• Les sacrifices !

     

    Le livre de Vayikra de notre parasha tourne autour de l’activité dans le tabernacle avec les sacrifices d’animaux, et de nourriture.

    Le mot sacrifice en hébreu se dit korban et korbanot au pluriel, ce terme hébraïque exprime mieux le sens du sacrifice apporté pour Dieu.

    Korban veut dire s’approcher. Offrir un sacrifice afin de s’approcher de Dieu.

     

    Les korbanot jouent un rôle surnaturel qui transforment la matière en spirituel.

    Le temple ne peut fonctionner que s’ il y a les sacrifices.

     

    Ces korbanot nous offrent la possibilité  de trier le bien et le mal qu’il y a en nous.

     

    En effet dans le tabernacle pour l’offrande de sacrifice animal ils devaient d’abord bruler les graisses et le sang;

    Ces deux constituants font référence pour les graisses à nos mauvais désirs et le sang à l’orgueil.

    On peut comprendre qu’une vraie repentance commence par le désir de se débarrasser de ses mauvais désirs et de son orgueil.

    Apporter sur l’autel et sacrifier symboliquement  ses penchants négatifs pour nous rapprocher de Dieu.

    Ce rapprochement vers Dieu si du temps du temple était valide il en est maintenant que les sacrifices d’offrandes  ont été remplacé par la prière.

     

    Osée 14; 3 ou 2

     

    Apportez avec vous des paroles, Et revenez à l'Eternel. Dites-lui: Pardonne toutes les iniquités, Et reçois-nous favorablement! Nous t'offrirons, au lieu de taureaux, l'hommage de nos lèvres.

     

     

    Atteindre le rapprochement entre Dieu et l’homme est le but essentiel  et la véritable perfection à atteindre.

    L’homme s’élève en sacrifiant l’animal sur l’autel pour montrer qu’il désire maitriser toutes ses pulsions physiques et son orgueil. 

     

     

    Notre approche de Dieu c’est aussi nous approcher des autres. Ceux qui sont alignés sur le même Esprit la même vision de vie.

     

    Il y a trois sortes de personnes: Les croyants, les athées, les blasphémateurs.

    Ces derniers ont décidé de poursuivre leur orgueil et s’adonnent à poursuivre leurs rêves de richesses en faisant souvent des pactes diaboliques des pactes de feu, les seconds poursuivent leur vie  dans la tiédeur que Dieu vomit et les croyants poursuivent leur vie en tentant de se rapprocher de Dieu.

     

    Notre approche envers les croyants doit avoir une valeur de respect, car les croyants  vivent avec la lumière de Dieu, chaque croyant a une part de Dieu qui lui manque et doit  considérer les autres comme des parties de Dieu qui nous rapproche du Seigneur,  nous devons réaliser que nous parlons à une âme qui est une partie vivante de Dieu qui nous entend, nous parle et ne pas se concentrer sur les traits de caractère négatifs de la personne, mais bien au contraire voir ses aspects positifs, être patient envers les autres qui évoluent à leur rythme, car la Torah n’approuve pas cette approche de critique envers les autres:

    On retrouve cet exemple avec le prophète Jérémie qui prononça des paroles dures contre le peuple : Dieu le lui reprocha sévèrement bien que ces paroles furent justifiées.

     

    Notre approche avec Dieu c’est aussi des offrandes d’abandon avec les personnes qui nous influencent vers les mauvais désirs.

     

    Dans ce sanctuaire la notion de ces sacrifices apportent d’autres éléments repris dans notre parasha qui donne une explication dans la lecture de la haftarah;

     

     

     

     

    Dieu appelle Moïse depuis la Tente d’Assignation et lui communique les lois des Korbanot, offrandes animales et alimentaires apportées dans le Sanctuaire.

    Elles incluent :

    - « L’holocauste » (Olah), Entièrement consacré à Dieu, par un feu, en haut de l’autel.

    - Cinq variétés « d’ offrandes alimentaires » (Min’ha), Préparées avec de la farine fine, de l’huile d’olive et des encens.

    - « L’offrande de paix » (Chelamim) dont la viande est consommée par celui qui apporte l’offrande, une fois que certaines parties en ont été brûlées sur l’autel et d’autres données aux Cohanim (Prêtres).

    - Les différents types de « sacrifices expiatoires » (‘Hatat), Apportés pour expier les transgressions commises de façon accidentelle par le sacrificateur, toute la communauté, le roi ou un  croyant ordinaire.

    •  « L’offrande de culpabilité » (Acham). Apportée par celui qui s’est approprié, de façon indue, d’un bien du Sanctuaire, qui a un doute d’avoir transgressé une interdiction divine ou qui a commis une « trahison contre Dieu » par un faux serment pour escroquer un autre homme.

     

    Notre haftarah dans Esaïe 44 : 9,13 nous rappelle que l’éloignement de Dieu c’est lorsque le peuple se fabrique des idoles, c’est pourquoi cette parasha nous renvoie à l’idée de renoncement de toutes idoles afin de  se rapprocher de Dieu. 

     

     

     

    —Ainsi parle l'Eternel, roi d'Israël et son rédempteur, L'Eternel des armées: Je suis le premier et je suis le dernier, Et hors moi il n'y a point de Dieu.

     

     

    Ceux qui fabriquent des idoles ne sont tous que vanité, Et leurs plus belles oeuvres ne servent à rien; Elles le témoignent elles-mêmes: Elles n'ont ni la vue, ni l'intelligence, Afin qu'ils soient dans la confusion. Qui est-ce qui fabrique un dieu, ou fonde une idole, Pour n'en retirer aucune utilité? Voici, tous ceux qui y travaillent seront confondus, et les ouvriers ne sont que des hommes; Qu'ils se réunissent tous, qu'ils se présentent, et tous ensemble ils seront tremblants et couverts de honte.

     

    Le forgeron fait une hache, Il travaille avec le charbon, et il la façonne à coups de marteau; Il la forge d'un bras vigoureux; Mais a-t-il faim, le voilà sans force; Ne boit-il pas d'eau, le voilà épuisé. Le charpentier étend le cordeau, Fait un tracé au crayon, Façonne le bois avec un couteau, Et marque ses dimensions avec le compas; Et il produit une figure d'homme, Une belle forme humaine, Pour qu'elle habite dans une maison. 

     

     

     

     

    Cette parasha est un appel à apporter nos offrandes de prières  devant le Seigneur car il a fait l’expiation pour que nos fautes soient pardonnées. Venons offrir nos offrandes de culpabilités Yeshoua notre sacrificateur est celui qui expie les fautes. 

     

     

    Offrons par la prière nos offrandes d’expiations!

    Car les péchés ont dominé et certains se sont adonné à adorer des statues d’homme mort cloué sur une croix ! C’est un péché  car ce fut une transgression involontaire. 

     

    Offrons  nos offrandes de paix  et de culpabilité pour tous nos mauvais désirs et notre orgueil et nos mauvais sentiments envers les autres.

     

    Yeshoua a dit :

    Tu n'as voulu et tu n'as agréé ni sacrifices ni offrandes, ni holocaustes ni sacrifices pour le péché ce qu'on offre selon la loi, il dit ensuite: Voici, je viens pour faire ta volonté. Il abolit ainsi la première chose pour établir la seconde. C'est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l'offrande du corps de Yeshoua le messie, une fois pour toutes.

     

     

    Car vous avez besoin de persévérance, afin qu'après avoir accompli la volonté de Dieu, vous obteniez ce qui vous est promis.

     

     

     

     Prière.

    C’est devant le Roi des Roi le Seigneur Yeshoua que je viens apporter mes fautes et toutes les transgressions que j’ai commises contre  Dieu.

     

     

    Je renonce à tous ce que j’ai écouté et reçu dans mon coeur dans les lieux ou j’ai été qui étaient impurs ou l’ Esprit de Yeshoua n’y était pas.

     

    Je renonce à tous ce que j’ai pu sortir de ma bouche  par la prière ou bien par la louange qui ont honoré d’autres dieux que toi.

     

    Je renonce à tous les engagements oraux ou écrits que j’ai contractés avec ses dominations.

    Je renonce à toutes les alliances volontaires et involontaires  que j’ai contractées avec ces faux dieux.

     

    Je renonce à mes émotions, mes larmes, mes extases, mes joies, et l’amour que j’ai offert à ses démons.

     

    Je te demande pardon pour avoir suivi le chemin de mes désirs égoïstes.

    Je te demande pardon de m’être moqué d’un frère ou d’une soeur en Toi d’avoir causé du tort à un plus faible que moi.

     

    Reçois Seigneur l’offrande  de  mes lèvres et de mon coeur car maintenant je me suis rapproché de toi en te reconnaissant le maitre Le Roi des Rois le Sacrifice qui a expié mes péchés je te reconnais comme le sauveur qui me sanctifie. Merci pour le chemin que tu traces devant moi et pour ta présence qui me guide pas à pas vers la vérité et pour la compréhension des mystères de la Torah.

    Guide moi, ne me laisse pas  seul, met sur mon chemin ce dont j’ai besoin pour poursuivre ma route de vie.

     

    Annule mes fautes ainsi que les conséquences de mes fautes de mes transgressions involontaires et volontaires,

    afin que l’ennemi cesse de m’accabler, donne- moi du repos  de la force, de la sagesse et l’intelligence pour faire ta volonté  car je veux rabaisser ma volonté l’amoindrir et m’humilié devant toi  afin que tout le mauvais en moi tu le fasses disparaitre et que je devienne meilleur pour toi et pour toutes les personnes qui traversent la route de ma vie. Pardon pour tout le mal que j’ai fait.

     

     

    Shabbat shalom

     

     

    Parasha du samedi 16 mars 2019 Parasha Vayikra 23: 

    Lecture de la parasha: Le Lévitique: Chapitre 1 verset 1 à chapitre 5 verset 26.

    Lecture de la haftarah: EsaÏe Chapitre 43 verset 21 à chapitre 44 verset 23.

    Lecture messianique: Hébreux: Chapitre 10 entier.

     

     

     

     

     

    L.B

     


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  • Le tabernacle.

     

    La parasha Pékoudé continue avec les instructions pour le tabernacle.

    Le mot Pékoudé veut dire décompte.

    Chaque homme et femme venaient apporter leur contribution; d’or d’argent de cuivre…..

    Chaque personne apportait ce qu’il était en mesure d’apporter  la valeur des matériaux correspondent à la valeur de nos actes. L’estimation de ce décompte nous fait comprendre que chaque personne qui apporte soit de l’or, ou de l’argent ou du cuivre apporte la même valeur car chaque élément  apportent à l’autre ce qui lui manque, afin qu’aucun élément ne soit de moindre importance. Ainsi rassemblé le tout forme l’excellence pour la maison pour Dieu. 

     

    Le coeur de l’homme est décrit comme un sanctuaire en miniature.

     

    Les bonnes actions se dit en hébreu « les midots » ce qui donne un sens plus complet, des bonnes actions envers les autres, des bonnes actions à suivre les commandements de la Torah et les bonnes actions à tenir notre corps dans la sainteté.

     

    Le peuple qui apportait pour le tabernacle son or, son argent, son cuivre ses talents de tisseur ou brodeurs, ses talents de fondeur et ceux qui avaient l’art de teindre les tissus avec les pigments, ceux qui avaient l’art de l’orfèvrerie, et tout autres arts pour la fabrication de ce sanctuaire.

    Chacun donnait de son mieux.

     

    C’est pourquoi la parasha Pékoudé nous instruit  dans le sens individuel. 

    Chaque personne a une réelle partie de Dieu en elle. Un habitacle que Dieu veut pour Lui.

     

    Si Dieu a désirait par l’intermédiaire de Moïse la construction d’un tabernacle puis par l’intermédiaire du Roi Salomon un temple à Jérusalem  c’est parce que Dieu voulait avoir une résidence dans le monde, pour illustrer sa vision céleste.

     

    La mission des êtres humains c’est de finaliser le projet en construisant le temple final.

     

    Le tabernacle c’est le temple mobile pour nous dire: c’est la direction divine pour le monde, l’Esprit de Dieu qui est le guide par l’arche. Le temple de Salomon c‘est pour nous dire que la présence de Dieu s’est installé sur terre Il s’est acquis une terre,  Israël lui appartient. Dieu s’est installé dans le monde un endroit réservé.

     

    Mais le troisième temple c’est la grande ambition de Dieu nous associer à son projet d’investisseurs pour acquérir les autres terres.

     

    Cette tâche est la mission de Yeshoua qui est venu conclure en rachetant la terre entière.

    Il est venu pour le monde et faire de ce monde une grande maison pour Dieu.

     

    Ce troisième temple c’est le rachat de toutes les âmes des nations  chaque personne est une pierre vivante qui doit  bâtir ce temple,  car la résidence de Dieu doit s’étendre sur toute la terre.

     

    Yeshoua en a payé le prix fort  et chaque âme rachetée  c’est un endroit que possède Dieu.  Chaque âme   qui pratique les midots sanctifie son corps et satan est déposséder de ses biens. Yeshoua le fait expulser, et plus il y aura des croyants  qui feront des midots plus la résidence pour Dieu s’agrandira.

     

    Nous formons des partis de temples  et nous sommes partout dans le monde des tabernacles qui transportons la Torah et là où il y a la Torah la matérialisation de la sanctification se réalise.

    Partout sur la terre des arches qui porte la Torah  et partout ou il y a une arche avec la Torah c’est un endroit ou Dieu est installé.

     

    C’est pourquoi il est dit remplissez la terre et multipliez-vous !

     

    Le tabernacle est l’incarnation future sous la forme d’un temple il représente les efforts humains pour bâtir l’édifice avec des matériaux  de la vie concrète, au niveau individuel nous construisons un lieu pour Dieu à chaque fois  que nous accomplissons des midots d’or, d’argent, de cuivre …..  car ce sont des actes d’amour et c’est l’action physique qui concrétise l’action  spirituelle.

     

     Dieu a voulu crée son monde dans notre monde  c’est pourquoi Il nous demande  de vivre par la Torah pour créer  son monde dans notre monde  et c’est nos midots qui sanctifient la terre pour rendre réelle la mission spirituelle du temple céleste notre corps.  Yeshoua est venu nous donner les matériaux  nécessaires Il nous a racheté, Il nous a donné la foi  pour que nous construisons la demeure éternelle pour nous tous dans la gloire de Dieu.

     

    Cette dernière parasha  finalise le projet de Dieu faire de nous la Jerusalem céleste.

    Ce dernier temple  pour réparer le chaos du monde  et pour mettre à terre le satan.

     

    Chacun de nous possédons un bien pour la construction à nous de nous comporter comme Dieu nous le demande.

    Esaïe 26.15

    Multiplie le peuple, ô Eternel! Multiplie le peuple, manifeste ta gloire; Recule toutes les limites du pays.

     

     

    Car nous sommes des pierres vivantes.

    Rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu; et nous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifions-nous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d'offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Yeshoua.

     

     

    Toutes nos midots sont pour le Seigneur nos corps sont pour le Seigneur. Faisons donc de nos corps un lieu saint. 

    1 Corinthiens 6: 19,20.

    Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes? Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu. 

     

    Notre corps reflète l’âme qui vit en nous si notre âme est pure la résidence sera d’or et Dieu y régnera pour toujours.

     

    Notre parasha Pékoudé nous exhorte à donner notre corps pour Dieu afin que sa résidence terrestre soit un accomplissement du projet de la Jérusalem céleste.

     

    Romains: 12;1

    Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable.

     

    Béni sois-tu l’Eternel notre Dieu Roi de l’univers qui nous a sanctifié par SES commandements et nous a ordonné d’offrir nos corps  comme un sacrifice vivant. je te donne mon corps afin que tu viennes y faire ta demeure.

    Au nom de Yeshoua.

     

     

    Lecture de la parasha : Exode : Chapitre  38 verset 21 à chapitre 40 verset 38.

    Lecture de la haftarah : 1 rois : Chapitre 7 verset 40 à 50.

    Lecture messianique : Romains :12: 1 à 21. 1 corinthiens : 6: 19,20. 1 Pierre: 2:  4 à 6. shalom 

     

    L.B

     

     

     

     

     

     

      


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  • LES COLONNES.

     

    La parasha Vayaqhel qui est la 22ème  parasha donne déjà un sens pour nous dire que dans cette parasha numéro 22 comme les lettres qui forment le Nom de Dieu qui a le pouvoir de transformer l’être humain en être saint.

     

    La parasha en association avec la prochaine parasha est consacrée au tabernacle. Cette répétition apporte une sorte de réparation pour nos fautes. Et dresse le lien entre le tabernacle et le shabbat.

    Les premiers versets insistent sur le shabbat :

    -Voici les choses que l’Eternel a ordonné d’accomplir. Pendant six jours on se livrera au travail; mais au septième jour vous aurez une solennité sainte, un repos complet en l’honneur de l’Eternel: quiconque y accomplira un travail mourra. Vous n’allumerez pas de feu dans aucune de vos demeure le jour du shabbat.

     

    Sanctifier le septième jour pour le mettre à part !

    Ici deux principaux commandements nous sont demandés pour sanctifier le jour du shabbat. Ne pas travailler et ne pas allumé de feu. 

    Il est donc sûr que ces deux commandements doivent être respectés réellement mais ce qui compte le plus en réalité c’est le sens caché de ces deux commandements. En fait ils sont liés un à l’autre !

     

    Le travail que nous devons faire dans le sens spirituel c’est de construire un temple Saint pour y faire résider  l’Esprit Saint pour  devenir l’être complet uni a Dieu.

    L’édification du temple c’est tous les jours l’entretien des fondations et de la structure c’est tous les jours par les lectures bibliques; la pratique des lois dans la vie courante, nos bonnes actions quotidiennes et nos repentances journalières.

     

    Ce travail assidu qui durant les 6 jours change notre personnalité humaine bestiale en personnalité spirituelle sainte.

    Car ceux que nous laissons vivre en nous pour servir l’Eternel doivent être à l’image de Yeshoua.

    -Car le Messie est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir;

     

     

     

     

    Dans notre parasha sur l’édification du temple  ainsi que sur notre haftarah les instructions précises donnent le ton sur les pièges qui peuvent tenter les personnes en recherche de spiritualité.

     

    Les personnes en recherche spirituelle sont associés à des critères différents.

    Où la personne recherche Dieu avec humilité c’est donc avec l’amour. Le feu de l’amour, le feu de Dieu ou bien la personne en recherche de Dieu pour l’orgueil et les avantages que cela peut lui procurer, le feu de l’égoïsme  le feu étranger. C’est donc ce feu étranger qui est interdit à Shabbat.

     

    Dans notre lecture de la haftarah nous trouvons  la construction des colonnes du temple: l’une à droite qui se nomme Jakin et l’autre à gauche qui se nomme Boaz.

     

    Le symbole  de ces deux colonnes c’est le symbole de la connaissance.

    Comme des gardiens de la porte de la connaissance.

    Ce sont les limites à ne pas dépasser, la recherche spirituelle à des limites que Dieu nous à imposer  car derrière les colonnes se trouve  l’intelligence qui ouvre la connaissance.

     

    Désirer passer au-delà de ses portes si notre désir n’est pas l’amour de trouver Dieu est un vrai danger, c’est le danger de tous les dangers.

     

    Ceux qui passent par la porte entre les deux colonnes avec pour ambition leur réussite s’assurent qu’ils auront allumé le feu de la colère de Dieu.

    Tous ceux qui par orgueil se sont instruit dans la dimension interdite par Dieu ont bâtit leur construction spirituelle avec des entités sorties du feu de la mort.

    Nous voyons que ceux qui adhèrent à ces formes spirituelles pour le pouvoir et l’argent ou simplement pour être au-dessus des autres  enferment l’intelligence de la connaissance dans leur personnalité.

    L’intelligence de la connaissance c’est une façon de penser, de parler, de communiquer son savoir, elle est le reflet de notre personnalité  elle est inspirée  de celle que nous édifions, se construire selon une idéologie où l’on s’identifie  à chaque instant, chaque jour on y travaille comme les 6 jours du travail que l’entité spirituelle façonne en nous.

    Ce savoir acquis se développe par une projection qui donne le sens de notre vie  cette intelligence enferme la libre-pensée.  

    Les systèmes religieux développent le sens de notre personnalité. On devient comme ceux qui nous dominent.

     

    Les colonnes c‘est pour dire attention ou on met les pieds.

    Notre personnalité se forge selon ce qui domine en nous.

    Il faut penser avec son coeur afin de ne pas être dominé par les pensées centrées sur soi. La recherche de Dieu doit se faire avec un coeur simple juste l’envie de plaire à Dieu et d’être dans ce monde une personne utile pour les autres.

     

    Ainsi L’Esprit Saint peut s’investir dans notre être et nous donné l’intelligence et la grâce pour recevoir tout l’amour de Yeshoua.

    L’intelligence du coeur et de la pensée c’est la liberté. 

     

    La différence fondamentale de suivre l’intelligence du coeur c’est laisser entrer la lumière de Dieu et ne plus subir l’intelligence humaine qui veut nous dominer qu’elle soit en nous ou bien extérieure à nous.

    Avec Dieu nous portons son identité. Nous modifions notre personnalité pour devenir Saint, c'est cela notre travail durant les six jours de la semaine suivant que nous travaillons à s’édifier en suivant la Torah par  Yeshoua.

     

    Quand on bâtit notre temple et suivant notre travail spirituel avec les parasha de chaque semaine c’est à shabbat que nous recevons la sanctification. 

    Mais le problème si on a agencé notre intérieur avec des feux étrangers  c’est donc ces  feux qui seront nos dominateurs.

     

    Si nous constatons que dans la f.ranc-m.açonnerie leurs symboles c’est entre autres les deux colonnes jakin et boaz selon leurs initiations nous comprenons à titre d’exemple que la spiritualité m.açonnique est basée sur le pouvoir et l’orgueil si d’autres temples de s.cientologies où divers autres lieux spirituels ont eux aussi les colonnes jakin et boaz, des étoiles de David et tout autres symboles que portent la Torah cela ne veut pas dire qu’ils sont dans l’amour de Dieu ils sont dans leur vérité,  on peut dire qu’ils ont ouvert l’intelligence à la connaissance vers leur intérêt qui est le coté obscur de la spiritualité.

     

    Alors  ne nous privons pas de nos symboles religieux d’Israël au contraire revendiquons leurs authenticités et redonnons leur leurs valeurs, il faut juste réaliser que pour faire la différence entre tout cela c’est les uns viennent de l’amour et les autres viennent de l’orgueil à nous de faire la différence sans ce priver ou critiquer les beaux symboles que porte le judaïsme.

     

    « -Alors Yeshoua leur dit : Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. »

     

    L’Eternel nous demande donc à shabbat de ne pas amener de feu dans nos demeures afin que l’ont parviennent à la sanctification que Yeshoua apporte  à Shabbat

     

     

    Car l'Eternel, ton Dieu, est un feu dévorant, un Dieu jaloux.

     

    -Il apparaîtra au milieu d’une flamme de feu, pour punir ceux qui ne connaissent pas Dieu et ceux qui n'obéissent pas à la Torah de notre Seigneur Yeshoua.

     

    Shabbat Shalom dans l’amour de Yeshoua pour servir Dieu et s’aimer les un  les autres.

     

    Lecture de la parasha : Exode : Chapitre 35 verset 1 à chapitre 38 verset 20. 

    Lecture de la haftarah : 1 Rois : Chapitre 7 verset 13 à 26.

    Lecture messianique : Hébreux : Chapitre  9 verset 1 à 14.

     

     

    L.B

     

     

     

     

     

     


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    Parasha du samedi 23 février 2019. Parasha Ki Tissa : 21.

     

    Un guide pour notre vie.

     

    La parasha Ki Tissa commence par l’ordonnance du dénombrement des enfants d’Israël par leur don d’un demi-shekel chacun. Puis le thème central c’est la faute du veau d’or, les tables de la loi que Moïse cassa  puis les nouvelles tables de la loi, et se termine par le rappel sur le shabbat  et les fêtes puis par le visage de Moïse qui était devenu rayonnant mais devait se revêtir d’un voile.

     

    La contribution d’un demi-shekel ( monnaie d’Israël ) pour construire les bases du sanctuaire, est en sorte la représentation de nous même qui ne somme qu’une moitié, et qu’il nous manque l’autre moitié.

    Cette autre moitié d’âme se complète avec l’âme du Messie Yeshoua.

    Shekel  se traduit aussi par conscience, pour nous dire que notre âme a besoin d’être complètement ouverte avec l’autre partie pour accéder à Dieu.

    Shekel c’est la conscience, l’âme  et parce que l’âme est dans la sang on retrouve également le rapport avec la guematria du mot shekel avec le mot  sang.

     

    Mais on va s’intéresser à la faute du veau d’or pour faire coïncider notre contribution d’un demi-shekel.

     

    Le veau d’or que le peuple a désiré se fabriquer semble difficile à comprendre dans le sens où le peuple ayant vu et vécu tant de miracles pouvait maintenant  nier l’existence de Dieu.

    Le verset dit;

    Le peuple vit que Moïse tardait à descendre de la montagne, et le peuple s’attroupa auprès d’Aaron et lui dit: allons fabrique nous des dieux qui marcheront devant nous, car voici Moïse l’homme qui nous a fait monter d’Egypte, nous ne savons ce qu’il est devenu.

     

    Le verset dit clairement qu’ils cherchaient à remplacer Moïse, ils cherchaient un intermédiaire  entre eux et Dieu, un guide  pour les aider à  suivre les voies de Dieu.

     

    Ce que les grands commentateurs des écritures commentent c’est : que dès leur sorti d’Egypte il y avait tout un tas de gens qui les avaient suivis, les égyptiens et d’autres étrangers,  alors ce fut le grand mélange oecuménique, une grande confusion s’était emparé du peuple.

     

    Le problème c’est que le peuple ne comprend pas comment Dieu dirige le monde et c’est le même problème aujourd’hui encore . On retrouve cette explication juste après le veau d’or. Moïse demande à Dieu : Maintenant  fait moi connaitre tes voies ; dans le sens  fait moi comprendre tes voies  comment tu récompenses ceux qui te suivent.

     Ce que le peuple demandait c’était de comprendre les choses divines  par des choses physiques,  des choses bien réelles  qu’ils pouvaient mieux comprendre. C’est en fait cela le symbole du veau d’or. 

     

    L’explication on la comprend par la représentation du taureau  qui représente Joseph

    ( tribu de Joseph),  car par lui viendra la première phase de la rédemption le messie fils de Joseph  matérialisé dans le monde par le messie Yeshoua  comme un veau qui va à la boucherie.

     

    Ils cherchaient à travers l’image de Joseph qui avait déjà montré comment on pouvait sanctifier le terrestre comment le peuple avait été conduit et nourri.

    Ils invoquèrent donc l’emblème de Joseph le taureau, le fils de Joseph (Le veau).

     

     Dieu ordonna alors  2 commandements  pour traduire les actes matériels en actes spirituels.

    Premièrement par l’ordre de construire le tabernacle qui est l’image de notre temple intérieur et deuxièmement le demi-shekel  qui se donnait de façon matériel se donnait en même temps de façon spirituelle dans les sphères célestes.

     

    Nos actions  doivent être dirigées dans l’obéissance à suivre les voies de Dieu pour qu’elles s’accomplissent en nous.

     

    C’est ce que révèle cette parasha pourquoi ont doit suivre les voies de Dieu afin de comprendre que ce que l’on fait sur terre s’inscrit dans le ciel chaque shabbat, chaque fête, chaque commandement  ici sur terre s’accomplit dans le ciel.

     

    Ce que nous ne comprenons pas forcément on le fait suivant nos enseignants de la Torah le reste c’est Dieu qui fait.

     

    Ce demi-shekel vient nous confirmer cela notre part terrestre et notre part avec pour guide Yeshoua s’inscrit comme l’autre demi-part qui est comme l’offrande entière de notre âme qui sera la seconde venue du Messie par la reconstitution de toutes les âmes entières qui formeront ce corps pour le temple céleste.

    On comprend alors le sens du mot shekel avec la concordance de L’âme et du sang. 

    Notre alliance avec Yeshoua sera la part entière pour Dieu.

    On comprend qu’avec le shekel entier on construit notre temple et avec tous les shekels réunis on construit le royaume.

    Notre édifice sur terre  non de pierre mais d’âme sanctifier par les voies de Dieu qui est transmis à travers les lois de la Torah nous aide à comprendre notre récompense future.

    Comme des atomes qui se réunissent pour former la matière nous sommes ces millions d’atomes qui par la réunification de nos âmes nous formons une matière spirituelle pour notre futur éternel.

     

    Par l’obéissance à marcher dans les voies de Dieu nous recevons la lumière afin que notre conscience s’ouvre,  car la lumière cachée  est le secret de L’âme,  l’oubli de l’âme quand il vient sur terre par sa naissance et c’est en poursuivant les voies de Dieu qu’on parvient à retrouver la vérité perdue et comprendre comment Dieu dirige le monde en nous donnant des signes visibles et ainsi s’accomplit l’invisible c’est le grand miracle de la vie qui nous change de notre état d’être incomplet en état d’être complet, entier prêt pour la vie éternelle. 

     

     Si la parasha termine sur Moïse qui avait le visage rayonnant et qu’il devait se voiler  le visage quand il était  entouré du peuple, c’est une vérité pour nous aussi car notre guide qui brille à  l’intérieur de nous est recouvert comme d’un voile car comme Moïse quand il a vu la gloire de Dieu sa conscience fut ouverte et son rayonnement s’ouvrir comme les fontanelles ou le souvenir les avaient enfermés, son âme fut totalement sanctifié son demi-shekel uni à la part de Dieu donne tout son éclat.

     

    Cette parasha nous invite à faire de façon physique ce qu’elle nous ordonne  shabbat, fêtes, commandements, afin de rendre réel nos actions physiques en actions spirituelles par le miracle de Dieu;

    C’est ce que veut nous enseigner cette parasha  si nous faisons les choses de façon physique en respectant les ordonnances de la Torah, nous les accomplissons aussi dans le ciel. 

    Car Dieu est un Dieu qui pardonne nos fautes si nous marchons dans ses voies de la Torah.

    Car l’autre moitié du shekel c’est Yeshoua qui l’a donné en versant son sang sur la terre; à nous de décider si nous voulons maintenant obéir et suivre ses shabbat et fêtes pour que notre lumière illumine le royaume de Dieu qui n’est pas visible par nos yeux mais visible de façon spirituelle.

    Obéissons  à ses commandements ainsi nous lui offrons notre part.

     

    Car l’Eternel a dit : celui -ci est mon fils bien-aimée : écoutez- le !

    Celui qui dit que Yeshoua demeure en lui doit marcher aussi comme Yeshoua, en gardants les commandements.

    Yeshoua fut transfiguré devant eux ses vêtements devinrent resplendissants, et d’une telle blancheur qu’il n’est pas de foulon sur terre qui puisse blanchir ainsi.

     

    Shabbat shalom 

     

    L.B


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  • Un vêtement stylé !

     

    La parasha  Tétsavé  commence par: Pour toi tu ordonneras aux enfants d’Israël de Te choisir une huile pure d’olives concassées, pour le luminaire afin d’alimenter les lampes en permanence.

    Ces paroles de l’Eternel s’adressent semble t’il à Moïse mais cette parasha à la particularité que le nom de Moïse n’est pas mentionné. Ce fait nous enseigne que l’anonymat de Moïse fait place à l’annonce du Machia’h.

     

    La description pour la réalisation du vêtement des sacrificateurs (grand-prêtre), confectionné premièrement pour Aaron et ses fils et leurs descendants.

     

    Le vêtement que devait porter Aaron pour entrer dans le Saint lieu était composé de 8 vêtements,  d’un turban avec une plaque en or gravée,  et les pierres précieuses assemblées sur le devant du vêtement.

     

     

    Le vêtement désigne la sanctification de l’homme, mais le secret des vêtements c’est de restaurer le vêtement blanc originel.

     

    Adam et Eve ayant de par leur faute perdu leur vêtement blanc, l’Eternel les a recouvert de vêtement de peau d’animal.

     

    En guematria.

    « Vêtement de peau » veut dire à l’inverse  « vêtement de lumière ».

     

    Si on additionne Adam, Eve, vêtement de lumière,  on obtient, 1179 ce qui nous fait correspondre à « Pour la gloire et la beauté » c’est les mots que l’on retrouve dans notre parasha  au chapitre 28 verset 2 dans Exode. C’est ce que l’on va retenir « Pour la gloire et la beauté ».

     

     

    La gloire de l’homme est sur Sa tête    comme un turban avec sa plaque gravée du Nom de L’Eternel.

    La gloire de l’homme c’est le Messie Yeshoua. Le turban avec la plaque gravée sur le front exprime la même guematria 888 que « Le salut de notre Dieu ». Le salut revient à Yeshoua. La Gloire de Yeshoua.

     

    Les trois vêtements tunique, manteau, tablier correspondent  à la beauté.  En regroupant les deux analyses nous retrouvons notre verset: « Pour la gloire et la beauté ». Les vêtements sont la gloire et la beauté de Yeshoua.

     

     

    Yeshoua est donc le vêtement blanc le vêtement de la sanctification  Il est pour nous La Gloire et La Beauté.

     

    Cette parasha vient nous éclairer sur la perfection du niveau d’âme que le MESSIE YESHOUA peut nous donner par SON vêtement de gloire  Il est l’intermédiaire infinie de Dieu, qui fait de nous l’homme fini celui qui peut porter le vêtement blanc.

     

    Si le nom de Moïse n’apparait pas dans cette parasha c’est aussi pour nous signifier que la Torah n’est pas le salut que la Torah ne confectionne pas le vêtement de gloire dont nous devons être revêtus, Moïse le représentant de la Torah est ici le moyen d’identifier le Messie Yeshoua. Il est le médiateur l’unique l’absolu qui nous élève vers Dieu il est le Yechidah (niveau d’âme le plus élever) car son vêtement nous habille, nous couvre pour pouvoir nous présenter devant Dieu.

    Car sans ce vêtement nous ne pourrons par voir la face de Dieu quand nous serons dans sa cité céleste.

     

    Nous devons devenir comme des sacrificateurs ayant durant notre temps de vie terrestre cherchée à confectionner notre vêtement en trouvant le vrai fournisseur qui donne les matières premières pour la confection.

    C’est par la connaissance de ce qui se cache (Moise=Torah) que le Messie caché se découvre nous donnant accès au vêtement de noce ce vêtement blanc.

    Cette préparation comme une fiancée qui se prépare à son mariage en assemblant tout pour se parer pour le jour de l’union.

     

    Mais la parasha à commencé par nous dire qu’il faut continuellement approvisionner d’huile les 7 lampes matin et soir afin que ne s’éteigne jamais la lumière en nous.

     

    L’huile (d’olive) « Shémen » nous amène à la menorah et son allumage  dont la lumière symbolise l’enseignement de la Torah qui doit être diffusé aux nations ( Esaïe 42;6) afin que soit révélée la lumière du monde ‘Or Ha ’Olam qui confirme une fois de plus  la même guematria 358 Mashia’h Messie.

     

    L’ordre que Dieu donne c’est la méditation de la Torah en permanence.

     

    Le sacrificateur faisait le service du vin et du pain: encore quelques correspondances.

    Le raisin de la vigne ; « Guéfen » represente le secret de la torah.

    Les pains aux froments, en gâteau, ou en pure farine comme décrit dans notre texte représentent les degrés d’enseignements de la Torah plus nous nous élevons en Yeshoua et plus nous atteignons la réparation de notre corps habillé du vêtement de beauté et de gloire que Yeshoua veut nous offrir pour être présentable pour la rencontre avec Dieu.

     

     

     

     

    Le message de cette parasha c’est de  comprendre le texte dans Mathieu 25: 1,13…..34 à 46

     

    Car Yeshoua c’est le vêtement qui nous recouvre c’est son âme qui nous couvre de Gloire et de Beauté.

     

    Quand le texte dit: J’ai eu faim et soif j’étais nu il faut comprendre que si l’on a nourri notre âme de Torah nous avons été revêtu du vêtement  du sacerdoce  puis si nous avons propagé l’enseignement de la Torah par la diffusion de notre huile on a donné notre Torah nourrit et habiller tous ceux qui ont traversé notre chemin de vie.

     

    Le texte biblique donne une allusion terrestre de la générosité si on donne à manger et à boire aux autres, d’accord ça veut dire ça mais la grandeur de ces écritures c’est que Yeshoua s’Il habite en nous ne se nourrit que de Torah et de ce quelle produit en nous, ainsi le niveau d’âme s’élève et nous somme revêtus du vêtement « de Beauté et de Gloire ».

     

    Maintenant il faut relire le texte de Matthieu en gardant à l’Esprit que la nourriture dont il est question ne concerne que de Torah qui alimente le Ruach Ha kodesh (l’Esprit saint) qui doit s’alimenter de nourriture sainte.

    -L’huile c’est l’enseignement de la Torah, le vin c’est la Torah vivante et le pain c’est la révélation des textes cachés.

     

    La lecture deviendra une vraie nourriture qui nous habille dans un style très spirituel.

     

    Mathieu 25 :1 à 13 ….34 à 46.

    Alors le royaume des cieux sera semblable à dix vierges qui, ayant pris leurs lampes, allèrent à la rencontre de l'époux. Cinq d'entre elles étaient folles, et cinq sages. Les folles, en prenant leurs lampes, ne prirent point d'huile avec elles; mais les sages prirent, avec leurs lampes, de l'huile dans des vases. Comme l'époux tardait, toutes s'assoupirent et s'endormirent. Au milieu de la nuit, on cria: Voici l'époux, allez à sa rencontre! Alors toutes ces vierges se réveillèrent, et préparèrent leurs lampes. Les folles dirent aux sages: Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s'éteignent. Les sages répondirent: Non; il n'y en aurait pas assez pour nous et pour vous; allez plutôt chez ceux qui en vendent, et achetez-en pour vous. Pendant qu'elles allaient en acheter, l'époux arriva; celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée. Plus tard, les autres vierges vinrent, et dirent: Seigneur, Seigneur, ouvre-nous. Mais il répondit: Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas. Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l’heure.

     

     

    Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite: Venez, vous qui êtes bénis de mon Père; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli; j'étais nu, et vous m'avez vêtu; j'étais malade, et vous m'avez visité; j'étais en prison, et vous êtes venus vers moi. Les justes lui répondront: Seigneur, quand t'avons-nous vu avoir faim, et t'avons-nous donné à manger; ou avoir soif, et t'avons-nous donné à boire? Quand t'avons-nous vu étranger, et t'avons-nous recueilli; ou nu, et t'avons-nous vêtu? Quand t'avons-nous vu malade, ou en prison, et sommes-nous allés vers toi? Et le roi leur répondra: Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous les avez faites.

     

    Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche: Retirez-vous de moi, maudits; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. Car j'ai eu faim, et vous ne m'avez pas donné à manger; j'ai eu soif, et vous ne m'avez pas donné à boire; j'étais étranger, et vous ne m'avez pas recueilli; j'étais nu, et vous ne m'avez pas vêtu; j'étais malade et en prison, et vous ne m'avez pas visité. Ils répondront aussi: Seigneur, quand t'avons-nous vu ayant faim, ou ayant soif, ou étranger, ou nu, ou malade, ou en prison, et ne t'avons-nous pas assisté? Et il leur répondra: Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous n'avez pas fait ces choses à l'un de ces plus petits, c'est à moi que vous ne les avez pas faites. Et ceux-ci iront au châtiment éternel, mais les justes à la vie éternelle.

     

     

    Que Dieu nous aide à comprendre les écritures afin que nous puissions lui demander pardon pour toutes les fois où on a mal nourri le Ruach AH  Kodesh qui vit en nous.

    Soyons comme les cinq vierges sages qui avaient l’huile pour les lampes.

    Que nous ayons de l’huile dans nos vases pour que le jour  venue nous puissions être revêtus du vêtement blanc et rentré à la maison.  « Car notre maison n’est pas de ce monde notre maison est auprès de notre Père et notre âme soupire de cruelles souffrances pour rentrer à la maison  pardonné  et accueilli dans son royaume ».

     

    Lecture de la parasha : Exode : Chapitre : 27 verset 20 à chapitre 30 verset 10.

    Lecture de la haftarah : Ezechiel : Chapitre 43 verset 10 à 27.

     

    Lecture messianique : Mathieu : Chapitre 25 verset 1 à 46. 

     

     

    Shabbat shalom 

     

    L.B 

     

     

     

     

     

     


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  • Un don pour Dieu!

     

    La parasha Terouma expose le principe de la construction du tabernacle et le travail des chefs religieux. Toute cette préparation sera décomposée entre les trois autres parasha suivantes.

    Terouma veut dire :  « Son don qu’on donne ».

     

    Moïse monte dans les cieux et Dieu lui montre la façon dans laquelle il veut que le peuple d’Israël crée le tabernacle qui doit être la maison de Sa présence, alors que la présence  Divine est omniprésente sur toute la terre! Mais Dieu demande une présence spécifique.

    L’idée de construire un tabernacle, puis un temple revêt l’idée de construire un espace similaire dans l’homme.

    Le tabernacle c’est l’image de l’être entier. Terouma c’est élever l’être, élever l’être physique de chair par l’élévation de son être spirituel l’âme.

     

    Terouma forme une guematria particulière décomposée en deux partie. Qui veut dire élever les deux hommes le physique et le spirituel, l’élever par la vérité. Si on va encore plus loin dans la guematria de Terouma on décompose et on peut lire: L’homme terre et l’homme le fils.

     

    Ce qui nous donne une révélation exemplaire en définissant qu’on doit élever l’homme terre pour élever le fils de Dieu Yeshoua en nous!!!!! C’est par des découvertes comme celle-là qu’on comprend toute la science de Dieu caché dans les écritures qu’Il nous aide à décrypter.

     

    Terouma n’a pas fini de nous donner ses secrets car terouma c’est aussi l’acrostiche en deux parties qui veut dire : « Terouma = Torah et 40 ».

     

    Si on voudrait rassembler tous ces codes ça donnerait la révélation suivante:

    Faire un temple pour Dieu à l’intérieur de nous, c’est élever l’homme terre que nous somme en modelant notre espace avec la Torah pour accueillir le fils de Dieu Yeshoua.

     

    Mais terouma c’est aussi le don De soi, donner à Dieu sa part qui lui revient. 

    Pour construire notre tabernacle on doit se donner pour s’investir, s’élever c’est se donner, donner son coeur à Dieu c’est la démarche de cette parasha ensuite la construction c’est l’architecte qui organisera les espaces réservés pour sa présence divine en nous.

    Hébreux 11:10.

    Car il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l’architecte et le constructeur.

     

     

    Mais avant tout la parasha Terouma doit nous apprendre comment s’élever par la Torah pour élever le divin qui doit vivre en nous.

     

    Selon les grands Maîtres qui scrutent chaque lettre hébraïques de la Torah; pour s’élever selon le principe de la Torah  il faut sanctifier trois choses.

    L’espace, le temps et l’être.

     

    Pour élever l’espace: c’est par les actions de nos pratiques des lois de la Torah:

    -Les prières, schéma d’Israël matin et soir, lectures des psaumes, lectures journalières bibliques, (tefilines  et châle de prière pour les hommes), offrandes tsédaka, poser une mezouza sur sa porte et toutes nos actions d’amour, de changement de comportement, de bonnes actions quotidiennes en fait les prescriptions écrites dans la bible.

     

    Pour élever le temps: c’est par le shabbat et toutes les fêtes.

    Le shabbat amène la plus grande élévation du temps qui puisse nous être donnée de faire car le shabbat a le pouvoir d’élever la foi.

    Un bon shabbat doit s‘accompagner du rituel vin et pain suivi d’un bon repas, d’enseignement, et de chant de Torah Chant Davidique.

    Les fêtes aussi  portent en elles le même potentiel d’élévation  car chaque fête allume une lumière de la menorah. Peut - être on ne se rend pas bien compte de l’effet extraordinaire que l’on provoque sur la terre à chaque fois qu’on honore une fête de Dieu mais on irradie  de façon miraculeuse la menorah intérieure qui s’allume au rythme du temps.

    Les fêtes que l’on respecte selon le calendrier de Dieu correspondent aux dates  de la création de Dieu.

     

    Pour élever l’être:  c’est là que tous prend le sens de la révélation de Terouma.

    Elever l’être c’est vivre en harmonie avec nous-même en alignant l’homme spirituel à l’homme physique en d’autres termes c’est s’aligner sur l’Esprit Saint pour être en adéquation avec Dieu.

    Dans notre partie invisible nous avons ; Nefesh, Rouakh, Neshama. 

     

    Nefesh c’est l’âme inanimée de la sainteté.

    Rouakh c’est l’Esprit de Dieu.

    Neshama c’est le niveau d’Ame qui s’élève à l’Esprit saint.

     

    Ce niveau d’élévation de Neshama  nous est accessible par l’élévation de l’espace et du temps c’est l’harmonie de la pensée, avec nos paroles qui font l’action. 

     

     

    Cette harmonie de la pensée se vit par la foi. L’harmonie des paroles se vit par le coeur et l’harmonie de nos actions se finalise par le contrôle de nos actions.

     

    C’est-à-dire on fait ce que l’on pense et dit.

     

    Cet accord aligné en nous, nous permet d’être conduit par l’Esprit de Dieu et plus sous le contrôle de nos mauvais penchants.

     

    Romains 7:14 à 16.

    Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais: je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. 

     

    Vivre cette harmonie c’est vivre réellement en Yeshoua.

    Car tout cela est la finalité de notre sanctification.

    La sanctification du temps et de l’espace doit se faire pour que  notre être se sanctifie, car il faut une dimension humaine pour imprégner le temps et l’espace  de la présence Divine.

     

    Notre santé, notre bien-être et  notre bonheur tient dans ces trois choses.

    Ainsi notre  Maître Yeshoua  le grand régisseur de tout l’organisme veille à ce que nous vivions au rythme de ce temps dans l’espace et dans notre être, c’est comme cela que la Torah se rend vivante en nous et nous donne le souffle de vie de Yeshoua.

     

    Elever Yeshoua en nous en construisant ce tabernacle qui est un transfert de l’homme, car la structure du temple est la structure de l’homme.

     

     

     

    Le tabernacle était composé de 48 planches, 96 socles, 10 tentures latérales, 100 agrafes pour ces tentures, 50 crochets pour ces agrafes, 11 tentures en peau de chèvre pour le toit du Tabernacle, 100 agrafes pour ces tentures, 50 crochets pour les dites agrafes, 15 poutres, 96 anneaux, 1 rideau intérieur, 4 piliers supportant ce rideau, 4 socles pour ces piliers, 4 crochets, 1 panneau masquant l’entrée du Tabernacle, 5 piliers pour suspendre ce panneau, 5 socles, 5 crochets, 1 Arche sainte, 1 couvercle pour cette arche, 1 paire de chérubins, 1 table, 1 lampadaire, 1 autel pour l’encens, 1 autel pour les sacrifices, 1 vasque pour les ablutions » ; soit un total de 613 éléments, correspondant aux « 613 lois de la Torah. Cela ne peut que confirmer le lien  étroit entre la Torah et la construction du Tabernacle et la correspondance avec l’homme qui a été crée par Dieu avec 613 organes.

     

    Pour arriver à ce fondement c’est de vivre sa Torah en pensée, en paroles, et en actions. 

     

    Apportons en ce shabbat notre Terouma notre coeur afin que Dieu en dispose comme Il veut afin que Son Esprit vienne habiter en nous.

    Conduisons-nous en harmonie avec la Torah, en agissant avec foi et amour pour la Torah car si nous avons la foi et l’amour pour la Torah c’est que nous avons la foi et l’amour pour Yeshoua.

    Pour commencer à accorder notre pensée notre parole et notre action ce vendredi lorsque nous préparons nos pains de shabbat il faut prélever un tout petit peu de pâte encore crue (de préférence) qui se nomme Terouma et dire la prière du prélèvement de la Terouma.

     

    Beni sois-Tu l‘Eternel notre Dieu Roi de l’univers qui nous a sanctifiés par Ses commandements et nous à ordonné de prélever la Terouma.

     

    Et en plus pour cette parasha:  

      

     

    Beni sois-Tu l‘Eternel notre Dieu Roi de l’univers qui nous a sanctifiés par Ses commandements et nous a ordonné d’être saint  comme lui est Saint.

    Eternel Dieu je te donne mon être entier afin que tu vienne vivre en moi et que tout mon être te sois soumis afin que je vive en harmonie avec ma pensée, mes paroles et mes actions pour être sanctifié!

     

     

    Lecture de la parasha : Exode : Chapitre 25 verset 1 à chapitre 27 verset 19.

    Lecture de la haftarah : 1 Rois : Chapitre 5 verset 26 à chapitre 6 verset 13.

    Lecture messianique : 1 Corinthiens : Chapitre 3  verset 10 à 23.

     

     

     

    Shabbat shalom.

     

    L.B

     

     


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  • Des lois pour nous transformer !

     

    La parasha Michpatim commence par les lois sur l’esclavage, qui contient des messages profonds. Il est dit celui qui achète un esclave s’achète un maitre. Le propriétaire de l’esclave est tenu de prendre soin de son esclave, dans des conditions équivalentes à lui-même voir plus, car l’esclave selon les lois divines ordonne le respect avant tout pour chaque être humain, chaque personne ne doit jamais être humiliée, diminuer, ni juger ni exploiter. Le respect et la dignité sont un point d’honneur que l’on doit à tout le monde.

     

    Ce rapport d’esclave à maître de façon spirituel permet à l’homme d’être corrigé de son comportement soit que le maître soit jugé selon comment il agit avec son esclave bon, juste et bienveillant soit l’esclave doit agir pour maitriser ses actions.

     

    On devient esclave quand on n’arrive pas à maitriser ses pulsions, quand on transgresse les lois, alors on a une dette et il nous faut un maître pour payer notre dette. Ce maître doit transformer son esclave  en homme libre. 

     

    Chacun des deux doit pouvoir corriger les comportements de l’autre.

    L’esclave doit être dirigé par son maitre pendant 6 années il sera transformé  et aura réglé ses défauts et la septième année s’il veut il sera libre il aura payé sa dette mais s’il se sent pas de gérer sa vie tout seul il pourra rester sous la direction de son maitre.

     

    Ainsi Yeshoua notre maitre qui nous enseigne les fondements de la vérité nous coach pour corriger nos mauvais comportements pendant  les six jours durant lesquels chaque jour nous le servons pour devenir des êtres qui se sanctifie en méditant et pratiquants les lois de Dieu.

     

    Si on se place l’esclave de Yeshoua pour le servir en  méditant tous les jours la Torah  on sert fidèlement le Seigneur on lui rembourse notre dette. 

    Devant Dieu notre effacement personnel à faire notre volonté personnelle au profit de le servir.

    Ainsi étant esclave de Yeshoua nous ne sommes plus esclaves de nos mauvais comportements.

     

     

    Cette parasha Michpatim veut dire les lois (les détails de la loi). Ces lois qui sortent toutes des 10 commandements  précisent les lois du quotidien, du rapport humain, d’honnêteté,

    devant une situation problématique je ne dois pas me poser la question qu’elle est mon intérêt?

    Mais plutôt comment Dieu voit la chose ? Mon comportement devant la situation; être bon, juste, et bienveillant. 

     

     

    Les six jours tu travailleras et le septième tu te reposeras veux dire les six jours tu apprendras mes lois et le septième c’est Dieu qui viendra gérer et bénir notre travail intérieur en nous modifiant à son image.

    Moïse  et Yeshoua sont  monté à la montagne  durant quarante jours et quarante nuits.  C’est 40 jours en guematria de la Torah nous ramène à la lettre du milieu de l’alphabet  et cette lettre du milieu, du centre comme le shabbat que doit être le centre de nos vies,  c’est aussi la lettre de la vérité.

    Dans le jardin d’Eden se trouvait l’arbre de la vie. Cet arbre de vie était placé au centre au beau  milieu du jardin afin que la lumière diffuse toute sa substance absolument dans tous les recoins du jardin. Et cette lumière incandescente fait référence au SHABBAT.

     

    Car le SHABBAT se place au centre de nos vies, il  illumine tous les aspects de notre quotidien. C’est à partir de ce point central que s’organise notre cycle de vie avec Dieu.

    Ainsi la semaine avec Dieu commence le dimanche et se termine le samedi par l’apothéose du Shabbat.

     

    Toute personne qui veut avancer avec Dieu doit garder le shabbat.

    L’aspect séculaire et matériel du renoncement au travail et aux désirs  personnels ajoute une épreuve de volonté devant Dieu à être dans l’obéissance c’est pour nous la transformation de l’être en devenir c‘est ce que  Yeshoua attend de nous.

    Il vient alors comme un cadeau pour nous bénir.

    Car nous sommes constitués de six parties spirituelles à combler la septième partie est pour ;  « SA PRESENCE EN NOUS ! LE ROI YESHOUA COURONNÉ ».

     

    Le shabbat est le point essentiel pour le croyant,  c’est le jour de sa plus grande élévation mais paradoxalement  le shabbat est aussi l’obstacle le plus difficile pour ceux qui font les premiers pas dans l’obéissance envers Yeshoua.

     

     

    Yeshoua nous a toujours instruit sur la plus grande importance à respecter le Shabbat comme une loi immuable Paul a toujours fait mention du shabbat les apôtres aussi mettaient un point d’honneur au shabbat.

    Ni Yeshoua ni Paul de Tarse n’ont été les initiateurs d’une nouvelle religion, sans lois ni shabbat, tous étaient juifs, les écritures témoignent qu’ils allaient tous les shabbat enseigner la doctrine des lois de Moïse.

    La seule opposition que nous pouvons lire de Yeshoua sur le shabbat c’est très simple ce sont des oppositions qui traitent sur les 39 activités interdites du shabbat  car ses 39 interdits font toutes références  aux 39 actions pour la construction du tabernacle.

    Ainsi quand ils frappèrent Yeshoua des 39 coups c’est une référence à ce qu’il a pris pour Lui les 39 interdits du shabbat car le temple c’est lui qui le construit en nous durant les 6 jours de travails en nous pour lui préparer une demeure propre afin que le septième jour Il ajourne notre travail pour agrandir l’espace en nous. Donc les 39 interdits sont abolis. 

     

     

    Pour les Pharisiens l’homme devait se plier aux exigences de ses interdits à shabbat tandis que pour Yeshoua c’est le shabbat qui est fait pour l’homme c’est là le sens de la vérité.

     

     

    Yeshoua n’a jamais annulé le shabbat  car Il le respectait, mais il s’opposait à ceux qui faisaient passer la lettre (les écritures) avant l’Esprit de la lettre. Le shabbat a été donné pour tous les hommes en tant que bénédictions et pas en malédiction.

     

    Ainsi l’expression: « Le messie c’est  la fin de la loi »  c’est par l’extinction des lois toutes relatives aux temples que ce soit pour les actions de la construction ou bien pour les holocaustes de sang car ce faisant nous nieront le sacrifice de Yeshoua.

     

    Yeshoua n’est pas venu abolir les lois Il est venu les accomplir.

     

    « Accomplir » nous ramène  selon son origine aux mots; remplir, rendre fécond. 

    Le mot « montagne » se dit en Hébreu:  « har » qui ramène à: enceinte, grossesse.

     

     

    Yeshoua est monté sur la montagne pour donné vit à la Torah. 

    En d’autre termes Yeshoua n’est pas venu avorter de la Torah, mais pour lui donner la vie ! La rendre vivante en lui.

    Ainsi la Torah devient la vie en Yeshoua, loi d’Amour et de pardon que chaque croyant doit se nourrir, les lois michpatim qui sont des lois d’amour envers notre prochain être juste,  bon, et bienveillant.

    En Yeshoua la loi devient pain de vie qui apporte à l’être tout entier  tous les bienfaits promis par Dieu 

     

    Mais les écritures par la voix du prophète Daniel explique quand et par qui un changement de doctrine se ferait ; le jour où viendra ou les hommes changeront les temps et la loi  symbolisé par l’empire de Rome et ses dérivés chrétiens  ou le shabbat sera  détrôné au profit du dimanche.

     

    Daniel 7;25.

     

    Il prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps.

     

     

     

    Rappelons-nous que l’on ne pratique pas la loi pour être sauvé, mais parce que justement on est sauvé par Yeshoua   et c’est à cela que l’on reconnaît les vrais croyants.

     

    Ne perdons l‘assurance que nous avons en la foi en Yeshoua  et en la Torah. Mais  gardons à l’esprit que nous sommes venu sur terre pour faire des demeures pour Yeshoua et c’est par la loi que nous construisons ces demeures car un jour le shabbat auquel nous goutons chaque samedi deviendra une réalité pour l’éternité, qu’on puisse voir cet ouvrage de saphir transparent comme le ciel dans sa pureté, là ou l’arbre de vie  nous aura donné la guérison de notre âme.

     

    Shabbat shalom

     

     

     

    Lecture de la parasha : Exode : Chapitre 21 verset 1 à chapitre 24 verset 18.

    Lecture de la haftarah : Jérémie : Chapitre 34 verset 8 à 22; chapitre 33 verset 25, 26.

    Lecture messianique : Apocalypse : Chapitre 22 entier.

     

     

     

    L.B


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  • Chercher Dieu !

     

     

    La parasha Ytroh ou Jétroh (en français) commence par l’intervention de Ytroh le beau père de Moïse qui était auparavant  un  grand-prêtre à Madian  reconnu pour son zèle de grand religieux exerçant les cultes étrangers. 

    Quand suite au récit que Moïse était venu lui raconter sur les grands miracles que le grand Dieu d’Israël avait fait pour les hébreux et contre les egyptiens, il décida de laisser ses fausses croyances car maintenant le vrai Dieu lui avait été témoigné.

     

    Ytroh c’est le symbole de l’homme qui a cherché Dieu toute sa vie et qui maintenant se dévoile à lui et il est prêt à abandonner toute sa vie passée.

    Jétroh se dit j’ai trop vécu dans l’erreur y a trop de mensonges dans les autres religions.

    Ytroh était prêt à abandonner ses honneurs et ses prestiges dus à son rang de grand prêtre, conscient de perdre son statut ses privilèges et son salaire.  Prêt à la moquerie et a passer s’il le faut pour un idiot auprès de sa communauté. 

     

    Ytroh c’est le modèle d’homme que Dieu aime d’où Dieu lui rendra les honneurs en lui donnant le titre d’une parasha dont on parle toujours.

    Il a perdu ses honneurs pour le monde mais il a gagné les honneurs pour Dieu.

    Celui qui court après les honneurs du monde Dieu le fait sortir de ce monde.

     

    Mais Ytroh c’est aussi le symbole de l’homme des nations qui vient vers Dieu pour être sauvé celui qui vient se greffer à Israël et par sa fonction de prédicateur il va maintenant transmette la vérité a ceux qui seront prés de lui.

     

    Mais cette parasha contient ce qui peut être considéré comme l’un des plus grand évènement qu’est connut le monde: Le don de la Torah.

     

    Le mot TORAH vient du mot ORAHA qui signifie enseignement.

    Un enseignement vivant. La Torah est une réponse  à nos questionnements journaliers ou nos événements ponctuels.

    La Torah c’est une nourriture qui alimente notre être et s’en abstenir provoque des carences graves pour tous les aspects de notre vie, notre santé premièrement est la première défaillance qui  se déclare, car en étant sous-alimenté l’esprit va chercher à se nourrir d’autres choses qui ne sont pas forcement bonnes.

     

    La Torah est un moyen d’accéder à la connaissance de Dieu. Et chaque histoire ne sont que des enveloppes qui entourent les messages profonds de Dieu  pour en délivrer l’explication cachée du texte, à nous avec l’aide de SON ESPRIT d’ouvrir les enveloppes et trouver les messages que Dieu voulait nous communiquer. Et chaque fait de la Torah vient nous apprendre comment Dieu dirige le monde.

     

     Si toute la bible est nécessaire il y a dans la Torah un principe géniteur de vie. Notre approche de chaque jour nous fait entrer en connexion avec Dieu, c’est à l’image de ce que faisait le peuple en allant voir Moïse tous les jours pour les questionnements quotidien. C’est en allant voir Moïse qu’il s’approchait de  Dieu.

     

     

    La bible donne un enseignement pour le monde entier, mais il est un problème gravissime c’est les traductions de bibles qu’utilisent en général les chrétiens traduits par des personnes certes très instruites intellectuellement mais certainement pas  instruites sur la véritable fonction de la Torah pour le monde, mais peut-être que Dieu l’a voulu ainsi.

    Chercher Dieu c’est s’intéresser aux écritures selon la version initiale en hébreu qui restitue l’authenticité des lettres.

     Ainsi fréquemment nous lirons par exemple pour mentionner le mot:  Torah dans la Nouvelle Alliance (Nouveau Testament) les mentions de « paroles de Dieu » ou bien « les évangiles »  alors que les traductions hébraïques disent « Torah » et le pire de toutes les traductions qu’ils puisent y avoir c’est pour traduire « Shabbat » ces bibles chrétiennes ont traduit « jour du repos » influent du coup que le jour du shabbat pourrait être un autre jour que le samedi, et toutes les autres mauvaises traductions qu’il peut y avoir.

    Le verset dans 2 Corinthiens 4:2à7 fait entendre que si les écritures sont falsifiés c’est pour que ceux qui ne cherchent pas vraiment Dieu ne reçoivent pas la vérité de la Torah afin que le vrai Messie Yeshoua ne se révèle pas, c’est une mise à l’épreuve que Dieu  donne aux croyants.  

     

    Nous rejetons les choses honteuses qui se font en secret, nous n'avons point une conduite astucieuse, et nous ne falsifions pas le message de Dieu. Mais, en publiant la vérité, nous nous recommandons à toute conscience d'homme devant Dieu. Si notre Torah (Evangile) est encore voilée, il est voilé pour ceux qui se perdent; pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l'intelligence, afin qu'ils ne voient pas briller la splendeur de la Torah de la gloire du Messie, qui est l'image de Dieu. Quand à nous ce n’est pas nous que nous prêchons pas nous-mêmes; c'est  le Messie Yeshoua comme Seigneur que nous prêchons, et nous nous disons vos serviteurs à cause de Yeshoua. Car Dieu, qui a dit: La lumière brillera du sein des ténèbres! a fait briller la lumière dans nos coeurs pour faire resplendir la connaissance de la gloire de Dieu sur la face du Messie.

     

    Nous portons ce trésor dans des vases de terre, afin que cette grande puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous.

    =========================================

     

     

    Toutefois nous comprenons que la Torah se révèle malgré le voilement des écritures par l’Esprit de Dieu à ceux qui le cherchent vraiment.

     

    C’est pourquoi les écritures ont rendu la lumière par Yeshoua il nous est accessible de comprendre les commandements.

    Cette parasha ne peut qu’exprimer le choix en chacun de nous de remplir nos vases de la Torah en méditant les 10 paroles qui ont le pouvoirs de les remplir.

     

    C’est pourquoi les 10 paroles écrites sur les tables de la loi, sont la quintessence de Yeshoua qui s‘exprime à travers ses 10 paroles.

     

    Ces commandements sont une mise à l’épreuve qui certifie notre obéissance et notre retour vers Dieu.

     

    1 TU n’auras pas d’autre Dieu.

    2 TU  ne profaneras pas le Nom de Dieu.

    3 TU  ne feras jamais d’images de dieu ou divinités.

    4 TU honoreras le shabbat.
    5 TU honoreras ton père et ta mère.

    6 TU ne tuera pas.

    7 TU ne seras pas adultère.

    8 TU ne voleras pas.

    9 TU ne diras rien de faux contre personne.

    10 TU ne convoiteras rien de personne.

     

     

     

    1  Dieu se révèle dans la Torah et en Yeshoua.

    2  Dieu nous a révéler qu’un seul nom c’est Yeshoua.

    3  Dieu nous interdit toutes images de Yeshoua.

    4  Dieu nous ordonne d’arrêter les activités le samedi.

    5  Dieu nous ordonne d’honorer son père et sa mère.

    6  Dieu nous ordonne de ne pas assassiner.

    7  Dieu nous ordonne d’être fidèle en toutes choses.

    8  Dieu nous interdit de s’approprier le bien d’autrui.

    9  Dieu nous interdit la calomnie.

    10 Dieu nous interdit d’être jaloux.

     

     

    Si ces 10 paroles ont un autre reflet spirituel qui nous est difficilement accessible nous pouvons quand même en respectant ces 10 paroles recevoir toutes l’huile qui alimente la lumière en nous.

     

    La Torah c’est la parole de vie  c’est une lampe à nos pieds, et la loi et la vérité que Dieu a établie pour toujours. Il y a beaucoup de  paix pour ceux qui aiment la loi, et il ne leur arrive aucun malheur. Posséder la Torah s’est possédé tous les trésors.

     

     

     

     

     

    La Torah à en commun avec l’homme c’est qu’ils sont tous les deux à l’image de Dieu.

    Dieu a donné à l’homme  une âme qui vit, et la Torah contient un principe vital qui enseigne tous les hommes de chaque siècle. La Torah comporte 613 commandements et l’homme à 613 organes. 

    La Torah a un ordre de 248 ordres de lois positives, l’homme a 248 membres osseux. La Torah a un ordre de 365 ordres de lois négatives et le corps de l’homme possède 365 organes fluides.

    Ce que nous démontre cette analyse c’est que la Torah c’est le Messie Yeshoua qui s’est fait chair  dans un corps d’homme. Et nous qui somment en Lui nous devenons des corps ayant besoin de la Torah comme alimentation source de lumière pour remplir nos vases. 

     

     

     

    La Torah est une lumière Yeshoua est notre lumière  

    Yeshoua leur dit : Je suis la lumière du monde. 

     

     

     

    Ce que Dieu transmet dans cette parasha c’est le dévoilement de la Torah qui est le corps du Messie Yeshoua.

    Celui qui reconnaît la Torah reconnaît Yeshoua.

    Car toutes autres enseignement hors Torah s’avèrent être un enseignement falsifié voilant le Messie Yeshoua.

     Cette parasha sur Ytroh c'est la parasha qui appelle les croyants à revenir à la base de toutes croyances comme Ytroh quand il a entendu la vérité il a arrêté de suivre un autre dieu et a suivi Dieu de Moïse Dieu de la Torah Dieu qui est venu pour nous sauver de la mort éternelle.

     

     

    Jean 12:37 à 41

    Malgré tant de miracles qu'il avait fait en leur présence, ils ne croyaient pas en lui, afin que s'accomplît la parole qu'Esaïe, le prophète, a prononcée: Seigneur, Qui a cru à notre prédication? Et à qui le bras du Seigneur a-t-il été révélé? Aussi ne pouvaient-ils croire, parce qu'Esaïe a dit encore: Il a aveuglé leurs yeux; et il a endurci leur coeur, De peur qu'ils ne voient des yeux, Qu'ils ne comprennent du coeur, Qu'ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse. Esaïe dit ces choses, lorsqu'il vit sa gloire, et qu'il parla de lui.

    =========================================

     

    La prophétie se confirme dans notre lecture de haftarah .

    Alors soyons de ceux qui cherchent Dieu à travers la Torah, chérissons là car c’est notre Messie Yeshoua. Sinon Dieu nous voilera la vérité de la Torah et nous ne pourrions pas recevoir la lumière pénétrante dans nos corps en Yeshoua.

    Bénis sois-tu l’Eternel notre Dieu qui nous a donné la Torah pour recevoir la lumière de Yeshoua.

     

     

     

    La fin de la lecture de la haftarah confirme encore:

    Esaïe 9:5

    Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, Et la domination reposera sur son épaule; On l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix.

     

     

     

    Lecture de la parasha : Exode : Chapitre 18 verset 1 à chapitre 20 verset 23.

    Lecture de la haftarah : Esaïe : Chapitre 6 verset 1 à chapitre 7verset 6. Et chapitre 9 verset 5,6.

    Lecture messianique : Jean : Chapitre 12 verset 35 à 50. 

     

     

     

    Shabbat shalom

     

     

    L.B


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  • Un bon engagement !

     

    La parasha Bechalah’ est un engagement, une prise de conscience.

     

    Les enfants d’Israël sont prêts pour partir! La série d’événements qu’ils venaient de vivre les ont amené à faire beaucoup de repentances.

    Maintenant c’est l’engagement aux changements.

     

    Toutes repentances que l’ont fait devant Dieu doit s’accompagner d’un engagement aux changements.

    Un pardon sans engagement de changements n’a aucune valeur devant Dieu.

     

    Une petite analyse intéressante pour cette parasha.

    La parasha Bechalah’ est la numéro 16, et dans notre chapitre de lecture Exode chapitre 16 verset 16 ; le verset  contient toutes les lettres l’alphabet hébraïque  ce fait n’est constaté  que deux fois dans la bible .

    Donc la 16 ème parasha au chapitre 16 verset 16  nous renvoie à 

    la manne !

    Le 16 c’est la lettre Aiyn en hebreu qui nous révèle  quelques directions de compréhension.

    Dans ce contexte de la Torah le 16 c’est le passage du visible vers l’invisible; il suggère une vision des profondeurs.

    La vision de la lumière source  de pureté. Voir l’intérieur en nous. Traverser la conscience pour voir l’inconscience pour prendre conscience  de la nécessité de changer de regard  sur notre situation. 

     

    Cette parasha extraordinaire où les plus grands miracles  historiques de Dieu sont relaté de l’ouverture de la mer en deux, la distribution de la manne, et l’eau sortit du rocher.

    Lorsque Moïse ouvrit la mer en deux pour faire sortir les enfants d’Israël  et détruire les égyptiens, nous renvoie à une autre analyse pour comprendre la première analyse:

    La différence entre la terre et la mer qui sont deux environnement ou évoluent différentes variétés d’animaux, de végétaux; et de minéraux; mais à la différence que sur la terre les choses sont visibles et sous la mer elles sont cachées sous la couverture aquatique.

    En fait ces deux dimensions démontrent la dimension spirituelle de la conscience et la dimension spirituelle de l’inconscience. Ces deux partie de notre personnalité étant très active, mais l’une on peut essayer de la contrôler alors que l’autre non.

    Notre personnalité consciente manifeste nos désirs, nos choix, de vie  et notre être inconscient reste caché, et ce coté caché contient toute la mémoire de tout notre passé, bien rangé, la mémoire d’amalek. 

     

    Ainsi lorsque Moïse ouvrit la mer en deux  (déchira selon le mot d’origine du texte) déchira la mer en deux l’allusion à ce miracle fait référence à la puissance de Dieu qui va déchirer le voile de l’inconscience et détruire toutes les origines du mal enfoui  au fond de nous.

    La profondeur  depuis l’origine de notre âme plongée dans les péchés et nourri par la plus extrême des  profondeurs ténébreuses.

     

    Cette déchirure créée un espace ou la lumière pénètre pour détruire toutes les racines du mal :

    Néhémie 9;11

    Tu fendis la mer devant eux, et ils passèrent à sec au milieu de la mer; mais tu précipitas dans l'abîme, comme une pierre au fond des eaux, ceux qui marchaient à leur poursuite.

     

    Yeshoua a ouvert le voile de notre âme pour détruire toutes les pensées d’amalek et nous instruire par Sa manne.

     

     

    Cette image  du passage dans la mer préfigure l’image du baptême  qui purifie l’âme et le corps dans son entier,  car le baptême est un engagement de bonne conscience. Le baptême doit être vécu comme un engagement au changement de vie  et de pratique. L’eau est une figure du baptême qui est la purification du corps  et l’engagement  d’une bonne conscience envers Dieu de le suivre dans ses voies et qui maintenant nous sauve.

    C’est en quelque sorte l’idée que Yeshoua est descendu dans notre prison pour libérer les lumières de la Torah emprisonné en nous cette Torah lumière ou souffle de vie que Dieu avait placé en nous.

     

     

    Ce grand miracle de la mer c’est aussi le voile du temple qui se déchira lorsque Yeshoua est mort.

    La déchirure nécessaire pour  retrouver la vérité  enfouie en nous.

     

    La mort de Yeshoua c’est la main droite de Dieu qui est venu combattre nos ennemis spirituels les Amalek de puissants esprits du mal qui travaillent dans la pensée en mettant le doute et l’incertitude, dans les profondeurs de notre être. Yeshoua détruit les autorités  de ceux qui gouvernent en nous  et libère notre âme captive.

    Afin que par sa mort nous avons été enseveli avec lui nous sommes mort aux péchés

    Romains 6:3,4.

    Nous tous qui avons été baptisés en Yeshoua, c'est en sa mort que nous avons été baptisés? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme le Messie est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie.

     

    Son acte nous a rendus libre après avoir été esclaves en obéissant à la séduction d’aller contre les lois de Dieu.

     

     

     

    A cette étape du récit historique de Moïse nous pouvons  comprendre qu’il restera un grand problème car la fin de l’histoire témoigne que très peu de personnes sont réellement sortie de leur Egypte.

    Que ce texte  qui sert d’exemple pour toutes les générations à venir  nous fasse comprendre ce qu’il ne faut pas faire!

     Le peuple avait murmuré contre Dieu car ceux pour qui le pardon devant Dieu fut manifeste  l’engagement au changement personnel ne fut pas engagé.

     

    L’engagement que Dieu attendait de son peuple c’est qu’il suive les lois de la Torah car la preuve de leur foi invisible devenait visible par les actions de la loi.

    Car Dieu a destiné la loi de Moïse pour justifier la foi.

    Yeshoua la justice du temps présent nous justifie, ainsi la loi de Moïse justifie notre foi et pas notre salut.

    La loi sans le temple ne sert plus d’expiation, la loi sert à justifier notre foi et à purifié nos membres.

     

    Ainsi nous devons nous engager à suivre la loi et non de murmurer contre elle.

     

     

    Les murmures de ces hébreux résonnent encore aux oreilles de l’Eternel un son qui murmure toujours contre les lois de la Torah.

     

    Cet enseignement doit nous interpeller devant nos engagements aux changements.

    Si nous avons cru que le Messie est Yeshoua nous devons aussi nous engager à changer de forme de croyance comme beaucoup de croyants attachés au Seigneur ont accepté le baptême mais se refusent de suivre la Torah.

    Ils luttent avec une autre loi qui s’oppose à la loi de Moïse. C’est la loi d’Amalek .

    Yeshoua après nous avoir libéré  dans les profondeurs de notre mauvaise conscience  est venue nous nourrir. Il a ouvert notre mer en deux pour déposer sa manne afin de suivre les bons enseignements, son Esprit c’est la manne qui témoigne de ces choses et des bons enseignants qui instruisent sur la Torah.

     

     

     Yeshoua leur dit : Ne murmurez pas entre vous … je suis le pain de vie ! 

     En vérité Moïse ne vous a pas donné le pain du ciel, mais mon Père vous a donné le vrai pain du ciel. Car le pain de Dieu, c’est celui  qui descend  du ciel et qui donne la vie au monde. 

    Yeshoua leur dit;  Je suis le pain de vie celui qui vient à moi n’aura plus jamais faim  et celui qui croit en moi n’aura plus jamais soif.

    C’est ici le pain qui est descendu du ciel Il  n’en est pas comme de nos pères qui ont mangé la manne est qui sont mort ;celui qui mange  ce pain vivra éternellement.

     

    Yeshoua c’est le pain de vie c’est la rosée qui tombe du ciel, c’est la manne qui vient du ciel ! 

    Mais la manne ne peut être donnée qu’a ceux qui en mangent déjà nous disent les Sages d’Israël.

     

    La manne c’est la rosée du ciel, et la rosée du ciel c’est l’enseignement qui nous est déversé par l’Esprit Saint De Dieu.

    Mais pour que la rosée tombe sur nous il faut continuellement s’alimenter de la Torah et le meilleur moyen de s‘alimenter de la Torah c’est de prendre chaque jour une portion ainsi toutes nos demeures seront restaurées par la puissance de vie de Yeshoua.

    Notre persévérance à se nourrir de la Torah sera notre pieux qui frappera dans la tempe de la tête d’Amalek.

     

    Deutéronome 32:2.

    Que mes instructions se répandent comme la pluie, que ma parole tombe comme la rosée…

     

     

    Pour vaincre toutes ces puissances mauvaises il faut absolument s’alimenter de la rosée du ciel afin que nos demeures intérieures soient régénérées de la puissance de vie.

     

    Car il est un mystère que Dieu a révélé c’est le secret qui se cache dans les lignes de la Torah.

    La Torah n’est pas un livre comme les autres c’est le livre qui dévoile les noms de Dieu. Et chaque lecture et étude nous donnent de proclamer la gloire de Dieu de dire Saint Saint Saint est  l’Eternel des armées.

     

     Ainsi celui qui mange de la manne ( Torah qui veut dire enseignement)

    reçoit de la manne ( l’Esprit Saint qui l’ enseigne).

     

    Le but de l’homme dans ce monde c’est de se débarrasser du mal en lui pour faire régner le bien et pour cela Dieu nous a envoyé le Messie Yeshoua pour nous donner de son Esprit pour que nous puissions adhérer à la Torah qui nous remplit de toute sa sagesse.  Car la lutte avec le mal qui tente de nous faire oublier le monde à venir comme s’il  n’y avait pas vraiment de monde meilleur qui nous attend et c’est grace à toutes les parasha dont nous nous nourrissons chaque jour chaque semaine à shabbat qu’on trouve le bonheur  qui ce déverse en nous comme la rosée  de Yeshoua pour nous rendre heureux et connaitre le véritable Amour venir habiter dans nos demeures intérieures. 

     

     

    Puisse l’Eternel nous aider et nous apporter toutes les lumières qu’on a besoin dans ce monde pour qu’un jour on puisse aller dans un monde meilleur qui nous attend. Qu’Il nous aide à nous engager pour le suivre dans toutes ses voies.

     

     

    Shabbat shalom

     

    Lecture de la parasha : Exode : Chapitre  13 verset 17 à chapitre 17 verset 16.

    Lecture de la haftarah : Juges : Chapitre 4 verset 4 chapitre 5 verset 31.

    Lecture messianique : Jean : Chapitre 6 verset 26 à 59. Mathieu : Chapitre 27 verset 50 à 54.

     

     

     

    L.B

     

     


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  • Parasha du samedi 12 janvier  2019. Parasha BO :15.

     

    Un monde beau !

     

    La parasha de cette semaine se nomme :  « BO » qui veut dire « VA ».

    Va vers le mal et dit lui que Dieu est plus fort que lui.

    On pourrait dire que cette parasha  c’est le commencement de la vrai vie.

    Dieu dit à Moïse : Ce mois-ci c’est le premier mois de l’année. Dieu instaure SON calendrier. Notre nouvelle naissance commence là ! 

     

    A ce moment-là l’instauration d’un calendrier marque pour les hébreux une nouvelle vie, qui vient rétablir l’ordre dans l’être humain.

     

    Ainsi le peuple de Dieu se raccorde au temps selon que l’Eternel l’a voulu pour la création de l’univers. Ce cycle constitue la base  de la réparation de l’homme.

    Ainsi ce calendrier sera la voie du retour vers Dieu.

     

    Toutes les créations de Dieu  sont soumises à son cycle de lois qui permet l’UNITÈ entre toutes.

     

    Comme une horloge géante qui tourne pour l’univers entier et chacun des rouages de la nature, des eaux, des constellations, des animaux, des humains, s’engrange dans ce mécanisme parfait pour un monde beau, sauf que les humains se sentant supérieur on consenti à sortir du rouage pour formé une dimension parallèle qui les a séparé de  Dieu.

     

    Plusieurs alliances furent nécessaires pour raccorder de nouveau l’homme à la dimension spirituelle établi par Dieu.

    Cette discordance a amené l’exil dans les humains en ayant suivi les voies du mal ils ont cohabité avec les démons. 

     

    Le calendrier de notre parasha vient établir un nouveau programme pour  les délivrer de cette emprise.

     

    Dieu va délivrer le peuple de leurs démons !! 

     

    Lorsque Dieu créa le monde Il le créa en  7 jours avec 10 paroles et le monde fut parfait, Il créa une séparation entre la lumière et les ténèbres.

    Les 10 paroles  divines sont comme des gardiens qui seraient chargés de mettre des limites entre le bien et le mal  le chiffre 10 dans ce contexte veut dire : Délimiter. 

    Ces lois naturelles de sorte que l’homme puisse organiser sa  vie à partir de ces lois  qui définissent une séparation entre le bien et le mal.

     

    Cette parasha cette semaine relate les trois dernières plaies qui sont d’un niveau supérieure, liés à la souffrance de l’âme.

    Les sept autres plaies que l’on a vu la parasha précédente sont d’un niveau inférieur lié à la souffrance de  l’homme.

     

    -La huitième plaie les sauterelles; font référence au pardon. 

    En effet pharaon demande pardon : J’ai péché contre l’Eternel   de grâce pardon pour ma faute.

    -La neuvième plaie; l’obscurité fait référence à la séparation.

    -La dixième plaie la mort des premier né, fait référence à la mort de notre homme charnel.

     

    Toutes ces plaies ont eu pour but de vider les espaces impurs contenus dans l’homme pour que Dieu puisse les remplir de  Lui ! 

    Cette terre d’Egypte c’est nous  et dans cette terre les étincelles divines étaient prisonnières  dans cette âme l’étincelle était captive. 

    La  sortie de cette Egypte c’est Dieu qui se révèle en libérant les étincelles emprisonnées.  

    Nous qui vivions si complaisant avec tous ces démons s’accommodant de leurs présences pour assouvir les passions impures.  

     

    Mais Dieu nous regarde et voit notre détresse et n’attend que notre désir de s’élever vers Lui  et sa gloire se manifeste, Il appesantit notre servitude. 

     

     

    Dans cette parasha l’Eternel dit en cette nuit de Pessa’h (Pâque) j’exterminerai  toutes les légions de démons qui sont dans vos demeures.

    C’est bien cette Pâque de Yeshoua qui nous délivre des démons qui sont en nous.

     

    Cette fête de Pessa’h comme nous le rappel l’Eternel  devra être célébrée à perpétuité  même après que le Messie  Yeshoua est accompli le grand Pessa’h en mourant sur le bois, ainsi les écritures confirment que le sang a coulé sur le bois. Si notre maison corporelle est marquée par le sang de Yeshoua notre délivrance sera assurée.

    Le calendrier que nous donne la bible sera à perpétuité c’est notre repaire pour preuve que nous somme bien dans l’unité de toute la création de Dieu.

    Car les démons ont aussi des calendriers fabriqués pour nous séparer de Dieu et de la vérité.

    Yeshoua a confirmé sa mort à ce calendrier biblique qui est le 14 ème jour du mois de Nissan selon la bible; célébré comme dans le judaïsme.

    Ce qui vient à dire que toutes autres pâques fêté à une autre date ferait obligatoirement référence à un démon. Comme pâque chrétien qui est honorée à une autre date que celle de la bible.

     

    C’est la chose la plus grave pour un croyant de se tromper de jour ou le Sauveur vient donner sa vie; pour nous c’est jouer entre une place au paradis ou une place en enfer !

     

    Nous allons ouvrir une parenthèse interessante car dans notre haftarah lié à notre parasha il y a un verset dans  Jérémie 46:25 ( version hébraïque) qui dit -« L’Eternel détruira toutes les divinités de Nô ». Autres versions; « Amon divinité de Nô » ou « kadmon dieu de Nô ».

     

    C’est intéressant de savoir que les divinités Egyptiennes c’est-à-dire les dieux antiques qui sièges dans les lieux ou satan à bâti son empire se diversifient et se renouvellent suivant les modes des civilisations.

    Les dieux Nô font référence aux dieux de la culture japonaise qui sont bien évidemment une réplique des dieux antiques égyptiens. 

    Ces divinités japonaises ont su trouver place dans la civilisation moderne et ont su par le biais  de leurs allures sympathiques et plaisantes faire leurs entrées dans les civilisations du monde entier et en Europe une place d’honneur leurs est réservée.

     

    Ces entités japonaises  subsistent à travers le bouddhisme et séduise aujourd’hui une population mondiale importante car elle endoctrine par leurs philosophies un art de vivre qui touche les gens à la fois en recherche de spiritualité mais aussi des gens sans recherche spirituelle, juste par une manière de pensée zen et un univers décoratif qui s’adapte  à notre environnement.

    Ces dieux japonais appelés Shichi Fukujin sont souvent représenté comme les 7 divinités du bonheur ou les 7 clés du bonheur et représenté par des dessins plaisant de l’art japonais. Ayant la qualité de porte-bonheur.

    Ces 7 dieux comme toutes entités portent des noms qui tentent de camoufler satan mais se plaisent à séduire le monde. 

    On ne nommera pas ici les noms mais on fera une vague description.

    1 Le gardien des enfers.

    2 Le gardien de la loi bouddhiste.

    3 Le gardien du calendrier.

    4 Le gardien de la santé.

    5 Le gardien de la fécondité.

    6 Le gardien de la fortune.

    7 Le gardien de la longévité.

     

    Ces dieux qui ont beaucoup d’influence sur la pensée des hommes ont su séduire par leur modernité.

    Et chacun de nous doit se poser la question et envisager de demander pardon à notre Seigneur si il n’a pas cautionné certains de ces dieux; déjà si on possède des objets, des vases, des coupes, des bols, ou des peintures ayant ce genre de représentation il faut s’en séparer au plus vite. Aussi le fait d’organiser un repas chinois le jour du nouvel an chinois c’est s‘associer à ce dragon maléfique qui nous intègre dans son calendrier, car sans s’en rendre compte on se laisse séduire par cette soi-disante sagesse qui nous enrôle vers ces dieux.

    Sans compter aussi tous les objets statues de bouddha ou tête de bouddha, dragon, astrologie chinoise.

     

    Si notre parasha inclut ses dieux étrangers c’est qu’ils font partie des plaies qui viendront s’installer dans nos maisons. 

    Ces 7 dieux qui font référence aux sept premières plaies nous instruisent encore que les pharaons se déguisent pour mieux séduire.

     

    Et au-dessus de ses 7 dieux sont les trois entités supérieures formées à partir du  bouddhiste  1; qui vient éveiller l’esprit  à la sagesse. 2 ; A l’élévation de l’âme. Et 3 ; à la dualité qui s’oppose à DIEU.

     

    C’est donc cette parasha qui vient nous enseigner que c’est le pardon et la reconnaissance de « Pessa’h Yeshoua » qui s’est donné la mort pour que nous puissions être libéré de tout l’esclavage qui nous a dominé au travers des faux dieux.

    Ces trois dernières plaies nous délivrent de l’emprise mentale.

     

     -A  été annoncé de façon prophétique  par plusieurs Rabbi : Que sur le monde aller descendre le mal dans une idéologie  universelle séductrice ressemblant à un culte de sagesse et philosophique.

     

    Car plus le monde tombera plus s’épaissiront  les ténèbres et plus la délivrance sera proche.

     

    Allons vers la lumière car les ténèbres sont déjà descendu et saisissons les appels que Dieu nous lance. 

    Ne touchez plus rien qui n’est impur sortez de vos lieux impropres. Sortez de vos églises, sortez de votre bouddhisme et sortez de vos maisons où les cultes étrangers y sont vénérés. 

     

    Aller vers les lieux ou Yeshoua est reconnu dans Pessa’h ( Pâque) du calendrier biblique car c’est là que Dieu reconnait ses enfants ceux qui portent la marque sur la porte de leur maison et sur la porte de leur coeur.

    Etre de nouveau raccordé au cycle marqué par Dieu c’est la réparation qui nous sanctifie.

     

     

     

    Esaïe 53:7

    Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n'a point ouvert la bouche.

     

    Actes 8:32

    Le passage de l'Ecriture qu'il lisait était celui-ci: Yeshoua a été mené comme une brebis à la boucherie; Et, comme un agneau muet devant celui qui le tond, Il n'a point ouvert la bouche.

     

    -Souvenez de ce jour car le jour du jugement arrivera et la mort ne pourra rien contre vous  car le signe de la Pâque est sur vous.

     

    Romains :6:6,7.

    -sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché fût détruit, pour que nous ne soyons plus esclaves du péché; car celui qui est mort est libre du péché. 

     

     

     

     

    Ô  mon Dieu je te demande pardon d’avoir honoré un Dieu à la pâque chrétienne, je te demande pardon d’avoir admiré tout autres dieux que toi.  Je reconnais que Yeshoua c’est l’alliance que tu as donné au monde pour la délivrance de nos âmes. Je reconnais que Yeshoua est notre Pâque pour nous délivrer de nos péchés. Je reconnais que la Pâque de Yeshoua est honoré selon la date du calendrier biblique. Je reconnais que les commandements sont la marque qui nous protège ici-bas de tout le mal. 

    Et en ce jour je te demande de me délivrer de toutes les mauvaises choses qui sont en moi et je m’engage à suivre les fêtes selon le calendrier biblique.

     

     

    Shabbat shalom 

     

     

    Lecture de la parasha  : Exode : Chapitre 10 verset 1 à chapitre 13 verset 16.

    Lecture de la haftarah  : Jérémie : Chapitre 46 verset 13 à 28.

    Lecture messianique : 1 Corinthiens : 5 : 2 à 8. 1 Pierre  1 : 18 à 23.

     

     

    L.B 

     

     

     


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