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  • Qui est sain d’esprit?

     

    Cette semaine la parasha Nasso commence par le relevé des lévites, 8580 hommes de 30 à 50  ans, chargé du transport, montage et démontage du tabernacle à chaque escale durant leur itinéraire de voyage.

     

    Dieu instruit Moïse sur la loi de la Sotah! La femme qui serait soupçonnée par son mari d’un éventuel adultère.

    Puis Dieu instruit Moïse sur la loi du Nazir! La personne qui se consacre à Dieu.

    Puis nous est donné la prière de bénédiction des Cohanim.

    Les offrandes de chaque Tribu, et l’inauguration de l’Autel.

     

    La parasha mentionne une dizaine de fois  « L’Eternel parla à Moïse! »

    Cela signifie que Dieu se tourne vers le point intérieur d’une personne.

    Nous parlons toujours avec Dieu, mais nous avons beaucoup plus de difficulté à l’entendre.

     

    Quand Dieu demande à Moïse de faire le relevé des membres actifs pour le tabernacle, cela fait référence aux attributs que nous possédons en nous. Je dois m’ examiner, déterminer si  ce sont eux qui me contrôlent ou si c’est moi qui en ai pris le contrôle.

     

    Nos pulsions sont elles maitrisables ou méprisables?

     

    Dieu a formé le désir en nous, afin d’être attiré vers Lui. Comme une femme doit être attirée que vers son mari comme au jour où Dieu créa Eve.

     

    Ainsi si Dieu est la représentation de l’homme, le croyant est la représentation de la femme.

    Comprendre quel désir nous voulons changer?

    Nos désirs sont-ils conformes aux lois de Moïse?

    Pouvons-nous changer par nous-même ? la réponse biblique est NON! 

    Nous nous avons juste le désire de vouloir changer, nous avons le pardon, le regret d’avoir mal agit, mais seul Dieu peut nous changer, tout ce que nous avons à faire  c’est de donner à Dieu ce qui ne va pas en nous; afin que nos vases vils soient changés en vases d’honneur.

     

    La loi de la sotah c’est tous nos mauvais désirs ceux qui se tournent vers notre pensée, et c’est là qu’on se trompe, car notre pensée est attachée au mal et même si des fois on a des signes extérieurs qui veulent nous faire croire que l’on fait bien, la plupart du temps on se trompe.

    Entendre Dieu c’est toute la difficulté et cela ne dépend pas de notre savoir, ou de n’importe quelle qualité. 

    Entendre Dieu nous révéler ses paroles c’est là tout le mystère de la vie!

    C’est pourquoi c’est une folie que de porter ses désirs envers un Dieu qui n’est pas Dieu D’Israël, c’est ne pas être sain d’esprit que de nié que Yeshoua est pour la Torah.

    La loi de la sotah c’est être soupçonné d’infidélité, une personne croyante qui commet une telle transgression est une personne dont l’esprit de folie s’est emparé d’elle. Se détourner de Dieu est une folie si on est croyant.

    En Hébreu le mot « se détourner et folie » ont une approche similaire, comme n’être pas sain d’esprit. 

     

     

    Tout commence par le désir de connaitre Dieu d’Israël, Dieu D’ Abraham, d’Isaac, de Jacob, et rien prendre d’autre. C’est la base. Un désir vers Israël, comme des amoureux qui ne voient même pas leurs défauts. Un amour sans jugement. 

    Aimer Israël si fort et avoir le désir de faire partie de lui; S’identifier à lui.

    Et là il n’y aura pas soupçon d’adultère de la part de notre Seigneur.

    Notre désir d’être uni à Israël pour plaire à Dieu.

     

    Car si nos désirs s’orientent vers les choses qui nous arrangent, nous mettant en avant, on pourrait dire que l’on n’est pas « sain d’esprit on est fou » de vouloir chercher l’amour dans le monde au travers des hommes où femmes dans le sens qu’un humain pourrait nous aider à être heureux et en paix sur terre. Car le monde peut nous donner de l’argent, des loisirs, des passions; des intérêts pour diverses choses; mais si on n’a pas fait la paix avec Dieu rien ne peut aller vraiment. Il n’y a qu’à voir le taux de gens malheureux,  le taux de suicide, le taux de malade qui est le reflet de l’âme malade.

    Et même si tous semblent aller il y a un vide qui se fera ressentir par une souffrance à l’intérieur.

     

    C’est aussi la raison de vouloir changer, porter ses désirs vers Dieu pour une vie meilleure un monde meilleur; 

    C’est là la réponse dans notre parasha 

    C’est se mettre à part comme le fait le nazir!

    Il n’a besoin de personne le nazir, il  ne touche plus de ce qui provient de la vigne, vin, alcool ni même raisin cela veut dire que la vigne ces les rassemblements, ces les temples, les églises, les lieux d’enseignement  etc; Le nazir il veut se mettre à part. Il ne doit pas entrer en contact avec un mort, ici le mort représente celui qui ne connaît pas Dieu mais qui pourrait avoir l’air de savoir beaucoup de choses alors qu’en fait il ne connaît rien.

    Le nazir ne doit pas  se couper les cheveux; là on retient juste le symbole car les cheveux représentent des antennes  comme pour  vouloir dire; écouter Dieu.

     

    Dans l’ordre de cette parasha maintenant nous voyons la prière des Cohanim.
    Cette prière est un langage d’amour codé, la guematria   de ce langage confirme que c’est le langage des émotions de l’âme de l’Esprit Saint. 

    Etre sain d’esprit c’est de vivre sa foi au dessus de sa raison.

     

     

    Le secret de la foi au-dessus de sa raison se manifeste par trois choses.

    La foi en Dieu, et sa confiance en Yeshoua.

    La foi en la Torah qui est vérité.

    La foi hakhamim s’est accepté que les sages, les stadikim de notre génération sont toujours les transporteurs du tabernacle qui durant les siècles malgré les épreuves, les guerres, les ghettos, ce sont toujours les Lévites qui transportent l’Arche avec la Torah. L’Eternel nous éprouve notre foi sur ces trois aspects !

     

     

    C’est à cause de cela qu’il y a division; Voilà voilà ce qui cause problème!

     

    La bénédiction des Cohanim retombe sur ceux qui les bénissent voilà comment on entend Dieu parler. Quand nos désirs si forts sont portés sur Israël alors il ni à plus de soupçons d’infidélités de notre part.

     

    Et quand Dieu se fait entendre on reçois des paroles merveilleuses, des paroles qui bénissent; qui guérissent; et qui donne la paix, et l’amour des uns pour les autres; Car la voix de Dieu c’est le Messie Yeshoua qui est comme un écho dans notre coeur. 

    Etre sain d’esprit c’est recevoir l’Esprit Saint qui est renouvelé chaque année à la fête de Shavouot, ( que nous venons de célébrer) renouvelé,  augmenté dans la connaissance, la sagesse; l’amour, la miséricorde, la bonté, la patience etc…

     

    Shavouot c’est le rendez-vous avec Dieu, a condition d’être au rendez-vous?

    Mais qu’est-il vraiment écrit au sujet de cette fête?

     

    Version bible chrétienne lévitique 23: 15,16.

     

    -15,Depuis le lendemain du shabbat du jour où vous apportez la gerbe qui sera agitée de côté et d’autre, vous compterez sept semaines entières.

    -16,Vous compterez cinquante jours jusqu’au lendemain du septième shabbat, et vous ferez à l’Eternel une offrande nouvelle.

     

    Ok ! maintenant version bible hébraïque  (Torah originale). Attention la subtilité!

     

    -15 Puis vous compterez chacun depuis le lendemain de la fête, depuis le jour où vous aurez offert l’Ômer du balancement, sept semaines qui doivent être entière.

    -16 Vous compterez jusqu’au lendemain de la septième semaine soit cinquante jours. et vous offrirez  à l’Eternel une oblation nouvelle.

     

    Décryptage:

     

    Depuis le soir de la fête des Pains sans levain c’est-à-dire: le deuxième soir de Pessah  qui est un shabbat non pas un shabbat comme celui du samedi mais un shabbat de convocation de L’Eternel car il y a  partage du vin et du pain.

    Donc cette année c’était le jeudi 9 avril,  Donc à partir de ce shabbat-là (fête de Pessah)  on commence à compter les 50 jours ce qui fait que l’on se retrouve à shavouot le 28 mai 2020.

     

    On lit dans le verset  dans la version hébraïque qu’en aucun cas n’est écrit le premier jour de la semaine ni un lendemain de shabbat.

    Dans la version Torah  dans le verset 16 le mot shabbat n’est pas écrit ( cela a été rajouté dans les bibles chrétiennes).

     

    Si je réécris les deux versets de façon langage courant ça donne ceci:

    -15 Puis vous compterez chacun personnellement depuis le lendemain du shabbat de la Pâque, vous commencerez à compter les 50 jours qui dureront sept semaines entières.

    -16 Vous compterez jusqu’à Shavouot ce qui donne 7 semaines soit 50 jours sans que les semaines soient commencées le dimanche.

     

     

    On comprend pourquoi le décompte des semaines appuie les 50 jours, pour qu’on comprenne qu’il faut des semaines entières de sept jours sans que l’ordre de la semaine soit pris en compte mais seulement le nombre de jours.

    Donc ça ne tombe pas forcément un dimanche.

    Voilà, Voilà!

     

    C’est la foi hakhamin qui domine sur la raison. C’est la foi en Dieu qui donne de comprendre la Torah! C’est la Foi; C’est la foi que nous portons sur le sacrifice de Yeshoua à Pessah, car c’est lui qui est le grand stadikim, qui vit dans le coeur des croyants qu’ils soient juifs sans Yeshoua où avec Yeshoua car celui qui croit en la Torah vit en Yeshoua même si lui-même ne le sait pas!

     

    Et c’est ainsi que se termine, la parasha, lorsque toutes nos convictions basées sur Israël sont acquises, que l’inauguration de notre temple se remplit de l’Esprit de Dieu que notre maison est bénie.

     

    Shabbat shalom

    L.B

    Lecture de la parasha:

    Nombres: Chapitre 4 verset 21 à chapitre 7 verset 89.

    Lecture de la haftarah:

    Juges: Chapitre 13 verset 2 à 25.

    Lecture messianique:

    Actes: 21: 17 à 26.

    Ephésiens: 5: 1 à 33.

     

    Que Dieu vous bénisse.  

     


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  • Shavouot 2020.

     

    Cette année la fête de Shavouot commence Jeudi soir 28 mai 2020 dès la tombée de la nuit jusqu’à samedi soir (incluant du coup shabbat). Cette fête dure 2 jours en raison de l’incertitude exacte de la date. On ne peut établir laquelle, d’entre les six et sept Sivan, est la date exacte de promulgation  du fait que Moïse a ajouté un jour de son propre chef,  et la seule certitude que l'on  ait quant au lieu, c’est qu’il se situe dans le désert, terre qui appartient à tout le monde.

     

     

    Shavouot, la Fête des Semaines, marque la seconde étape. Elle commémore le vœu d'obéissance éternelle par lequel la nation accueille la Loi du Sinaï.

    D’où la célèbre phrase que tout le peuple a dite ce jour-là: 

    « NAASÉ VÉNISHMA » « On fait et on comprendra plus tard », en parlant des lois de la Torah.

     

    Même si les fêtes de l’Eternel marquent les événements historiques, elles sont aussi l’expressions de notre évolution spirituelle. Les 50 jours depuis Pessah  de purification pour une union d’engagement.

     

     

    Nous allons fêter cette fête qui symbolise la réception de l’Esprit de Dieu dans notre monde.

    Pour l’élévation de nos âmes pour qu’elle élève l’humanité pour préparer l’éternité.

    Ce cadeau qui vient du ciel est une connexion, une clé USB révolutionnaire qui contient toutes les données des secrets du ciel.

    Une application qui nous donne accès à la connaissance supérieure; ces données directement écrites de la main De Dieu.

    Tel est notre devoir se connecter à la source divine pour amener le bien sûr terre.

     

    Shavouot c’est recevoir mais plus exactement c’est laisser jaillir ce que Dieu a déjà mis en nous. Shavouot c’est l’Esprit de Dieu manifesté en nous.

    Par conséquent nous devons réaliser que la Torah a été donnée à toute l’humanité  entière, mais par le pacte de la Torah fut la naissance du peuple d’Israël au mont Sinaï; c’est aussi par L’Amour manifesté en Yeshoua le Messie que nous devenons peuple  de Dieu.

    La Torah s’est révélée à la fête de Shavouot comme l’Esprit de Dieu s‘est révélé  à shavouot messianique (Pentecôte).

     

    La fête de shavouot c’est la fête cachée car elle n’a aucun symbole marquant comme les autres fêtes.

    Rien pour nous guider, nous révéler le contenu caché, simplement un rendez-vous intime qu’implique une impulsion d’amour de notre part envers le Seigneur.

     

    Seule quelques coutumes nous aident à garder pieds alliant traditions et révélations, le soir de la fête il est conseillé de veiller jusqu’à tard en étudiant quelques lectures de la Torah, cette étude s’appelle « tikkoun  leil  shavouot » qui veut dire: « le perfectionnement individuel de la nuit de shavouot ».,« réparation de la nuit de Shavouot ».

     

    Le  lendemain on lit généralement le livre de Ruth qui nous rappelle, l’histoire d’une femme non juive mais dont le coeur était sensible à l’Amour de Dieu l’a amené à se convertir à la Torah, et fut par son union avec Boaz l’ancêtre du Roi David qui par ailleurs naquit et mourut le jour de la fête de Shavouot.  

     

    Car la Torah enseigne que les âmes des inconverties  étaient aussi présentes au Sinaï lors de shavouot, comme il est dit: « Et ce n’est pas à vous seul que j’institue cette alliance et ce pacte, mais avec ceux qui sont aujourd’hui placés avec nous en présence de l’Eternel notre Dieu et avec ceux qui ne sont pas ici, à côté de nous en ce jour ».Deute 29:14,15.

     

    On comprend dès lors que Shavouot n’est pas seulement une fête pour Israël mais bien une fête pour tout le monde entier.

    C’est pourquoi la Torah fut annoncée à Shavouot pour annoncer que l’évolution spirituelle des hommes évoluerait par le Messie Yeshoua qui  vivrait en eux.

    Actes 2:1,11…..

     

    Le jour de Shavouot , ils étaient tous ensemble dans le même lieu. Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d'un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d'eux. Et ils furent tous remplis de l’Esprit Saint, et se mirent à parler en d'autres langues, selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer.

     

    Or, il y avait en séjour à Jérusalem des Juifs, hommes pieux, de toutes les nations qui sont sous le ciel. Au bruit qui eut lieu, la multitude accourut, et elle fut confondue parce que chacun les entendait parler dans sa propre langue. Ils étaient tous dans l'étonnement et la surprise, et ils se disaient les uns aux autres: Voici, ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens? Et comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun, dans notre langue maternelle? Parthes, Mèdes, Elamites, ceux qui habitent la Mésopotamie, la Judée, la Cappadoce, le Pont, l'Asie, la Phrygie, la Pamphylie, l'Egypte, le territoire de la Libye voisine de Cyrène, et ceux qui sont venus de Rome, Juifs et prosélytes, Crétois et Arabes, comment les entendons-nous parler dans nos langues des merveilles de Dieu?

     

    ….22,41.

     

    Ecoutez ces paroles! Yeshoua de Nazareth, cet homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles, les prodiges et les signes qu'il a opérés par lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes; cet homme, livré selon le dessein arrêté et selon la prescience de Dieu, vous l'avez crucifié, vous l'avez fait mourir par la main des impies. Dieu l'a ressuscité, en le délivrant des liens de la mort, parce qu'il n'était pas possible qu'il fût retenu par elle.

     

    Car David dit de lui: Je voyais constamment le Seigneur devant moi, Parce qu'il est à ma droite, afin que je ne sois point ébranlé.

     

    Aussi mon coeur est dans la joie, et ma langue dans l'allégresse; Et même ma chair reposera avec espérance,

     

    Car tu n'abandonneras pas mon âme dans le séjour des morts, Et tu ne permettras pas que ton Saint voie la corruption.

     

    Tu m'as fait connaître les sentiers de la vie, Tu me rempliras de joie par ta présence.

     

    Hommes frères, qu'il me soit permis de vous dire librement, au sujet du patriarche David, qu'il est mort, qu'il a été enseveli, et que son sépulcre existe encore aujourd'hui parmi nous. Comme il était prophète, et qu'il savait que Dieu lui avait promis avec serment de faire asseoir un de ses descendants sur son trône, c'est la résurrection du Messie qu'il a prévue et annoncée, en disant qu'il ne serait pas abandonné dans le séjour des morts et que sa chair ne verrait pas la corruption. C'est ce Yeshoua que Dieu a ressuscité; nous en sommes tous témoins. Elevé par la droite de Dieu, il a reçu du Père l’Esprit Saint qui avait été promis, et il l'a répandu, comme vous le voyez et l'entendez.

     

    Car David n'est point monté au ciel, mais il dit lui-même: Le Seigneur a dit à mon Seigneur: Assieds-toi à ma droite,

     

    Jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied. Que toute la maison d'Israël sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Messie ce Yeshoua que vous avez crucifié.

     

    Après avoir entendu ce discours, ils eurent le coeur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres: Hommes frères, que ferons-nous? Pierre leur dit: Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Yeshoua Le Messie, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don de l’Esprit Saint. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. Et, par plusieurs autres paroles, il les conjurait et les exhortait, disant: Sauvez-vous de cette génération perverse. Ceux qui acceptèrent sa parole furent baptisés; et, en ce jour-là, le nombre des disciples s'augmenta d'environ trois mille âmes.

     

     

     

     

    Shavouot cadeau de Dieu.

    Les promesses d’une vie remplie de l’Esprit de Dieu mais quand est-il véritablement?

    Beaucoup d’encre ont coulé à ce sujet, mais de l’encre fortement teintée de mensonges.

    L’Esprit Saint n’est pas un esprit de folklore, ni qui donne de la puissance aux hommes qui se produisent en spectacles; ni même une onction pour faire des trucs extraordinaires.

    Shavouot c’est le changement intérieur qui s’opère dans chacun des hommes et femmes en attitudes nouvelles. L’esprit qui jaillit pour augmenter d’année en année la compréhension de la Torah pour qu’elle nous aide à changer nos êtres ordinaires en être extraordinaire et de façon toujours et toujours dans la plus grande humilité qui soit.

    Jamais L’Esprit Saint ne donnera aux hommes des pouvoirs supradimentiels sachant que le coeur de l‘homme est orgueilleux.

     

    Les dimensions qui nous élèvent sont cachés, elles sont comme un arbre qui en son temps donne ses fruits, c’est pourquoi il est dit recherchons par-dessus tout l’Amour car sans l’Amour nous ne pouvons pas recevoir l’élévation de notre âme.

     

     

     Cette fête se prépare comme un Shabbat 

    Faire deux pains tressés mais de préférence en rond.

    Faire la prière comme à shabbat 

    Elever la coupe de vin comme à shabbat 

     

    Préparé un repas festif comme pour attendre un grand invité d’honneur. ( si c’est  possible).

    Et pour être dans l’unité avec Israël il est d’usage de manger ce gâteau traditionnel de shavouot « le cheesecake ».

    Consommer également des aliments à base de lait.

    ( Car nos actes justifient notre foi).

     

    Shavouot c’est la nouvelle moisson des âmes! 

    Et il semble que cette année la moisson sera très grande car beaucoup se sont détourné de leurs assemblées contaminées par l’esprit qui y domine. Car ils ont ouvert leur coeur à la Torah. Et ont compris que Yeshoua n’a pas aboli la loi, mais Il est venu l’accomplir en nous pour toujours.

     

     

    L.B

     

     

     Lecture de Shavouot

    Lecture premier jour

    Le livre de Ruth entier .

    Psaumes 113 à 118.

    Exode: 19: 1 à 20: 22.

    Nombres:  28: 26 à 31.

    Ezechiel: 1: 1 à 3 à 12.

    Actes 2 .

     

     

    Le deuxième jour:

     

    Deutéronome: 15: 19 à 16: 17.

    Nombres: 28: 26 à 31 

    Habacuc: 2: 20 à  3: 19.

     

     

    Shabbat shalom et Bonne fête de Shavouot.

     

     

     

     


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  • Recensement des vivants .

     

     

    Cette semaine c’est avec la parasha Bamidbar que nous allons pouvons pouvoir acquérir quelques connaissances supplémentaires. Bamidbar veut dire désert, mais la parasha énumère les dénombrements.

    Dans le désert du Sinaï, Dieu demande à Moïse  que l'on procède à un recensement des tribus d'Israël. Moïse recense 603 550 hommes, âgés de 20 à 60 ans (c'est-à-dire en âge de faire la guerre). La tribu de Lévi, décomptée à part ( 22 273) hommes âgés d'un mois ou plus. Dieu demande que celle-ci soit consacrée au service du 

    Temple.

     

    L’Eternel dit à Moïse :Tu préposeras les lévites (Juifs) au service de l’enseignement. Quiconque touche à l’enseignement sacré sera puni de mort.

     

     

    Alors que chaque jour nous est recensé le nombre de victimes du civid 19 dont les statistiques dénombrent  

     4,9 millions de cas dans le monde dont 328 220 morts. 

    ( au 21 MAI).

     

    Le monde comptabilise 7,7 milliards d’habitants dont la population se compose d’environ 84 % de personnes croyant en Dieu. 

    Mais sur ce pourcentage quasiment 80% sont dans l’ignorance totale, pensant connaitre Dieu mais qui en fait ne sont que des adorateurs de Baal. Au travers les religions inventées par les hommes, les faux prophètes.

     

    Notre parasha relate que Dieu s’est mis à part les Lévites  garants et gardiens de la vérité. Cette représentation fait référence au Judaïsme qui est le peuple choisi par Dieu pour garder la Torah de Moïse.

     

     

     

    Le Messie Yeshoua est venu il y déjà plus de 2000 ans pour rassembler le monde autour de Lui en Lui par la torah, mais le monde préfère suivre les grands mouvements religieux plutôt que d’écouter celui qui parle au coeur.

     

    C’est pourquoi cette merveilleuse parasha va nous amener dans le désert si on le veut bien!

    Le désert peut faire peur, mais dans le désert on y trouve des oasis, si on a vraiment soif de vérité. 

    Une source d’eau qui vient irriguer nos veines jusqu’à notre coeur.

    Dans une oasis on y trouve des palmiers qui  nourrissent abondamment avec le miel des dattes.

    C’est le désert qui permet de recevoir et comprendre la parole. Pas dans le désert mais par le désert!

     

    Ce désert c’est sortir de toutes les religions, toutes les croyances, toutes les convictions, et décider de suivre son instinct.

     

    Ezechiel 3

     

    1Il me dit: Fils de l'homme, mange ce que tu trouves, mange ce rouleau, et va, parle à la maison d'Israël! 2J'ouvris la bouche, et il me fit manger ce rouleau. 3Il me dit: Fils de l'homme, nourris ton ventre et remplis tes entrailles de ce rouleau que je te donne! Je le mangeai, et il fut dans ma bouche doux comme du miel.

     

    4Il me dit: Fils de l'homme, va vers la maison d'Israël, et dis-leur mes paroles! 5Car ce n'est point vers un peuple ayant un langage obscur, une langue inintelligible, que tu es envoyé; c'est à la maison d'Israël. 6Ce n'est point vers de nombreux peuples ayant un langage obscur, une langue inintelligible, dont tu ne comprends pas les discours. Si je t'envoyais vers eux, ils t'écouteraient. 7Mais la maison d'Israël ne voudra pas t'écouter, parce qu'elle ne veut pas m'écouter; car toute la maison d'Israël a le front dur et le coeur endurci.

     

     

    Selon Rachi : La maison de Jacob (Beth Yaacov) cela représente les femmes qui sont la représentation d’un groupement. Et les enfants d’Israël ( Bné Israël )  fils d’Israël, ce sont les hommes, représentation de l’individualité.

     En s’appuyant sur ces 2 termes on comprend que Dieu aurait demandé à Moïse  de s’adresser aux femmes de façon différentes qu’aux  hommes. Car il semble par les reprises des écritures aient maintenu cette forme de narration.

    Donc cette initiative du désert d’adresse aux enfants d’Israël comme pour dire à chacun de nous individuellement. Pour mettre en évidence l’importance de l’être par rapport à l’anonymat d’un groupe.

     

    Mais si on va plus loin on comprend que de l’individualité c’est en réalité à un groupement en soi que Dieu s’adresse.

     

    Ainsi le texte confirme car il est écrit « selon le nombre des noms »; Car chaque personne est unique, mais est plusieurs s’il est  composé ses attributs de Dieu.

     

    Dans ce désert c’est faire le vide car rien ne pousse dans toute l’étendue du  désert, afin de nous former de l’intérieur.

     

    Dans le désert il y a des oasis de Torah qui désaltère et des palmiers qui instruisent, des fruits de l’Esprit qui sont les changements qui s’opèrent en nous! C’est recevoir le discernement.

     

     

    Nous sommes toujours dans le décompte du Omer qui va finir bientôt avec la fête de shavouot

     

     

     

     

    Durant les 10 derniers jours du décompte du Omer jusqu’à Shavouot nous est révélé Selon le pirké avot:( Le traité des pères) N° 5  dont j’en extrais quelques lignes nous déclare:

    « Dieu a créé le monde en citant 10 paroles c’est aussi en écrivant les 10 paroles qu’il créa la Torah.

    C’est afin de confondre ceux qui aiment vraiment Dieu de  ceux qui ne l’aiment pas vraiment.

    Afin de punir les impies et pouvoir récompenser les justes ceux qui ont reçu la Torah dans leur coeur. »

     

    L’importance de ces paroles sont pour ceux qui croient en un formidable encouragement, et pour ceux qui n’ont pas cru, un temps supplémentaire, ces derniers  jours avant Shavouot  c’est un temps de repentance dans le désert.

     

    Que ceux qui entendent la voix du Seigneur soient saisis par l’Esprit, qu’ils abandonnent leurs préjugés et leurs connaissances, qu’ils fassent le vide en eux prêt pour recevoir la Torah en Esprit et en Vérité, car celui qui reçoit la Torah reçoit Yeshoua.

     

    Défrichez-vous un champ nouveau! Il est temps de chercher l'Eternel, Jusqu'à ce qu'il vienne, et répande pour vous la justice.

     

    Vous avez cultivé le mal, moissonné l'iniquité, Mangé le fruit du mensonge; Car tu as eu confiance dans ta voie. 

     

     

     

    LA Torah nous a été donné par trois choses, le feu, l’eau, le désert. Car ces trois choses appartiennent à tout le monde, toutes personnes à un libre accès à ces 3 choses  elles sont gratuites.

    Car la Torah se veut accessible à tout le monde. Quand on désire aller dans un désert pour chercher Dieu car dans le désert il y a le feu de la chaleur qui exprime l' Esprit qui vient nous donner la connaissance et les mystères du ciel comme des langues de feu, et il y a les oasis qui désaltèrent de leurs eaux  par l’Esprit qui vient couler.

     

    Ce dénombrement qui se renouvelle chaque année avant et après Shavouot afin de comptabiliser la maison de Jacob. 

    Et par ce merveilleux dénouement de faire partie des enfants d’Israël inscrit dans le livre de compte de Dieu.

    Afin que la prophétie se réalise, que les fils de Juda et ceux d’Israël se retrouvent réunis et auront un même Maître le Messie Yeshoua. 

     

    Ainsi la parole s’accomplira: « Alors  je te  fiancerai à moi pour l’éternité, tu seras ma fiancée par la droiture et la justice par la tendresse  et la bienveillance ma fiancée  en toute loyauté et alors tu connaîtras l’Eternel ». 

     

    Le désert c’est aller plus loin dans la connaissance s’est laissé Dieu nous remplir de l’Esprit 

    Chercher Dieu dans le désert c’est se laisser enseigner sous les palmiers les mystères et les merveilles de Dieu.

    Comme Deborah la prophétesse qui sous les palmiers recevait toute la sagesse, l’intelligence, et la connaissance pour vaincre les ennemis pour que l’Esprit de Dieu puisse régner en Esprit et en Vérité.

     

    Le Sinaï c’est le désert  c’est l’enseignement  par l’Esprit.

    Recevoir  des révélations par l’Esprit pour comprendre la Torah, sous les palmiers afin que notre maison soit remplie des fruits de l’Esprit de Dieu.

     

     

    Celui qui comprend cela et l’accepte fera de sa terre un désert et recevra l’Esprit de Dieu dans toute sa maison.

     

    C’est ce que nous enseigne cette parasha c’est qu’il faut  qu’au jour du dernier recensement pour les statistiques nous soyons aussi nombreux que les grains de sable. C’est notre prière pour ce shabbat. 

     

    Shabbat shalom

     

    L.B

     

     

    Parasha  Bamidbar. Samedi 23 Mai 2020.

    Lecture parasha : Nombres: Chapitre 1 verset 1 à chapitre 4 verset 20.

    Lecture haftarah: Osée: Chapitre 2:1 (1:10) à 2 :22 (20).

    Lecture messianique: Luc: Chapitre 2 verset 1 à 7:  1Corinthiens: 12: 12 à 31.

     

     

     

    (Lectures pour la semaine qui vient transmise dimanche matin).

     

     


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  • Bas les masques!

     

    Cette semaine il y a deux parasha qui se combinent; Béhar et Béhoukotaï.

    Béhar qui veut dire; Mont où Montagne et Behoukotaï qui veut dire; « Selon mes lois ».

    Sur le Mont Sinaï Dieu donna à Moïse les lois relatives aux shabbat que nous devons respecter. A l’agriculture, et les lois concernant les biens fonciers.

    Dans Béhoukotaï une promesse de récompense est pour ceux qui respectent ses lois.

    Mais voilà ! Comment on fait ! Ces lois semblent d’un autre temps, complètement dépasser pour notre génération. 

     

    D’abord il nous faut comprendre que pour faire la volonté de Dieu il faut commencer par comprendre où est Dieu.

    Si on le cherche uniquement en haut dans le ciel on est mal barré et pas sûr de le trouver.

     

    Dieu nous a crées à son image car Dieu est en nous. Son Royaume est là présent en nous, présent au coeur de notre conscience.

    Tout le sens de notre histoire à partir de notre naissance jusqu’à notre mort, c’est la réalisation de CE Royaume dont nous portons la responsabilité d’être une pierre qui sera avec les autres pierres l’édification de ce royaume immense.

     

    Toutes les lois sur l’acquisition des terres et leurs ensemencements font référence à notre terre intérieure qui est resté à l’abandon.

     

    Nous sommes  entré dans une phase d’épreuves où les douleurs de l’enfantement se feront ressentir de plus en plus fortes.

    Ces une phase qui permet à beaucoup de chercher Dieu.

    La terre nous avait donné le meilleur, mais la terre est fatiguée par les comportements des humains, il y avait des règles à respecter, comme de ne pas faire travailler la terre à shabbat, ça c’était important, la terre avait besoin de vivre avec le cycle de Dieu.

    Notre monde est en phase critique, ce virus qui parcourt tous les sentiers de la terre, plus les autres qui vont arriver, plus les catastrophes climatiques, plus la dictature politique qui met en place son contrôle sur tout le monde.

     

     

    Bas les masques!

    Arrêtons cette hypocrisie religieuse, cette tromperie qui a assez duré!

     

     

    Il est temps de devenir responsable de ses choix et de ses actes. Car la grande faucheuse qui prend la vie a aiguisé sa faux.

    C’est une décision personnelle que personne ne peut prendre à notre place!

    Une remise en question, pour trouver son identité divine.

    Un retour a la matrice dont nous sommes issus, pour faire ressurgir notre conscience et notre amour pour rechercher notre véritable origine et notre PÈRE!

    Dans les 10 commandements nous voyons que 5 sont d’ordres directement liés à Dieu et les 5 autres sont liés aux hommes.

    Et on se pose la question alors pourquoi dans ceux qui sont pour Dieu le cinquième commandement « tu honoreras ton père et ta mère » sont on va dire dans la colonne pour Dieu.

    Car ce commandement est pour Dieu!

     

    Et dans c’est deux parasha qui sont décrites avec des lois que notre conscience ne peut comprendre on peut quand même trouver des réponses.

     

    NOTRE PÈRE  C’EST DIEU;

     

    L’étude de la Torah ressuscite les morts, elle ressuscite  notre héritage ancestral. La recherche de la Torah c’est comme la recherche d’une mère.

    La Torah c’est comme une mère  car tout son amour est concentré page après page comme une mère qui aime jour après jour, pas étonnant que les lois qui nous ont été données sont au nombre de 613 dont (365)   égale aux jours de l’année « Tu ne feras pas » et (248) « Tu feras » égale aux membres du corps.

    Jour après jour une mère va éduquer son enfant et le met en garde de tous les dangers, et lui enseignera ce qu’il est bon de faire.

    Comme une mère elle nous nourrit d’abord de son lait puis de nourriture plus solide.

     

    L’étude de la Torah nous ramène à la lettre hébraïque « MEM » dont sa valeur est « 40 ».  Et ce 40 vient révéler ses plus beaux codes secrets.

    40 c’est l’eau, c’est le ventre.

    Cette lettre trouve sa référence avec le nom de Moïse qui veut dire « sortit des eaux ».

    A l’accouchement après les 40 semaines de gestation dans le ventre la mère, elle  perd les eaux pour donner naissance à l’enfant.

    L’eau de la vie se symbolise aussi par le lait dont le nom hébreu est « h’alav » de même valeur numérique qui correspond au ventre.

    Le 40 c’est le temps de l’isolement se mettre en quarantaine, c’est aussi un chiffre en mesure; 40 coudées la mesure du temple de Salomon.  ETC…

     

      NOTRE MÈRE C’EST LA TORAH.

    La lettre MEM vient nous rappeler qu’à travers notre filiation maternelle nous retrouvons notre héritage spirituel qui nous guide vers le chemin de notre créateur.

    Cette lettre symbolise le regard vers l’intérieur, l’introspection qui nous pousse à descendre en nous et à nous interroger sur le but de notre existence. La lettre MEM toujours lié a l’étude de la Torah nous suggère simultanément ce qui est caché lorsqu’on médite la Torah en suivant jour après jour les portions de Torah, cette lettre dévoile ce que Moïse décrivait des secrets de la loi, elle révèle la Torah caché qui annonce le Messie.  Elle lève le voile sur Yeshoua.

    Ce 40 c’est la maturité d’un individu pour accomplir des grandes choses.

     

    Yeshoua nous donne la possibilité de renaitre en acceptant de laisser mourir notre  être souillé afin de renaitre en Lui pour que nous abandonnions notre terre, tout ce qui est  grossier, vulgaire, et inutile qui obscurcit nos yeux, nous devons laisser mourrir ce qui nous sépare de Dieu. D’abandon en abandon et d’ouverture en ouverture à Dieu pour qu’Il prenne toute la place.

    Pour le réaliser il va falloir passer des paliers.

    Ces paliers souvent se passent par des épreuves ou non selon que nous avons pénétré dans les lieux que la conscience ne doit pas voir.

     

    Cet avancement nous fait acquérir de nouvelle terre c’est la symbolique qui nous ramène a nos parasha.

    L’acquisition de ces terres est en nous.

    Avant de les donnés pour Dieu elles étaient en friche mais quand nous comprenons pourquoi il faut aimer la Torah on comprend que c’est parce que Dieu veut faire de notre terrain vague un magnifique jardin d’Eden.

     

    Le véritable enseignement n’est pas celui qui nous est donné de l’extérieur.

    Nous portons la connaissance en nous. Nous sommes des êtres parfaitement connaissants dans les profondeurs de notre être.

    C’est pourquoi le plus important dans la vie ce n’est pas d’être intelligent littéralement parlant mais c’est d’avoir cette intelligence de comprendre que Dieu nous guide et nous parle de l’intérieur et cette intelligence-là dépasse tous les plus grands prix Nobel de la planète. 

    Car à quoi nous sert d’être une élite dans ce monde pour mourir sans connaitre  Dieu.

     

    Tu aimeras ton Père Dieu d’Israël! 

    Tu aimeras ta mère La Torah! 

    C’est en commençant par la Torah que l’on accède à la connaissance et à la sagesse divine.

    Comme si nous étions un palais avec dix portes fermées et qu’il nous fallait les  dix clefs pour ouvrir chacune des portes, et les dix clefs  sont données par l’étude de la Torah.

    Et toutes les promesses de bénédictions seront sur ceux qui ont compris que la Torah Se révèle de l’intérieur par l’amour de notre Père céleste, nous renaissons de nouveau mais cette fois-ci c’est pour la résurrection de l’âme et ce sera pour l’éternité dans l’amour absolu;

    Conclusion

    Béhar;

    Sur le mont Sinaï; C’est Dieu qui est descendu, ce qui veut dire qu’on ne va pas le chercher en haut puisqu’Il est descendu.

    Yeshoua aussi est descendu en nous pour que son Esprit vive en nous. 

    Béhoukotaï ;

    Si nous chérissons la Torah, nous serons bénis, les promesses de Dieu ne sont pas mensonges elles sont vérités.

     

    Pour acquérir la connaissance c’est par l’étude de la Torah

     

    Bas les masques avec tous ces enseignants qui tuent tous les croyants en leur enseignant que la Torah est abolie!

    Bas les masques avec ceux qui disent  que la Torah n’est que pour les juifs!

    Bas les masques avec ses théories du baptême du saint esprit! 

    Bas les masques avec les non-respects du shabbat!

    Bas les masques avec les fêtes de noël, pâques catho, pentecôte  et tous ces mensonges!

     

    Maintenant le temps est court que celui qui entend ces paroles et qu’il pense qu‘elles sont vrais, ce n’est surtout pas en allant demander l’avis à Pierre, Paul, Jacques, son pasteur, son curé, ou son frère sa soeur, mais c’est d’aller chercher sa réponse au fond de soi en priant l’Eternel Dieu Créateur du ciel et de la terre.

     

    Dieu a promis a son peuple celui qui reçois les enseignements de la Torah qu’il serait récompensé en prospérité et en bonheur  sur la terre comme au ciel, telles sont les paroles de notre parasha.

     

     

    Mais le port du  masque est indispensable pour mieux se protéger. C’est  un geste responsable pour les autres et pour soi.

     

     

    Shabbat shalom.

     

    Lecture

     

    Parasha du samedi 16 mai 2020.

     

    Behar;

     

    Lecture de la parasha : Lévitique : Chapitre: 25 verset 1 à chapitre 26  verset 2.

    Lecture de la haftarah : Jérémie : Chapitre : 32 verset 6 à 27.

     

    Behoukotaï;

     

    Lecture de la parasha : Lévitique : Chapitre: 26 verset 3 à chapitre 27  verset 34.

    Lecture de la haftarah : Jérémie: Chapitre : 16 verset 19 à 17,14.

    Lecture messianique :  Luc: Chapitre 4 verset 16 ,21; Jean: Chapitre 14 verset 15 à 21.

     

     

     

     

    (Lecture pour la semaine qui vient transmise dimanche matin).

     

     

    L.B

     


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  • #Je compte les jours.

     

     

    La parasha de cette semaine c’est Emor qui veut dire « Parle ». Elle énonce d’abord les lois concernant les cohanims, (sacrificateurs) et le service du temple.

    Ensuite elle énumère la loi du shabbat et le calendrier des fêtes; Pessah avec son décompte du Omer, shavouot, Rosh-Hashana, kippour, souccot. 

    Et puis l’histoire du blasphémateur.

     

    Donc ça commence par; Parle et se termine par la mise à mort d’un homme qui avait blasphémé.

     

    Emor; Parle, informe le peuple de ces faits; Dis leurs qu’ils doivent changer, que leurs directions ne sont pas bonnes. 

     

    Car nous avons été et pour d’autres sont encore des blasphémateurs de Dieu.

    Nous avons déshonoré le Nom de Dieu.

     

    Depuis Pessah (Pâque) la sortie d’Egypte, la mort du Messie Yeshoua nous avons vécu une grande délivrance comme une promesse de liberté.

    Mais ensuite seul l’être humain peut décider d’ouvrir son coeur à Dieu. Yeshoua nous a donné la clé mais c’est à nous d’ouvrir les vannes de la bénédiction, car si elle ne vient pas qu’il ne s’étonne pas et ne se plaigne pas c’est qu’il n’aura pas utilisé la clé qui lui a été remise.

    Cette clé c’est la clé du Omer! 50 jours à compter pour se repentir!

     

     

    Après le shabbat de la fête de Pessah( Pâque) il nous a été ordonné de faire le décompte des jours jusqu’à la prochaine fête qui est shavouot.

    Ce décompte est de 50 jours. (Chaque soir on décompte jusqu’à l'arriver à la fête). On dit 49 jours + un jour qui est le jour de la Fête.

     

    Chaque soir on se remet en question sur nos agissants, nos doutes, nos erreurs, nos faiblesses, nos errements, et nos péchés.

    Ce temps pour se purifier de plus en plus.

     

    Ce qui est surprenant c’est que depuis que ce corona virus a fait son apparition, les parasha ont dialogué avec nous comme un véritable dialogue avec Dieu, donc il est certain que Dieu est au contrôle de tout;

     Ce décompte du Omer pour se purifier ressemble trait pour trait au confinement que presque tout le monde sur la terre a vécu.

    Selon quelques statistiques globales le confinement a  tourné autour des 50 jours (hors la Chine).

     

    La majeure partie des pays comme l’Italie qui a commencé le 9 mars, le Danemark le 11, la France le 17 mars et d’autres 20 mars etc… 

    On remarquera que tous sont restés confinés  une cinquantaine de jours   Certains 48 jours d’autres 55 jours enfin bref ça tourne dans ce nombre.

    Ces jours de confinement on changeait beaucoup de choses et c’est certain on le verra dans les mois qui viennent;

    Ce qui est bien c’est que la terre, l’air, l’eau, le ciel, les animaux se sont réjouis de cette pureté de l’environnement, l’aspect écologique aura eu raison sur l’homme  

    Beaucoup de gens sont revenu à des valeurs simples.

     

    Si la terre c’est un peu purifié, est-ce que les hommes en ont fait autant?

     

    Le mot Omer veut dire « MESURE » un volume de mesure un contenant pour faire la mesure. (Un bol doseur).

    Donc après Pessah le commandement est d’apporter une gerbe d’orge de la valeur de 1/10 du Omer.

     

    La gerbe était des épis de froment graine utilisé pour les animaux  comme pour nous dire la mauvaise graine qui est en nous.

    Et après les 50 jours c’est les bons pains de blé qu’il fallait apporter devant Dieu 

    La mauvaise graine a été remplace par le meilleur de nous-mêmes.

     

    Le Omer selon la parasha Emor; 

     

    Quand Moïse s’est  approché des hébreux pour leur parler de Dieu alors qu’ils étaient encore esclaves, Pharaon à doubler leur travail.

    Le mot Omer c’est une mesure comme un temps, un temps que l’on pourrait consacrer à Dieu.

    Pharaon représente ce  qui est matériel le travail, les occupations, etc…  

    Donc pharaon a doubler leurs travails pour occuper le corps et empêcher la tête de penser.

    Car si le corps s’acharne et s’occupe tout le temps la tête ne pense plus à Dieu.

    Travailler pour ne plus penser!

    On comprend maintenant ce temps d’ Omer s’arrêter quelques instants chaque jour pour s’inquiéter si on est bien devant Dieu 

    Ce confinement a été un arrêt de toutes activités ou momentané pour d’autres pour avoir le temps d’avoir une pensée pour Dieu.

     

     La peur de la maladie, de la mort et de l’angoisse du lendemain, on permit  à beaucoup de s’approcher de Dieu et beaucoup on décidé d’honorer les Shabbat. 

     

    #je compte les jours pour être pur!

    De mon Egypte à shavouot pour arriver mieux au Mont Sinaï.

     

    De pessah où on a reconnu que notre Sauveur c’est le Messie Yeshoua comme des grains d’orges, nous allons offrir comme la Torah nous l’enseigne deux pains de blé le jour de la fête de Shavouot. Transformer durant ces 50 jours.

    Cette offrande de pains est comme pour dire maintenant je veut te recevoir en moi car maintenant je sais que tu es mon Maître et mon Sauveur.

    Ces deux pains de shavouot sont comme les pains des shabbat que nous offrons tous les vendredi soir.

     

    Le shabbat c’est le lien le plus supradimentionel qui nous unis à Dieu. C’est le rendez-vous le plus intime, un acte d’Amour envers Dieu.

    Il incombe aux femmes( représentation du peuple qui appartient à Dieu) de préparer les pains, d’ouvrir le shabbat tous les vendredi soir dès la tombée de la nuit par l’allumage des bougies.

    Cela nous enseigne qu’après que nous ayons ouvert la porte en ayant utilisé la bonne clé durant ce Omer maintenaient  nous sommes prêts pour recevoir Yeshoua, nous l’invitons à dîner chez nous.

    Afin qu’il soit le Maître de tout, nous voulons maintenir la pureté en nous et au sein de notre famille.

    Le bon repas du Shabbat c’est honoré le Shabbat, c’est honoré, le Maître c’est honoré la Torah.

     

     

    A chaque instant où un être humain vient au monde, une part de Dieu vient sur terre, l’étincelle divine que porte le nouveau né ouvre un espace dans le monde pour y faire résider Dieu.

    Le but de l’être humain c’est de transformer son état primaire, en maison pour Dieu  de sa naissance le souffle divin est emprisonné, enfermé, caché.

    L’enfant qui naît n’atterrit pas par hasard avec tel ou tel parent, dans tel ou tel pays, dans tel ou tel contexte social ou religieux, l’arrivée d’un bébé dans ce monde est le calcul savant de Dieu.

    Le ciel renferme les secrets les plus intrigants, mais nous savons que pour arrivée dans ce palais Royal il faudra changer notre être, libérer l’espace souillé pour préparer un lieu sain pour que Yeshoua puisse y trouver un lieu rempli de sainteté un lieu qui ressemble au temple.

    C’est pourquoi nous honorons shabbat de façon extérieure car nos actes sont le reflet de ce qui se passe à l’intérieur de nous.

     

    Car si nous venons au monde comme des êtres a réparé c’est parce que nous avons été blasphémateurs du Nom de Dieu quand nous avons suivi la voie du serpent qui nous a fait manger ce qui nous est interdit.

     

     

    La parasha Emor qui veut dire parle, informe le peuple de leurs mauvaises voies car qu’ils veulent  garder leurs mauvaises graines qu’ils veulent toujours manger ce qui est interdit,

    Ainsi si la première partie du texte semble s’adresser qu’aux sacrificateurs c’est pour nous la manifestation de devenir saint comme eux.

    De cette sainteté nous devons apprendre comment vivre pour nous rapprocher de Dieu.

     

    Yeshoua est né de Torah et nous nous somme né de Yeshoua né pour glorifier Dieu sur la terre;

    La Torah est notre sainteté.

    La Torah est éternelle, ces paroles sont immuables, la Torah est notre défense et notre chemin pour apprendre à changer. 

     

     

    Rabbi Tarphon disait:

    «  Tu n’es pas obligé d’achever ton travail, mais tu n’es pas libre  de t’y soustraire complètement. Si tu as bien étudié la Torah ta récompense sera grande et ton maître sera fidèle à acquitter le salaire de ton travail; mais sache que la véritable récompense des justes est réservée pour le monde futur.

     

     

     

     

     

    Puissions-nous pendant ces jours comprendre ce que Dieu attend de nous, comprendre ce qu’est la sainteté, car Yeshoua a fait de nous des sacrificateurs en vue d’être saint.

     

     

    Shabbat shalom  

     

     

    Parasha du samedi 9 mai 2020. Parasha EMOR : 31.

    Lecture de la parasha : Lévitique : Chapitre 21 verset 1 à chapitre 24  verset 23.

    Lecture de la haftarah : Ezechiel : Chapitre : 44 verset 15 à 31.

    Lecture messianique : Hébreux : Chapitre  : 9 entier.

     

     

     

     

     

    (Lecture pour la semaine qui vient transmise dimanche matin).

     

     

    L.B

     

     

     


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  • Les gestes barrières!

     

    Cette semaine il y a deux parasha Ah’aré Mot et Kédochim.

    Ah’aré Mot, commence par ces mots!  « Après la mort. »

    et Kédochim c’est: « Soyez saint car moi je suis Saint, moi l’Eternel votre Dieu ».

     

    Aaron vêtu du vêtement sacré devait entrer dans le tabernacle, à un moment très précis (jour précis) pour les offrandes de sacrifices, pour lui-même un taureau. Pour l’offrande du peuple il devait lors la fête de kippour  prendre deux boucs et un bélier et tirer au sort entre les 2 boucs, un pour l’offrande à Dieu et l’autre resté vivant pour Azazel hors du camp.

    Cette offrande pour l’expiation des péchés.

     

    Le mot péché peut s’exprimer dans le sens d’avoir fait quelques choses de mal devant Dieu se dit:en hébreu « Hett ».

    Et ce mot « Hett » veut dire : manquer son but, louper sa cible, faute involontaire, être passé à coté.

     

     Le mot péché écrit en hébreu « Avone » exprime les péchés volontaires, transgression de la loi volontairement.

     

    Et là dans la parasha le sacrifice est pour les expiations des péchés c’est « Hett ». Aaron devait apporter l’offrande du bouc pour les péchés involontaires.

     

    Yeshoua nous a pardonné pour nos péchés involontaires d’avoir transgressé les lois,  mais c’est par le mérite de la Torah qui nous apprend ce qui est interdit et ce qui est prescrit que nous sommes pardonner des fautes volontaires. 

     

     

    Aussi on interprète mal le mot sacrifice!

    Nous pensons aux sacrifices dans le temple en termes présents offerts à Dieu.

    Cette idée fausse nous fait passer à coté du vrai sens.

    Dieu n’a besoin de rien, encore bien moins d’un animal égorgé ou autres offrandes.

    Les offrandes présentées dans le temple ou le tabernacle n’étaient pas faite pour Dieu, mais bien pour nous.

    Sacrifice en hébreu vient de la racine « Korav » qui veut dire « se rapprocher de Dieu »

    Ainsi l‘animal devient un instrument pour se rapprocher de Dieu. Quand le sacrificateur devait tuer l’animal en faîte il devait placer ses mains sur la tête de l’animal de tout son poids comme pour se relier à l’animal. L’animal vivant entre ses mains mourait; Substitué le sacrifice pour prendre les péchés.

    Par les mains passaient les péchés dans l’animal qui mourait avec les péchés du peuple.

    Donc pour l’offrande de kippour ce sont les péchés involontaires que le sacrificateur faisait transmuter sur l’animal.

     

    Pour les péchés volontaires c’est la personne qui apportait au sacrificateur son propre animal pour qu’il  accomplisse  ce geste de substitution. Ainsi ce sacrifice servait pour la faute volontaire et ses conséquences;

     

    Dans ce sens le prolongement de soi à travers l’animal a tout son sens.

     

     

    Le sacrifice devient une sorte de transfert de soi-même.

    Le sens propitiation devient évident.

    Le sacrifice s’est la victime  qui c’est rendu propice pour être sacrifice.

     

    Ainsi maintenant le lien devient clair.

     

    Nous reconnaissons que le Messie est Yeshoua, qui s’est fait sacrifice mort sur le poteau (ou linteau).

    Lorsque nous le reconnaissons comme le fils de Dieu envoyé comme sacrifice nous nous rapprochons de Dieu, ainsi Il se substitue à nous et prend nos péchés involontaires. 

    Lui il est mort de chair  et par notre rapprochement nous mourons  de notre nature charnelle et spirituelle.  

     

    « Ah’aré Mot »: Après la mort notre âme prend vie par le sang de Yeshoua. 

     

    On peut voir maintenant ce que cette parasha voulait nous enseigner: Par pardonner pour nos péchés involontaires. Seul Yeshoua peut le faire.

    Et avec Kedochim les péchés volontaires. C’est nous qui devons lutter contre les péchés qui tentent de nous séduire.

     

     

    « Kedochim »

     

    La sortie d’Egypte n’a qu’un seul but suprême que de devenir saint, ainsi le lien entre son peuple s’établit de façon totale. « Je vous ai fait sortir d’Egypte pour être votre Dieu ».

    Ainsi la sortie d’Egypte ne se trouve justifier que si on se maintient dans le respect de la loi.

    Que signifie devenir saint?

    La sainteté  équivaudrait à se préserver des errements de la chaire. La sainteté repose sur la notion de séparation dans la pensée même pour après se séparer dans l’acte.

    Et tout le mécanisme repose sur l’ascèse!

    Qu’est-ce l’ascèse?

     

    C’est justement atteindre le but!

    C’est un effort visant à la perfection spirituelle, par une discipline constante de vie. C’est une manière de vivre qui impose certaines privations; C’est une discipline volontaire cherchant à maitriser l’esprit avec le corps, pour un équilibre corporel saint.

     

    Cette période de confinement nous a contraint à repenser nos priorités, espérant que nous puissions continué à viser nos essentiels et accepter de s’imposer certaines privations pour atteindre un but d’élévation spirituelle pour plus de sainteté.

     

    Donc l’ascèse est un long travail de séparation pour tous les croyants qui aspirent à être saint.

     

    Les valeurs morales de la Torah enseignent et exigent que l’homme se sanctifie par la sainteté de la Torah. Ainsi l’homme pourra être considéré comme un temple où Dieu vit.

     

    C’est deux parasha mettant l’accent sur la pureté sexuelle, tout actes sexuels non conforment selon les prescriptions bibliques et condamnées par Dieu: Homosexualité, avec animaux, inceste, familiale, où procéder pervers est inadmissible, car si le corps pratique de telle ignominie, il est impossible que Dieu vienne vivre dans notre temple intérieur.

    Notre corps serait alors une maison close pour les démons.

     

    C’est pourquoi Dieu a envoyé Yeshoua dans ce monde pour nous libérer de ses esprits.  C’est pourquoi maintenant il est si important de comprendre pourquoi les lois agissent  comme des gestes barrières.

     

    Car si Yeshoua a accompli la loi, la seule loi du sacrifice, car lui c’est fait sacrifice, nous-même nous sommes libres si nous l’honorons au temps précis, c’est-à-dire comme Dieu l’a dit à Moise que les fils d’Aaron étaient morts car il ne fallait pas entrer dans le temple pour offrir les sacrifices en un temps que Dieu n’a pas précisé. Qui est kippour, fête du pardon des péchés, 

    Le temps de la fête de Kippour est un temps puissant pour un rendez-vous ou la puissance de Dieu foudroie toutes les dominations démoniaques qui nous contrôlent.

    La débauche sexuelle, le vol, la violence, et toutes les autres dérives mauvaises qui sont des esprits installés dans notre maison corporelle peuvent être détruit si on décide volontairement de les faire mourir.

     

    Ainsi l’Eternel nous aide à ne plus donner de sacrifices aux démons par l’ascèse que nous formulons pour se séparer du mal.

     Cette distanciation physique et sociale nous éloigne des tentations et des rechutes.

     

    Kippour est le temps précis pour être libérés Yeshoua nous a lavés de nos souillures mais si nous ne restons pas vigilants le mal nous rattrape.

     

    Les gestes barrières sont: le shabbat, les fêtes bibliques, les prescriptions sur la valeur que nos corps sont des temples et nos actions sont la démonstration de nos pensées par les actes que nous faisons.

     

    Le sacrifice de Yeshoua est pour nous l’assurance qu’Il détruit pour nous toutes les souillures dont notre corps est atteint si nous sommes précisément aux rendez-vous que la Torah nous prescrit.

      

      Conclusion:

    Les 5 gestes barrières sont:

     

    1 Resté chez vous, c’est L’Esprit qui enseigne!

    2 Accoudez-vous pour lire la bible en méditant la Torah .

    3 Rester à distance de toute personne qui enseignent contre la Torah.

    4 Prenez vos distances avec les pensées malsaines.

    5 Elevez vos mains pour prier.

     

     

    Soyons Saint car Dieu veut que l’on soit Saint, repoussons toutes les souillures. Restons éloigné de ce monde pervers et nous garderons l’assurance du salut pour  atteindre le but final, pardonner et libérer de nos péchés, pour être avec Dieu pour l’Eternité.

     

     

    Shabbat Shalom 

     

     

     

    Lecture de la parasha

    Ah’aré Mot: Lévitique:

    Chapitre:16 verset 10 à chapitre 18 verset 30.

    Kedochim: Lévitique:

    Chapitre: 19 verset 1 à chapitre 20 verset 27.

    Lecture de la haftarah:

    Amos: 9: 7 à 15.

    Ezechiel: 20: 2 à 20.

    Lecture messianique: Romains: 6: 1 à 23; Ephésiens, Chapitre 5.

     

     

    (Lecture pour la semaine qui vient transmise dimanche matin).

     

     

     

     

     

     

    Shabbat shalom

     

    L.B

     


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  • Confiné !

     

    Cette semaine il y a deux parasha Tazria et Metsora les deux ont la même portée symbolique la lèpre, ou maladies contagieuses.

     

    En hébreu le mot lèpre n’est pas exactement traduit par le mot lèpre, mais il est écrit « tsaraat », mais le problème c’est que staraat n’existe pas vraiment dans le lexique scientifique médical.

    « staraat » est décrit comme une sorte de lèpre de l’âme. Ce serait une maladie liée au spirituel.

    Les symptômes physiques seraient dus à une déficience spirituelle. 

     

    La lèpre est une maladie infectieuse due à une bactérie responsable venant d’une souche de  la tuberculose qui s’attaque au poumon. Ces mycobacteriums peuvent être de forme bénigne ou grave  et se propagent par inhalation de postillons ou par transmission d’objets ou de linges.

    La lèpre dégrade premièrement toutes les extrémités du corps nez, doigts, pieds etc car l’afflux de sang ne se fait plus.

     

    La lèpre a toujours eu une forte empreinte religieuse, et assimilé à l’hérésie.

     

    Le lépreux est toujours considéré comme une personne impure.

     

    Cette maladie est difficilement  guérissable!

     

    Seul Dieu a le pouvoir de guérir ce genre de maladie.

    Les lépreux étaient confinés ; le confinement  est l’un des moyens les plus puissants de notre société pour réguler le mal. 

     

     

    Dans la Torah il existe un mode d’isolement en cas de lèpre d’une durée de confinement de Sept jours renouvelables jusqu’à la guérison.

     

    Le lépreux devait porter un masque;

    Fin du verset Lévitique 13;45.  version hébraïque

    Le lépreux se couvrira ( le visage ) jusqu’à la moustache.

     

    Combien de similitude nous vivons avec ce virus cette année;

    Nous vivons en isolement ,confiné; déboussolé certains avec des formes bénignes et d’autres avec des formes graves, s’attaquant au poumon, au coeur, ou autres partis du corps; et nous devons porter des masques parce qu’il ni a pas de traitements ni vaccins.

     

     

    Il est étrange que nous vivions cette année un confinement drastique dû à une maladie contagieuse, très dangereuse, mortelle.

    Donc nos parasha parlent d’impureté due à la lèpre, et aux flux de sang.

     

    Dans la Torah nous trouvons qu’une seule référence qui parle de la cause d’une lèpre c’est lorsque Myriam et  Aaron ont critiqué le choix d’épouse de Moïse, mais on s’arrête souvent à cela pour dire qu’il ne faut pas faire de médisance « Lachon hara » sur les gens. 

     

    Mais en fait ce qui causa en vérité la lèpre de Myriam c’est quand ils ont dit: 

     « Est-ce seulement par Moïse que l'Eternel parle? N'est-ce pas aussi par nous qu'il parle? Et l'Eternel l’entendit.

     

     

    « L’Eternel l’entendit !»

    Les contestations étaient donc sur le choix de Dieu qui avait choisi Moïse; et Myriam eut la lèpre.

     

    Ces révélations indiquent que les porteurs de lèpre contestent Dieu !

    Moïse est le représentant de la Torah.

    Myriam est la représentante du peuple de Dieu.

     

    La bonne question est?  Sommes-nous des contestataires de Dieu pour en arriver là?

    Sommes-nous des lépreux pour porter des masques et rester confiné?

    Sommes-nous atteints si gravement pour mériter une telle ampleur de mortalité?

     

    Nous sommes impurs devant Dieu !

     

    Entre les uns qui disent, les autres qui n’ont pas dit, et ceux qui ont fait, et ceux qui n’ont pas fait. 

     

    Mais qu'est que Dieu a dit alors?

     

    Il ne nous reste que ces versets bibliques qui donne la réponse de Dieu?

     

    Nombres 12:5,10.

     

     

    L'Eternel descendit dans la colonne de nuée, et il se tint à l'entrée de la tente. Il appela Aaron et Myriam, qui s'avancèrent tous les deux.

     

    Et il dit: Ecoutez bien mes paroles! Lorsqu'il y aura parmi vous un prophète, c'est dans une vision que moi, l'Eternel, je me révélerai à lui, c'est dans un songe que je lui parlerai.

     

    Il n'en est pas ainsi de mon serviteur Moïse. Il est fidèle dans toute ma maison.

     

    Je lui parle bouche à bouche, je me révèle à lui sans énigmes, et il voit une représentation de l'Eternel. Pourquoi donc n'avez-vous pas craint de parler contre mon serviteur, contre Moïse?

     

    La colère de l'Eternel s'enflamma contre eux. Et il s'en alla. La nuée se retira de dessus la tente. Et voici, Marie était frappée d'une lèpre, blanche comme la neige. 

     

     

    Waouh!

     

    Moïse c’est Moïse !

     

    Il ne faut jamais contester Moïse car Moïse c’est la Torah?

    Et donc si on conteste la Torah d’une manière en disant la loi est aboli alors on conteste Dieu ou si on rajoute à la loi de Moïse on conteste Dieu?

     

    Hébreux 10:7.

     

    Yeshoua notre Seigneur et Sauveur a dit « Voici, je viens dans le rouleau de la Torah il est question de moi pour faire, ô Dieu, ta volonté.

    Car il a plu à Dieu d’abolir la loi des sacrifices d’animaux et envoyer le Messie Yeshoua pour faire le sacrifice une fois pour toutes. Mais Il n’a pas aboli les autres lois.

     

     

     

     

     

    Dans la bible beaucoup de citations mentionnent que Yeshoua notre Messie avait guéri des lépreux.

    Dans Luc 17 par exemple:

     

    Yeshoua, se rendant à Jérusalem, passait entre la Samarie et la Galilée. Comme il entrait dans un village, dix lépreux vinrent à sa rencontre. Se tenant à distance, ils élevèrent la voix, et dirent: Yeshoua, maître, aie pitié de nous! Dès qu'il les eut vus, il leur dit: Allez vous montrer aux sacrificateurs. Et, pendant qu'ils y allaient, il arriva qu'ils fussent guéris. L'un d'eux, se voyant guéri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu à haute voix. Il tomba sur sa face aux pieds de Yeshoua, et lui rendit grâces. C'était un Samaritain. Yeshoua, prenant la parole, dit: Les dix n'ont-ils pas été guéris? Et les neuf autres, où sont-ils? Ne s'est-il trouvé que cet étranger pour revenir et donner gloire à Dieu? Puis il lui dit: Lève-toi, va; ta foi t'a sauvé.

     

    Les pharisiens demandèrent à Yeshoua quand viendrait le royaume de Dieu. Il leur répondit: Le royaume de Dieu ne vient pas de manière à frapper les regards. On ne dira point: Il est ici, ou: Il est là. Car voici, le royaume de Dieu est au milieu de vous.

     

     

     

     

     

    La guérison est possible en Yeshoua celui qui vient du livre de la loi.

     

    Yeshoua dira à chaque fois qu’il guérit un lépreux  « va vers le sacrificateur ou le Cohen  d’aller offrir l’offrande qu’a prescrit Moïse

     

     

    Mathieu 8: 2.

    Et voici, un lépreux s'étant approché se prosterna devant lui, et dit: Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. Yeshoua étendit la main, le toucha, et dit: Je le veux, sois pur. Aussitôt il fut purifié de sa lèpre. Puis Yeshoua lui dit: Garde-toi d'en parler à personne; mais va te montrer au sacrificateur, et présente l'offrande que Moïse a prescrite, afin que cela leur serve de témoignage.

     

    Va te montrer au sacrificateur et présente l’offrande que Moïse a prescrite, afin que cela serve de témoignage!

     

    Mais alors quelle est cette offrande car nous croyons que s’est  Yeshoua l’offrande?

     

    Dans les récits de notre parasha ainsi que notre haftarah et d’autres versets il y est écrit;

    Vous serez isolé durant sept jours, mis a part durant sept jours, puis aussi le Roi de notre haftarah du se tremper sept fois dans l’eau pour être guéri.

     

    La Torah est comparé à l’eau :  Esaïe 55: 1

    Vous tous qui avez soif, venez aux eaux, Même celui qui n'a pas d'argent! Venez, achetez et mangez, Venez, achetez du vin et du lait, sans argent, sans rien payer!

     

    Jacques 1: 25.

    Mais celui qui aura plongé les regards dans la loi parfaite, la  Torah de la liberté, et qui aura persévéré, n'étant pas un auditeur oublieux, mais se mettant à l'oeuvre, qui lui est prescrite, celui-là sera heureux dans ce qu’il aura fait.

     

    Donc si on plonge (nos yeux) durant les sept jours de la semaine dans la Loi qui est l’offrande que Moïse a prescrite nous seront guéri!

    Chaque jour nous devons lire les versets de la Torah car la Torah est le bain de la guérison, 

     

     

    Chaque jours nous devons apprendre du livre de Moïse car dans le livre c’est Yeshoua qui se fait connaitre et se révèle dans notre nos coeur et notre coeur c’est Sa maison qui doit être pur.  Et chaque jour nous devons suivre le cycle de la Torah avec les portions de Torah. Chaque jour nous devons mettre à part un petit moment de confinement pour faire ces lectures   c’est par cette offrande que Son Sang nous guéris.

     

     

     

     

     

     

    Proverbes 3. 1,8.

    Mon fils, n'oublie pas mes enseignements, Et que ton coeur garde mes préceptes;

     

    Car ils prolongeront les jours et les années de ta vie, Et ils augmenteront ta paix.

     

    Que la bonté et la fidélité ne t'abandonnent pas; Lie-les à ton cou, écris-les sur la table de ton coeur.

     

    Tu acquerras ainsi de la grâce et une raison saine, Aux yeux de Dieu et des hommes.

     

    Confie-toi en l'Eternel de tout ton coeur, Et ne t'appuie pas sur ta sagesse;

     

    Reconnais-le dans toutes tes voies, Et il aplanira tes sentiers.

     

    Ne sois point sage à tes propres yeux, Crains l'Eternel, et détourne-toi du mal:

     

    Ce sera la santé pour tes muscles, Et un rafraîchissement pour tes os.

     

     

    Que Dieu ne s’irrite plus contre nous qu’Il pardonne nos contestations, et qu’Il nous aide à comprendre sa volonté, qu’Il nous rende pur si nous lui demandons en acceptant les conditions de l’offrande que Moïse a prescrites car cela sert de témoignage.

     

     

    Shabbat shalom.

    L.B

     

    Lecture de la parasha:

    Tazria:

    Lévitique:

    Chapitre: 12 verset 1 à chapitre 13 verset 59.

    Lecture de la parasha:

    Metsora:

    Lévitique:

    Chapitre:14 verset 1 à chapitre 15 verset 33.

    Lecture de la Haftarah: 2 rois: Chapitre 7 verset 3 à 20.

    Lecture messianique:

    Mathieu: 8:1à 4.    9: 20 à 26.    11: 2 à 6.

     

     

     

     

     

    Lecture pour la semaine qui vient, transmise dimanche matin 26 avril 2020.

     

     

    Shavoua Tov
    Cette semaine qui commence Dimanche 26 avril 2020, nous commençons à lire la première portion de la parasha dans le livre Lévitique.

    Cette semaine encore spéciale il y a deux parasha jumelées.

    1: Ah’aré-mot et 2: Kedochim. 

     

    Ah’aré-mot:                                                   Kedochim:

                                                                          

    Dimanche: 16/1,17.                                      Dimanche: 19/1,14.

    Lundi:16/18,24.                                            Lundi:19/15,22.

    Mardi:16/25,34.                                            Mardi: 19/23,32.

    Mercredi:17/1,7.                                           Mercredi:19/33,37.

    Jeudi:17/8.18,5.                                           Jeudi: 20/1,7.

    Vendredi:18/6,21.                                         Vendredi:20/8,22.

    Vendredi:18/22,30.                                       Vendredi:20/23,27.

     

    Ces portions où montées peuvent différer de quelques versets  suivant le rite, ici ce sont les montées du rite Ashkénaze, mais chacun peut lire suivant son rite comme pour « La bible Juive complète » qui utilise le rite séfarade. Chacun fera comme il lui convient l’essentiel étant de lire chaque jour, je dirai de manger une portion de Torah chaque jour. 

     

    Que ces portions soient pour nous la guérison qui produit la repentance qui nous sanctifie.

     

      

     


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