraie connexion il n’y a qu’un seul qui la connecte c’est Yeshoua car son âme nous communique par la réception de la Torah toute sa lumière qui nous fait communiquer avec lui par l’accomplissement des lois qui sont matérielles mais sont comme des liens spirituels qui nous relient à Dieu.

     

    Jacob fut relié à Dieu car il étudiait la Torah dans sa tente. Une Torah que les êtres célestes transmettaient avant que fut venu la Torah de Moïse.

     Ce fut là la condition que Jacob fut différent de son frère Esaù qui acceptait Dieu mais refuser la Torah.

     Dieu donna à Jacob la vérité  c’est par lui que se dévoile l’unité  et c’est par lui qu’émane la splendeur de la vision Divine.

     

    Jacob avait besoin pour sa mission de L’Amour qu’il donna à Rachel de la bonté qu’il donna a ses autres épouses, le discernement envers son beau-père Laban, la force et la rigueur pour être un bon berger  dans les conditions favorables ou moins bien favorables, la sagesse et la justice pour écouter  Dieu, l’intelligence pour faire fructifier ses biens, et la patience pour aller jusqu’au bout.

     

    C’est notre Histoire avec Yeshoua qui veut nous  donner tout ce dont nous avons besoin pour accomplir notre mission terrestre,  avec son aide nous accomplirons des miracles mais pour cela il faut sortir des religions car elles nous empêchent de recevoir tout ce dont nous avons  besoin pour donner l’étincelle de la lumière de Yeshoua aux autres .

     

    Les religions nous limites dans notre esprit elles emprisonnent nos capacités, celles pour lesquelles Dieu nous a octroyer, elles nous empêchent d’exprimer le vrai potentiel que Dieu a mis en nous.

     

    Lorsque l’on prend connaissance que la vérité se trouve à l’opposé des religions on prend conscience que notre existence commence. La lutte intérieure qui est en nous mais que l’on ne comprend pas se dissipe et la souffrance s’apaise.

     

     Jacob mit la pierre dans « ce lieu-là »  « cet endroit-là » qui a pour racine hébraïque  Kiyoum  qui veut dire: l’existence, le but de l’existence, c’est à partir de là que va démarrer le but de son (mon) existence.

     

    Voilà notre parasha: Sortir de toutes religions en gardant pour base la Torah qui n’est qu’une matérialisation par ses faits sur nous la démonstration de notre foi en Yeshoua. Nous sortons pour nous libérer du fardeau des religions pour rentrer dans la vision céleste. Comme Jacob notre temps est là à cet instant  depuis 10 ans 20 ans de religions ou plus NOUS SORTONS VERS LA MISSION DIVINE POUR ACCOMPLIR CE QUE DIEU ATTEND DE NOUS.

     

    Yeshoua la lumière du monde est venu nous éclairer pour que nous puissions éclairer ne serait-ce qu’une seule âme et nous aurons accompli notre mission. Recevoir pour donner recevoir la lumière pour éclairer les autres.

    Car les âmes souffrent car leur lumière est enfermée et la vérité a le pouvoir d’éclater et de détruire les murs des religions.

     

    Jean :1: 43,51.

    Yeshoua voulut se rendre en Galilée, et il rencontra Philippe. Il lui dit: Suis-moi. Philippe était de Bethsaïda, de la ville d'André et de Pierre. Philippe rencontra Nathanaël, et lui dit: Nous avons trouvé celui de qui Moïse a écrit dans la loi et dont les prophètes ont parlé, Yeshoua de Nazareth, fils de Joseph. Nathanaël lui dit: Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon? Philippe lui répondit: Viens, et vois. Yeshoua voyant venir à lui Nathanaël, dit de lui: Voici vraiment un Israélite, dans lequel il n'y a point de fraude. D'où me connais-tu? lui dit Nathanaël. Yeshoua lui répondit: Avant que Philippe t'appelât, quand tu étais sous le figuier, je t'ai vu. Nathanaël répondit et lui dit: Rabbi, tu es le Fils de Dieu, tu es le roi d'Israël. Yeshoua lui répondit: Parce que je t'ai dit que je t'ai vu sous le figuier, tu crois; tu verras de plus grandes choses que celles-ci. Et il lui dit: En vérité, en vérité, vous verrez désormais le ciel ouvert et les anges de Dieu monter et descendre sur le Fils de l’homme.

     

     

    Or qu’elle est le sens véritable du savoir c’est que Dieu possède une infinie  d’attributs sublimes que notre esprit enfermé ne peut pas recevoir s’il reste enfermé dans une religion car l’esprit ne peut concevoir la logique spirituelle dans la religion mais libérer de la religion l’esprit reçoit le dévoilement de son unité que Dieu veut;  et lorsque l’on atteint la source unique de la vérité on retrouve le sens profond du sens de notre vie.

     

    Cette parasha pour nous dire que chacun doit sortir de sa zone de confort de sa religion pour répondre à la mission que Dieu a préparé car si on s’instruit de la suite de la lecture de la haftarah on constate que la colère de Dieu demeure sur ceux qui refusent d’obéir.

     

    Osée 11, 7.Oui mon peuple se complait dans sa rébellion contre moi. On a beau les inviter à regarder en haut, ensemble ils refusent de s’élever.

     

    Oui mon peuple se complait dans sa religion, dans sa rébellion contre moi. On a beau leur dire de  chercher la vérité. Ensemble dans leur religion ils refusent de s’élever.

     

    Comme Jacob nous prions pour répondre à l’appel que notre âme doit accomplir selon l’ordre de mission  que Dieu l’a envoyé de faire.

     

    Prière.

    Si Dieu est avec moi et me garde pendant ce voyage que je fais, s'il me donne du pain à manger et des habits pour me vêtir, et si je retourne en paix à la maison de mon père, alors l'Eternel sera mon Dieu; j’accomplirai ma mission.

     

     

    Shabbat Shalom 

     

    L.B

     


    1 commentaire
  • Les deux nations.

     

    La parasha Toldot veut dire : Les générations plus précisément les transmissions.

     

    Parasha reçu à la dernière minute donc s’annule une parti de ce qui avait été preparé.*

    La parasha Toldot qui veut dire : les générations, ou les chroniques; nous présente une lecture sur la dualité entre Esaü et Jacob deux figures emblématiques qui inscrit à la fois l’histoire universelle et notre histoire personnelle.

     

    Dieu dit à Rebecca qui était enceinte :  « Dans ton ventre sont deux nations deux peuples sortiront, un peuple sera plus puissant que l’autre et l’ainé obéira au plus jeune ».

     

    Esaü dans Hébreux 12 :16 est comparé à un débauché qui pour un plat de lentilles vendit son droit d’ainesse.

     

    D’Isaac représentation du messie est sorti deux nations, les deux générations messianiques celle issu de Jacob qui suit la Torah  et celle d’Esaü qui c’est marié avec des dieux étrangers: ceux- là sont comparé à des débauchés.

     

    Cette dualité est une dualité qui en fait est une unité.

    Jacob l’aimait de Rebecca sa mère  c’est celui par qui la transmission devait passer pour que Esaü puisse s’élever de façon spirituelle;

     

    La symbolique de Rebecca c’est la vision du shabbat; Lorsque Isaac la prit pour femme c’est dans la tente de Sarah qu’elle entra comme pour nous enseigner qu’elle allait prendre le flambeau de la transmission. Car Rebecca parlait à Dieu et savait exactement ce qu’elle devait faire vis-a-vis de ses fils et c’est par  Jacob que les générations seraient bénies. Ainsi qui Esaü plus-tard qui  devra être soumis à Jacob.

     

    Pour tous les Esaü du monde  qui sont allé épouser des idoles dans les églises chrétiennes car Esaü dans les textes bibliques est comparé à Edom symbole de la communauté chrétienne. Dans cette lutte qui dure depuis 2000 ans à vouloir persister à s’éloigner de la Torah et a vouloir tuer leur frère Israël pour le faire taire  et substituer leur messie chrétien et s’attribuer  le titre du peuple élu de Dieu.

     

    Cette dualité réelle dans le concret de la vie se vit malheureusement en pire dans l’âme  et l’âme crie la douleur et la fait taire avec les émotions de l’esprit qui sont des forces qui les dirigent.

     

    Aujourd’hui la question est: Quelles forces nous dirigent ?

     

    Il y a des forces qui dirigent notre corps et il y a les forces qui accompagnent l’âme.

     Le mal nous entoure et tentes de nous diriger loin de Dieu en utilisant les forces qui dirige nos émotions par cet aspect de notre être nous somme attirés par ce que nous voyons ou nous ressentons. Les forces négatives nous ayant bien observé pour nous diriger vers nos sentiments cachés à cela les forces de Dieu combattent nos influences. C’est là que nous devons intervenir de façon consciente en décidant de changer nos comportements et envisager de suivre le chemin de la vérité c’est ainsi que chaque parasha  et surtout celles du livre de la Genèse sont pour nous instruire sur les efforts du comportement que nous devons changer. Aussi notre parasha nous fait entrer dans le comportement que nous transmet Rebecca en changeant nos vieilles habitudes chrétiennes où autres pour entrer dans les habitudes du Shabbat où chaque vendredi soir on se prépare à faire entre le Roi Yeshoua dans notre maison signifiant par notre comportement qu’ici c’est Yeshoua le maître de ma maison et comme ce que nous faisons de façon réelle s’accomplit de façons spirituelles  signifient par là qu’aucune force négatives ne peut plus rester en nous car notre maitre en  nous c’est Yeshoua ainsi nous transmettons  comme le talon  d’Esaü que jacob tenait dans sa main LA ROYAUTÉ DE YESHOUA SUR LA TERRE ET EN NOUS;  

     

     

     

     

     

    *

    La vision fut un saphir le plus beau des saphirs de mille lumières qui si reflètent de toutes ses facettes en tournant doucement sur lui-même.

     

    La vision du saphir c’est l’âme qui resplendit devant la lumière de Yeshoua.

    Saphir en hébreu se dit Sappi qui veut dire :  « La plus belle des choses ». Le saphir c’est la couleur de Jacob la couleur bleu de la délivrance que Yeshoua nous a donné.

    Le saphir selon la vision qu’ont reçut les sages c’est les tables de la loi que Dieu donna à Moïse les tables de la loi taillé dans le saphir. Le grand symbole de la Torah Jacob étudiant dans les tentes était comme un saphir poli sa peau était lisse alors que Esaü était un saphir brut sa peau était recouverte de poils.

     

     

     

     

    Les couleurs possèdent également une signification spirituelle. Une expression de cette idée est à trouver dans la façon dont elles apparaissent dans la paracha de cette semaine, tout l’héritage de nos patriarches qui ont été nos transmetteurs de vérité. 

     

    Lorsque l’on regarde les tsitsit  (les franges du talit) dont on a rajouté le fil bleu  pour nous rappeler de ne jamais oublier les commandements cela nous fait penser à la mer. La mer au ciel et le ciel au Kissé Akavod – trône céleste – comme il est dit « Ils contemplèrent le Dieu d’Israel. Sous ses pieds, comme un ouvrage en briques de saphir et comme l’aspect du ciel, en limpidité » (Exode, 24, 10) ou encore « Par dessus le firmament qui dominait leur tête, il y avait comme une apparence de pierre de saphir, une forme de trône » (Ezechiel 1, 26).

     

     

    Nous concluons pour cette parasha que la transmission de Rebecca à Jacob c’est le précieux outil qui est la Torah qui polit le saphir que nous somme. Ce saphir qui est  illuminé de la lumière céleste de Yeshoua, la lumière de la royauté divine qui nous relie à Dieu.

     

    Cette transmission venue jusqu’à nous pour nous reléguer le flambeau de toujours garder le shabbat et les lois qui nous dirigent dans l’ordre. Car notre coté Esaü a besoin de retrouver l’ordre l’unité avec la lumière.

     

    Et chaque vendredi soir l’ordonnance d’allumer les deux bougies en faisant la prière nous relie au divin à notre Jacob symbolique  qui est en nous. Les bougies, la prière, les deux pains de shabbat, le verre de vin c’est l‘accomplissement de notre désordre intérieur qui a su mettre de l’ordre intérieur c’est- à-dire qui a su se soumettre a Dieu.

     

    Le bleu que symbolise Israël, c’est tous les saphirs du monde qui sont polis par la Torah qui sont ces pierres vivantes qui forment le royaume de Dieu le palais du Roi.

     

    Que tous les Esaü que nous sommes où que nous avons été se soumettent à Israël et deviennent de magnifiques saphirs. Que ce soir de shabbat nos maisons soient illuminées par les bougies et que du ciel Dieu s’illumine de joie en nous voyant. 

    Telle est la vision.

     

     

    Prière des bougies de shabbat 

    Bénit sois-tu ,Eternel notre Dieu, Roi de l’univers, qui nous a sanctifiés de ses commandements et nous a ordonné d’allumer les lumières du shabbat.

    Que ce soit ta volonté, Eternel mon Dieu et Dieu de mes pères de m’accorder, ainsi qu’à mon mari (à mes enfants, à mon père ; à ma mère) et a tous mes proches, ta grâce, et de nous donner ainsi qu’à tout Israël, une bonne et longue vie.

    Souviens –toi de nous, pour le bien et pour la bénédiction et rappelles-toi de nous pour le salut et la miséricorde.

    Accorde-nous de grandes bénédictions et assure l’intégrité de notre maison et la paix en son sein pour y faire résider ta Divine présence parmi nous.

     

    Accorde-moi le mérite d’élever des enfants et des petits-enfants qui soient sages et intelligents, qui aiment l’Eternel et qui craignent Dieu, des hommes de vérité, une sainte descendance attachée à Dieu et éclairant le monde par la Torah et les bonnes actions et par l’accomplissement  du service du créateur.

     

    De grâce, écoute ma supplique, en ce moment précis, par le mérite de nos matriarches Sarah, Rivka, Rachel et Léah.

    Illumine nos bougies d’une lumière qui ne s’éteigne jamais et éclaire ta face afin que nous soyons sauvés.

    (En Yeshoua).

     

    BAROUKH Ata Adonaï Elohénu  Méleck Ha’Olam,Acher quidéchanou bémisvotav vétsivanou Léhadlid Ner Chel Chabbat    

     

     

    Shabbat shalom 

     

     

    Lecture de la parasha : Genèse : Chapitre 25 verset 19 à chapitre 28 verset 9.

    Lecture de la haftarah : Malachie: Chapitre 1 verset 1 à chapitre 2 verset 7.

    Lecture messianique : Romains : Chapitre 9 verset 6 à 16. Hébreux : Chapitre 11verset 20 et chapitre 12 verset 14 à 17. 

     

    L.B                                    

     

                                                  


    1 commentaire
  • Le puits.

     

    La parasha Hayé Sarah veut dire : « La vie de Sarah » mais plus précisément :  « Les vies de Sarah ». Alors que la lecture commence par la mort de Sarah. Dans ces particularités  une richesse profonde se cache au fond de ce puits de mystère.

    Sarah âgé de 127  ans ayant atteint la stature parfaite. Abraham avait alors 137 ans.

     

    Abraham et Sarah  avaient la sagesse et l’intelligence celle qui n’est pas intellectuel  mais celle qui les relie directement à Dieu.

    C’est aussi le message de cette parasha : Il y a des gens qui ont beaucoup de connaissances. Ils étudient toujours et cherchent le savoir, mais ils ne cherchent pas la splendeur de la sagesse qui illumine le visage des sages et de ceux qui transmettent les paroles qui parlent à l’âme directement.

    Les anciens  ou les grands sages ont toujours été des personnes ayant beaucoup d’humilité voire même déplaisants mais ce sont eux qui ont gardé les paroles de l’intelligence divine et a travers les siècles ils ont su être en retrait et garder le précieux héritage que nous transmettent jusqu’à nos jours les secrets des écritures.

    Ne cherchons pas ce qui attire les foules mais cherchons ceux qui nous instruisent dans la simplicité. Car c’est dans la simplicité que les mots parlent à l’âme comme Yeshoua le faisait et nous a enseigné à faire pareil.

     

     

     

    Sarah ayant accompli sa destinée pour nous transmettre  le message de vie pour nous tous les croyants.

    Son âme ayant  atteint la pureté initiale.

    La pureté initiale se réfère en Hébreu à la valeur du mot puits.

    Sachant que plusieurs histoires  d’amours bibliques comme celle  de Rebecca et Isaac, Rachel et Jacob où Sephora et Moïse etc…commencent autour d’un puits.

     

    Maintenant nous voyons qu’Abraham veut une épouse pour son fils.

    Isaac ayant été porté comme un korban un sacrifice pour Dieu. Fait référence à Yeshoua qui fut le véritable korban un sacrifice pour Dieu pour nous sauver.

     Isaac se devait d’avoir une épouse ayant une valeur aux yeux de Dieu. Ce fut donc Eliezer accompagné d’une aide divine qui partit chercher cette femme qui devait correspondre à des caractéristiques précises pour être une bonne épouse.

    Eliezer précisa à Dieu que pour la reconnaitre parmi toutes les filles  elle devait être devant un puits  et quand il dirai j’ai soif celle-ci dirait :  « Je te donne à boire ainsi qu’a tes dix chameaux ».

     

    A travers ces indications on peut maintenant comprendre le sens caché de cette parasha.

    Les deux symboles utilisés sont: « Le puits » et « Le chameau ».

    Le chameau est en valeur de lettre hébraïque « Guimel ».

     

    Guimel révèle: La richesse de la connaissance, par sa bosse  qui est une réserve qui permet de marcher dans le désert de la vie, une abondante réserve qui donne la force d’avancer; c’est aussi la puissance du don qu’il porte, c’est le berger comme Moïse et Yeshoua, c’est l’étude qui féconde la vérité.

    Nous voyons maintenant que l’épouse de Yeshoua doit être assoiffé de Vérité et prête à plonger ses regards vers les « 10 chameaux ».  Les 10 paroles de la Torah.

     

    Le puits  ou la source d’eau porte le  symbole  hébraïque numérique 70.

    Cette valeur numérique 70 lettre Ayïn veut dire: L’oeil ou la source  qui ouvre le regard pour s’approcher de la connaissance de la vérité. De relier son âme à la lumière divine. Répondre à l’appel de l’AMOUR qui est Yeshoua. Aussi elle veut dire  les conditions pour sortir des idées fausses. C’est la partie de nous qui nous inspire la réflexion entre la vérité perçue et le mensonge visible.

    Le puits nous enseigne que nos yeux perçoivent la lumière qui voile la Torah.

    Cette valeur numérique est de très haut niveau  de lecture de la Torah.

    Ces 70 niveaux de lecture correspondent aux  70 nations que Yeshoua est venu chercher, et chaque lettre d’un mot de la parole divine contient les mystères de la Torah qui se dit lumière de la Torah qui forme la valeur  numérique 207 ce qui nous confirme  207 - 70 donne la valeur numérique 137 l’âge d’Abraham quand Sarah est décédé.

    Ainsi la lettre Ayïn du puits étanche la soif, apporte la vision, fait tomber les œillères.

     

    Rebecca la femme pour Isaac devait avoir les bonnes bases une cruche pour montrer qu’elle chercher l’eau  et un bon comportement, une attirance d’âme réciproque.

     

    Yeshoua a la même ambition il est venu  s’offrir en korban en sacrifice pour sa bien-aimée constituer d’âmes et Il va les chercher près d’un puits car elles sont  assoiffées.

     

    Yeshoua va chercher les âmes  en demandant qu’elles aient le même critère qu’elles aillent vers le puits et qu’elles veuillent aussi servir les 10 Paroles des Commandements c’est seulement à cela qu’Il les reconnait.

     

    Une fois de plus la bible le confirme les véritables croyants ont une soif terrible de la vérité ils ne rassasient pas là ou il y a des rassemblements de ceux qui diffusent de la connaissance biblique intellectuelle mais ils cherchent la lumière de Yeshoua a travers toute la Torah.

     

    Nul doute Rebecca à l’image du véritable corps du Messie doit être l’épouse parfaite qui fait de la Torah son éducation et c’est cette transmission que reçoivent les croyants véritables.

     

    Qu’importe d’où on vient de quel milieu religieux on vient  Yeshoua nous prend comme on est mais il nous dira de boire de Son eau qui ne donne plus soif c’est la Torah et nous dira va  et ne pêche plus, crois en moi et médite la Torah pour devenir la bien-aimée que mon coeur chéri et qui sera mon épouse pour l’éternité.

     

    Jean :4 -21.26.

    Femme, lui dit YESHOUA, crois-moi, l'heure vient où ce ne sera ni -sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père. Vous adorez ce que vous ne connaissez pas; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs. Mais l'heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l'adorent l'adorent en esprit et en vérité. La femme lui dit: Je sais que le Messie doit venir celui qu'on appelle LE MESSIE; quand il sera venu, il nous annoncera toutes choses. YESHOUA lui dit: Je le suis, moi qui te parle.

     

     

    Allons au puits et cherchons Yeshoua qui va nous donner son nom et son identité au jour du mariage;

     

    Pour conclure: Abraham et Sarah ont enfanté l’héritage pour Yeshoua. Les vies de Sarah c’est l’héritage  que nous sommes  né en Yeshoua si bien sûr on se reconnaît de même nature que Rebecca. Ayant pour Amour Yeshoua et la Torah. Car Abraham eut d’autres enfants avec des concubines qui ne furent pas du même héritage. 

     

    Si donc L’Eternel nous conduit vers un puits de Torah c’est bien là que Yeshoua nous attend, pour nous donner de son eau qui enlève la soif de Torah, et ne pas aller en arrière vers ces eaux qui n’étanche jamais la soif.

     

    Shabbat shalom

     

    Lecture de la parasha: Genèse : Chapitre 23 verset 1 à chapitre 25 verset 18.

    Lecture de la haftarah: 1 Rois : Chapitre 1 verset 1 à 31.

    Lecture messianique: Jean: Chapitre 4 verset 1 à 42.  

    L.B

     

     

     

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires